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SAGOW • " You are my happy place ! "

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Noah s'était barré. Alors c'était comme ça ? Il prend ses jambes à son cou dès que c'est chaud pour sa gueule.. Égoïste jusqu'au bout en fait. J'aurais dû m'en douter, lui ? Rester pour se battre ? Pour moi ? Pour rattraper ses putains de conneries. C'était risible, hilarant même et franchement ça m'étonne même pas qu'il claque la porte et décide de s'casser comme un lâche. J'suis écoeuré, dégoûté du personnage que j'aime toujours même si ça me tue de l'assumer, qu'avant ces sentiments me faisaient l'effet de papillon dans l'ventre et que maintenant j'ai juste la nausée en entendant son prénom. Je me déteste d'y penser encore, je le hais de toutes mes forces, il ne savait qu'une infime partie de mon mal être, il ne sait même pas pour le bébé qu'IL a tué, tout est de sa faute.. Absolument tout. Jamais je lui pardonnerait de tout m'avoir enlevé et juste d'être partit comme ça. Pathétique. Et je bois dans la bouteille de whisky à moitié pleine ou vide tout dépend comment on prend la chose.. Machinalement j'écris à Harlow, j'pense a lui, fréquemment même ces temps-ci et j'ai envie de le voir, j'ai envie qu'il soit là. Je plane, je suis loin dans mon monde, coupé de toute réalité limite et j'suis bien en fait. Quelques minutes après on tape à la porte, je me lève, la bouteille ouverte toujours en main, les yeux rougis par l'alcool et la drogue, j'ouvre doucement pour laisser apparaitre son visage. Un sourire s'étire sur mon visage et sans attendre j'attrape sa main pour l'attirer jusqu'à moi. - Tu m'as manqué ! Soufflais-je en refermant la porte derrière lui et le plaquant contre celle-ci. - T'as mit un pantalon finalement.. Dis-je en riant bêtement, les yeux baissés vers son vêtement avant de les relever aussitôt vers les siens. Il était beau Harlow, il avait ce petit je ne sais quoi que les autres n'ont pas, ce petit morceau.. Brisé ? P'tetre ça qui fait que ce soit autant fusionnel entre nous. Suffisait juste d'enflammer la mèche, une petite étincelle et c'était partit.




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❝ SAGOW + Peut-être donnons-nous tous le meilleur de nous-mêmes à ceux qui de leur côté, ne nous accordent que rarement une de leurs pensées ❞You are my happy place ! J'ai qu'une hâte, c'est qu'on rentre enfin à Boston et que j'retrouve mes repères. J'pourrai très bien me prendre un billet retour maintenant, mais ça veut dire dépenser l'argent que j'ai pas alors que j'ai déjà tout payer avec l'université, donc j'suis coincé ici encore quelques jours et l'temps va être long. J'peux plus faire un pas dehors sans croiser le sourire rayonnant de Kali qui doit sûrement sortir de la chambre de son copain. Le seul réconfort que j'peux avoir c'est Sage, de savoir que si moi aussi j'vais pas bien je peux m'autoriser à faire un détour par sa chambre comme là alors que j'tais en train de jouer à une application débile sur mon téléphone, j'avais pas hésité une seule seconde à répondre à son message pour m'sortir de cet ennui mortel. J'métais faufilé à l'extérieur de a chambre et j'avais directement rejoins son étage sans trainer, pas de temps à perdre à batifoler dans les couloirs en espérant trouver une meilleure distraction. À peine j'avais toqué à sa porte que j'me retrouvais collé contre celle-ci, la surprise et l'amusement trônant sur mon visage. « Y avait une mère et ses gosses qui trainaient dehors, j'voulais pas finir en garde à vu pour exhibition et pédophilie » J'pouvais sentir l'odeur de l'alcool me menant jusqu'à ce qu'elle tenait en main, une bouteille de vodka sur laquelle elle s'était visiblement déjà vengée vu qu'il en restait qu'un peu. On est comme ça nous, pas de petite tisane pour fermer l'oeil, on prend ce qui est l'plus efficace et l'moins cher parfois aussi. « T'aurais pu m'attendre avant d'faire la fête toute seule, moi aussi j'ai des raisons d''me faire vomir » Si on résume que j'ai couché avec Kali avant qu'on s'engueule encore, mon bad-trip à l'ecstasy, et puis dernièrement que j'sache que l'Eliot se tape un autre gars, ouais j'ai mérité ma place au rang des losers. « Mais j'suis content de te voir, tu sauves ma misérable vie »J'posais une main sur sa taille avant de lui embrasser la joue, on reste poli malgré tout. © 2981 12289 0
