Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityso, don't let me run, okay ? ☾ romer.
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so, don't let me run, okay ? ☾ romer.

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Tu souffles. Carter vient de t'envoyer un message en demandant si elle pouvait passer te voir. Au départ, tu avais dit que non et que de toutes façons, tu n'étais pas au loft mais elle est pas stupide, elle sait que quand t'es pas au loft, t'es à la WH. Quelle idée de lui avoir dit aussi. Tu souffles de nouveau. Tu as déjà dit que n'as envie de voir personne ? Oui ? Eh bien tu le penses toujours. Mais tu connais Carter, tu reconnais ses humeurs rien que part ses écrits et même si elle le nie, elle a besoin de te voir et de penser à autre chose. Ne plus penser à quoi d'ailleurs ? T'en sais rien, tu ne l'as plus revue depuis qu'elle est partie du SC et t'as évité de lui envoyer des textos, à elle aussi. Et franchement, tu t'en fous -oupas-. Après votre discussion au bar de l'hôtel, t'as pas vraiment l'intention de la retenir parce que mademoiselle décide pour toi, soit-disant parce que t'es pas apte à rester fidèle qu'à une seule fille. Ouais, bon, pour le coup, elle a raison mais c'est toi et toi seul qui prend les décisions pour toi-même, c'est toi seul qui apte à te sentir prêt. Et là, tu l'étais mais elle en a décidée autrement, te croyant incapable. Tu sais vraiment plus quoi penser et ça t'énerve ! Royalement ! T'as juste envie de te retrouver sur une île déserte tellement c'est le bordel, en ce moment. T'as même plus envie d'essayer sauf que ton cœur te dit le contraire. Non mais il peut pas se taire, celui-là ? Ahah. Pourquoi c'est toujours le coeur qui l'emporte sur la conscience ? Cela aussi, ça fait chier !
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So don't let me run, okay ?
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Tu étais revenue depuis 24h à Boston depuis tu faisais comme tu pouvais pour rester cacher et loin de Roman. Tu n’avais pas eu de ces nouvelles depuis ton départ, depuis ce truc au bar ou tu lui avais dit ce que tu pensais, mais apparemment, il n’avait pas apprécié. Tu t’en fichais, c’était mieux comme ça de toute manière, il aurait fini par te tromper, non ? Ouais, mais ça te faisait mal. Mal d’être loin de lui, de pas le voir, tu savais qu’avec ton état ce n’était pas une bonne idée, mais tu ne pouvais faire autrement. Tu t’en fichais, c’était mieux comme ça de toute manière, il aurait fini par te tromper, non ? Tu pris tes affaires te foutant de comment tu allais être avant de partir chez les Winthrop, tu avais envie de le frapper tellement il te rendait dingue. Franchement, tu n’avais pas besoin de ça et pourtant, tu partais vers lui, encore une fois. Tu ne pensais plus à ta discussion avec Ivy, à ton agression ou au reste. Tu avais juste besoin de le voir lui, de régler ce putain de souci qui faisait en sorte de te rendre dingue en agissant comme un con. Tu rentras dans la maison des rouges avant de monter en direction de sa chambre sachant que c’était l’endroit où il devait être, tu en avais rien à faire de savoir si son colocataire était là ou pas. Tu lui en voulais, tellement que tu savais d’avance que tu te prendrais la tête avec lui, comme à ton habitude. Pourquoi étais-tu tombé amoureuse de lui sérieusement ? À croire que tu aimais souffrir, tu avais dit ça pour pas qu’il s’engage dans un truc qu’il n’aimerait pas. Putain, il était vraiment con. Tu rentras dans la chambre sachant parfaitement que tu n’avais pas caché ton bleu, tu étais sorti bien trop rapidement, une grosse erreur de ta part et tu allas vers lui pour le frapper avec tes maigres forces. « C'est quoi ton putain de souci ? » Tu laissais clairement ta rage des derniers événements sortir avec lui, parce que c’était lui, qu’il était idiot et qu’il te rendait faible, surtout parce que tu étais bien trop accro à sa personne.

