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Ce soir, je profitais d’une de ces bonne vieille soirée. Le summer camp avait ces biens faits. Les soirées s’enchainaient à une vitesse déconcertante, il était parfois bien difficile de suivre le rythme. Une bière à la main, j’étais entouré de mon petit groupe d’ami. Enfin ami était un bien grand mot, disons simplement qu’ils restaient un peu plus que de simples connaissances. Je n’avais jamais éprouver le besoin d’être entourer. La solitude ou les conseilles d’un bon ami valait bien mieux que l’avis d’une multitude d’abruti. J’avais toujours fait en sorte de ne pas m’attacher, à rien, ni personne et ma façon de vivre pouvait parfois en surprendre plus d’un. Je ne dépendais de personne pas même de mes meilleurs amis ou de ma famille. Mon regard scruta les environs, la fête était à son apogée. Les étudiants recouvraient le sable encore tiède de la plage. Le soleil lui se couchait doucement. Le paysage était magnifique, superbe pour annoncer le début d’une belle soirée. Mon regard s’arrêta sur plusieurs corps féminin. Tous aussi bonne les une que les autres, ce soir. La soirée offrait de fabuleuse demoiselle à me mettre sous la dent. En réalité, j’étais en train de me convaincre que leur présence suffisaient pour me faire oublier cette fille. Cette mystérieuse demoiselle rencontrée un peu plus tôt dans la semaine. Je fronçais les sourcils en repensant à cette putain de soirée blanche organisé par l’hôtel. Ces seins et ses lèvres hantaient mon esprit. Dire que je n’avais pas pensé à elle serait un euphémisme. En réalité, je m’étais consolé de la pire des manières qui soient. Un souvenir, une soirée en solitaire, quelques mouchoirs. Putain l’angoisse ! Je m’étais astiqué le manche en pensant à cette putain d’emmerdeuse. Cette même fille qui rougissait au premier mort haussé que j’osais sortir et cette même fille qui avait eu le cran de retirer ma chemise pour ce couvrir. Cette nana avait réussi là ou beaucoup de fille avait échoué. Elle avait attiré ma curiosité en gardant un contrôle presque impeccable sur sa personne. Je ne connaissais rien d’elle, pas même son putain de prénom. Je me surpris à soupiré. L’évidence était elle que je ne l’avais pas revu depuis cette soirée. Aucun regard ne ressemblait au sienne. Perdu dans mes pensées, une main caressa délicatement mon dos pour venir se placer sur mon épaule. Mon regard se tourna vers l’inconnue. Je me mis à soupirer lorsque mon regard croisa le regard bleuté de cette fille. « Saluuut gauthier ! Alors tu as bien dormi ?» mes sourcils se froncèrent. Elle était conne ou quoi. Vraiment pas décider à rentrer dans son jeu, une de mes mains saissisa la sienne pour la relacher. J’apportais ma bière à mes lèvres et en bus une gorgé avant de lui dire : « J’ai pas dormi, alors vient pas me casser les couilles. Je suis pas d’humeur.» aussi aimable d’un poteau électrique. La belle brune me fusilla du regard et le rire d’Eric s’évapora dans l’espace. Il s’approcha et passa son bras autour de ma nuque. « On te changera pas Gauthier ! hein ! Veuillez l’excuser, c’est un connard.» je tournais ma tête avant de lui retirer son bras. Quels bandes de relou. C’était moi le connard ? j’étais pas d’humeur ! J’avais bien le droit. Sans prévenir, mon regard se releva et croisa cette silhouette. Celle de mes fantasmes, celle que j’avais imaginer sur moi, celle que j’avais imaginer baisé comme pas possible la nuit dernière. Cette fille se trouvait à plusieurs mettre de moi. Elle était là. Un sourire fin s’afficha sur mes lèvres. Son regard m’ignorait. Elle était aussi sublime que dans mes souvenirs. La belle portaient un superbe short mettant une nouvelle en avant ces jambes et un débardeur laissant entrapercevoir sa poitrine généreuse. Sa poitrine. Ma gorge se serra. Je la regardais faisant attention de ne pas attirer son attention. Je n’allais pas l’approcher du moins pas tout de suite. Mon regard s’arrêta sur son verre. Elle buvait. Mes sourcils se froncèrent avant de se reporter sur la casse couille d’à coter. Je bus la totalité de ma bière et fis : « Vous me faites chier ! je vais me chercher une bière !» dis-je froidement. Cette fille était aussi recycler qu’une putain de bouteille en plastique. Bonne au pied, ces biens fait ne m’avaient pas marqué plus que sa. Je marchais en direction du bar jetant plusieurs regard curieux à cette gloria. « Une autre bière, s’il vous plait !» je déposais un billet sur le bar et le serveur l’apporta aussitôt. Elle ne me regardait pas. Lasser par cette attente insoutenable, je reportais mon attention devant moi. Putain... si sa se trouve, elle se souvenait même plus de moi. Rester sagement assis ne me ressemblait pas.  « fait chier.» prêt à bondir vers cette blonde emmerdante. Je m’approchais rapidement de sa silhouette, beaucoup trop rapidement. Elle semblait parler, je commençais à entendre les doux son de sa voix. Je me mis à sourire et sans crier garde, je la bousculais renversant une bonne partie de ma bière sur ces vêtements. Un rire sadique presque diabolique s’afficha lorsque je contemplais mon résultat. Elle se retourna précipitamment, prête à m’alpaguer. Mon regard la dévisagea. « BORDEL, tu peux pas te barrer de là » dis-je en me foutant de sa gueule ouvertement. Elle savait pertinemment que j’étais en train de reproduire le même scénario que dans la piscine. Mon regard se porta ensuite sur la personne qui se trouva derrière moi. « Erin ?!» dis-je en fronçant les sourcils. Erin faisait partie de ces bonnes vieilles amies qui se comptaient justement sur les doigts d’une seule main. J’approchais d’elle, ignorant complètement la jolie blonde. Prend sa dans la figure, sa t’apprendre à ne pas relever le regard