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Me voilà enfin arrivée à destination. Un taxi m'avait amené jusqu'au Summer Camp d'Harvard. Ca me change des limousines que mes parents loués afin que je puisse aller où je voulais. Mais ça n'était pas plus mal. C'est moi qui ai décidé de devenir indépendante et de me détacher de ma famille ainsi que de leur richesse. J'ai décidé, en m'inscrivant à Harvard, de commencer une nouvelle vie : Ma vie. Je ne veux plus vivre une vie où l'on me voit à travers des affiches publicitaires ou des shows télévisés, où mon seul sujet de conversation est le mannequinat. Je veux commencer des études où plus tard on prêtera attention à moi car je suis cultivée et je sais de quoi je parle.
Le chauffeur ouvra son coffre et posa à terre ma valise à roulettes. Je lui tendis par réflexe un billet de 100 dollars en guise de pourboire et me rendis compte que ce n'était pas comme cela que ma vie allait changer. Il faut, dorénavant, que je me débarrasse de mes anciennes habitudes ; et que même si j'ai de l'argent, il faut que je connaisse son prix réel. Je ne dois plus jeter l'argent par les fenêtres et je dois vivre normalement, comme la plupart des gens sur cette planète...
Une fois le taxi partit, je me retournai et me trouvai face au chalet général du Summer Camp. Tout en bois, il paraissait vraiment très classique mais ça ne lui enlevait pas sa beauté. Je me mis à la hauteur de mes valises et levai la poignée afin de pouvoir tirer ma valise correctement. Mon cabas en cuir noir sur l'épaule et mes way farrer sur le nez, je commençai à marcher doucement, en tirant avec beaucoup de mal ma valise bien trop lourde. Mes bottines en peau noire à talons n'arrangeaient pas la chose. Mais je pris sur moi, un peu serrée dans ma robe blanche et légèrement transparente, pour accéder au chalet.
Une fois rentrée, les regards se posèrent sur moi. Je ne sais pas si c'est à cause de ma robe qui mettait en valeurs mes plus belles formes et laissait apparaître mon décolleté assez plongeant, ou bien si c'était pour le charme que je dégageais naturellement. En effet, être mannequin m'avait toujours appris à être regardée du plus bel oeil par tout le monde. Il faut savoir se faire désirer mais ne jamais céder, voilà le crédo qui avait bercé mon adolescence. Ce qui pouvait également faire que les gens me regardaient, c'est que j'étais nouvelle au Summer Camp mais également à Harvard. C'est sur que, généralement, les nouvelles têtes ne passent pas inaperçu. Ne savant pas dans quelle équipe j'avais été placée, je m'avançais lentement mais sûrement vers de longues listes afin de chercher mon nom.
Le chauffeur ouvra son coffre et posa à terre ma valise à roulettes. Je lui tendis par réflexe un billet de 100 dollars en guise de pourboire et me rendis compte que ce n'était pas comme cela que ma vie allait changer. Il faut, dorénavant, que je me débarrasse de mes anciennes habitudes ; et que même si j'ai de l'argent, il faut que je connaisse son prix réel. Je ne dois plus jeter l'argent par les fenêtres et je dois vivre normalement, comme la plupart des gens sur cette planète...
Une fois le taxi partit, je me retournai et me trouvai face au chalet général du Summer Camp. Tout en bois, il paraissait vraiment très classique mais ça ne lui enlevait pas sa beauté. Je me mis à la hauteur de mes valises et levai la poignée afin de pouvoir tirer ma valise correctement. Mon cabas en cuir noir sur l'épaule et mes way farrer sur le nez, je commençai à marcher doucement, en tirant avec beaucoup de mal ma valise bien trop lourde. Mes bottines en peau noire à talons n'arrangeaient pas la chose. Mais je pris sur moi, un peu serrée dans ma robe blanche et légèrement transparente, pour accéder au chalet.
Une fois rentrée, les regards se posèrent sur moi. Je ne sais pas si c'est à cause de ma robe qui mettait en valeurs mes plus belles formes et laissait apparaître mon décolleté assez plongeant, ou bien si c'était pour le charme que je dégageais naturellement. En effet, être mannequin m'avait toujours appris à être regardée du plus bel oeil par tout le monde. Il faut savoir se faire désirer mais ne jamais céder, voilà le crédo qui avait bercé mon adolescence. Ce qui pouvait également faire que les gens me regardaient, c'est que j'étais nouvelle au Summer Camp mais également à Harvard. C'est sur que, généralement, les nouvelles têtes ne passent pas inaperçu. Ne savant pas dans quelle équipe j'avais été placée, je m'avançais lentement mais sûrement vers de longues listes afin de chercher mon nom.
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