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ORION ANDERSON ► kim taehyeong.

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Orion Anderson

       
taehyeong
       kim
Fiche d'identité
Nom Anderson est le premier mot qui a filé entre ses lèvres lorsqu'on lui posa la question, un soir d'hiver, le potage au creux des mains. Par un mensonge, piétinés l'honneur et la famille qui l'eurent piétiné bien avant ; que les sorcières enterrent le sang des Hwang dans leur sabbat, et les morts se réjouissent des larmes. Prénom(s) Orion, il s'est nommé lui-même lorsque de son balcon bancal, il observait les étoiles. Tirer un trait sur le passé, et permettre à Min Wan de conserver son honneur avant qu'Orion ne l'écrase du talon par ses erreurs à répétition, le manque d'intérêt pour la rédemption.Âge vingt-trois ans déjà, et derrière lui à son pied, traîné comme un boulet, l'existence de mille hommes au moins et leurs voyages de découvertes.Date de naissance douze janvier 93, placé à mi-chemin entre deux enfants orphelins de leur milieu.Lieu de naissance Daegu, une ville qui vit la nuit plus que le jour dans la péninsule sud-coréenne, et ses artères sont gorgées de truands à la langue intenable.Statut amoureux célibataire paralysé par l'idée de se poser, les sentiments aussi fleurissant qu'une fleur de cerisier sous le sourire-chaleur d'une femme un peu trop avenante, aussi fanés que les pétales enneigés le jour d'après.Orientation sexuelle hétérosexuel manquant cruellement de curiosité, garçon posé sur ses acquis que les hommes rebutent.Classe sociale le néant l'entraîne au fond du gouffre, mais la flamme qui vacille ne s'éteint jamais complètement quand bien même vient le Noir.Job pas même chômeur, il n'a jamais assez travaillé pour prétendre à ce titre, lui que les ailes démangent, que la liberté enivre, qui ne travaille que quelques jours avant de ressentir le besoin excessif d'une goulée d'air frais.Choix de groupe Citizens

       
Avez-vous étudié à Harvard ?
       Les érudits s'entassent les uns contre les autres dans le palace d'Harvard aux allures de prison dorée. Parmi la masse, ceux qui ont la science en héritage, ceux qui ont l'arrogance de prétendre à leurs propres mérites, ceux qui ont la chance d'échouer et de rester entourés. Harvard et ses hurlements le soir venu, les fêtes à foison et l'alcool dans le sang ; Harvard et le stress omniprésent des examens criminels qui poussent au suicide le plus fragile des loups de leur meute. Quelle place à l'injustice ; et quelle place pour la justice, surtout, de ceux qui n'ont pas le don, pas la chance ? Quelle place pour celui qui, affaibli, se laisse aller sous le tumulte des vagues étudiantes à finir échouer sur la berge ?
Il dessine un rictus sur ses lèvres, avant de ricaner discrètement, les lèvres cachées derrière sa main : étudier dans la jungle n'est pas pour lui, il ne s'y est risqué et ne le fera pas ; il préfère observer le spectacle de loin en attendant celui qui, dans sa chute, dans sa déchéance, dans ses désillusions, deviendra l'un de ses nouveaux compagnons sur la touche.
APRÈS LA BOMBE.
       Premier appartement un peu crasseux, et les rats qui s'entassent dans la cave, et le concierge toujours absent. Les mots dans la cage d'escalier, et le décès de cette hystérique trop âgée, il ne retient que ça de cette année. Que ça, et les écrans de télévisions qui ont sauté, qui ont affiché les lieux du crime, du drame, de tous ces adolescents et hommes que l'autre a criminellement suicidé. La bombe est ancrée dans son cerveau pour l'avoir fait sourire amèrement alors qu'il n'y était pas, pour avoir amenuisé un peu plus sa confiance en l'humain.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
      Là encore, Orion n'y était pas, n'en a entendu parler que par du bouche-à-oreille bruyant (car l'homme ne sait jamais qu'ébruiter). Surpris, choqué, de ces affronts que le plus déloyal à sa propre culture n'aurait jamais osé. Il pince les lèvres, serres les dents, et enfin se montre fidèle à sa condition d'être éphémère sur terre : il oublie, miracle de la mémoire sélective. Il ne s'en souviendra sans doute jamais, si ce n'est lors de ces soirées où le sujet peut lui permettre d'attirer l'attention.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
       - il est SFD. Sans domicile fixe. Il loge donc chez des amis, des proches, chez l'inconnu, et parfois de temps à autres entre la chaleurs des bras du pont de pierre.
- il s'amuse à comparer son image à celle de robin des bois : il vole aux plus riches pour contenter les pauvres, lui-même en l'occurrence.
- il a eu plusieurs fois à faire à la police américaine et a multiplié les séjours sous surveillance.
- narquois et hautain, il aime imprimer aux autres son image d'homme dominant (pour qu'ils oublient comme l'être humain est faible, friable, lorsqu'il est seul).
- il ne se sépare jamais de son chien, Opium, qu'il a sauvé contre ses économies du mois d'un hangar aux combats canins.
- asiatique, il attire les fils pour le flirt d'un soir, pour les saveurs de l'étranger, mais les rebute pour une relation durable, si bien qu'il fuit ce qui le fuit.
- il est affreusement cultivé et intelligent ; une vivacité d'esprit pour palier à sa situation précaire.
- fier et badin, il n'est pas suicidaire pour autant : les hivers rudes le conduisent indéniablement aux soupes populaires.


       
twenty-one
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle twenty-one et j'ai vingt ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à sa réputation dans le milieu du rpg.  J'ai craqué sur le design et le fait que le contexte, pas foncièrement original, soit pourtant épicé par plusieurs touches d'action tout en restant abordable pour tout le monde alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise kim taehyeong (v) comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 150 à 600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

       Mot de la fin ? ▲ pfiouuu ! Je voulais débarquer avec un américain au début mais toutes mes idées d'avatar étaient prises, alors je me suis rabattue sur quelqu'un qui avait plus de chances d'être libre  :evileye: j'espère que ça dérange personne et que ça freine pas à l'intégration ? Bwah, en tout cas j'ai pas de soucis pour ça en général ! Je compte aussi faire un personnage un peu particulier, j'espère que ça vous rebutera pas  ORION ANDERSON ► kim taehyeong. 73120010

 

     
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Once upon a time

to all my broken d r e a m s ☽☽☽☽ La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu'un bouchon, j'ai dansé sur les flots qu'on appelle « rouleurs éternels de victimes» ; dix nuits, sans regretter l’œil niais des falots !

Comme un air de p r o l o g u e ☽☽☽☽ - La violence conjugale est rarement là où on l'attend. Les publicités dénoncent les voisins, les frères, les cousins, les collègues ; ces couples parfaits aux images synthétisées qui dansent sous les yeux des femmes et des enfants en guise de prévention. On fait attention, les premiers jours, et on pose un œil que l'on pense avisé sur ces dénoncés ; le temps faisant son chemin, on oublie une fois les soupçons enterrés. Que faire de ces mains qui se perdent pourtant, et du silence des blessés qui, à tord, se pensent coupables ? La peau qui bleuit par l'ecchymose, que l'on cacher sans parvenir à dissimuler ; on l'accuse lui. Il s'agit d'elle. Elle qui, dévorée par sa jalousie excessive, écrase les paumes de ses mains, rassemble ses phalanges, menace du bout du couteau ; et ses yeux injectés de sang qui paralyse ses trois enfants. La victime se tait, par honte et par peur, encaisse. Laisse l'image d'un dépressif derrière lui, se morfond dans son canapé, et elle est innocentée par les spot télévisés qui oublient de dénoncer une partie des bandits.

C H A P I T R E 0 1 ☽☽☽☽ - Min Wan, le nez dans ses cahiers, les yeux vissés sur les lignes maladroitement copiées, tente d'oublier. Jae Na, sœur aînée, aimée, monte le son de la télévision et se perd dans la contemplation des images de synthèses aux couleurs si vives qu'elles en brûlent ses rétines. Tae Ko, le plus petit, oublié au fond de son lit, et ses larmes qui déchirent le cœur. Les cris perdus qui ne sont qu'une symphonie journalière, les disputes régulières pour fond sonore. Ça ne dure que peu de temps, toute cette mascarade éclate au grand jour comme un miroir brisé aux morceaux projetés. Les événements vont trop vite, il est trop jeune : il peine à se souvenir, et peut-être le gamin-innocence ne le veut-il pas. Il pose ses mains sur ses oreilles, ses lèvres échappent un cri plus perçant encore que ceux de ses parents dans une vaine tentative pour les couvrir. Elle pointe le couteau vers lui, le dirige à nouveau vers l'homme qu'elle tente de poignarder dans sa folle mélancolie. C'en est trop pour l'aînée qui, traumatisée par ce jour, laisse pendre le fil du téléphone tout juste usé. La police arrive et, quelques jours après, l'histoire est bouclée. Si aisément, si facilement, alors qu'il leur reste une vie entière à reconstruire.

C H A P I T R E 0 2 ☽☽☽☽ - Le bruit des baguettes qui s'entrechoquent meuble le silence. Le grill n'a jamais eu le moindre problème et, pourtant, il se retrouve injustement accusé chaque fois que la peau est noire, alors les gamins ne disent rien (ils finissent par en rire). Leur père n'a jamais su faire la cuisine, le voilà pourtant seul face aux fourneaux, assumant le double rôle parental maintenant que sa femme n'est plus. Les années ont passées, jamais sa maladresse ne l'a quitté. Jae Na travaille dans un petit café pour aider au financement de ses études ; Tae Ko rentre au collège. Quant à Min Wan, il patauge dans le flou de deux eaux. Les études ne l'intéressent pas, il vibre pour le danger et l'interdit, tant et si bien que ses frasques à répétition s'encrent sur une feuille qui aurait du être vierge. Il délaisse l'ennui pour l'excitation, le jour pour la nuit, et nourrit déjà des envies plus secrètes. Il a flirté avec le Mal, les coups et les maux s'enchevêtrant sous ses yeux durant ses tendres années, et en est si fasciné qu'il le cherche (il a essayé de noyer ses démons, mais ils ont toujours su nager. Alors, nu sans eux, il a prié pour qu'ils reviennent). Mais il n'y comprend pas grand chose, pourtant : il clame sa grandeur, sa fierté, son honneur, il n'est jamais qu'un enfant à l'appétit trop grand pour des choses qui le dépassent.