quand je te regarde pensais-je. J’embrassais la jolie brune pour la saluer pour me reculer. Mon regard se porta ensuite sur les vêtements de l’inconnue. « Désolé au faite !» dis-je en pointant sa robe. J’étais plutôt froid, en réalité, j’étais en train d’analyser son comportement. Avait-elle penser à moi autant que j’avais penser à elle ? L’ignorance était la meilleur chose que j’avais trouver. Erin poursuivit : « Shaïna, je vais te présenter cet brut.» Mon sourire s'évapora, elle était sérieuse de parler de moi comme sa. Mes sourcils se fronçaient avant de porter mon regard sur cette fameuse Shaïna. C’était mignon, bien plus jolie que ce putain de prénom que je lui avais donner. Erin fit une nouvelle fois : « Gauthier voici Shaïna, Shaïna voici Gauthier.» sa main était en suspent. Mon regard lui s’était imobilisé sur son regard. Toujours aussi belle je lui fis : « Shaïna ? c’est donc sa ! Je préfère Gloria comme même.» Je me mis à sourire avant de reporter mon attention sur mon amie. Ahah, aller dégluti Shaïna. Montre moi que tu as envie de moi. Erin fronça les sourcils et fit : « Vous vous connaissez ?» Shaïna me regard d’un air interrogateur, je soutenais son regard et fis froidement : « Non ! on se connait pas, on a juste passer un moment dans la piscine l’autre fois, rien d’exceptionnel.» je haussais mes épaules. Ignorant presque la putain d’attirance qui s’était ressenti ce soir là. Ignorant le putain d’effet qu’elle m’avait fait quand elle m’avait retirer ma chemise. Chemise qu’elle avait soigneusement garder, du moins, je l’espérais. La blonde semblait troubler et à la fois énerver. Elle apporta son verre d’alcool à ces lèvres et mes sourcils se froncèrent. Putaiiiiiiiiin, je te vois venir bella avec ton verre d’alcool !

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Shaïna commençait à apprécier ce Summer Camp. Plutôt discrète depuis le début des vacances, les récents événements l'avait fait réfléchir. La belle blonde voulait profiter de chaque instant, elle ne voulait avoir aucun regret en rentrant sur Cambridge. L'année s'annonçait très difficile, elle avait plusieurs projets qui lui tenaient à coeur. La Cabot voulait briller dans la mode et elle comptait bien tout mettre en oeuvre pour y arriver. Mais pas ce soir. Non, ce soir, elle était de sortie. Enfilant rapidement un short et un débardeur de couleur noir. Il était relativement décolleté et plutôt évasé au niveau du ventre. C'est bon, elle avait donné dans le blanc et dans le moulant. Cette fois, elle se la jouait sobre. La jeune fille marcha jusqu'à sa valise où se baissa pour y sortir sa trousse à maquillage. Elle se plaça devant le miroir et afficha un léger sourire. Shaïna ouvrit sa trousse et sortit sa poudre. Elle ne faisait pas dans le vulgaire et optait toujours pour un maquillage discret et naturel. Cependant, les traits de fatigue commençaient à ressortir. Elle approcha son visage et vint couvrir de légères cernes avec de la poudre. Un peu de mascara, un petit coup de crayon suffisaient à embellir son visage. La Cabot avait de grands yeux, elle savait les mettre en valeur sans passer pour une voiture volée. Son regard s'attarda sur l'élastique blanc délicatement posé devant elle. Shaïna le prit entre ses doigts et ne pu s'empêcher de soupirer. Elle reporta son attention sur son reflet dans le miroir et déglutit. C'était du grand n'importe quoi, elle n'arrivait pas à se défaite Gauthier de l'esprit. Cet homme aussi détestable que séducteur. La blonde voulait oublier cette soirée blanche, elle ne voulait plus y penser pourtant, c'était plus fort qu'elle. Le silence régnait en maître dans sa chambre, elle se pinça les lèvres avant de lever les bras et d'arranger ses cheveux en une jolie tresse épaisse. Elle laissa sa tresse tomber sur son épaule droite. Shaïna ne voulait pas être emmerdée avec ses cheveux. Son portable s'alluma et sans chercher à comprendre, elle le déverrouilla et répondit à l'appel de sa copine. « Allô ? » répondit-elle en s'asseyant sur son lit. Elle posa son portable sur son épaule pour pouvoir libre accès de ses deux mains. Alors que son ami râlait sur elle, la petite blonde attrapa furtivement ses chaussures qu'elle enfila. « Oui oui, j'suis prête. Je suis dans l'ascenseur, j'arrive. » dit-elle avant de raccrocher. Menteuse. Shaïna n'aimait pas mentir mais elle n'aimait pas non plus que sa copine lui cri dessus. C'était pour la bonne cause. Elle se leva rapidement et balança son nouveau portable sur le lit, elle n'aurait pas besoin de ça ce soir. Elle regarda autour d'elle, à la recherche d'un sac ou quelque chose à prendre. Dans la panique, elle ne trouva rien. « C'est pas possible ... bon tant pis. » soupira-t-elle avant de prendre les clés de la chambre et de claquer la porte. Shaïna partit sans rien, juste deux ou trois billets dans sa poche avant. Même pas pull, même pas de papiers, elle n'avait absolument rien sur elle. Tête en l'air, la belle blonde ne pensait qu'à une chose, s'amuser. Elle emprunta le couloir  avant d'appeler l'ascenseur et grimpa dedans. Elle arrangea sa coiffure le temps de la descente. La Cabot traversa le hall d'une démarche féline et élégante. Elle pressait le pas pour rejoindre son amie dehors. Heureusement pour elle, il faisait doux, la journée fut extrêmement chaude. Un pull ne lui aurait été d'aucune utilité. Alors qu'elle marchait en direction de son amie, elle éclata de rire en la voyant sur un vélo. « T'es pas sérieuse ? Ahah, tu es géniale. » lança-t-elle, le regard émerveillée. Une fois à sa hauteur, Shaïna déposa un bisou sur sa joue et admira le vélo. Ce dernier était très stylée et lui inspirait déjà quelques créations. Une sorte de vélo chopper pour adulte avec un large guidon et