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Tu as même pas le temps de dire ouf qu'une furie entre sans frapper et fonce sur toi. Ton putain de soucis ? Non mais elle a craquée ou quoi ?! Tu attrapes ses mains dans les tiennes avant que celles-ci se retrouvent à te cogner et même si avec sa force, tu ne sentirais, rien, le principe est bien là. Woooh, tu vas bien te calmer, Carter ! Tu l'attire vers toi pour coller ton buste au sien et tu fais ça sans y réfléchir, pour avoir une meilleure emprise sur elle. Tu la regarde droit dans les yeux et tu remarques son bleu. Tu fronces les sourcils, tu te poses des questions mais tu ne dis rien, tu observes. Tu la sens trembler et cela t'inquiète un peu. Même si tu l'as toujours énervée, elle n'a jamais réagit de la sorte. Tu n'es pas totalement à cent pour cent en tord dans son état. Mais encore une fois, tu dis rien. Mon putain de soucis ? Tu veux vraiment qu'on parle Carter ? Pour le moment, tu restes calmes mais tu sais très bien que cela ne va pas durer si elle-même, ne se calme pas et vite. J'ai voulu essayer, Carter mais tu t'es mise en tête que je ne serais pas capable d'assumer une relation avec toi. Tu me laisses même pas la chance de te prouver le contraire ! Et quoi ? Tu aurais voulu que je t'envoie un texto tous les jours après ça et ton départ ? Mais laisse moi rire ! Arrête de faire ta gamine et de vouloir tout contrôler, tu sais très bien que tu ne le peux pas, Carter ! En fait, c'est mort, t'es énervé comme tu ne l'as jamais été contre elle. T'es obligé de baisser la tête de façon à garder un œil sur elle et sa petite taille t'a toujours fait rigoler qu'en t'y repenses mais tu trouves ça mignon. Et puis, parce Madame a vécu un traumatisme, décide de revenir pour pleurer ! Mais tu peux aller te faire foutre ! Vas-y, oublie-moi ! Puisque de toutes façons, tu as décidée que je ne suis pas capable alors qu'est-ce que tu viens m'emmerder ici ?! Oui, là, ton mode gros connard de service est enclenché mais elle l'a bien cherchée.
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« C’est à toi de te calmer ! » Tu étais en colère contre lui, une chose qui arrivait rarement chez toi, mais quand c’était le cas, tu ne pouvais clairement pas te calmer. Et ça sera encore moins en faisant une telle chose que tu arriveras à te calmer, ça te rendait juste plus dingue, plus en colère de voir qu’il pouvait te maîtriser de la sorte, cela devrait être interdit. Le pire, c’est qu’il pourrait mieux voir ton visage, que tu tournas ne voulant pas te donner encore plus en spectacle, tu n’avais pas peur, tu n’aurais jamais peur de Roman et si c’était ce qu’il voulait faire, dommage pour lui. Tu tremblais sous la colère, sous l’envie de le frapper encore et encore parce qu’il était con, parce qu’il ne comprenait rien, mais c’était un homme ça ne devrait même pas te surprendre dans le fond. Tu ne dis, tu ne fis que de l’entendre en regardant un coin de la chambre ne pouvant pas le regarder, ne pouvant pas faire en sorte qu’il regarde encore une fois ton visage qui montrait clairement que tu n’allais pas bien. Au fond, tu avais juste envie qu’il te prenne dans tes bras, mais il ne ferait jamais une telle chose, pas alors que vous étiez tous les deux en colère comme jamais. Tu restas sur le cul en entendant cela de sa part, tu ne t’attendais clairement pas à une telle chose, mais tu n’allais pas faire en sorte de te calmer. « Tu aurais fini par coucher avec une autre personne et on le sait tous les deux ! T’es pas capable de gérer une relation durable, tu penses qu’avec ce que tu as entre les jambes ! J’ai seulement choisi de ne pas finir avec le cœur brisé à cause de toi. Je t’ai rien demandé, tu peux clairement aller te faire foutre, Roman. Tu vois, tu me prouves que j’ai bien fait de pas te donner de chance, tu le mérites pas. » Tu étais en train de te débattre pour te détacher de ta personne avant de te reculer, tu le regardais te dire ses derniers mots avant de lever ta main pour le gifler. « J’ai jamais eu besoin de toi, Roman et si je devais pleurer, tu seras sûrement la dernière personne que j’appellerais, tu vois ? Tu as raison, je ne vois pas pourquoi je perds mon temps pour un mec comme toi, je donnerais une chance à un mec qui me mérite plus qu’un connard comme toi. » Tu étais méchante, mais il l’était tout autant. Pourquoi tu serais gentille ? Tu te dirigeas vers la porte de la chambre, tu n’avais plus rien à faire ici, tu allais l’oublier comme il t’avait dit de le faire sans aucun souci même.