C H A P I T R E 0 3 ☽☽☽☽ - Il plisse le nez, ses lèvres se retroussent dans un grognement mesquin pour cacher le rire du dédain. Ses orbes se déplacent, apprivoisent la pièce : c'est la première fois que le loup, captif, est entouré d'autres loups. Qu'un loup, prisonnier, n'est pas là pour être égorgé. Alors il rit, persuadé que la force l'enveloppe, le guide et l'envole, sans comprendre qu'elle n'est pas de son côté cette fois-ci. Les paumes violentes s'écrasent sur la table comme l'orage qui toque à la fenêtre : l'asiatique sursaute, écarquille les yeux. Il n'est pas un bandit de grand chemin, ni même un truandeur de nuit qui éteint les étoiles de son souffle. Il est un enfant un peu branque, cryptique, perdu dans la violence qu'il a connu ; un enfant qu'une berceuse amère suffit à endormir lorsque les menaces proférées pourraient le conduire en camp de rééducation. Il déglutit. Minwan est bon élève, semble avoir compris. Il en faut peu pour éteindre le feu, alors il acquiesce par peur ; ne commettra plus de frasques, c'est une promesse.

C H A P I T R E 0 4 ☽☽☽☽ - L'adolescence est une période où les hormones défaillantes se reconstituent plus fortes que jamais, le corps en est troublé. Le sentiment de force s'oppose au manque d'estime de soi, l'un ou l'autre domine. Tyrannique, ou spectateur sur la chaussée. Enfant-homme en transition, il rêve de changements, de prendre l'air. Non, c'est plus profond, plus viscéral, plus critique. Il regrette les épreuves endurées par son père célibataire par sa faute, pleure silencieusement le mal fait à sa fratrie qui, inquiète, n'a perçu que des reproches. Il pense la vie plus facile s'il s'envole vers l'ailleurs ; pour lui, pour eux. New York et ses buildings, son effervescence, sa folie, ses déboires. Une ville-palpitant aux milles nuances de gens en ses artères. Il ne dit rien, trouve même un travail pour économiser avec fierté. Et le moment venu, il s'envole avec un mot laissé sans regret. « Ne m'appelez plus. » Il ignore s'il est débarrassé d'eux ; s'ils sont débarrassés de lui.

C H A P I T R E 0 5 ☽☽☽☽ - L'amérique de la désillusion, l'Amérique telle qu'elle n'est pas à la télévision. Min Wan entame son périple en reproduisant les images de copies dans les petits écrans ; en fondant ses espoirs sur les espoirs des acteurs qui n'espèrent que leurs propres réussites. Bagages sur le dos, les pas sur le béton chaud, les nuits fauves qui lui appartiennent, l'effervescences des américaines. L'Amérique de la débauche, des travers. Le premier emploi foutu en l'air. L'argent qui s'amenuise dans les soirées désinvoltes mais survoltées. La première année qui passe, puis la deuxième qui peine à s'achever, et avant même le début de l'an d'après, le domicile lui est refusé. Il n'a rien vu venir, jamais ; il n'a plus de contact avec sa famille pour pleurer, jamais. Lésé, abandonné par ceux victimes de son abandon, qui furent abandonnés en premiers.

C H A P I T R E 0 6 ☽☽☽☽ - Min Wan a coulé sous les dettes, enterré du talon par les avides et les créanciers ; pillé par les pokers illicites. Orion, né de ses cendres, plane plus haut que le monde. Plus démuni que jamais, plus heureux qu'il ne l'a jamais été. Orphelin ou presque d'une famille laissée derrière, les sous dérobés aux poches des plus naïfs, il connaît l'Amérique mieux que l'américain, que l'indien, que le natif. Ses pas le mènent d'une ville à l'autre, ses vingt-trois s'achèvent à Cambridge. Lui et Opium sa drogue, sa came, son frère d'arme. Lui et Opium son chien des rues, le poil dru et la bave aux dents, la rage aux yeux. Orion et son canin passion carmin, son gang qui met à nu. Les rires gras dans l'ombre de la nuit, au coin des ruelles, les cheveux teintés dressés qui retombent sous la pluie qu'il ne peut éviter. Orion à cambridge, sans domicile mais bien entouré ; homme narquois de la rue qui dépouille pour se renflouer, qui connaît les adresses les mieux fréquentées.
Les hormones ont cessé de jouer, place à l'homme et ses vices mieux dessinés.
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Bienvenue parmi nous ORION ANDERSON ► kim taehyeong. 3850463188
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Bienvenue et bon courage pour ta fiche ORION ANDERSON ► kim taehyeong. 3850463188
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Merci beaucoup vous deux hanwii
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Bienvenuue parmi nous, chaton ORION ANDERSON ► kim taehyeong. 152426858
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