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Je me sens seule, terriblement seule accompagné d'une bonne bouteille, comme si elle allait soigner tous mes maux en une seule gorgée. Et l'envie d'Harlow me prend, tout mon monde tourne autour de lui en ce moment, j'y plante mes ongles, m'accrochant coûte que coûte à ce dernier espoir sortit de nulle part. Vient, rejoins moi, ouvre cette porte et affiche moi ton plus beau sourire sur la gueule, fait moi rêver, fait moi danser et surtout.. Surtout, emmène moi loin d'ici, loin de tout ce soir. Mes pieds foulent la moquette jusqu'à la porte, l'ouvrant doucement jusqu'à apercevoir mon bout de paradis juste derrière que n'attrape vulgairement en refermant celle-ci. La bouteille toujours en main, d'un geste ferme je claque la porte en le ramenant jusqu'à moi. Humant son odeur, j'enfouis mon visage dans le creux de son cou, cette chaleur qui s'en émane m'éjecte dans une sphère paradoxale. Quelques mots, une taquinerie, un petit sourire narquois sur mes lèvres, la tête qui tourne, la vision flouter et je ne peux empêcher mon corps de venir se coller contre le sien. - T'as bien fait alors, j'supporterais pas que tu sois loin d'moi trop longtemps.. Que je dis d'une petite moue enfantine tout en me décollant de sa nuque. Je mords dans mon doigts, un petit sourire sur les lèvres et je relève la bouteille pratiquement vide pour la remuer maladroitement. - Oups.. Mais t'sais qu'en bonne alcoolique j'ai toujours un stock planqué quelques part ? Je crispe mes lèvres dans un étirement, une expression faussement désolé sur le visage. Je laisse la bouteille glisser entre mes doigts pour la laisser s'écraser au sol, rien ne m'intéresse, absolument rien, même si la terre arrêterait de tourner, que l'eau disparaissait, que toute la population serait radiée, j'en aurais rien à battre. Harlow dans la tête, dans la peau ce soir et comme tant d'autre soirs qui s'accumulent petit à petit. Sa main sur ma taille, ses lèvres qui se posent sur ma joue chaude et je fais un pas de plus vers lui. Un pas vers l'enfer, le paradis, jouant avec la corde sensible, l'effleurant du bout des pieds. - On se sauvera toujours tous les deux.. Mes yeux se ferment, la voix douce, basse, dans un presque soupir que j'abandonne ces quelques mots. Je viens coller mon front contre le sien, ma main agrippant sa nuque et je veux en profiter. Je veux sentir son souffle caresser ma peau, je veux le sentir entièrement contre moi. À moi. Le temps d'une nuit, d'une mélodie, d'une seconde. Mon nez caresse le sien, mes lèvres viennent frôler les siennes. Lentement. Parfaitement.




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❝ SAGOW + Peut-être donnons-nous tous le meilleur de nous-mêmes à ceux qui de leur côté, ne nous accordent que rarement une de leurs pensées ❞You are my happy place ! J'tais capable de relever le défi de venir jusqu'à sa chambre juste en sous-vêtement, j'avais déjà accueilli Kali dans le couloir comme ça à l'exception qui avait personne pour nous voir, mais là à peine j'avais mis le nez dehors que j'tais tombé sur cette mère de famille en plein sermon. Demi-tour pour m'équiper d'un pantalon en toile et d'un tee-shirt à l'effigie de Kate Moss qui dégaine son majeur, une pure merveille de la mode ce haut là, j'men lasserai pas. Au regard de la femme j'doutais que ce genre de vêtement faisait meilleur impression qu'un gars déambulant en boxer, mais j'men fou parce que c'est pas pour elle que j'sors de ma chambre. Immédiatement l'accueil plus que chaleureux de Sage me changeait les idées des derniers jours, et j'abandonnais vite mon air renfrogné pour un regard beaucoup plus malicieux, haussant un sourcil en l'entendant m'flatter comme ça, parce que ouais j'prends le fait de lui être indispensable comme un compliment. « Tu serais pas devenue accro par hasard ? » J'lui faisais un clin d'oeil en la sentent se reculer légèrement, y'a pire comme moyen de déprimer que d'être avec elle, j'suis chanceux dans mon malheur l'air de rien. J'voyais bien qu'elle était déjà un peu ailleurs, partie depuis qu'elle avait commencé à vider cette bouteille venant s'écraser à nos pieds sans que ça nous dérange, à l'image de notre santé mentale actuelle. « J'en attendais pas moins de toi ça me rassure » Elle serait pas une vraie Mather si elle avait pas ses petites réserves. J'me sentais un peu comme l'objet de fantasme, et c'est loin d'me déranger parce qu'on s'le dise, Sage elle est pas repoussante comme fille et j'aime cette complicité qu'on a réussi à créer presque par magie. On est un peu les deux laissés pour compte, et c'est ça qui nous a réuni en plus de la passion de la débauche. Un sourire enjôleur sur les lèvres j'appréciais cette soudaine proximité et cette intimité, quand