Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility( FF) La reine des garces et la blonde un peu trop bizarre • Hippolyte
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( FF) La reine des garces et la blonde un peu trop bizarre • Hippolyte

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La reine des garces et la blonde un peu trop bizarre
— Hippolyte

 
Ne me posez pas de questions, j’ai un peu perdu le nord depuis que je suis rentré, à l’idée de tout recommencer. Je peux apercevoir Harvard qui est situé non loin dans mon appartement, les cours vont bientôt recommencer c’est une question de quelques jours et je me rappelle lentement tout le retard que j’ai pris. J’en ai marre des mures de mon appartement alors que je viens à peine de revenir.  Je dois prendre l’aire au plus vite, avant d’asphyxier malgré moi.  Mes mauvaises manies m’ont déjà emporté loin et je prends l’audace de sortir une de mes chaises placé dans ma cuisine, j’aurais bien voulu prendre quelque chose de plus confortable, mais j’ai quelques marches à descendre et des bras trop faibles pour faire tout le travail. Soyez étonné je suis pourtant sortie très rapidement sur le terrain d’en face avec ma chaise et une petite table basse par la suite. Voilà tout est placé et je m’assoie sur ma chaise avec un livre à la main en rabattant en même temps mes lunettes de soleil sur mes yeux. Les rayons qui se reflètent sur les pages m’aveugle un peu et en même temps je n’ai pas envie qu’on me dérange. De nature douce, aujourd’hui j’ai quelques épines déjà hérissées. Mon paquet de cigarette déposé sur la table basse et une tasse de café pour survivre.  Je dois paraitre pour la folle du quartier à présent.     

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Voilà maintenant deux jours que j'avais posé bagages sur le sol de Boston. Bizarrement, j'étais contente de retrouver mon véritable royaume, mon arène dans laquelle je suis encore indetronable et invaincue, qui pourrait bien être plus redoutable que moi franchement ? Personne. Tout le monde l'a bien compris, je n'ai plus besoin de me faire un nom par ici depuis que je suis revenue à Harvard l'an passé. Lunette sur le nez, je ressors de la EH après y avoir déposé quelques papiers, cette maison m'avait manqué, MA maison m'avait manqué, la EH ne serait pas la EH sans Hippolyte Dunford. Je descends les marches une à une, perchée sur mes louboutins à talon aiguille, je traversais en face pour rejoindre ma voiture. Mon portable vibre, une réponse de Cole, je venais de lui annoncer mon grand come back officiel et j'étais secrètement impatiente de le retrouver. Un mince sourire satisfaite aux lèvres, je range mon portable dans mon sac et je relève la tête face à une ombre. Hum, whut ? C'est quoi cette pauvre fille complètement perdue, assise au beau milieu d'un trottoir avec toute son installation. - Si tu n'as fait ne serait-ce qu'une rayure sur ma voiture, je t'assure que tu termines au ligoté à ta chaise avec ton paquet de cancer dans la bouche. Lançais-je sur un ton faussement enjoué, un large sourire sarcastique accroché à mes lèvres tout en vérifiant la peinture qui était apparemment resté intact. - Pour info, au cas où tu débuterais dans le métier, c'est pas à cette heure-ci que tu vas attirer tes clients.. C'est un peu tôt pour offrir des fellations ! Clocharde. Je la dévisageais de haut en bas, grimaçant avant de relever mes lunettes sur le haut de ma tête. - Et tu auras aussi besoin d'une bonne retouche maquillage ou d'un chirurgien je sais pas trop.. Parce que là.. Dis-je en étirant mes lèvres de dégoût, pointant ce qui semble être son visage du bout de mon index. Il y avait pas mal de travail à faire pour arranger le tout. Pauvre petite.