une grande roue à l'avant. « Je t'emmène sur ma chopper ma poulette. » dit son ami avec une voix assez masculine. Elles explosèrent de rire. « Très virile June, on y croirait presque. » Sans chercher à comprendre, Shaïna s'avança et vint s'installer sur le guidon de son vélo. C'était imprudent et hyper dangereux mais les deux filles n'avaient pas d'autres moyens de transport. Pour une fois qu'elle pouvait s'amuser, elle n'allait certainement pas faire la difficile. Elles auraient pu appeler un taxi pour se rendre à la plage où se déroulait la soirée mais non, c'était plus amusant ainsi. C'est donc dans des éclats de rire qu'elle se rendirent à la soirée. Les deux filles manquèrent de se casser la gueule au moins trois fois. Une fois sur plage, June gara son vélo et l'accrocha à un poteau à l'aide d'un antivol à moitié défoncé. La Cabot l'aida à l'accrocher et ensemble, elles se dirigèrent sur le sable. Rapidement, son amie se tourna vers elle et lui attrapa le bras. Shaïna s'arrêta de marché et la regarda d'un air interrogateur. « Qu'est ce qu'il y a ? » demanda-t-elle. La brunette afficha un large sourire avant de se placer devant la petite Caldwell. « Shaïna, c'est lui, l'homme dont jetai parlé. Il est là !!! Ça t'ennuie si je vais le voir ? » Son ami était presque en train de la supplier pour la laisser en plan. La Cabot afficha un large sourire avant de regarder le mec d'un peu plus prés. « Non vas-y, c'est pour ça. Amuse-toi bien ma belle. » lança-t-elle sur un air aussi excitée que celui de son ami. June hésita quelques minutes avant de finalement la laisser en plan pour rejoindre le gars. Shaïna regarda son amie partir vers le gars et soupira longuement. Tout ça lui rappelait à quel point elle était seule et désespérée. Elle se dirigea vers le bar où elle commanda un verre de cocktail alcoolisé. La belle blonde aimait les cocktails sucrées, c'était son petit péché mignon. Elle ne buvait pas souvent et était donc, très rapidement saoule. Elle allait devoir faire attention ce soir. L'ambiance semblait être au rendez-vous, il y avait du monde et de la musique sympa. Shaïna apporta son verre à la bouche et bu une gorgée. Elle se retourna pour jeter un rapide coup d'oeil aux alentours. Son regard s'arrêta sur un homme aux allures de badboy des temps moderne. La blondinette retira son verre de sa bouche et manqua de s'étouffer avec le liquide. Elle déglutit en le voyant au loin. il était encore plus beau que dans ses souvenirs. Son sang se glaça sur place et un frisson lui parcouru le corps. Rapidement, la Cabot détourna son regard et lui tourna le dos. Elle écarquilla les yeux et ne pu se résigner à afficher un fin sourire sur son visage. Elle était contente mais également stressée. Comme une gamine, elle se risqua de tourner sa tête légèrement sur le côté pour l’apercevoir. Sa déception fut immense de le voir en compagnie d'une belle brune. De loin, elle semblait tellement plus jolie qu'elle. Tous les rêves qu'elle avait nourri à son sujet venaient de s'envoler en une fraction de seconde. Elle était énervée contre elle même. Comment avait-elle pu croire, qu'un type comme lui pouvait être attirée par une fille comme elle. C'était juste impossible. Il ne cherchait qu'à satisfaire ses pulsions de mâle, rien de plus. Shaïna soupira bruyamment avant de détourner son regard. Elle était en furie contre elle-même. Se laisser berner aussi facilement. Arrête d'être aussi naïve, pensa-t-elle avant d'apporter son verre à la bouche et d'en boire une grosse gorgée. La blondinette vit Erin, l'une de ses amies. Sans chercher plus loin, elle jeta un dernier regard à Gauthier avant de se résigner à s'accrocher à du vent. Elle se dirigea vers Erin qui l’accueilli à bras ouvert. La Cabot retrouva immédiatement le sourire et décida d'oublier Gauthier, ce monstre, maniaque du contrôle et manipulateur. Elle se détendait au fur et à mesure que le verre se vidait. Un ami à Erin alla leur chercher de nouveaux verres, Shaïna ne se fit pas prier pour accepter cette proposition. Elle bu assez rapidement le deuxième verre et alla, elle-même s'en chercher en troisième. Après tout, elle était là pour s'amuser et l'alcool semblait être de très bonne compagnie. La blondinette parlait beaucoup et rigolait pas mal. Elle laissait la bonne humeur communicative de son amie la dominer. Et alors qu'elles rigolaient sur le physique d'une fille non loin d'elles, Shaïna fut bousculée assez sauvagement. L'impact lui rappela étrangement celui de la piscine et elle ne fut même pas étonnée de croiser le regard de Gauthier. Il s'était approché d'elle pour lui donner un coup d'épaule. Décidément, il était dérangé ce type-là. Il venait de renverser sa bière sur elle, évidemment, pour pas changer. La Cabot se redressa et lui afficha un regard noir. « Et toi, tu peux regarder où tu marches ? T'as un problème avec la gravité ? » répondit-elle sur un ton agressif et mauvais. Alors que Gauthier salua Erin, Shaïna en profita pour secouer son t-shirt. Un tas d'injure lui vint en tête. Elle le détestait et regrettait presque d'avoir pensé à lui ces derniers jours. non, cet homme n'était pas fait pour elle. C'est drôle comment le cerveau n'avait gardé que la fin. Comme si, la rose avait oublié le reste de la soirée blanche. Il s’était montré exécrable envers elle. Lorsque Gauthier lui présenta ses excuses, elle ne le regarda pas et haussa les sourcils en regardant Erin. « J'commence à être habituée à tomber sur des abrutis. » dit-elle en rigolant légèrement. Contre toutes attentes, Erin fit les présentations. Shaïna fronça les sourcils en l'entendant dire son nom. Et merde, il allait la faire chier avec ça. Super ! Vive la soirée de merde. La Cabot ignora toute leur conversation et