j'passe le pas de la porte de Sage je laisse tous mes problèmes derrière et j'ai juste l'envie de partager du temps en sa compagnie. J'en venais même à me mordre la lèvre en sentant ses effleurements, ça change du rapport de force, là tout est doux et lent comme si l'temps c'était arrêter autour de nous. « J'répondrais toujours présent quand tu l'voudras » J'pouvais pas m'empêcher d'me dire que j'pourrai être dans un bar à me saouler avec des gars que j'connais pas, mais là j'suis à quelques centimètres de l'une des plus jolies filles d'Harvard et accessoirement celle qui compatit le plus avec moi à l'heure actuelle. J'me retenais pas plus longtemps en laissant mes mains glisser le long de son dos avant d'avancer mon visage pour réduire à néant cet écart infime éloignant nos lèvres. © 2981 12289 0
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Envie de lui, envie de toi. Ce soir tu me manque, je veux te voir, je veux te sentir et sans hésiter je te demande de venir.. Tu réponds toujours présent, comme d'habitude et on se taquine, une petite mine blasée sur le visage en le voyant arrivé encore habillé, je souris face à son explication. Accroc à lui ? Peut-être bien, c'est sûr même en fait, depuis tout ce bordel il était mon seul point d'encrage et la seule personne que j'avais envie de voir près de moi. J'étais vraiment en train de faire du frère de V' mon obsession là ? Je me demandais comment elle le prendrait si elle savait.. J'avais pas envie non plus de me mettre mon amie à dos, V' c'est la fille à qui il faut surtout pas toucher Si on tient à sa vie, je l'aime comme si elle était de mon propre sang. Mais, mon envie irrépressible d'Harlow se fait plus forte, je n'arrive pas à m'en détacher, malgré que je sais que c'est un vilain jeu entre nous, qu'à force d'être une sorte de drogue apaisante l'un pour l'autre On va finir par s'y perdre là-dedans. Je vais finir par m'y perdre. - Peut-être bien.. C'est dérangeant si j'le suis ? Que je demande dans un petit sourire malicieux. La bouteille devenait trop lourde, la sensation d'avoir la terre qui tourne tout autour de moi, de ne plus trop bien voir, je la laisse vulgairement s'écraser au sol et je reviens à lui. Comme un aimant. Tenir la distance m'est impossible, c'est comme si mon cerveau était un mode off, que mon corps prenait le dessus sur tout et je viens coller mon front contre le sien. Nos souffles qui se mélangent, la tête dans les nuages quand je vis dans ses yeux perçant. Je me délecte de l'image de ce garçon autant meurtri que moi. J'esquisse un petit sourire, une Mather dans l'âme depuis mon plus jeune âge, être enfermé dans une chambre sans alcool sonnerait trop faux. Un moment de silence, je prends plaisir à dessiner son visage les yeux fermés, du bout de mon nez, du bout de mes lèvres, je l'imagine, là au fond de ma tête. Ma main dans sa nuque qui se raffermit, le cœur battant plus vite que la normale, on joue, on aime ça et je plane au-dessus de tout quand ses lèvres capturent les miennes. Un baiser doux que je prolonge, plus sauvagement, plus sensuellement, l'attirant jusqu'au milieu de la pièce sans quitter ses lèvres, je ne voulais pas, je ne pouvais pas mettre fin à cet échange passionnel. - Je te veux.. Soufflais-je doucement. Je te veux, là, maintenant, ici. Je suis tout à toi, complètement à toi entre ces quatre murs. Je me détache de sa bouche, reculant légèrement sans le quitter du regard pour attraper une bouteille avec le mélange déjà tout prêt. Je jette le bouchon par-dessus mon épaule, deux doigts sous son menton et je viens poser le goulot entre ses lèvres pour le faire boire. L'alcool s'écoule le long de mes doigts, de main et je retire la bouteille pour venir la poser au sol. - Ne me pose pas de question. Ouais, je m'en tape de savoir si c'est bien ou mal, Si on doit vraiment le faire ou pas, si je vais bien ou mal. Je m'en tape de tout ça et je veux pas entendre ce genre de phrase, pas aujourd'hui, pas ce soir. Je viens l'embrasser de nouveau, nous faisant pivoter pour qu'il soit dos à mon lit sur lequel je le pousse d'une petite pression. Je le regarde, là, assis face à moi et mes doigts jouent avec mon haut hésitante. C'est la première fois que je vais faire ça depuis.. Et je crois que j'en ai besoin en fait. Je retire doucement mon haut, lentement, je déglutis, appréhendant son regard sur mon corps bleuté, cicatrisé, les rougeurs par ci par là à cause de l'accident. Je m'avance jusqu'à lui, d'un pas incertain, j'avais plus aucune confiance en moi, j'avais peur qu'il fuit face à cette horrible vision.