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La reine des garces et la blonde un peu trop bizarre
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Je suis prise dans mes rêveries encore une fois ou plutôt mes pensées tortueuses que je n’arrive pas à classer pour le moment. Pas étonnant que j’ai atterrie sur le trottoir sans avoir peur de me faire juger par le premier venu. J’aurais presque espérer que ça ne se produise pas, mais voilà que j’attends une voix, un ton plutôt autoritaire en faite c’est limite de l’agression quand j’y pense. La dernière fois qu’on m’a parlé ainsi ça venait d’Harlow et ça fait un bon moment déjà et du coup je reste silencieuse en écoutant ces paroles, en regardant ce sourire ignoblement sarcastique. Bon est ce que c’est le karma qui m’en veut ou j’ai simplement des idées stupides. Elle me parle de sa voiture, non je ne l’ai pas accroché en tout cas pas dans mes souvenirs et j’ai beau vouloir répliquer, elle continue son long discours. Je me sens sans défense, car je sais déjà qu’elle maitrise les mots mieux que moi, moi j’aime bien me faire frapper dessus sans dire un mot, même si je suis à pique aujourd’hui. Une autre riche qui a tout eu sans doute, vu sa voiture elle a plus de billets en poche que moi ça c’est sûr. Je reste estomaqué lorsqu’elle me traite de prostituer. Sérieusement sur qui je viens de tomber ? Je suis complètement figé devant autant d’absurdité. Je referme mon livre et me prend une cigarette avant de la regarder de haut en bas moi aussi. « T’as passé une mauvaise journée c’est pour ça que tu m’agresse ?» Ma voix n’est même pas tranchante, je suis tout simplement incapable d’être méchante. Je sens que j’ai frappé une tornade. « Et…j’ai pas tué personne je fais que lire.» Non en fait j’ai vraiment peur de cette jeune femme, que j’en perds même un peu mes mots. « J’ai pas assez d’argent pour me payer un chirurgien désolé. » On vit pas dans le même monde c’est évident et tu dois déjà l’avoir remarqué.   

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Autant j'apprécie ce terrain de jeu que je manipule à la perfection, autant je suis loin d'apprécié la vue de ces misérables étudiants qui puent la défaite à plein nez. J'étais presque de bonne humeur, le dernier message de Cole me laisse perplexe, emménager ? Ça veut dire quoi emménager ? S'il a quitté la EH c'est pour une bonne raison et j'espère bien pour lui que cette raison ne s'appelle pas Kyla.. Sinon, je crois que je commet un double meurtre pour le coup. M'enfin, mes pensées meurtrières s'envolent aussitôt que je croise le visage angélique d'une nouvelle proie.. Ou nouvelle victime vu à quel point elle semble vulnérable et pathétique à souhait en essayant de se justifier, de s'expliquer ou encore pire de me tenir tête. Sérieusement ? Ce petit truc en face de moi penserait une seconde à me tenir tête ? Je suis partie trop longtemps pour que ma réputation s'estompe ou est-elle juste gravement bête ? En tout cas l'un comme l'autre ça ne change rien. - Ma journée était parfaite jusqu'à je croise le chemin d'une sdf. Dis-je plus fermement en soupirant. Elle faisait mine de lire un livre, elle voulait peut-être tenter de paraître un semblant intelligente ou trouver une bonne réplique pour me la faire fermer mais.. Non. Loin de là en fait, elle bégaye presque et je me retient de lui rire au nez tellement je respire en elle la pitié. J'ai presque envie de monter dans ma voiture et de la laisser au fond de sa détresse psychologique. Vraiment, j'avais pas de temps à perdre avec ce genre de petite joueuse inintéressante. - Tu peux lire dans ton carton et nous éviter ta tête de mort vivant cerné ! Lançais-je en levant les yeux au ciel avant de tourner les talons allant en direction de ma portière. Mais je m'arrête net et fait demi tour, retraçant mes pas pour lui faire face de nouveau. Je fouille quelques secondes dans mon sac pour en sortir mon porte monnaie et lui poser quelques billets insignifiants pour ma part sur sa table. - Tient, tu pourras au moins t'acheter un repas, tu ressembles à une somalienne, il ne te reste que la peau sur les os ma pauvre. Répliquais-je en pouffant un petit rire. Encore une compte en banque vide à l'odeur de la misère et j'en passe.. Je ne sais même pas comment cette université peut accepter ce genre de personne au sein de son établissement soit disant prestigieux.
