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EDWYN ✮ i don't need you... i think... no i'm sure.

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Bâillant à s'en décrocher la mâchoire en sortant de la salle de cours, son sac négligemment posé sur son épaule, elle marchait en slalomant entre les élèves qui sortaient de salle suite à la sonnerie de pause. Ses yeux fixaient le sol où toutes les paires de chaussures se croisaient. Là, les élèves semblaient tous les mêmes… Mais un œil sur leur cravate, une oreille sur leur commérage et ils se révélaient tous différents. Ouvrant son casier, elle s'immobilisa en entendant son prénom ressortir au-dessus du brouhaha des universitaires. Elle pencha la tête sur le côté et reconnue immédiatement Edwyn. « Que veux-tu ?. » Qu'elle lâcha aussitôt sans s'apercevoir qu'en fait, il venait simplement lui rendre le livre que son sac à demi ouvert avait fait tomber au sol. C'est comme ça, pas même un petit bonjour ou bonsoir. Et sans attendre une quelconque réponse de sa part, elle referma rapidement son casier et laissa en plan le jeune homme, ici, au beau milieu du couloir de l'université. La demoiselle s'empressa de sortir de l'enceinte dans le but de se rendre chez elle, mais... BLAGUE. Ça devait être ça. Une grosse blague puisqu'il tombait des cordes dehors et que la mather n'avait pas prévu de parapluie aujourd'hui. Comme quoi, la météo, n'était que d'la merde et qu'il ne fallait jamais s'y fier. Qu'allait-elle faire à présent ? Elle reste plantée là à attendre que cette maudite pluie se termine où bien, elle se rend à la Mather House ?. Sauf que Lucky avait besoin de se retrouver un peu seule et au calme aujourd'hui. Soupirant, elle regarda les autres élèves munis d'un parapluie lorsque soudain, quelque chose lui faisait de l'ombre au-dessus de sa tête. Elle la releva pour s’apercevoir qu'un parapluie s'y trouvait et la protégeait contre les gouttes d'eau qui commençait à s’écraser sur son crâne. L'Anglaise baissa la tête sur l'inconnu pas si inconnu et propriétaire de ce parapluie. « J'ai pas b'soin de ton aide Ed. Fiche-moi la paix !. » Dans quelle langue fallait-il qu'elle le lui dise ? Finlandaise peut-être ? EDWYN ✮ i don't need you... i think... no i'm sure. 166564858 Alalalala qu'elle lui laisse en placer une le pauvre. Il voulait juste faire une bonne action en lui rendant son livre et en l'évitant de se retrouver cloîtré au lit avec un 40 de fièvre et un paquet de mouchoirs à proximité. D'ailleurs, elle posa une main sur l'édite parapluie et le repoussa loin d'elle. Comme pour lui dire indirectement d'aller se faire foutre lui et ce parapluie avec. Ne fais pas la grosse tête Lucky, ça va te retomber dessus. Quoi que... Elle ne s'en étonnait plus à présent.