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❝ SAGOW + Peut-être donnons-nous tous le meilleur de nous-mêmes à ceux qui de leur côté, ne nous accordent que rarement une de leurs pensées ❞You are my happy place ! C'est pas la meilleure solution de venir ici, tout le monde a à critiquer sur l'fait qu'on vit une période difficile chacun de notre côté et que d'noyer notre peine ensemble ça nous rendra pas forcément plus fort ou que ça nous aidera pas à oublier les problèmes qu'on cherche à fuir parce que c'est plus simple. Mais j'suis pas d'accord, c'est pas d'la pitié cet arrangement, et j'trouve même que ce mot là il convient pas à la relation que j'ai avec Sage, ça fait sale de dire ça. Y'a rien de honteux à se soutenir parce qu'on sait ce que l'autre a subit, encore plus quand c'est quelque chose d'aussi traumatisant que ça, on va pas s'mentir en disant que Sage essuie juste une rupture amoureuse parce qu'y a toute une histoire derrière ses larmes. « Ça dérangera que les autres, sûrement pas moi » J'lui confiais avec un timide sourire laissant apparaitre mes fossettes, pourquoi j'me plaindrais d'avoir un lien aussi privilégié avec elle ? Ça fera sûrement grincer des dents son Eliot qui la mérite clairement pas d'après l'peu que j'en sais, donc c'est plutôt un excellent point si jamais il venait à l'savoir. Puis faut aussi ajouter Kalista à l'addition vu que la dernière fois qu'elle a vu Sage sortir de ma chambre elle a littéralement péter un câble sans qu'encore aujourd'hui j'sache la véritable cause de cette haine contre la Mather, j'mettrais ça sur le coup d'un caprice d'enfant gâté c'est le plus probable. J'minterdis de pensé à elle dans ce genre de moment, elle m'a assez gâché de journées pour qu'en plus elle s'incruste dans mon esprit alors que là j'men fou de tout, j'veux seulement que Sage aille bien et c'est le plus important quand j'suis avec elle. J'ai le sentiment que tout s'enchaine naturellement comme une véritable attraction, tous ces gestes là ne sont pas calculés ni même forcés et c'est ça qui donne une pointe de paix dans notre quotidien. C'est différent de ces baisers en soirée et là j'me dis que si ça avait dérapé la nuit du bar, ça aurait pas eu cette saveur de magie en quelque sorte. Embrasser Sage c'est un peu comme reprendre une bouffée d'air alors que l'atmosphère est pourrie ailleurs, ouais c'est ma bouteille d'oxygène en fait. J'suivais son mouvement les yeux fermés avant de l'entendre exprimer ce qu'elle voulait, du moins ce qu'on voulait ça serait plus juste de dire. « T'as même pas besoin d'le dire » Son message en disait déjà long, c'tait une sorte d'appel de détresse auquel j'pouvais pas résister et pas juste parce qu'il est question de pulsion et d'désir, mais plus pour lui éviter de se sentir seule et abandonnée de tous encore une fois, alors qu'elle mérite pas d'être aussi malheureuse et délaissée quand on a en plus besoin. J'profitais de l'acidité de l'alcool avant de retrouver ses lèvres provoquant un mélange sucré et amer en bouche. C'est pas la première fois que j'vois les marques qu'elle porte sur le corps, j'en ai toujours aperçu quelques unes à travers ses vêtements mais c'tait la première fois que j'pouvais constater l'ampleur des dégâts et mes blessures à côté c'tait rien, elles commençaient déjà même à disparaitre. J'soupirais d'être le témoin de ça, de cette injustice la plus totale qui m'avait mis hors de moi quand j'lavais appris. J'tendais les mains pour attraper les siennes et la tirer vers moi avant de dessiner du bout du doigt les contusions ornant son corps. « Tu es magnifique Sage, ça change absolument rien tout ça » J'plaquais mes lèvres contre une marque sur son ventre, même à notre âge un bisou magique c'est toujours l'bienvenu et on sait jamais si ça fonctionne, si y faut demain grâce à moi elle sera toute neuve Sage, plus d'vilains bobos qui donnent l'impression d'être passé sous un camion.© 2981 12289 0