plissa les yeux lorsqu'il avoua préférer Gloria à son prénom. Elle soupira, excédée par la situation. « T'es bien le seul. » répondit-elle sur un ton tranchant. Erin eut rapidement des soupçons et leur demanda s'ils se connaissaient. Ah, question fort intéressante. La jeune fille se tourna vers Gauthier, curieuse d'entendre la réponse. Ce dernier répliqua que non, ils avaient juste passés un moment dans la piscine. Et pour reprendre ses termes, il n'y avait rien d'exceptionnel là-dedans. Forcément, quand on est habitué aux prostituées, tomber sur une fille bien ça change. Shaïna ne réagissait pas et se contenta d'apporter son verre à la bouche et de le terminer d'une traite. Elle était vexée mais hors de question de le montrer. « Rien d'exceptionnel, j'aurais pas dit mieux » dit-elle en éclatant de rire. La jeune fille regarda Gauthier dans les yeux et haussa un sourcil de satisfaction. Allez, retour à l'envoyeur. Inconsciemment, elle apporta son gobelet à la bouche et mordilla le bord. Elle était stressée. Une nouvelle fois, sa présence la perturbait. En voyant qu'il la regardait, elle enleva le gobelet et lui fit une grimace l'air de dire " arrête de me saouler et barres-toi. " Erin lança une petite vanne à laquelle Shaïna ne réagit pas. Elle parlait surement à Gauthier. Quoiqu'il en soit, ils furent coupés par l'un des barmans qui vint les déranger. Ce dernier tendit un verre à la petite Caldwell avant de dire « De la part de la personne là-bas. » La Cabot fronça les sourcils et regarda en face d'elle pour voir June accompagnée de deux mecs. Un large sourire s'afficha sur son visage, June voulait certainement se faire pardonner de l'avoir abandonné sans le moindre scrupule. Shaïna pouvait tirer cette situation à son avantage puisque d'ici, on pouvait aisément penser que l'un des deux mecs qui accompagnait June lui avait offert ce verre. Ils regardaient tous les trois dans leur direction. « Merci, c'est gentil. » répondit-elle au serveur avant de prendre le verre. Un large sourire était posté sur son visage. Elle ne regardait pas Gauthier mais devinait sa tête. Shaïna tendit le verre à Erin qui le prit. « Tu peux me tenir ça deux secondes, s'il te plait ? » demanda-t-elle à son amie. La blondinette retira délicatement l’élastique de ses cheveux et le remit autour de son poignet. Elle n'était pas du tout à l'aise en présence de Gauthier mais voulait lui faire payer cet affront. De ses doigts fins, elle vint dénouer sa tresse. D'un mouvement franc et féminin, elle mit ses cheveux en pagaille en prenant soin de laisser une mèche sur le côté. Elle remercia Erin en reprenant le verre, juste avant de se trouver vers Gauthier. heureusement qu'il faisait de plus en plus sombre, il n'allait pas voir qu'elle rougissait. Le vent fit voler légèrement ses cheveux. Elle prit son courage à deux mains et parla droit devant elle. « Vous m'excusez, la politesse veut que j'aille remercier la personne qui m'offre un verre. » dit-elle d'un ton ironique et vieux. Fière d'elle, Shaïna le laissa en plan et se dirigea vers June et les deux mecs qui l'entouraient. Ah, elle était en furie et dû lutter pour ne pas se retourner. Ignore-le Shaïna, il n'en vaut pas la peine.
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Bien décidé à ne pas changer de méthode d’approche, je m’étais une nouvelle fois comporter de la pire des manières qui soient. Fière de ma connerie et plutôt satisfait de voir cette lueur dans ces yeux. J’appuyais comme un vieille abruti sur les cordes sensibles de la jeune femme, réduisant notre rencontre à un simple rien. J’étais un menteur, un putain de menteur. Cette rencontre avait bouleversé mon équilibre, elle s’était immiscée en moi et aujourd’hui encore il était difficile pour moi de rester dans l’ignorance. Cette fille je l’avais désiré et je la désirais, aussi con que celui puisse paraître. La blonde bredouilla quelques paroles, je n’y avais prêté aucune attention laissant la jeune femme dans son délire paranoïaque. Énerve toi ma beauté. Son regard me fixait tandis que mes yeux allaient et partaient sur son corps avant de l’entendre répondre à mon insulte. « Rien d’exceptionnel, j’aurais pas dit mieux» dit-elle en rigolant. Mes sourcils se froncèrent légèrement avant d’apporter le goulot de ma bouteille de bière à mes lèvres. Ma tête se pencha en arrière pour pouvoir boire une grande gorgé de cet alcool. Mon regard s’arrêta ensuite sur elle, détaillant chaque mimique de son visage. Une certaine fureur pouvait se lire dans ces yeux. Elle était énervée ou du moins s’était ce que je supposais. Elle apporta ces lèvres si bien dessiné à son verre. La voire boire m’irritait au plus au point. Pourquoi avait-elle se besoin d’abuser de ces merdes ? Elle mordilla son gobelet et mon regard fixait ces lèvres avant de comprendre qu’elle me chassait. « De la part de la personne là-bas.» mon regard se fronça avant de tourner mon visage vers cet homme. J’étais menaçant, bestiale tellement la surprise était immense. Cet homme me rappela à ma triste réalité. Mon regard analysait la réaction de Shaina. Elle n’allait comme même pas accepter, pas après tout les verres qu’elle avait du se taper. Elle reporta son regard vers le bar cherchant désespérément une personne à remercier. Putain ! NON ! Mon regard était noir, glaciale. Mes mains seraient ma bouteille de bière tellement fort qu’on pouvait voir la jointure de mes doigts blanchir. « Merci c’est gentil.» son sourire de fille courtoise s’afficha. Putain mais non, mon sang bouillait dans mes veines. Le serveur me regarda quelques instant avant de baisser le regard. C’est sa baisse les yeux putain de connard. Le visage de Shaina était tournée vers ce bar, elle m’ignorait pleinement chose qui