ludwyn
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Aaaaahhhh vous savez, parfois, vous vous réveillez le matin en vous disant ’p’tête bien que c’est aujourd’hui que je vais faire une bonne action’ et dès qu’elle se présente, vous sautillez sur place, un peu comme un adolescent devant les plus gros succès de Sasha Grey – personnellement moi je la connais pas mais je vis avec quelqu’un qui les connait bien et parfois c’est un peu gênant enfin bon on n’est pas là pour discuter de ce que j’endure au quotidien. Bah voilà, Edwyn se transforma en Batman et vint rendre à la délicieuse Lucky son livre qu’elle avait fait tomber. Jusqu’ici tout va bien. Sauf qu’on parle de Lucky et bon, Lucky, elle n’inspirait pas spécialement la sympathie à première vue, encore moins quand vous êtes son ex et qu’elle vous en veut à mort pour une raison totalement débile. « Ton livre. » fit-il en agitant sous son nez le bouquin, sans rien dire de plus. Elle n’était pas de bonne humeur ce matin, ce qui laissait soit petit a) présager un cycle menstruel à 8 sur l’échelle de Richter soit petit b) qu’elle était naturellement antipathique. A en juger par son regard hautain, le b) l’emportait. Imaginez le jour où elle a ses règles ahahahaha non n’imaginez pas, tout ce que je peux dire c’est qu’Edwyn a beaucoup souffert de leur relation. Il avait fini les cours pour la journée, alors il décidait de rentrer à son appartement de Boston après avoir récupéré des affaires dans son casier, en particulier le parapluie puisqu’il pleuvait des cordes, et quand je dis qu’il pleuvait des cordes, c’est une expression. Ça ne voulait pas dire que le Saint-Cordes-des-Bois s’amusait à lancer des cordes sur les gens, parce que ça devait faire vachement mal de s’en prendre une dans la figure. Bref, je diverge. Verge. Edwyn recroisa donc Lucky sur le seuil de la porte, sûrement en pleine réflexion, à se demander ce qu’il valait le coup de sauver en premier ; son brushing ou sa tenue pas franchement adaptée au crachin américain. De l’opinion de Quinzel, y en avait pas un qui rattrapait l’autre. Mais il garda cette réflexion pour lui, se contentant d’ouvrir le parapluie au-dessus d’eux, ce qui valut une nouvelle réflexion de la blondasse. Il ne discuta pas et haussa les épaules ; « Comme tu veux. À la prochaine ! » lâcha-t-il à la cantonade en descendant les marches, se disant qu’elle reviendra par elle-même quand elle comprendra qu’il était sa seule solution pour rentrer chez elle sans ressembler trop à une serpillère.
ludwyn
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Elle mordit sa lèvre inférieure en pensant que face à lui, elle était incapable de cacher ses pensées derrière un faux sourire. Elle fixa le ciel, grattant de l’ongle le bout du tissu de sa petite robe blanche et répondit de manière détachée. « Bon débarras !. » Crue et froide comme la glace. Elle le regarda descendre les marches tapotant rapidement l'un de ses pieds contre le sol. Divisée entre le laisser partir ou bien lui laisser la possibilité de la ramener chez elle avec son parapluie. « Et puis merde ! J'te hais Ed. » Se murmurant à elle-même à l'abri des oreilles curieuses. Finalement, elle descendit les marches et rejoignit le mather sous son parapluie. « Sans commentaire !. » Qu'elle balança en tournant la tête sur le côté histoire de ne pas croiser son regard. Elle savait pertinemment qu'elle avait toujours cette mauvaise attitude qui ne donnait pas envie de lui parler. Mais il faut dire que cette université n'abcédait qu'à de nouvelles tensions qui la rendaient toujours plus instable. Lucky serrait les dents, au fond, elle avait juste envie de lui dire "merci" et "vas te faire foutre" dans la même phrase. Mais c'est sans bruit -qu'il la trahira- qu'elle entama une marche à ses côtés. Ses doigts serraient un peu plus son sac contre son épaule, son coeur battait deux fois plus que la normale, oui parce que là, elle n'avait qu'une seule envie, lui arracher les yeux de son visage pour se venger de sa stupidité et de son audace à n'avoir dit que de la merde sur elle. Elle, sensée être à l'époque la fille qu'il aimait, la fille qu'il désirait plus que n'importe qui, la fille qu'il avait fait promesse de lui appartenir rien qu'à elle, la fille qu'il était sensé protégé, la fille qu'il s'était dévoué à aimer pour ces défauts avant tout, mais aussi pour ses qualités, car il est évident qu'elle n'avait pas q'des défauts. Au final, elle fut la fille qu'il traita de gros boulet et de pleins d'autres horreurs derrière son dos à des centaines de personnes sur le net. Lucky se sentait encore mal et rouge de colère en y repensant, alors elle préférait rapidement chasser ces vilaines pensées de son esprit avant que cela ne se répercute sur le jeune homme. Quoi que... « N'pense pas que j'ai envie d'être là, je ne fais qu'utiliser ton parapluie et non ta gentillesse... Enfin, fausse gentillesse en passant. » Elle ne pouvait s'empêcher de lui lancer une pique, c'était plus fort qu'elle. Elle blessait souvent les gens, mais à présent, elle s’en fichait. Car plus jamais elle ne voulait se noyer dans ses propres opinions. Il fallait juste espérer que les autres supportent la foudre qu'elle était devenue.
ludwyn
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