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Nevada & Alek - On a tous cherché à atteindre le bonheur

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Nevada et Alek
• On a tous cherché à atteindre le bonheur, et certain y travaille encore, vous pourrez trouver plusieurs définitions en posant la question à différente personnes, que ça soit la définition classique, celle qui dit que ce sentiment est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, le stress, l'inquiétude et le trouble sont absents, ensuite vous aurez la définition d’une personne ne voyant que par l’argent, cette personne aura surement une belle vie, un père avocat et une mère médecin, ne manquant jamais de rien, voulant être le meilleur, le plus fort dans tous ce qu’il entreprend, la plus grosse voiture, la plus belle villa, la plus grande piscine, les vêtements les plus cher, il sera surement marié pour la quatrième fois à une bimbo blonde refaite de partout avec des lèvres énormes et tout ça à seulement trente-deux ans, et pour cette homme aux cheveux plaqués en arrière, il vous dira que le bonheur est d’avoir plusieurs comptes en banque comptant plusieurs millions de dollars et de pouvoir se moucher dans un billet tellement il en a, définition qui, notons-le, est complètement débile et déplacé devant une personne dans le besoin. Ensuite, on aura la définition totalement opposé, celle d’un vieil homme atteignant la cinquantaine mais à qui on pourrait donner limite soixante ans, cet homme qui a l’âge de dix ans a arrêté l’école pour aller travailler dans d’immense champs ou il ramassera des pommes de terre ou bien des cailloux, tout ça pour un misérable salaire. A vingt ans il sera parti travailler en usine, il aura fait plusieurs petits boulots pour pouvoir vivre, décharger des camions, ranger des pièces dans des cartons, bricoler par ci par là, il aura une grande expérience, mais depuis ces douze ans, il n’aura pas arrêter de travailler, ayant quelques vacances de temps en temps, il en profita pour faire un peu de travaux chez lui ou bien chez des amis, ayant passé sa vie à travailler pour pouvoir se nourrir sa famille et lui, payer le loyer, faire plaisir à ces enfants car son bonheur sera passé après le leur, cet homme n’aura pas eu une vie à nager dans l’argent, alors pour lui, il restera simple en répondant à sa question, il vous répondra que le bonheur est pour lui la vie en général, le fait d’avoir vécu sa vie sans avoir beaucoup d’argent ne le dérangeait pas car son bonheur à lui était sa famille, sa femme, ces enfants, pour lui, la phrase bien connu qui dit que l’argent ne fait pas le bonheur sera en parfaite association avec sa façon de penser, sa façon d’être et d’agir. Maintenant, changeons de personne, car là, on a fait les total opposés, d’un côté l’on trouvé le connard friqué se croyant au-dessus de tout le monde, et de l’autre, le père de famille attachant et ayant ces propres valeurs, alors maintenant, tournons-nous plutôt vers un jeune, le jeune moyen de nos jours arrive à avoir de l’argent normalement, que ça soit en travaillant ou en touchant une bourse, pour la plupart, ils sont encore au lycée ou bien à l’université continuant leurs études de droits ou de médecines pour citer les matières qui reviennent le plus. Demandons à Lewis, ce jeune homme d'une vingtaine d'année, qui travaille pour payer son loyer et ces affaires, demandons lui ce que pour lui veut dire le mot « bonheur », qu’il nous en donne sa définition. Tout d’abord, il sourirait, se rappelant tous les moments de bonheurs qu’il a eu dans sa vie, car oui, même si son enfance n’a pas toujours été facile, il commencerait ensuite seulement à vous répondre. Il dirait que le bonheur est une chose que l’on obtient par sois même et qu’il faut ne pas le lâcher, le garder entre ces mains, qu’il ne s’envole pas, qu’il ne disparaisse pas. Il continuerait ensuite en vous rappelant que bonheur ne rime pas avec argent, car l’argent nous domine plus qu’autre chose, plus tard, si on venait à lui demander de faire le choix entre un travail payé normalement mais qu’il aime ce qu’il fait, et un autre ou le salaire est immense, à plusieurs zéro mais que le travail ne lui plait pas du tout et qu’il s’ennuie, il choisirait sans hésité au premier, avoir un job qu’il aime, qui le passionne et réussir à vivre sans problème plutôt que de dire oui à un métier ennuyant à mourir avec un salaire de ministre, et puis, pour finir, il dirait surement que le bonheur est aussi celui que tu peux avoir quand tu es entouré de ta famille, de tes amis proches, et surtout, de la personne que tu aimes, ce bonheur qui te rend euphorique, qui te couple le souffle mais que tu ressens, que tu aimes. Tout bonheur était difficile à obtenir si l’on ne s’en donnait pas les moyens. Aujourd’hui, j’avais un but, montrer à une jeune femme que le bonheur existait vraiment, qu’elle pouvait avoir confiance en elle, qu’elle était bien plus forte que ça. Je n’étais pas psychologue ou un truc du genre, j’étais juste un ami qui voulait montrer à une amie qu’elle pouvait avoir confiance en elle, qu’elle pouvait très bien vivre sa vie comme elle le désirait. Bref, c’est pourquoi j’étais assis là, dans ce petit café attendant Nevada, cette fille dont je viens de vous parler. J’avais décidé de la faire se lever de son lit, il était encore tôt, mais, je savais qu’elle allait venir, peut-être pas à l’heure, mais je le savais, alors, c’est pourquoi j’étais là, assis à une table, attendant qu’elle me rejoint. •
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Alek & Nevada
Il est facile de faire semblant, de mettre un sourire sur ses lèvres pour faire croire aux autres que tout va bien pour éviter qu’on te pose des questions auxquels tu ne veux absolument pas répondre. Porter un masque disant que tu es bien dans ta peau, juste pour être tranquille et ne pas montrer que tu es faible, ça peut être bien mais parfois c’est lourd à porter. Ca pèse son poids, le poids des remords. Et même si tu es entouré de dizaine d’amis, tu es plongé dans ta solitude, seul avec toi-même et tes problèmes que tu caches à tous. Faire semblant d’être heureux ça peut être facile mais c’est également destructeur car tu as l’impression de ne plus être toi-même. Et chaque jour quand tu te regardes dans le miroir tu te demandes, ce qui est advenu de cette fille sage, tranquille, passionné mais surtout joyeuse, sûrement cacher dans un endroit sombre au plus profond de toi. Pour toi elle n’a plus lieu d’exister car elle ne mérite pas de revivre le bonheur.

Ce sont toutes ces pensées négatives qui m’empêchent de m’endormir le soir, de continuer à aller de l’avant. Elles me font même plus ralentir qu’autre chose, me raccrochant ainsi à un passé que j’aimerai oublier mais hélas il m’est impossible de m’en débarrasser. Alors je vis avec, remettant chaque matin un sourire sur mon visage qui m’entraîne un peu plus dans ce cercle sans fin qui se répète jour après jour. Oui je l’avoue parfois j’ai l’impression d’être pourrie de l’intérieur et ne pas mériter ma vie ni même mes amis. Je m’en veux même à moi-même de passer pour la fille gentille, le petit ange alors que je suis loin d’en être un. Oui si seulement les gens savaient ce que j’étais en réalité, ils seraient loin de me voir comme cela ; Comme quoi les apparences sont trompeuses. Hier soir je m’étais donc couchée avec toujours en tête ces horribles choses, après mes quelques brasses tardives à la piscine, mon petit rituel du soir depuis des années maintenant et au moins cela avait le pouvoir de me mettre dans un état de fatigue favorisant ainsi un peu mes nuits même si ce n’est pas facile. Ce n’est que le lendemain matin que je fus sorti de mon rêve, très agréable d’ailleurs en y repensant. Celui-ci m’avait ramené dans la ville de mon enfance Nice et j’avais même senti la chaleur su soleil Méditerranée sur ma peau alors que j’étais dans les bras de Morphée. Je fus réveillée tôt par mon portable et non mon réveil. En effet la sonnerie de celui-ci m’informant que j’avais un nouveau message me sortit de mon sommeil qui n’avait pas duré assez longtemps à mon goût. Cela dit je ne pus m’empêcher de regarder qui me réveiller à 8h du matin. Encore à moitié endormie, il me fallut quelques minutes pour comprendre le message d’Alek qui me demandait de le rejoindre au café dans une demi-heure. Trente minutes ! Il pense vraiment que j’ai le temps de me lever, de me laver, de me coiffer et de m’habiller en si peu de temps ? Ah oui j’oubliais c’est un mec logique. Enfin je fis quand même un effort pour ne pas être trop en retard à ce rendez vous qu’il me proposait pour une raison qui m’était totalement inconnue. Son message ne mentionnait pas l’objet de notre entrevue. De toute façon, loin de moi l’idée de le planter. Je sais que je fais des mauvaises choses mais faire du mal à des amis, ca jamais ça ne produira. Vu que je me privais de l’amour, autant avoir de bons rapports avec mes amis.

Avant de franchir la porte du petit café de Cambridge, je regardais mon BlackBerry qui affichait 9h46. 16 minutes de retard j’espère qu’il ne m’en voudrait pas. La sonnerie tinta lorsque je fis mon entrée. Mon regard encore un peu embrumé par manque de sommeil finit tout de même par tomber sur la silhouette d’Alek assis à quelques pas à l’une des tables dressés vers laquelle je m’avançai. « Vu que je suis en retard, c’est moi qui paye le café. » lui dis-je en signe de bonjour alors que je tirais la chaise située en face de lui pour y prendre place et déposait mon sac à main par terre. L’avantage de se retrouver à cette heure, c’est qu’il n’y avait pas grand monde. Un peu de calme fait toujours le plus grand bien. « Dis moi donc pourquoi tu m’as fait me lever de mon lit douillet ? » prononçais-je en le fixant droit dans les yeux, le sourire aux lèvres. Au moins le point positif avec Alek, c’est que mon sourire était loin d’être faux, pour une fois il était rempli de sincérité. Et même si être debout de si bonne heure était loin de me plaire, être en sa compagnie me faisait le plus grand plaisir.
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Nevada et Alek
• Vous voyez cette fille avancer face à vous, et plus elle se rapproche, plus vous reculez, la toucher ou bien lui parler est impossible, vous êtes là, face à cette situation sans pouvoir faire quelques choses, vous êtes juste un simple spectateur de cette scène, et non un acteur comme vous auriez désiré l'être. Le soleil faisant ressortir encore plus ces beaux yeux, ces cheveux brillant ainsi que son visage vous faisant croire qu'un ange se trouve face à vous, que cet ange est un envoyé du seigneur étant là pour vous, pour venir vous chercher. Elle vous regarde, vous souris, vous tend les mains, mais il n'y a rien à faire, vous êtes impuissant face à cette fameuse scène, tout ce que vous pouvez faire est regarder, rien de plus, rien de moins. Tout le monde connaît ce passage court, mais qui vous paraît être une éternité. Puis, vous vous réveillez en sueur, dégoutté que tout ça ne soit tout simplement qu'un rêve, et que cette fameuse personne dont vous avez rêvé ne soit pas réelle. Ne vous êtes-vous jamais posez la question ? D’où sortent ces visages que vous créez dans vos rêves, dans votre imagination ? Est-ce qu'elles existent vraiment, est-ce qu'une personne aura se visage, ou si après tout, c'était la seule et l'unique, et que personne ne ressemblait aux habitants de vos pensées ? Elle était le tireur et vous, vous étiez cette cible si facile, elle vous a touchez en plein cœur sans vous loupez, et vous avez saignez, vous savez, ce sang invisible que seul vous voyez coulez le long de votre corps, qui à chaque couler vous fait de plus en plus mal ? Croyez moi ou non, mais j’ai déjà connu ce sang, je l’ai déjà senti couler le long de mon corps. Ça n’a peut-être pas l’air comme ça, mais, je suis un grand romantique, me poser la nuit dans l’herbe et regarder les étoiles avec une fille, toutes ces conneries là, j’aimais bien, ouais, même si je ne le disais pas, même si j’avais plus la réputation du gars qui couchait avec des filles pour des défis, j’étais un putain de romantique. •

• Bref, c’est pour ça que j’avais réveillé Nevada ce matin et que je lui avais demandé de me rejoindre. Je savais très bien qu’elle n’avait plus confiance en elle niveau relation à longue durée et tout ça, j’avais envie de lui montrer qu’elle en était capable, de lui faire savoir qu’elle pouvait très bien tomber amoureuse sans avoir peur de je ne sais quoi. Comment j’allais m’y prendre ? J’en sais rien du tout, mais, j’étais motivé, c’est l’essentiel non ? J’étais là, assis dans ce petit café à l’attendre, je savais très bien qu’elle n’allait pas arriver en avance, après tout, je la réveillais. Mais, c’est seulement quelques minutes après qu’elle arriva, disons qu’elle avait fait fort ! Elle aurait très bien pu me poser un refoule, après tout, le sommeil, ça coute cher au summer camp ! Mais non, elle était venue, et, s’asseyant face à moi, un sourire sur les lèvres, elle prit la parole. « Vu que je suis en retard, c’est moi qui paye le café. » Haussant les épaules, je la regarda avec un sourire. Ça me faisait plaisir de la voir en fait, je l’aimais bien cette fille. « Dis-moi donc pourquoi tu m’as fait me lever de mon lit douillet ? » Ahah, la question ! En même temps, c’était normal, j’aurais fait pareil, si on me réveille tôt le matin alors que je suis en vacance en me demandant de venir dans un café, je vais chercher à comprendre pourquoi, alors, posant la carte du restaurant que j’avais dans les mains, je pris la parole. « Merci pour le café ! De toute façon, au pire on partait en courant… Mais c’est pas le sujet, si je t’ai fait venir, c’est qu’aujourd’hui, j’vais être ton coach ! Et tu peux pas faire demi-tour… » En fait si, elle pouvait faire demi-tour et rentrer chez elle, je n’allais pas la séquestrer, mais, je savais très bien qu’elle ne c’était pas levé pour repartir tout de suite. •