ne plaisait pas. Mon regard se tourna vers Erin, comme pour lui dire, va y ouvre la ta gueule. Dit lui, quelle ne doit pas mais la brune n’attarda aucune importance à mon regard menaçant. Putain les amies ! Geniale ! Shaina tendit son verre à Erin avant de lui dire : « Tu peux me tenir ça deux secondes, s’il te plait ?» La brune prit son verre et je ne pu retenir mes paroles. « Tu vas comme même pas prendre ce putain de verre ! t’es déjà à ramasser par terre !» dis-je sur la défensive et sur un ton relativement froid. Shaina retira son élastique. Le même élastique qu’elle avait mit à notre première rencontre, le même élastique qui m’avait offert une putain de vu sur ces nichons. Ma gorge se serra attendant un pique de sa part, quelque chose mais rien. Elle relâcha sa chevelure légèrement boucler par la tresse qu’elle s’était faite. Je la détaillais ne pouvant me détacher de ce spectacle. Elle se tourna vers moi, me fixa dans la pénombre et finit par dire : « Vous m’excusez, la politesse veut que j’aille remercier la personne qui m’offre un verre.» prend toi sa gauthier, prend toi sa en pleine gueule. Mon sang se glaça. Putain de chieuse. Elle me provoquait et son sourire narquois en disait long sur ce qu’elle ressentait. Va y, va le baiser ce connard pensais-je. Hors de moi, je la voyais s’éloigné. Je me mis à marcher en boucle allant et venant tout sa sous les yeux de Erin. Elle fronça les yeux sous mon comportement. « N’y pense même pas Gauthier !» dit-elle en sachant pertinemment à quoi je pensais. Mon regard se posa furtivement sur la belle blonde qui se trouvait trop loin moi et trop prêt de ces fils de putes. Ma mâchoire se crispa avant d’apporter la bouteille à mes lèvres. J’en bus tout le contenu avant de balancer la bouteille au loin. Tant pis si elle tombe sur la tronche de quelqu’un t’avait pas qu’à être la. Je marchais, essayant de contrôler mes envies de meurtre. Erin s’approcha prête à ouvrir une nouvelle fois sa bouche. « Erin putain, ferme la s’il te plait ! Et donne moi sa...» dis-je en m’avançant subitement vers elle pour renverser le verre d’alcool que Shaina venait de se faire offrir. Dans ta gueule connard, elle le boira pas ton verre. « Gauthier qu’est ce qui te prends putain ?!» je fronçais les sourcils et lui fis un peu trop fort ce qui attira quelque regard curieux vers nous. « Ce qui me prend ? ils veulent la baisé ! ils veulent se faire une putain de partouze tout ensemble et elle est trop bête pour le savoir ! Faut tout lui apprendre à cette meuf !» dis-je sur un ton assez mauvais. En réalité, j’étais persuadée de me tromper. Cette fille savait de nombreuse chose sa se sentait. Légèrement curieuse, elle devait sans doute ce réfugier dans une passion qui l’animait complètement. Cette fille était passionnée sa se sentait. Erin me frappa l’épaule comme pour m’ordonner de redescendre sur terre. Prête à m’achever une nouvelle fois sur place, la main d’Eric se porta une nouvelle fois sur mon épaule. Non mais le putain de relou. « Dans le genre casse couille toi des fois ! t’es pas mal.» dis-je en me défaisant de son emprise. Je m’étais immobiliser ne quittant pas shaïna des yeux. Touche là abruti et je te refais le portrait. Erin me regardait bizarre avant de se mettre à parler avec Eric. Subitement plusieurs membres de mon groupe nous rejoignait. Je n’étais pas d’humeur, vraiment pas d’humeur à écouter leur histoire de cul. Légèrement à l’écart, je me retenais de foncer tout droit vers elle. Je me mis à soupirer avant de reporter mon attention sur un abruti. «... je fais le pari ! ça va être facile de la baisé, j’en suis sûr.» je n’avais pas écouter le début de leur discutions trop occuper par l’affront que shaïna venait de me faire. « Vous parlez de qui ?» dis-je machinalement essayant de me calmer en m’intéressant à leur vieille histoire de pari. L’homme s’approcha de moi et me montre du doigt Shaina. « J’ai accepté le pari de baisé cette fille ! ils sont persuadés qu’elle ouvre pas facilement les cuisses. Les cons.» fit-il en rigolant lourdement. Mon regard noir se tourna vers le merdeux et sans plus attendre. Ma main s’approcha de sa nuque et l’entraîna avec moi dans un coin un peu plus isolé ! Ma mâchoire me faisait mal, tellement crispé à l’idée de savoir shaïna dans son pieu. Je tentais de garder un sans blanc de sans froid. « Laisse là moi ! cette petite pute à besoin d’apprendre les leçons d’un connard comme moi.» dis-je en hochant la tête et en affichant un sourire amusé sur mes lèvres. Sa me brûlait les lèvres de parler d’elle comme sa mais pour son bien et pour mon bien ce mec devait lâcher l’affaire. Un pari était un pari dans notre groupe. On ne plaisantait pas là dessus, un contrat avait été placer sur la tête de la blonde et il était hors de question que ces mains d’enculé là touche. Pas même que ces putains de mec au bar. Mon pote me regarda et finit par apporter sa main devant moi. « Bon courage mec ! on dit que c’est une mère Térésa.» dit-il en rigolant avant de partir. Une mère Térésa s’était vraiment ce qui se disait sur elle. D’un côté je n’étais pas si surpris que sa. Cela expliquait bien des choses. Sans trop savoir comment, je me retrouvais à marcher tout droit vers le bar ou se trouvait Shaïna. Son rire me parvenait à l’oreille. Les nerfs revenaient me tirailler de l’intérieur. Elle était assise juste à côté de ce mec. Beaucoup trop proche d’elle. Mes yeux se plissaient avant de bondir sur les deux étudiants. Je m’approchais me postant derrière Shaïna. L’inconnu tourna son regard en voyant que je m’étais collé au dos de la blonde. Mon bras passa au dessus de son épaule effleurant son visage. Je pris son verre qui était encore pleine et constata qu’elle étais à son deuxième verres