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La reine des garces et la blonde un peu trop bizarre
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Je plane encore une fois plus dans le mystère, je ne comprends pas pourquoi elle ne continue pas son chemin, je ne lui pas adressé la parole, oui ma façon d’agir est particulière, mais en aucun cas je n’ai cherché à changer, elle a juste à repartir dans le sens de la route qui lui plait. Je suis une proie si facile face à ses prédateurs qui cherchent constamment leur première victime. En ce moment je voudrais descendre six pieds sous terre, mais le peu de confiance qu’il me reste me persuade de rester pour lui tenir tête. Un bref illusion, car je n’ai aucun impact et aucun argument sur ce qu’elle me reproche. Pour elle ne semble qu’être une vulgaire clocharde, la preuve elle croit que je n’ai pas de toit où me loger. Je pointe l’immeuble derrière moi. « Je suis pas une sans-abris j’habite juste là…» Bon elle doit s’en foutre ici de savoir où est-ce que mes meubles sont sensé être. Elle s’attaque à mon physique sans détour et elle ne mâche vraiment pas ses mots. Je ne me rappelle d’avoir eu si peur de mon reflet après m’être observé dans la glace ce matin ou peut-être que nous n’avons pas la même vision de la beauté dans tous les cas je la trouve aussi horrible, car son âme me semble remplie de haine que son beau visage ne suffit plus même plus pour bien la faire paraitre. Je sais pas qui fait le plus pitié de nous deux. Je soupire un bon coup. Non Veïa tu ne vas pas bouger tu reste là, soit forte un peu et oublie ton auréole pour un moment. Tu n’iras pas en enfer directement. J’ai l’impression de retourner dans la cours de récréation. «Non… je reste ici…point barre»Pathétique je sais, mais pendant un moment je crois que j’ai réussi et que finalement elle réalise qu’elle a assez perdu du temps avec moi. Elle dépose des billets sur ma table et je fronce les sourcils. Je n’en veux pas de son argent sale et hautaine. Je lui retends aussitôt «J’ai pas besoin de ton aide j’ai assez d’argent pour survivre merci. » J’ai toujours rêver de vivre ici et tu seras étonné que je viens du même monde que toi au départ, j’ai juste un peu mêlé les cartes.   

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J'ai toujours le chic pour tomber sur des gens inintéressants.. En même temps, les seules personnes qui sont encore appréciables à mon goût sont mes proches amis et autant dire que la liste est bien courte. Je la regarde, là, assise, presque tremblotante, j'étais satisfaite que l'effet Hippolyte était toujours d'actualité et que je n'avais définitivement pas perdu la main sur ce point là. Cole m'attendait chez son nouveau chez lui, "nouveau chez lui" dont je ne comprend toujours pas l'intérêt, avec son rôle prochain à la Eliot je n'arrive pas à assimiler pourquoi il vient à acheter un minuscule appartement en parallèle.. M'enfin, j'aurais mes réponses bien assez tôt, pour l'instant j'ai bien envie de faire mumuse avec la faible créature qui se trouve en face de moi. Ma méchanceté inée et ma mesquinerie sans nom prennent toujours le dessus visiblement. Je n'y peux rien, ce genre de personne me donnent juste la nausée en fait et je pense que de les secouer un peu à ma manière ne pourra que leur être bénéfique. Elle me pointe du doigt son appartement dont je me contre fou royalement, je ne prend même pas la peine d'y jeter ne serait-ce qu'un coup d'œil. - C'est le foyer que ton mac à financer pour ramener tes clients ?! Dis-je sur un ton moqueur tout en faisant balader mes yeux sur son accoutrement sordide. Une grimace s'affiche malgré moi sur mon visage, aucune classe, aucune élégance, ça fait presque pitié de voir ça. SOS ! Brigade de la mode, vous me recevez ? Non, sérieusement, qui ose mettre ce genre de vêtement et de l'affirmer au grand jour ?! J'arque un sourcil