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A Vision Of Extacsy
We’re like beautiful diamonds in the sky
Eye to eye, so alive
Eye to eye, so alive
Si tout le monde regardait Peter, tout le monde dirait qu'il avait du charme, qu'il dégageait quelque chose de déroutant et d'à la fois enivrant. Que malgré son âge avancé, il avait toujours cette malice juvénile qui le caractérisait tant. Qu'il avait du punch. Que ses muscles qui se voyaient malgré tout, démontrait qu'il prenait soin de lui, qu'il avait un corps sain. Qu'il était quelqu'un de charismatique dans ses costumes. Qu'il était quelqu'un de génie pour créer de tel belles pièces. A ce moment l'adage " les apparences sont trompeuses " lui revenait en mémoire sans cesse. Tout le monde le voyait comme un grand du spectacle, comme un homme à femmes, comme un homme d'affaire qui savait ce qu'il voulait, comme quelqu'un qui prend soin de lui malgré ses frasques presque enfantines. Oui, les apparences étaient trompeuses et il avait toujours su comprendre cet adage. Il en avait joué. Il se disait que tout le monde portait des masques, que tout le monde vivait sous cette carapace que tout le monde se forgeait pour s'échapper aux misères de la vie mais parfois ce masque s'ancrait sur les visages, effaçant toute trace de la personne qui la protégeait pour ne laisser place qu'à des apparences trompeuses et mesquines. C'est ce qui était arrivé à Peter. Cela faisait depuis son enfance qu'il était perdu dans les embrumes de l'alcool, de la violence et de la peur. Il avait peur d'être abandonné, d'être rejeté pour ce qu'il est vraiment. Alors, il faisait des bêtises tel un vulgaire gamin en manque d'affection et d'amour. Il buvait pour oublier à quel point il avait été mal aimé et rejeté durant sa vie. Il buvait jusqu'à oublier qui il est vraiment. Peu à peu son masque s'était ancré en lui, formant quelque chose de mystérieux et d'énigmatique. Le Peter en manque d'affection, ressemblait plus à un enfant capricieux. Le petit Peter effrayé n'était plus qu'un homme avec des muscles. Il avait changé et semblait ne plus savoir qui il est vraiment alors sa solution se résidait dans une bouteille d'alcool. L'alcool le sauvait de sa folie et le rendait euphorique voir joyeux. Dans sa famille, les addictions coulaient de source. Son oncle adorait se droguer avec une seringue, très peu pour Peter qui n'aimait pas voir les stigmates des seringues, bien qu'il avait déjà tenté. Son autre oncle, c'était l'herbe et semblait paisible. Il rigolait de tout et de rien. Le calme et la sérénité. Quelque chose qu'enfant, Peter avait voulu chercher.
Avant d'avoir pu fumer une cigarette, du tabac, il avait déjà fumé un joint à 12 ans, il avait toussé puis son corps s'était mis à se détendre et il avait eu l'impression de planer au dessus de tout, de ressentir tout et d'être en paix. Ses démons étaient des vulgaires chatons. Alors oui, Peter aimait l'herbe mais en fumait qu'en très peu d'occasion pour éviter que son cerveau se retrouve en légume. En cette soirée, il avait invité une élève rencontrée sur le Summer Camp pour fêter la rentrée et discuter de tout et de rien. Il aimait bien Mira, sa spontanéité et elle ne dirait jamais non à Peter pour lui faire un cocktail. Il avait couché avec elle, mais c'était juste l'histoire d'une fois. Il ne comptait plus le nombre d'étudiante avec qui il a couché. Encore cette année, il devait jouer les professeurs de théâtres et le pire, c'était qu'il commençait à bien aimer. Les élèves le connaissaient, l'admiraient, le regardaient et certaines fois, elles venaient ou ils venaient lui demander un " coup de main " dans leur chambre. Bien sûr, parfois Peter refusait de coucher avec certaines, pour une question d'hygiène et tout cela. Il ne fallait pas croire mais Peter était un maniaque de la propreté, allant prendre 2 douches par jour, son appartement bien qu'il y avait un peu de désordre était clean. La nuit commençait à tomber sur le ville, il la regardait couvrir le jour par sa baie vitrée qui prenait toute la longueur de sa salle à manger, salon spacieuse. Ce n'était pas un de ses plus grands loft mais il avait une très bonne superficie. Il y avait un piano , un souvenir amer par rapport à sa mère mais qu'il aimait garder après tout. Tout était grand et lumineux chez lui, du luxe à foison tout en allant pas dans le clinquant. Du parquet, du mobilier moderne et cher , des pièces immenses où les pas résonnaient. Il n'avait jamais compris pourquoi faire tout cela surtout qu'il se sentait toujours seul.