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Tu lui tiens toujours les mains, comme ci tu avais peur qu'elle parte. Tu sais que si tu la laisse, elle partira alors tu la tiens, encore et toujours. T'as les nerfs sur elle mais tu sais très bien que tu ne saurais pas vivre sans elle, c'est une évidence. Une évidence que tu n'apprécie pas vraiment, au final. T'aime pas dépendre de quelqu'un, t'as toujours été dépendant et là, le fait de te dire qu'elle pourrait quitté le loft te fait peur. Et t'aimes pas ça du tout. Tu l'écoutes te crier dessus et tu lèves les yeux aux ciel. Ce qu'elle te lâche ne t'affecte pas du tout. Quand elle arrive à se détacher de toi pour se diriger vers la porte. Non mais elle a cru quoi elle ? Tu te précipites, toi-même, vers la porte pour te mettre en elle et Carter, le regard menaçant. N'y penses même pas, Davis. Houla, quand tu appelles quelqu'un par le nom de famille, c'est jamais bon signe. Elle a des explications à te fournir, elle va s'en sortit aussi facilement. Tu sens bien que quelque chose ne va pas en plus de ce qu'elle ressent pour toi et cela t'agace de pas savoir ce que c'est mais au plus tu la regardes, au plus tu remarques des marques par ci par là. Qui a pu oser lui faire ça ? Franchement... t'as envie de la prendre dans tes bras comme tu le fais à chaque fois quand elle va pas bien mais elle te met trop les nerfs là. Soit tu restes et tu me laisses te prouver le contraire ou tu pars mais tu ne me reverras plus jamais, Carter. Un ultimatum comme tu les aimes. Sur le coup, elle serait capable de partir mais toi, tu reviens jamais sur ta parole. Si elle part, elle part définitivement de ta vie et tu sais qu'elle ne le voudrait pas pour toi mais aussi pour ne pas donner satisfaction à Ariana et sa clic. A toi de voir. Tu sais pertinemment que je n'aime pas qu'on me mène par le bout du nez. Je suis un connard, c'est vrai mais un connard qui se donne une chance avec une fille qu'il apprécie peut-être un peu trop à son gout. Parce que oui, Carter, je veux pas te perdre, je veux pas que tu partes... tu marques un temps d'arrêt quand tu te rend comptes de ce que tu dis. C'est la première que tu te confies sur tes sentiments pour quelqu'un. C'est même la première fois que tu éprouves cela pour une fille. Je sais que je suis pas le meilleur pour ça mais, je t'e prie, laisse moi te montrer que je peux changer. C'est clair que t'es pas du tout le meilleur à ce jeu qu'on appelle l'amour mais t'as vraiment envie d'essayer avec elle et même si cela te faite très peur, t'es même terrifié, tu veux être à elle et rien qu'à elle.
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Tu avais juste envie de partir, c’est bon, tu avais vécu assez de choses dans cette chambre donc l’envie de rester n’était plus présente, tu avais seulement envie de mettre le plus d’espace entre Roman et toi. De toute manière, il t’avait dit de l’oublier alors, parfait. Tu allais le faire, il était juste trop con et tu n’avais pas de temps à perdre pour ses conneries. S’il comprenait rien, ce n’était pas ton problème, tu savais aussi que tu irais voir Ivy en pleurant sachant que finalement, il t’aurait brisé le cœur, mais c’était un connard, il ne savait faire que ça. Tu allas donc vers la porte avant qu’il ne se mette devant toi avant de te menacer, mais il avait un vrai souci ce mec ce n’était pas possible. « Tu perds la mémoire ou quoi ? Tu m’as clairement demandé de partir et de t’oublier, tu crois que je resterais dans la même pièce que toi Fawkes ? » Tu ne savais pas qu’il pouvait se montrer si con, sérieusement. Mais tu ne bougeais pas, tu restais devant lui sans rien attendant qu’il se déplace parce que tu faisais juste ce qu’il avait été capable de te dire et s’il n’assumait pas, c’était son souci pas le tien. Il en rajouter une couche et franchement, tu n’avais pas besoin ça actuellement. Tu étais toujours en train de gérer cette peur qui te bouffait le ventre dès que tu sortais dehors, tu en avais plus qu’assez. Tu avais seulement envie de rentrer ou être dans les bras de quelqu’un qui sera là pour toi et qui ne te prendra pas la tête. Puis tu restas sur le cul une nouvelle fois en entendant une telle chose de sa part et tu reculas ne sachant pas réellement pourquoi dans les deux cas, tu avais peur, peur de souffrir parce que tu ne pensais qu’à ça malheureusement. Tu l’aimais, c’était évident, mais tu n’avais pas envie de finir avec le cœur brisé. Putain, tu ne savais pas quoi dire et autant dire qu’une telle chose ne t’était jamais arrivé devant Roman, tu avais toujours du répondant, mais là plus rien. Qu’est-ce que tu pouvais dire ou même faire, franchement ? L’envie de pleurer était grande, trop grande même, mais tu ne devais pas, tu devais te retenir, tu devais te montrer forte sachant qu’après il finirait par te poser des questions sur ton état. Puis merde, pourquoi parler ? Tu t’avanças vers lui avant de sceller les deux bouches ensemble, ça voulait tous dire non ? « Je ne veux pas te perdre. » La seule chose que tu étais capable de dire avant que tu fasses en sorte que les deux bouches ne se retrouvent tout en mettant loin la douleur qui pouvait te prendre.

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