quand elle tente tant bien que mal de prendre un ton autoritaire avec moi, hum, sérieusement ? Ça n'est même pas crédible et j'ai presque envie de lui rire au nez sans aucune gêne. - Je te conseille de ne pas jouer avec le diable chérie. Je suis encore très gentille avec toi.. Et vaut mieux pas que ça change pour ton intérêt ! J'étais encore bonne enfant jusque là mais à force de me chercher elle risque de me trouver très vite et, d'après ce que je sais je suis assez forte pour traumatiser les gens. Je me gênerais pas pour faire de sa vie un calvaire si elle continue sur cette lancée. Je lui pose quelques billets sur la table mais elle n'en veut pas et j'hausse les épaules avec nonchalance. - Je te le laisse quand même au cas où, parce qu'avec ce visage, vraiment tu ne risque pas d'attirer beaucoup de clients. Pouffais-je en la dénigrant du regard avant de tourner les talons jusqu'à ma portière pour entrer à l'intérieur de ma voiture. - Je n'ai plus de temps à perdre, évite de croiser mon chemin à présent. Lançais-je sur un ton plus ferme et autoritaire tout en faisant ronronner le moteur. Une légère marche arrière, juste ce qu'il faut pour faire renverser sa table et un petit signe de main pour la saluer faussement. Un regard dans mon rétro et j'affiche un sourire satisfait.
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La reine des garces et la blonde un peu trop bizarre
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Finalement sortir n’était pas une idée géniale j’aurais mieux fait de rester entre quatre murs. J’aurais été sécurité, loin de sa mesquinerie, je sais que je suis une cible facile, mais quand même c’est plutôt gratuit. L’appartement c’est ma maison, mon petit moment de réconfort loin de tous les regards où je peux écrire en paix et réfléchir, l’extérieur c’est Harvard, les problèmes de cœur et ceux qui aime bien écraser les autres. Je sais pas ce qui lui est tombé dessus dans la vie, mais elle a mal choisi son caractère ou plutôt il faudrait plaindre sa mère. Certain qui regarderait le spectacle me demanderait qu’est-ce qui me prend de ne rien faire, de me laisser ainsi faire alors qu’elle me fonce dessus sans raison, pour avoir seulement déplacer ma chaise et ma table pour prendre un peu d’air. Je dois me débarrasser de cette manie si ça ramène des gens comme ça. Je hausse les épaules, non sérieusement je peux avoir l’aire perdu, de voguer dans un autre monde, mais pas d’une trainée et si mes vêtements ne sont pas dernier des dernières tendances c’est que je préfère me nourrir avant tout. Par chance que j’ai fais l’école à la maison je me suis éviter des gens comme ça. Elle me dit de ne pas tenter le diable, je n’ai pas grandes choses à perdre pour le moment et qui dit que je vais croiser ton chemin à nouveau. On se reverra pas on est pas du même monde.» Non toi tu vas retourner dans tes quartiers de riche avec ta voiture et continuer de cracher sur ceux qui ont choisi une autre vie ou qui tente de l’améliorer. Juste à regarder tes vêtements je sais déjà que tu ne fais pas attention à l’étiquette de prix. J’en connais déjà que toi sauf qu’il me témoigne du respect. Elle me redonne les billets, comment peut-elle témoigner de mon visage alors que j’ai encore mes lunettes sur mes prunelles, elle serait étonnée de l’éclat bleu qui s’anime derrière les verres fumés. Elle repart dans sa voiture en bousculant en même temps ma table. Mon café tombe et je l’évite de justesse pour éviter les brulures. Je me retiens pour ne rien dire pour rester calmer du mieux que je peux. Je remets ma table en place et je lance les billets dans les rues, ils sont sales car ils ne sont pas de bonne grâce. «Évite de tomber sur les gens pour rien aussi.» Je suis forte, mais je tremble comme une feuille. Bon dieu donner moi un peu de force de caractère.   

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