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On était vulnérable, autant l'un que l'autre, on était faible et cette faiblesse on l'affirme, On l'assume que lorsqu'on est tout les deux. L'un contre l'autre, comme si nos regards nous donnaient le courage de pleurer, de dire que non ça n'va pas, comme si nos corps entrelacés et la chaleur qui s'en émanent nous donnaient des ailes subitement. Que ses ailes nous permettaient de nous envoler quand on était l'un contre l'autre. Cette sensation d'être de nouveau libre, libéré de toutes nos chaînes quotidiennes qui nous empêchent de vivre, de respirer, suffoquant face à son seul reflet. Le dégoût de notre propre personne par la force d'un sale moment, d'un cauchemar, par la force d'un amour déchu, déchiré, abîmant nos âmes et nos principes. Écorchant nos cœurs dans une entaille profonde et impossible à soigner. Ébranlant notre confiance en soi parce que la seule personne qu'on s'est laissé à aimer nous a rappelé à quel point on est rien. À quel point on est misérable sous notre carapace de fer qu'on pensait indestructible. Oui j'suis accroc à toi Falgren, accroc à ton emprise, accroc au fait qu'avec toi je m'évade, plus rien ne compte comme Si il y avait un mur de pierre entre la réalité et le rêve, que je vis dans un rêve tout simplement quand tu es là. Quand tu franchis le pas de cette porte et que tes mains s'emparent de tous mes maux quand elles se posent sur mon corps, sur mon épiderme ravagée. Mon sourire s'élargit quand je sens sa timidité prendre place dans son rire, c'était rassurant d'savoir qu'on était entre autre importante pour quelqu'un, qu'on pouvait encore faire de l'effet à quelqu'un malgré tout le reste qui nous disent le contraire.   - Il n'y a que toi et moi qui compte ce soir.. T'as compris ? Que je susurre au bout de ses lèvres auxquelles je reste toujours accroché. Mon regard insistant dans le sien, mes mains autour de sa nuque chaude, remontent jusqu'à sa chevelure sauvage que j'empoigne plus sauvagement. - Toi et moi. Répétais-je lentement, insistant sur chacun de mes mots tout en marchant à reculons pour l'attirer jusqu'au milieu de la pièce. Il boit, boit encore et revient à mes lèvres, le goût de la acide de la vodka se mêle à nos baiser qui se termine par un mordillement de sa lèvre inférieur sur laquelle je tire doucement avant de la relâcher. Je tourne sur moi même, l'envoyant valser sur mon lit et je dépose la bouteille au sol avant de retirer mon haut lentement.. Le cœur battant la chamade, j'avale difficilement ma salive, la boule au ventre d'afficher toutes ces blessures, ces vilains souvenirs qui me hantent, les coups de mon père, les coups d'un inconnus dégradent mon corps. Je laisse tomber le bout de tissus au sol, impossible de le décrocher du regard d'Harlow sinon je tombe à terre, je m'éffondre sans pouvoir me relever, je le sais, je le sens, il est mon gilet de sauvetage dans cette pièce, dans ma vie. Il me tend ses mains et j'avance d'un pas pour y faire glisser les miennes, tremblantes. M'attirant jusqu'à lui, je sens ses doigts effleurer ma peau et je me mord la lèvre, fermant les yeux pour ne pas paniquer, pour ne pas dégager en courant, je frissonne sous son fin contact et ses mots me percutent. Les mots que j'avais besoin d'entendre, mes yeux se baissent vers sa marque d'affection, je passe alors ma main sous son menton pour lui faire relever la tête vers moi. - Fait moi l'amour ce soir.. Comme tu ne l'a jamais fait. J'embrassais ses lèvres, retirant son t-shirt petit à petit avant de le balancer au pied du lit et de m'installer à califourchon sur lui. J'effectuais une légère pression sur son torse pour le faire tomber en arrière et suivre le mouvement sans quitter sa bouche.
