Better be envied than pitied pv BIDDIE :D

G A U T H I E R  A N D B I D D I E
Better be envied than pitied★★★

Mon regard se fronça instinctivement à la vue de cette petite culotte. Petite culotte qui trônait autour de mes caleçons. Elle avait été foutre sa petite culotte dans ma valise la salope ! C’était la cinquième fois que ce genre de chose arrivait. Partager sa vie avec quelqu’un n’était pas donné à tout le monde. Moi, cette idée m’avait été imposé juste avant de partir au summer camp et la voilà qu’elle me rattrapait une nouvelle fois. Ma mâchoire se serra et sans prévenir, je sortis de ma chambre d’hôtel. Une serviette autour de la taille, on pouvait remarquer aisément que je sortais de la douche. Plusieurs regards se retournaient autour de moi tandis que je fonçais tout droit dans la chambre de Biddie. Cette fille, au combien agaçante. Elle arrivait à me faire péter un câble alors même que nous étions en vacances loin l’un de l’autre. Sans prévenir et sans toquet, j’ouvris la porte de sa chambre. « putain ! Bidd...» Mon regard s’arrêta sur la demoiselle. Elle était allongée tête en arrière la bouche grande ouverte prisonnière d’un orgasme qui ne demandait qu’à sortir. Mes sourcils se froncèrent. Elle était seule. Seule et en train de se toucher. Sans pouvoir me retenir davantage. Je me mis à rire avant de refermer la porte derrière moi. « Aaaaaah tu pues l’exaspération ! Tu te touchais, même pas capable de trouver un mec pour te baiser !» dis-je avec un sourire sarcastique sur les lèvres. Mes yeux se plissèrent tandis qu’elle semblait encore surprise et frustrée de pas pouvoir aller au bout de sa pensée. « Ne te gêne pas ! Je peux me contenter de regarder. Je verrais si ton cri ressemble plus à une truie qu’on trucide ou à une pauvre petite fleur qui vient de perdre sa virginité. Je parierais pour la truie qui crie trop fort.» dis-je en me rapprochant et en lui jetant sa culotte à la figure. « Si j’en retrouve une autre, je te jure que je te la fais bouffer.» 

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Biddie prend du plaisir.  le visage étrangement serein, se perd dans les volutes, exquises!, de sa tendre marie-jeanne. sa bouche quémande. ses poumons, désirent leur déclin d'une passion affreuse. Sa main continue son avancée, toujours aussi avide. la voilà, tendre biddie, enfermée dans une illusion de plaisir. la môme, n'y voit pas le moindre gêne. Elle soupire d’aise. Heureuse et pour une fois satisfaite. Ses yeux sont fermés, continuant de se complaindre dans son imagination. Elle ouvre grand la bouche laissant échapper des petits soupirs. Elle y est presque. Son corps se met à trembler sachant ce qui allait suivre. « putain ! Bidd...» elle s’arrête. Gauthier ne devrait pas faire partie de ce paysage. Elle ouvre grand les yeux, mi médusée mi assomée et l’aperçoit près de la porte. Qu’est ce qu’il fout là ? « Aaaaaah tu pues l’exaspération ! Tu te touchais, même pas capable de trouver un mec pour te baiser !» « Mais putain casse toi ! Tu vois pas que je suis occupée là ? J’ai pas besoin d’un queutard qui sait pas se servir de sa machine je me débrouille très bien toute seule. » qu’elle hurle furibonde point gênée d’être complètement dénudée sur son lit, sa main toujours en pleine action. Elle attrape un oreiller qu’elle balance sur lui. Juste au cas où il n’aurait pas compris le message. « Ne te gêne pas ! Je peux me contenter de regarder. Je verrais si ton cri ressemble plus à une truie qu’on trucide ou à une pauvre petite fleur qui vient de perdre sa virginité. Je parierais pour la truie qui crie trop fort.» « Rapproche toi encore plus près si tu veux mater, je sais que c’est surement la première fois que tu vois une femme à poil.Va plutôt te masturber devant winnie l’ourson parce que la truie t’emmerde. » Elle soupire exaspérée. Frustrée. Enervée. Ce n’était pas aujourd’hui qu’elle allait pouvoir continuer ses petites affaires, surtout pas lorsque ce connard était dans le coin. Elle lèche sensuellement les doigts de sa main avant de recevoir sa petite culotte sur son visage. Il avait donc découvert son petit cadeau. « « Si j’en retrouve une autre, je te jure que je te la fais bouffer.» » « comment tu sais que c’est la mienne et pas à un des gigolos que tu baises ? » Elle roule les yeux au ciel, se levant de son lit. Les seins à l’air bien éveillés, elle enfile sa petite culotte avant d’octroyer un petit clin d’œil à Gauthier.  