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Alek & Nevada
C'est bien de donner une bonne image de soi aux autres, comme ça tout le monde vous aime, vous n'avez pas de réelles emmerdes mais parfois, de temps en temps, vous aimeriez qu'on lise en vous, qu'on cherche au plus profond de votre corps qui vous êtes réellement. Personne n'est gentil cela n'existe pas, si vous le pensez c'est que vous êtes très con alors. On a tous en nous une part de noirceur en nous, mi-ange mi démon, oui on peut dire ça comme ça sinon la vie serait trop simple: les gentils se feraient manger pas les méchants. La loi de la jungle existe aussi chez les humains et même très visible. Tout ça pour dire que de temps en temps, j'aimerai qu'on me comprenne mais personne n'a jamais réussi car personne ne soupçonne la part de mal que je cache intérieurement, celle qui me met mal à l'aise et que je fais tout pour cacher sinon on me prendrait pour une sale égoïste sans coeur, celle qui peut détruire la vie d'un homme. Vous cherchez un briseur de coeur version féminin et bien vous l'avez devant vous en chair et en os. Qui l'aurait cru, qu'elle se cachait sous les traits d'un ange? Personne même pas moi, jamais je n'aurais soupçonné ce que j'étais en réalité mais impossible de dédaigner cette partie vicieuse de moi, à présent.

Lever limite aux aurores, c’est de la torture ça, y’a qu’un mec cinglé qui peut me demander ça. J’avais trouvé ce tortionnaire en la personne d’Alek mais bon je fis un effort, je ne suis pas méchante au point de poser un lapin à un ami tout de même. Faisant même la fille gentille comme d’habitude, je proposais à Alek de payer l’addition en m’asseyant à la table, quelle délicate attention n’est ce pas, je suis généreuse au moins c’est l’une de mes plus belles qualités. En lui demandant pourquoi je me trouvais ici à cette heure matinale, j’avais haussé les sourcils, curieuse de savoir ce qu’il voulait de moi en ce si beau matin qui s’offrait à nous. Mais bon au moins, être réveillée si tôt me permettrait de profiter d’un de ces des derniers jours de vacances en compagnie d’un ami, à boire des litres des cafés mais pour une raison encore inconnue. Je continuais de fixer Alek pour savoir ce qu’il avait l’intention de faire avec moi. A quoi pouvait-il bien penser ? J’espérais que ce sois pas une déclaration, parce que franchement, de un ça me surprendrait et de deux ben je n’avais toujours pas l’intention de m’investir dans une relation. A cette pensée, je commençais à flipper alors que lui décortiquer la carte du bar. « Merci pour le café ! De toute façon, au pire on partait en courant… Mais c’est pas le sujet, si je t’ai fait venir, c’est qu’aujourd’hui, j’vais être ton coach ! Et tu peux pas faire demi-tour… » D’abord un soulagement, ouf pas de proposition indécente puis un sourire apparut sur mon visage, amusée par sa réflexion mais finalement il se crispa un peu dubitative par sa proposition. Coach de quoi d’abord ? De sport ? Je suis grosse c’est ça, sympa alors que je fais du sport tous les jours. J’appelais un serveur avant de croiser les bras sur la table. « Punaise je comprends rien à ce que tu dis ! Tu veux m‘aider pour quoi ? Je ne vois pas pourquoi je m’échapperais sauf si t’es un tueur en série évidemment. » Le manque de sommeil de ces derniers jours me faisait dire n’importe quoi, voilà il fallait pas me réveiller j’aurai un humour pourrie tout le long de la journée. On cerveau était au ralenti au point que je n’avais même pas vu que le serveur était à côté de nous pendant que j’avais parlé, je lui fis donc un large sourire commandant mon cappuccino noisette au passage.
Fiche (c) Espe


HJ: Désolé c'est pas super, je me rattrape au prochain et sorry pour l'attente.
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