ici. Je bus le liquide et grimaça en constatent qu’elle buvait de la tequila. Je reposais son verre lourdement contre le bar. « TOI PUTAIN !» dis-je en tournant ma tête vers l’inconnu. Sans en rajouter, ma main se plaça derrière la nuque du mec et plaqua lourdement sa tête contre le devant du bar. Son nez s’écrasa contre le bois massif et un cri de douleur s’échappa d’entre ces lèvres. Je venais sans doute de le péter le nez. Il apporta ses mains à son visage retenant le flot de sang qui coulait et je lui fis : « Essaye encore une fois de la soûler et c’est bien plus que ton nez que je casserai !» dis-je froidement. Mon regard était noir, glaciale. Il se porta à la blonde qui semblait aussi surprise qu’effrayer. « Et toi ! T’avise même pas d’ouvrir ta jolie gueule ! Tu viens avec moi.» dis-je en la tournant brusquement vers moi. Son tabouret pivota et en une fraction de seconde, elle me faisait face. Elle semblait pétrifiée pourtant son sourire ne la quitta pas. L’alcool devait être déjà bien présent dans son système. Sans lui demander la permission, je m’abaissais vers elle. Mes mains se portèrent sans retenu sur ses hanche puis sur ces cuisses pour la soulever et la mettre sur mes épaules. Tout le monde nous regardait. « T’avise même pas à vouloir te débattre...» dis-je pour la prévenir. Je marchais sans trop savoir ou aller avant de reposer mon regard sur un muret, assez élever pour ne pas qu’elle puisse s’enfuir. Je la fis descendre pour la faire s’asseoir sur le bord en béton. Je m’éloignais un peu d’elle, il fallait que j’instaure cette distance. J’étais énervée et ce n’étais jamais bon de m’approcher dans ces moments. Alors que je m’éloignais son corps divaguait presque. A la limite de tomber, je me rapprochais d’elle pour me placer entre ces cuises. Mes mains virils se posèrent sur chacune de ces cuisses. « Bordel, t’es même pas capable de tenir assise shaïna !» dis-je dans un souffle. J’essayais de me calmer mais je n’y arrivais pas. Mes mains s’appuyaient fermement sur ces cuisses, comme pour lui montrer mon mécontentement. « Ce mec t’aurait baisé sans retenu à la fin de ton verre... t’aurait du refuser putain Shaïna !» dis-je en grognant et en cherchant de capter son regard. « Et si s’était pour me rendre fou, félicitation putain tu as réussi ton cou...»

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Mes pas étaient rapides mais hésitants, je devais quitter son emprise au plus vite. Ce mec n'était pas pour moi, penser le contraire serait de l'inconscience ou de la folie. C'était la deuxième fois que je le voyais, il avait utilisé exactement la même technique minable d'approche. Depuis quand pousser une  fille l'inciterait à remarquer un mec et à tomber sous son charme ? Ses méthodes étaient déplacées voire même irrespectueuses. Gauthier ne s'avait pas s'y prendre avec les femmes, ça crevait les yeux. Je n'étais pas vraiment une adepte de la drague mais j'appréciais qu'on me complimente ou qu'on m'offre un verre. Malgré mes allures de fille à papa riche, j'aimais les choses simples et savait me contenter d'un beau sourire ou d'un regard charmeur. En me voyant, n'importe qui pourrait deviner que j'avais besoin de douceur et d'attentions. Des choses que Gauthier ne pouvait pas m'apporter. Il n'était que brutalité et virilité. Il devait avoir un sérieux problème d'égaux ce gars là.  Je devais fuir au plus vite, avant que ce psychopathe ne s'immisce de trop dans ma vie. A cause d'Erin il connaissait mon prénom, même si elle était mon amie et qu'elle ne pouvait pas savoir, je lui en voulais. Je restais persuadée que Gauthier allait se servir de ce renseignement pour me mettre mal à l'aise. Je soupirais à cette simple idée. Alors que j'avançais vers le bar, j'essayais de me persuader que tout allait bien. Perdue dans mes pensées, je me forçais même à sourire. Croiser le regard de June m'arracha un fin sourire. Je me sentais plus en sécurité qu'avec Erin qui était, visiblement, dans la même bande de pote que Gauthier.  J'étais en train de fuir cet homme aussi malsain qu'envoûtant. Je me devais d'ôter son visage de l'esprit, il fallait que je passe outre son regard insistant sur moi. La soirée s'annonçait compliquée. Je levais les yeux au ciel, en colère contre moi-même. J'aurais mieux fait de prendre mon portable et me barrer de cette soirée au plus vite. Mais non, au lieu de ça, je m'enfonçais toujours un peu plus dans ma connerie. J'vais déjà bu trois verres et je sentais déjà les premiers effets de l'alcool sur mon organisme. Mes jambes semblaient flasques et ma tête plus légère. Pour dire vrai, je ne m'étais jamais prit de grosse cuite ou du moins, pas au point de ne plus savoir comment je m'appelais. J'arrivais devant June et afficha un large sourire. A l'intérieur de moi, je sentais le stress monter. J'avais provoqué un monstre et j'allais subir sa colère, tôt ou tard.  