HENRICK Z. JOYCE ► JOEL KINNAMAN

Il y a des journées, des semaines, des mois et même des années qui sont difficile pour moi de gérer par moi-même. J'ai toujours eu le support de ma sœur pour me remettre sur le bon chemin et de continuer à vivre avec fierté. C’est difficile parfois de parler de ce qui se passe dans ma vie lorsque j'ai actuellement vue tout cette misère dans le monde en protégeant mon pays. Tous les jours, je marche sur mon orgueil et je souris à la vie. Je regarde au ciel et je parle à mes parents. Simplement une petite pensée pour que je puisse me sentir normaux et qui a une raison de continuer à être heureux. Vous s'avez, je n’ai pas eu une enfance facile et même en partant, car ma mère était une ancienne consommatrice. Je n’étais pas encore au monde que j’étais un "junkie" et je l’étais jusqu'à tant que les médecins me réaniment après plusieurs convulsions. Je n'ai jamais connu mes parents. Ma mère m’a mis en adoption et elle n’avait pas le choix, car la police l'attendait à sa sortie de l'hôpital. Mon père était un ancien militaire. Vétéran lorsqu'il a su que ma mère était enceinte, mais n’a jamais connu son secret qu’elle prenait de la drogue lorsqu'elle me portait en elle. Il était un homme fantastique à ce que mon oncle me disait. Un homme très respecté dans le quartier et lorsqu'il revenait à la maison familiale, s’était toujours un grand rassemblement, une fête entre famille et amis. Tout le monde était heureux avec mon père, mais lorsque j’ai eu 3 mois, mon père a été assassiné lors d’une intervention policière près de la maison blanche. Mon père était un homme important dans l'armée américaine. Si les agents secrets tout comme James Bond existerais, je crois fortement qu'il en un serais un. Mon oncle m'a toujours parlé de mon père avec fierté. Même si mon oncle faisait partie du même escadron de mon père, pour lui, les images resteront toujours dans sa tête.

Je n'avais pas besoin de demander la question au sujet de ma mère. Vous s'avez, nous ne sommes pas des retardés lorsque nous sommes jeunes. Le fais de tout savoir fais partie de nous et pour moi, je n'avais que 5 ans lorsque j'ai connu la vérité sur ma mère. Ma sœur n'a jamais voulu pardonner à ma mère pour ce qu'elle avait fais lorsque je suis venu au monde. Ma mère n'était pas une "Junkie" lorsqu'elle était avec mon père. Elle était une des femmes les plus importantes à la droite du président. Être la secrétaire en chef du président, c'est un honneur pour pratiquement toutes les femmes. Ma sœur est le portrait de ma mère. Une belle grande femme aux cheveux roux frisé, de grand yeux bleus avec un caractère très solide, mais le sourire change tout, car ma sœur est une personne extraordinaire. Par contre, ceci la rend encore plus en colère contre elle-même, mais jamais ma sœur ne sera comme notre maman. Mon oncle m'a toujours donné la chance de voir ma mère. J'étais beaucoup impliqué dans les sports lorsque j'étais jeune. Je jouais au hockey l'hiver et je jouais au base-ball l'été. Mes deux sports favoris et avec le temps, je me suis retourné vers la boxe. J'étais toujours content de voir ma mère biologique, mais ma tante était la seule image maternelle que j'ai connue. Vers l'âge de 16 ans, ma mère m'avais écrit à plusieurs reprises. Elle n'avait pas osé écrire à ma sœur, car s'était une cause perdu. Depuis les attentats terroristes de la maison blanche, ma mère n'était plus la même. Ayant perdu mon père lorsqu'elle était enceinte, j'ai du écoper tous les cochonneries qu'elle m'a fais endurer et dans la dernière lettre qu'elle m'avait écrit, ma mère s'était suicidé. Mon oncle avait prévu le coup de ne pas me donner les lettres en revenant directement de l'école. Il avait attendu que nous soyons seul sans la présence de ma sœur et de ma tante pour me le dire.