En cette belle soirée, il avait mis de l'ACDC en arrière fond, vêtu d'une chemise blanche en lin légère et d'un jean cher et déchiré. C'était loin de ses costumes d'affaires mais ça lui donnait un côté classe, voir presque angélique. La sonnerie retentit et il vint ouvrir, laissant ses cheveux bruns en bataille. Il vint à ouvrir la porte pour voir Mira, toujours aussi belle.
- Salut toi ! S'exclama-t-il avec un sourire loin de son humeur morose d'il y a quelque secondes. Appelons le "Lunatique". Comment vas-tu ? Entre, je t'en prie, ajouta-t-il en se poussant pour la laisser passer.
D'un habile main, il vint prendre sa veste pour la poser sur le porte manteau, et la guider dans le grand salon qui dominait tout les pièces et donnait l'impression de dominer la ville. Il était dans un grand immeuble après tout.
- Fais comme chez toi, sers toi dans la cuisine, bois, piccole, fume, tout ce que tu veux, s'exclama-t-il d'une manière chaleureuse.
Il avait l'impression de parler comme sa mère, en disant cela mais il se renfrognait. Tout ce qu'il voulait, c'était de passer une belle soirée en compagnie d'une amie.
Avant d'avoir pu fumer une cigarette, du tabac, il avait déjà fumé un joint à 12 ans, il avait toussé puis son corps s'était mis à se détendre et il avait eu l'impression de planer au dessus de tout, de ressentir tout et d'être en paix. Ses démons étaient des vulgaires chatons. Alors oui, Peter aimait l'herbe mais en fumait qu'en très peu d'occasion pour éviter que son cerveau se retrouve en légume. En cette soirée, il avait invité une élève rencontrée sur le Summer Camp pour fêter la rentrée et discuter de tout et de rien. Il aimait bien Mira, sa spontanéité et elle ne dirait jamais non à Peter pour lui faire un cocktail. Il avait couché avec elle, mais c'était juste l'histoire d'une fois. Il ne comptait plus le nombre d'étudiante avec qui il a couché. Encore cette année, il devait jouer les professeurs de théâtres et le pire, c'était qu'il commençait à bien aimer. Les élèves le connaissaient, l'admiraient, le regardaient et certaines fois, elles venaient ou ils venaient lui demander un " coup de main " dans leur chambre. Bien sûr, parfois Peter refusait de coucher avec certaines, pour une question d'hygiène et tout cela. Il ne fallait pas croire mais Peter était un maniaque de la propreté, allant prendre 2 douches par jour, son appartement bien qu'il y avait un peu de désordre était clean. La nuit commençait à tomber sur le ville, il la regardait couvrir le jour par sa baie vitrée qui prenait toute la longueur de sa salle à manger, salon spacieuse. Ce n'était pas un de ses plus grands loft mais il avait une très bonne superficie. Il y avait un piano , un souvenir amer par rapport à sa mère mais qu'il aimait garder après tout. Tout était grand et lumineux chez lui, du luxe à foison tout en allant pas dans le clinquant. Du parquet, du mobilier moderne et cher , des pièces immenses où les pas résonnaient. Il n'avait jamais compris pourquoi faire tout cela surtout qu'il se sentait toujours seul.
En cette belle soirée, il avait mis de l'ACDC en arrière fond, vêtu d'une chemise blanche en lin légère et d'un jean cher et déchiré. C'était loin de ses costumes d'affaires mais ça lui donnait un côté classe, voir presque angélique. La sonnerie retentit et il vint ouvrir, laissant ses cheveux bruns en bataille. Il vint à ouvrir la porte pour voir Mira, toujours aussi belle.
- Salut toi ! S'exclama-t-il avec un sourire loin de son humeur morose d'il y a quelque secondes. Appelons le "Lunatique". Comment vas-tu ? Entre, je t'en prie, ajouta-t-il en se poussant pour la laisser passer.
D'un habile main, il vint prendre sa veste pour la poser sur le porte manteau, et la guider dans le grand salon qui dominait tout les pièces et donnait l'impression de dominer la ville. Il était dans un grand immeuble après tout.
- Fais comme chez toi, sers toi dans la cuisine, bois, piccole, fume, tout ce que tu veux, s'exclama-t-il d'une manière chaleureuse.
Il avait l'impression de parler comme sa mère, en disant cela mais il se renfrognait. Tout ce qu'il voulait, c'était de passer une belle soirée en compagnie d'une amie.
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