Mon amie, en me voyant arriver, fonça sur moi et me prit dans ses bras. Machinalement, j'entourais mes bras autour d'elle pour l'enlacer. Je fermais mes yeux quelques secondes avant d'être rassurer. J'étais mal et les larmes commençaient à monter en moi. Je levais les yeux délicatement pour les ravaler silencieusement. Ce simple contact suffisait à me calmer légèrement, j'avais besoin d’extérioriser la peur qui ne cessait de m'envahir depuis que j'avais croisé le regard de Gauthier. June se recula et passa son bras autour de mon cou. Elle me présenta Ethan, apparemment un copain de son futur plan cul. Génial. « Bah Sha, qu'est ce que tu as fait de ton verre ? » me demanda-t-elle bêtement. Je me pinçais les lèvres en remarquant que j'avais oublié le verre dans les d'Erin. Mes joues vinrent se tinter d'une couleur osée. J'approchais ma main de ma bouche et comme une petite fille, je me mis à rigoler. Je l'avais complètement zappée celui-là. Alors que je me retournais pour apercevoir le fameux verre, je vis Gauthier le foutre par terre en gueulant. Mes yeux s’écarquillèrent presque instantanément. Mes pommettes passèrent d'une teinte rosée à un blanc cadavérique. J'avais offensé Gauthier et je m'en voulais déjà. Je me retournais lentement vers June qui éclata de rire à son tour. « Désolé, j'suis ailleurs ce soir. » lançais-je en haussant les épaules. J'essayais de paraître le plus détachée possible de cette situation mais clairement, elle me rongeait de l'intérieur. Mon regard se porta sur Ethan, je lui fis un large sourire charmeur, histoire de me faire pardonner. ce dernier ne mit pas longtemps avant de répliquer. « C'pas grave ma belle, laisse moi t'en payer un autre. » Ça c'était de la réactivité, Gauthier prends-en de la graine. Enfin un mec sympa. Bon, il avait l'air un peu con mais gentil. En vérité, comparé à Gauthier, je le trouvais vide d'expression et de personnalité, c'était quand même un comble. Il avait du charme mais il n'y avait rien de mystérieux dans son regard ou dans l'intensité de sa voix. Ethan commanda un nouveau verre qu'il ne tarda pas à me tendre. Je le saisissais directement avant de venir m'asseoir sur la tabouret juste à côté de lui. « C'pas grave ma belle, laisse moi t'en payer un autre. » Ça c'était de la réactivité, Gauthier prends-en de la graine. Enfin un mec sympa. Bon, il avait l'air un peu con mais gentil. En vérité, comparé à Gauthier, je le trouvais vide d'expression et de personnalité, c'était quand même un comble. Il avait du charme mais il n'y avait rien de mystérieux dans son regard ou dans l'intensité de sa voix. Ethan commanda un nouveau verre qu'il ne tarda pas à me tendre. Je le saisissais directement avant de venir m'asseoir sur la tabouret juste à côté de lui. « Merci, Ethan. » dis-je subtilement. Le blondinet entama la conversation et me posa quelques questions sur ma vie, sur ce que je faisais à Harvard. Il s’intéressait à moi et ça faisait du bien d'avoir une vraie conversation avec un homme. Nous parlions comme deux individus normaux. Durant cette courte discussion, il ne me traita pas de prostitué, il n'eut pas de mots plus hauts que l'autre. Pendant un instant, j'en oubliais presque la présence de Gauthier non loin de moi. Je me surpris même à rire, l'alcool détendait mon esprit et mon corps. J'apportais régulièrement mon verre à ma bouche pour boire. Je n'avais pas soif, mais portée par l'ambiance de cette soirée, j'en profitais. Lorsque mon verre fut vide, je le levais vers Ethan pour lui faire comprendre que j'avais encore soif. En réalité, je ne voulais pas les quitter, je ne voulais pas affronter Gauthier, je ne m'en sentais pas la force. Le blondinet commanda deux autres verres et m'en tendis un sur les deux. J'affichais un mince sourire lorsque sa main frôla la mienne. Franchement, je n'étais pas d'humeur à flirtais avec un parfait inconnu. Il se tourna vers moi et s'avança d'un pas. Mon regard se détourna de lui, je ne voulais pas être emmerdée ce soir. Ethan attrapa ma main et y glissa discrètement quelque chose. « Avale ça ma belle et je t'emmène au paradis. » murmura-t-il afin que je sois la seule à entendre ses paroles. Mon regard se plongea dans le sien. Je fronçais les sourcils avant d'ouvrir ma main et de voir une petite pilule de couleur verte. Les yeux rivés vers ce petit cachet, je déglutis en sentant ma respiration s'accélérer. C'était quoi ça ? Du viagra ? La panique pouvait se lire dans mes yeux, je n'étais pas rassurée et ce n'était certainement pas le regard insistant d'Ethan qui allait m'aider. Je compris rapidement qu'il n'allait pas me lâcher tant que je n'aurais pas avalé sa pilule. J'inspirais profondément avant de lui lancer un regard faussement amusé. « A la tienne Ethan. » dis-je en lui présentant mon verre. Le blondinet fit claquer son verre contre le mien et attendit bien sagement que je prenne sa petite pilule magique. « A la tienne, petite Shaïna. » J'apportais le cachet verdâtre à la bouche et fit semblant de l'avaler. Je bu une gorgée pour paraître plus crédible. Un large sourire vint orner le visage du blondinet. Non mais quel connard celui-là, il voulait me droguer pour me mettre dans son lit. J'étais  furieuse mais je ne le montrais pas pour ne pas éveiller les soupçons. J'ignorais les effets de sa pilule, j'allais devoir ruser pour lui échapper. Décidément, je tombais que sur des cons en ce moment. Je me désespérais toute seule. Je profitais qu'Ethan regardait ailleurs pour fourrer la pilule dans la poche avant de mon short. Je soupirais silencieusement, me demandant toujours comment j'allais échapper à ce détraqué. En fait, je faisais semblant de rigoler à ses blagues nulles, j'observais June du coin de l'oeil, elle était presque grimpée sur son prétendant. J'avais envie de râler, de crier et de partir d'ici en courant. Cette soirée était nulle, nulle, nulle. Et alors que je laissais mon regard vagabonder entre les étudiants présents autour de nous, je sentis une présence derrière moi. Je me redressais instantanément. Un doux parfum vint titiller mes narines, je déglutis avant de cligner plusieurs fois des yeux. Gauthier. Il était derrière moi, je le savais, je le sentais. Ma respiration se coupa nette lorsque je sentis son bras frôler mon visage. Il m'arracha le verre des mains et me fit frissonner. Je n'osais pas me retourner, j'avais peur de sa réaction, peur qu'il s'en prenne à moi. Un court silence s'installa, je me risquais finalement à tourner la tête dans sa direction. Il bu l'intégralité de mon verre avant de le poser lourdement sur le comptoir. Une multitude de