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c'était pas facile de gâcher ses sentiments ,mais c'était mieux comme ça. Après tout le destin a choisi de nous séparer et on ne peut plus revenir en arrière. Il fallait aller de l'avant, ça sera sans lui. J'en connais un qui devrait être content : mon père. Je n'avais pas encore avouer une dernière chose à Jaimie, mon père organise tous les samedis des rendez-vous arranger avec des hommes de son choix. Il avait envie que je rencontre un garçon, qui me fera oublier Jaimie. Je connaissais par cœur ce garçon, j'ai vu dans ses yeux qu'il ne ressentait plus rien pour moi donc ça sera plus facile pour moi. Ce face a face restera graver dans ma mémoire, c'est quand même un échange important entre deux personnes qui se sont aimés. Je passais par tout les stades de deuil : la tristesse qu'il ne m'aime plus, la colère d'en être arrivé là, et au final c'est toujours la même chose l'acceptation. Il faut accepter de tourner la page, c'est dur de tourner cette page. Voilà un sujet, que je préférais éviter mon père. Je lui souris presque gêné d'être face à lui, il est détendu lui. Après, vient mon moment préférée -non non, rêver pas je ne vais pas l'embrasser, c'est fini tout ça. C'est la danse. La danse, c'est toute ma vie. Oui, tu sais la danse c'est toute ma vie. Personne ne me fera abandonner ça, je resterais une éternelle amoureuse de la danse. Enfin, voilà tu me connais une passionnée reste une passionnée, je suis contente de voir que tu est heureux dans ta vie. ce n'était pas du tout un reproche ,mais très sincère. Je n'avais pas envie de le blesser ou quoi que ce soit ,mais la vie c'est comme ça. On croit que notre amour pourra traverser toutes les tempêtes, qu'on pourra se retrouver plus fort et unis ,mais ce n'est que des bêtises. Peut-être qu'il n'était pas l'amour de ma vie ? C'était comme une évidence qu'il l'avait été, qu'il le sera toujours. En terminant mon café, Jaimie partait pour aller vite chercher quelque chose dans sa chambre et mon frère profitait pour m'appeler vite fait. Allo ? Ah c'est toi. je t'ai couverte comme je pouvais sœurette, papa se demande où tu est, il tourne en rond depuis 1h dans le salon. Tu est où ? - je suis chez Jaimie récupérer des affaires. - Oh, tu z besoin du temps pour te rhabiller ? mon frère a le don de tout prendre à la rigolade, j'espère que Jaimie n'entendra rien de cette conversation. très drôle, c'est pas du tout l'ambiance je te rassure. d'un ton presque ironique. - il ta jeter c'est ça ? C'est quelque chose que tu aurait dû prévoir bella, il te veut peut-être plus mais t'inquiète un autre te voudra encore plus. J'étais assez songeuse face au parole de mon jumeau. pourquoi c'est si dur d'aimer une personne, qui ne vous aime plus ? bon, écoute je l'entend qui revient tu n'a qu'a dire à papa n'importe quoi, je fais au plus vite. Jaimie revient s'asseoir en face de moi pendant que je termine ma conversation avec Javier. oui moi je t'aime, ah mais tu sais que tu m'énerve. Allez ciao. c'était une conversation qui la fait du bien, mon jumeau savait me remonter le morale. Et, il avait raison. Si, il ne me veut plus, un autre me voudra et cette fois-ci je ferais tout pour que mon père me laisse tranquille. C'est pas facile d'ouvrir son cœur ou même ses jambes à un autre homme , quelque chose s'est cassé quand je suis partie. J'espère qu'il n'avait pas entendue ma conversation, ça serait super gênant.
Copyright Clochette
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