Personne n'était en colère contre moi pour le fait que je n'ai pas assisté au funérailles de ma mère. Pour ce qui était de ma sœur, s'était écrit dans le ciel qu'elle n'était pas pour y assister. Elle était près de moi en me donnant tout le support moral possible et elle me supportait dans tous mes choix et décisions que je prenais. S'était difficile de terminer ma session d'hiver au secondaire, mais je n'ai jamais été seul. Moi et 2 de mes meilleurs amis avions décidé de continuer sur le même chemin de mon père. À 18 ans, j'ai été accepté pour être dans l'armée. Mon oncle était fière de moi et voyais mon père en moi. J'ai passé près d'un an en Caroline du Nord sur la base militaire pour mon entraînement intensif pour être dans l’infanterie. Nous étions un groupe très solide lors de nos entraînements. Ayant formé notre propre escadron, nous étions devenu le groupe le plus dangereux de l'armée américaine. Nous nous sommes entraîner pour devenir les meilleurs tireurs d’élite, les meilleurs au combat corps à corps, etc. S'était notre bu ultime d'être comme des supers héros et nous avions vécu le calvaire lorsque nous étions en Irak. Comme des frères, tout le monde se respectait. Il y avait des moments où est-ce que s'était que des conneries qui se passaient sur la base militaire. Vous s'avez, il ne faut pas toujours avoir le corps droit et les oreilles molles lorsque nous sommes un soldat. Par contre, il y avait des mois encore plus difficile que l'on croyait. J'ai perdu beaucoup de mes coéquipiers et de mes frères dans de nombreuses missions. Il y a deux ans, j'ai été pris dans une embuscade lors d'un sauvetage. J'ai été tirée 4 fois dans le dos et 2 fois dans le genou droit avant que les renforts débarquent pour venir me chercher. Ce qui m'a surpris, c'est que les rebelles faisaient partie aussi de cette équipe. J'ai passé plusieurs semaines aux soins intensifs avant de retourner à Washington. J'ai du me faire réanimer deux fois avant de revenir normal.

On me voyait comme un miracle à l'hôpital et on me voyait comme un héro partout dans le monde. Ce n’était pas simplement, car toute mon équipe était fantastique. J'ai toujours été une personne calme et qui ne se plaignait jamais et je dois dire que mon orgueil en avait mangé un bon coup. J'avais pris la décision de prendre du repos et de retourner aux études. Ma sœur m'avait accueillit sans problème chez elle après qu'elle aille terminer ses études à Harvard. Devenu spécialiste en toxicomanie et travail pour la police de Boston, je suis pratiquement le seul qui habite chez elle lorsqu'elle à son condo au centre-ville de Boston. Lorsque j'ai commencé mes études, nous étions moi et mes deux meilleurs copains Lewis et Parker. Ayant choisi un domaine complètement différent, ceci nous aidais à passer à autre chose. S'était redevenu un calvaire lorsque les bombes ont explosés sur le campus. Ma mémoire était encore fragile et mon sommeil en était troublé. J'ai endommagé encore plus mes blessures en sauvant la vie de ma copine que j'avais rencontrée au début de ma première année d'université. Malheureusement, ce n'étais pas la femme que je croyais connaître. Lorsque je me suis aperçu qu'elle revenait chez ma sœur avec une alêne d'alcool et de voir qu'elle était sous l'effet de drogue, je ne pouvais me sentir confortable près d'elle. Tout le monde me disait qu'elle avait couché avec les garçons sur tous les côtés de la médaille et j'ai mis mon pied au sol en disant que s'était terminé. Oui, j'aime aller prendre un verre dans un bar, jouer au pool et sortir dans les clubs. Je ne refuserais jamais une femme lorsque la chimie se passe bien entre nous, mais lorsqu'il y a de la drogue d'impliqué, c'est un gros NON ! J'en suis pratiquement à la fin de ma physiothérapie et je n’attends que le feu vert des médecins pour que je puisse recommencer à courir très tôt le matin. Je passe près de 2 heures au centre d’entraînement pour garder ma forme. Ceci est devenu une habitude depuis mes entraînements en Caroline du Nord.

Vous s'avez... la vie n'est pas parfaite. Nous sommes des êtres humains. Descendant des animaux et des êtres sauvages, ceci refais surface dans cette réalité. L'homme est cruelle, mais plusieurs sache en faire une différence. On apprend de nous erreurs sans essayer de les refaire. Ma tante toujours dit: Henrick, n'oublis jamais mon fils... fais attention à tout ce que tu fais, car les paroles s'envole, mais les écrits vont toujours y rester.