questions me venaient à l'esprit mais aucune réponse ne vint combler ce vide. Je ne comprenais pas ce qu'il faisait, ce qu'il cherchait. Ce type était fou à lier et semblait avoir jeté son dévolu sur moi. Tu me diras, entre Gauthier et Ethan, je ne savais pas lequel était le plus net dans sa tête. Quoiqu'il en soit, le psychopathe se tourna vers le blondinette et lui attrapa le cou pour le faire voler sur le comptoir. Prise de surprise, un cri aiguë s'échappa de ma bouche et j'apportais, par pure réflexe, mes mains à ma bouche. « Mais t'es complètement cinglé ! T'as un sérieux problème toi ! » hurlais-je après Gauthier. Autant depuis le début, ses gestes étaient relativement pacifiste, autant là, il s'était attaqué Ethan sans véritable raison apparentes. Je lui lançais un regard noir. Mon corps ne semblait pas être en parfaite osmose avec mon esprit puisque j'affichais malgré tout, un petit sourire. C'était bien fait pour l'autre débile d'Ethan. Il semblait souffrir, le pauvre, il était en sang. Gauthier se tourna ensuite vers moi et mon sourire disparu aussitôt. Son regard était si accusateur, si dérangé. Sans vraiment m'en rendre compte, j'apportais mes mains à mes cuisses, cherchant un minimum de réconfort. Le beau brun semblait avoir ameuté les environs mais personne ne venait en aide à Ethan. Il me menaça sur place, j'étais choquée par ce qu'il venait de faire. Je détestais la violence et j'avais peur qu'il fasse pareil avec moi. Lorsqu'il s'approcha pour tourner le tabouret sur lequel j'étais assise, j'eu un mouvement de recul. Je ne voulais pas qu'il me touche. « Ne me touches pas ! » dis-je faiblement mais sur un ton assez froid. Je redoutais ce moment où il poserait ses mains sur moi. J'avais peur de sa violence et de son impulsivité. Gauthier ne m'écouta pas et se pencha en avant pour me porter sur son épaule. Je ne pouvais pas lutter face à une telle force. Je me retrouvais rapidement la tête en bas, l'alcool me monta instantanément au cerveau. Sentir ses mains sur moi me fit frémir. Ces mêmes mains qui avaient défoncés Ethan. Il venait de les poser sur mes hanches et maintenant sur mes cuisses. Sa peau était directement en contact avec la mienne. J'avais peur, j'avais envie de descendre mais il avait été clair, je ne devais pas me débattre. Ce n'était pas vraiment dans mes habitudes mais pour une fois, je lui obéissais. Ma peur était telle que mes yeux se fermèrent tout seul. Je me demandais bien où il m'emmenait comme ça. Je ressemblais à une chèvre qu'on apportait directement à l'abattoir. Positionnée sur son épaule, mon estomac était comprimée, j'avais mal au coeur. Avoir la tête en bas n'arrangeait rien à la situation. J'allais lui vomir dessus, il n'aura que ce qu'il mérite. « Pose moi je vais vomir. » bredouillais-je, les yeux toujours fermés. J'apportais mes mains à mon visage pour essayer de calmer cette vieille inquiétude qui me rongeait. J’avais tellement peur qu'il me viol dans un coin sombre et isolé. Après toute la haine et la violence dont il avait fait preuve tantôt, cela ne m'étonnerait pas vraiment. J'avais peur à mes fesses mais l'alcool réduisait ce sentiment d'insécurité et m'empêchait d'hurler de toute mes forces. Alors que j'abandonnais tout espoir de sortir vivante de ses bras, il me posa lourdement sur un petit mur en béton. J'arrachais un cri de surprise en sentant mes fesses basculer vers l'arrière. Il aurait pu prévenir quand même. Mon regard croisa le sien et mon coeur se souleva. Tant de contradiction en moi, j'étais à la fois soulagée et en panique. Je baissais mon regard sous ses paroles, je me sentais honteuse. Tout ceci était de ma faute, je l'avais provoqué, je n'aurais pas du. Gauthier se recula légèrement mais privée de tout soutien, je tanguais vers l'avant. Mes gestes étaient durs et je ne pouvais pas me contrôler. Je ne savais pas ce qu'il y avait de pire entre le fait de tomber par terre ou le fait qu'il vienne se positionner devant moi pour me soutenir. Gauthier vint se placer entre mes cuisses et me glaça le sang. Je ne le regardais pas, mes yeux étaient posés sur ses mains. Il les approcha dangereusement de mes cuisses pour finalement les poser. Il avait les mains chaudes, bouillantes même. C'était vraiment perturbant. Un frisson me parcouru tout le corps en le voyant resserrer ses doigts sur moi. « Gauthier ... » murmurais-je d'un souffle. Mais le jeune homme continua ses accusations contre moi. Mon coeur se resserra lorsqu'il avoua que ce mec voulait juste me baiser. Je me sentais mal, extrêmement mal. Je rougissais à vue d'oeil et je n'osais pas relever la tête. Mes sourcils se froncèrent, j'avais réussit à l'énerver. Bravo Shaïna, bien joué. Inconsciemment, je vins humidifier mes lèvres avant de lever lentement mon regard vers lui. Je ne savais pas comment réagir, j'étais tiraillée entre l'envie de lui hurler dessus, de me barrer en courant et de l'embrasser. Lui hurler dessus pour tout ce qu'il avait osé me faire et me dire. Me barrer en courant en sachant pertinemment qu'il me rattraperait avec une facilité déconcertante. Et l'embrasser parce qu'il avait les lèvres d'un rose éclatant. Gauthier était beau et la lumière qui se reflétait sur son visage lui donnait des airs de badboy. Mon esprit était brouillé et mes émotions démultipliaient. Je n'osais pas réagir, je n'osais pas parler. L'image de ses mains sur moi me restait en tête. Gauthier était prêt, beaucoup trop prêt. Son coeur battait vite dans ma poitrine et l'adrénaline m'arracha un léger sourire. « Je suis consciente de ce qu'il voulait, arrête de penser que j'ai besoin que tu me sauves des autres. Ne te sens surtout pas obligé de jouer les héros, ça ne te va pas. » dis-je d'une voix tremblante et peu rassurée. