TALYTE- The map that leads to you

Talyte- The map that leads to you

feat. Hippolyte

Lorsque j'avais débarqué de l'avion, j'avais presque envie d'embrasser le sol tellement que j'étais réconnaissant d'avoir survécu au Summer Camp dans l'équipe dirigé par un merdique de mather. C'était le retour à la réalité, mon retour à la Eliot House avait été parfait et j'étais concentré sur la confrérie plus que jamais et si je devrais retrouver le sentier de l'amour en même temps ou plus tard, je n'allais pas dire non, mais ce n'était pas une de mes priorités pour le moment, j'allais laisser le destin agir si je méritais mon happy ending ou pas. Après quelques jours à préparer la rentrée, je me baladais à bord de mon imposante jaguar bleu eliot comme d'habitude, simplement le fait de me balader en voiture me faisait récupérer mes moyens. J'étais à feu rouge quand je reconnaissais le quartier dans lequel j'étais, celui de ma douce Hippolyte. Cette sacrée meuf, je hochais la tête en souriant quand le feu vert me faisait décoller pour aller chez elle, oui peu importe où j'étais, il fallait que j'aille la voir, c'était Hippo quoi. Je stationnais ma voiture, replaçais mon chandail et m'assurait que j'étais parfait comme d'hab et je prenais le courage pour aller frapper à sa porte, en espérant que je serais bien accueilli, si Hippo devrait m'en vouloir, je ne comprendrerais plus rien aux meufs.

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Je ferme l'eau, essorant mes cheveux au fond de ma douche et j'attrape une serviette que je viens enrouler autour de mon corps nu, l'autre autour de mes cheveux et je file à ma chambre enfiler des sous-vêtements avant de plonger dans mon peignoir. Journée détente avant la reprise des cours qui approche, je n'avais pas le cœur à sortir aujourd'hui et je préférais l'idée de prendre soin de moi pendant des heures. Il faut bien la préparer cette rentrée non ? Je me devais d'être impeccable et irréprochable en tout point. Descendant les escaliers de ma demeure, j'aperçois Maria qui passe sous mes yeux. - Denys n'est pas là ? Demandais-je alors à ma bonne remarquant la maison un peu trop calme. Elle me répond non de la tête et je la remercie d'un mince sourire avant de filer jusqu'au canapé. - J'aimerais un jus d'orange pressé Maria ! Répliquais-je aussitôt alors qu'elle hoche la tête pour se diriger jusqu'à la cuisine. Au même moment on sonne à la porte, je regarde Maria, fronçant les sourcils en me demandant qui ça pouvait bien être. [b]- Je vais ouvrir mademoiselle Dunford ![/color] Je lève la paume de ma main vers elle, secouant la tête de gauche à droite avant de me lever. - Non, laisse, j'y vais Maria. Elle s'exécute et tourne les talons alors que j'avance jusqu'à la grande porte d'entrée. J'ouvre rapidement et mes yeux s'écarquillent en voyant le visage de Tate. - Murray ? Que fais-tu ici ? Demandais-je surprise avant de me décaler pour le laisser entrer. Je re serre a ceinture autour de mon peignoir brièvement avant de refermer la porte derrière lui. - Comment as-tu su que j'étais de retour ? Un petit sourire aux lèvres, lui emboîtant le pas pour le mener jusqu'au salon.

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feat. Hippolyte

Alors que le début de la nouvelle année scolaire était sur le point d'arriver à nos pieds, j'avais désormais une meilleure attitude concernant ma dernière année en tant qu'étudiant de Harvard. J'avais eu 26 ans cette été et je n'allais plus jouer de petits jeux merdiques concernant mon parcours amoureux raté, à ce point ici c'était que tu étais dans ma vie ou pas, j'allais forcer personne à venir et surtout forcer personne à rester, je savais ce que je voulais et malgré que j'appréhendais ma dernière année à la Eliot House, j'étais loin d'avoir terminer de laisser mon nom dans les archives de l'université. Pendant l'été, j'avais fais le plein d'énergie et ma confiance en moi était revenu, prêt de nouveau à être le chieur de service et le tombeur de ses dames, avoue de choisir ce que vous désirez voir. Le destin ou mon gps me conduisait sur le pas de la porte de Hippolyte, j'avais eu vent de son retour alors je savais qu'elle m'en voudrait si je ne passais la voir, je ne faisais peut-être pas parti de ses priorités et malgré qu'on avait couché ensemble, elle restait une précieuse amie à mes yeux que je connaissais depuis si longtemps. Je souriais quand je l'a vis ouvrir la porte: ''Je voulais te faire la surprise, tu peux cacher ton air décu.''. Je rigolais, à ma belle Hippo. Je rentrais à l'intérieur de son appartement que je connaissais presque par coeur. Je la suivais au salon et lui répondit: ''Oh mais j'ai mes contacts Dunford. Je suis presque insulté que tu m'as prévenu de ton retour toi-même, tu m'as manqué.''.

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Dim 4 Sep 2016 - 14:30

Je me posais pas mal de question sur cette nouvelle année, sur qui sera à la tête de notre maison en espérant voir des personnes de poigne pour gérer le chaos qu'elle est malheureusement devenue. J'avais confiance en Cole, je sais pertinemment que son avis sur la question est le même que le mien et même si j'avais voulu régner sur la Eliot avec lui cette année, j'avais passé mon tour en quittant tout pendant ce Summer camp. Je ne regrette rien, non, j'ai encore le temps de m'y présenter, l'année prochaine par exemple, on verra bien de toute façon, cette année je me consacre à Cole. On tape à la porte, surprise de recevoir de la visite, je n'attendais pourtant personne.. Je me dirige jusqu'à celle-ci en me précipitant de l'ouvrir et c'est une agréable vue qui s'offre à moi. Monsieur Murray. Alala, j'avoue m'être prise d'affection pour ce jeune homme depuis l'an passé et nos folles histoires ! Je me décale sur le côté pour l'inviter à entrer et je prends soin de refermer la porte derrière lui. - Déçue ? Non.. Loin de là ! Je suis juste agréablement surprise de te voir par ici. Dis-je le sourire aux lèvres en lui emboîtant le pas jusqu'au salon. - Fait comme chez toi, tu connais déjà les lieux ! Insinuais-je alors en lui rappelant notre nuit de folie après ce fameux bal rythmé d'amour, de trahison, de tragédie, tout dans le drama et moi, j'étais une spectatrice qui prenait un grand plaisir à regarder ce beau spectacle pathétique. - Ton contact s'appelle Cole Wildingham ? Lançais-je en arquant un sourcil avec un mince sourire en coin. Je me dirige jusqu'au bar, sortant deux coupes. - Que veux-tu boire mon chère Murray ? Demandais-je en pivotant pour lui faire de nouveau face. - Dois-je en conclure que tu attendais mon retour avec impatience ? Mon sourire s'élargit, jouant de mon regard perçant et déstabilisant. Cela me faisait secrètement plaisir de penser que c'était peut-être le cas.

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Mar 6 Sep 2016 - 5:03

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feat. Hippolyte

C'était bientôt le retour à la réalité et même si j'avais fait beaucoup d'erreurs lors des derniers mois, il y avait des choses que je ne regrettais pas. Certaines personnes me trouveraient peut-être stupide de retourner vers Hippolyte mais au fond de moi, cette fille je ne pouvais pas m'en passer. Elle était la cause de mes tourments amoureux ces derniers temps mais avant tout, elle avait toujours été mon amie depuis des années et on avait déraper tout les deux parce qu'on l'avait voulu. Je n'allais pas l'écarter de ma fille, je tenais beaucoup à elle et malgré tout ce qu'on avait vécu, Hippo est une fille que j'adore et je retournerais toujours voir peu importe la situation car elle en valait la peine et surtout, elle était une de ses seules qui me comprenait mieux que qui compte. Je lui souriais en coin: ''Tant mieux alors! J'avais peur que tu me fasses la gueule comme Willow et Athéna, je me disais que si y'a quelqu'un qui peut m'apprécier malgré mes défauts, c'est toi.''. Je la suivais à l'intérieur de son appart, c'est vrai je connaissais bien ses lieux de perdition, de rire, de confessions de plaisir. Je haussais les épaules subtilement: ''Peut-être, je tais son nom par mesure de sécurité.''. Mais quel réponse stupide. Je m'asseoyais sur le banc du bar et lui dit: ''Whiskey sur glace ma chère. Fais-le double.''. Ouais que sa cogne le plus fort possible. Je portais le verre qu'elle me tendait à mes lèvres, c'était une de mes faiblesses, je succombais au plaisir de passer une nuit de folie dans les bras d'une fille que cette dernière pouvait me prendre à mon propre jeu, comme le faisait Hippolyte avec brio. Son regard me déstabilisait, me rendait drôle à l'intérieur et surtout allumé par ce genre de regard: ''Je l'avoue d'accord, tu m'as manqué Nala Hippolyte Dunford, comment va tu? ta présence, tes idées, tout quoi. Ton égo n'en prendra pas un coup.''.

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