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❝ SAGOW + Peut-être donnons-nous tous le meilleur de nous-mêmes à ceux qui de leur côté, ne nous accordent que rarement une de leurs pensées ❞You are my happy place ! On entend toujours dire "j'compatis à ta peine, je sais ce que ça fait, j'suis là pour toi" alors qu'au fond personne ne sait à quel point parfois on peut se sentir sans défense, même les grandes gueules comme moi qui s'plaisent à montrer cette image de terreur à qui s'y frotte trop. C'pas vraiment une illusion, j'me donne pas ce genre de rebelle pour être à la mode et faire comme tout l'monde, j'suis en marge de la société et ce depuis toujours alors ça coule dans mes veines cette impureté, mais parfois faut s'arrêter et reprendre son souffle comme un pauvre humain lambda. J'dirai qu'avec Sage je reprends cette part d'humanité que j'enfouis au fond d'moi pour pas avoir à être quelqu'un de sensible, qui doit s'inquiéter du sort des autres parce que dans la jungle urbaine l'homme est un loup pour l'homme, et moi j'fais pas parti des moutons. Quand le parfum d'Sage flotte dans la pièce et que son corps chaud vient se coller au moins j'suis juste un gars comme un autre, qui peut avoir un peu peur parfois et qui se blesse, beaucoup même. Dans cette chambre c'est pas interdit d'avoir le coeur qui se serre, les mains qui tremblent ou même la voix qui casse quand on parle d'un souvenir faisant l'effet d'une bombe à retardement depuis l'temps qu'on le retient. Ce soir Sage elle a tous les droits d'exploser, faire sortir cette colère et cette peine qu'elle emmagasine à cause de la vie qui lui fait pas d'cadeaux. Mes problèmes à côté des siens c'est ridicule, j'suis triste pour quoi moi, des peines de coeur ? J'suis pas le premier et encore moins l'dernier à regretter un amour perdu, mais c'est comme à cheval faut s'remettre en selle après la chute. J'me sentirais presque à profiter d'la situation si j'tais venu moi-même ici, à prendre le dessus sur l'état psychologique et physique de Sage mais non, j'suis pas là par la force et c'est bien elle qui m'fait comprendre qu'à partir de cet instant et jusqu'à c'que je repasse la porte, plus rien existe en dehors d'cette chambre, comme si on était les dernier survivants d'une apocalypse. « Sage et Harlow perdus sur une île déserte à des milliers de kilomètres de toute civilisation, personne d'autre à l'horizon » J'montrais bien que j'avais compris, on est pas là pour parler de qui nous a fait du mal et à quel point on les déteste et qu'on aimerai se venger, non là c'est la deuxième étape de la thérapie où on laisse tout aller et on s'en fou de tout, on envoie tout balader avec un simple balayage d'la main. Ouais c'est un peu notre voyage ça, d'la porte d'entrée au milieu d'la place avant d'se retrouver assis sur le lit, un rythme de croisière vers une destination inconnue et où les  passagers clandestins sont pas les bienvenus, égoïstement ce soir c'est que nous deux et le majeur adressés à ceux qui rient d'nos larmes. J'levais les yeux vers elle détachant mes lèvres de sa blessure, de quoi on a l'air tous les deux avec notre chair marquée par la violence de nos erreurs ? « Comme si c'tait la dernière fois et qu'demain on devait mourir ? » On sait jamais c'qui peut se passer, j'pense qu'à nous deux on a d'jà échappé pas mal de fois à la faucheuse alors imaginer que c'est l'ultime moment de vie qu'on allait passer, c'pas si difficile de ça. J'trouve du réconfort sur les lèvres de Sage, dans son parfum qui m'colle à la peau et même dans sa manière d'me dire qu'on a construit une sorte de château imaginaire comme les gosses et qu'on est les deux seuls à en connaitre l'existence. J'remontais le long de ses cuisses jusqu'à ses côtes, prenant le soin d'éviter les endroits abimés par l'horreur de ce qu'elle a vécu, caressant son dos avant de l'enlacer plus fort pour mieux la sentir contre moi, une sorte de réconfort de la part de la peluche qui fait fuir les monstres de sous le lit. « T'es vraiment mon point d'ancrage » J'lui glissais entre deux baisers tout en passant ma main dans ses cheveux blonds, ouais Sage elle m'empêche d'couler là.© 2981 12289 0
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