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«Mais putain casse toi ! Tu vois pas que je suis occupée là ? J’ai pas besoin d’un queutard qui sait pas se servir de sa machine je me débrouille très bien toute seule.» c’était désespérant, cette fille était désespérante. Je me mis à rire encore perturber par le spectacle qu’elle m’avait offert. Une Biddie sous le point de jouir. C’était un concepts que je ne m’étais jamais trop imaginer. Elle me balança un oreille que j’eu le temps d’éviter. Elle était énervée la cocotte et je ne pu retenir cette expression amusé plus longtemps. J’avais gagné. Je me rapprochais pour pouvoir lui balancer sa petite culotte avant de l’entendre encore raller. « Rapproche toi encore plus près si tu veux mater, je sais que c’est surement la première fois que tu vois une femme à poil. Va plutôt te masturber devant winnie l’ourson parce que la truie t’emmerde.» je levais les yeux au ciel face au venin qu’elle venait de déverser. C’était une habitude chez nous. Elle retira sa main et approcha ces doigts pour les léchés sensuellement. Putain elle était sérieuse de faire sa. Je déglutis. Biddie avait beau être une putain de connasse prétentieuse et chiante. Elle en restait pas moins désirable. Pour effacer cette vision, je lui jetais sa culotte au visage. Tient prend sa. « Comment tu sais que c’est la mienne et pas à un des gigolos que tu baises ?» et la je me mis à rire avant de rajouter tandis qu’elle s’était levé de son lit à poil. Mon regard s’arrêta sur son cul plutôt pas mal pour une garce dans son genre. Un sourcil légèrement levé, je tournais ma tête pour profiter du spectacle. « Je sais que c’est la tienne parce que tu laisses des traces !» dis-je en allant m’asseoir sur une de ces chaises. En réalité, il n’était pas difficile de reconnaître les sous vêtements de Biddie. De la dentelle et un peu de simplicité rendait les choses tout de suite bien visible. Aucune femme n’avait eu accès à ma valise pas même la fille d’hier soir. « Tu tacles sévère ce matin dit donc ! Alors comment sa se passe le summer camp ?» dis-je simplement avant d’attraper le portable de la blonde. Un code était demandé et instinctivement je mis les quatres 0 avant de voir le téléphone s’ouvrir. « Putain t’es sérieuse ? quatre 0 pour ton code ! » dis-je en tournant mon regard vers l’étudiant qui était toujours les seins à l’air. Je fis une grimace et finis par me lever. Je tendis le téléphone et fis une photo éclaire. « Faut les trouver ton nichon ! t’as jamais pensé à te les faire grossir ?» dis-je sérieuse. 

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Comme la peste ou le choléra, Gauthier n’était jamais très loin. Il était exaspérant, énervant, emmerdant, barbant et même chiatique. Biddie éprouvait des désirs de meurtre à son égard, mais malheureusement pour elle Gauthier semblait y voir des signes d’amour. Il la collait encore plus. Biddie pourtant ne s’attache pas. Elle est froide et distante, une connasse sans cœur parce qu’au fond ça fait moins mal. Concept que son compagnon de misère ne semblait comprendre. Il ne comprenait d’ailleurs pas grand-chose sinon il aurait assimilé depuis longtemps que sa présence dans la chambre de Biddie était indésirable. Tout ce qu’elle souhaitait c’était un endroit calme où se reposer. Elle n’eut d’autre choix que de se lever de son lit pour enfiler sa petite culotte. Au moins maintenant elle n’était plus compétemment nue et offerte à lui. Bien que la situation l’indifférait. Biddie devait oublier ses rêves de prince charmant, maintenant les hommes était juste des cons qui pensent qu'au cul. « Je sais que c’est la tienne parce que tu laisses des traces !» Elle roulait les yeux au ciel, ronchonnant quelque chose qui ressemblait fortement à « Le mec il se prend pour un archéologue du slip, alors qu’il est aveugle. » « Tu tacles sévère ce matin dit donc ! Alors comment ça se passe le summer camp ?» « On ne va pas se demander pourquoi hein. » s’exclama-t-elle blasée une pointe de sarcasme dans la voix. « Il se passait bien jusqu’à ce que je vois ta tronche et toi ? » rajouta-t-elle de sa voix la plus mielleuse. Gauthier pouvait très bien s’être fait bouffer les pieds par un requin qu’elle en aurait rien à foutre, enfin non elle sauterait surement de joie. C’était son bonheur à lui qui lui donnait envie de gerber. Rien était plus pire de le voir le visage rayonnant et fier. Biddie préférait ignorer sa présence, cherchant dans sa valise un quelconque t-shirt ou bout de tissus pour se recouvrir. Du coin de l’œil elle vit Gauthier s’asseoir et attraper son portable. Mais oui fait comme chez toi que Biddie avait envie de s’époumone. « Putain t’es sérieuse ? quatre 0 pour ton code ! » « C’est toujours plus de trou que t’as vu dans ta vie chou. » soulignait-elle cruellement un sourire espiègle accroché au visage. Biddie abandonna sa recherche, trop préoccupée par ce que Gauthier allait trouver dans son portable. Elle n’eut pas le temps de crier connard rend moi mon portable que ce dernier prit une photo de ses seins. C’était si rapide qu’elle fut aveuglée par la lumière du flash. Il allait tellement s’en mordre les doigts qu’il allait devoir se branler avec les coudes. Un sifflement rauque sorti de sa bouche, annonçant rien de bon. « Faut les trouver ton nichon ! t’as jamais pensé à te les faire grossir ?» « J'ai des talons plus grand que ton pénis. Alors va te faire foutre. » Trou du cul. On dit que la méchanceté d'un homme fait de lui un démon, alors dans ce cas la méchanceté d'une femme fait d'elle un enfer. En roulant un simple drap autour de ses courbes Biddie se jeta sur Gauthier, s’asseyant sur ses genoux. Le coinçant ainsi, leur deux visages face à face, bien que celui de Biddie le toisait de sa hauteur. « Rend le moi ou je te coupe les couilles. » chuchota-elle au creux de son oreille le menaçant.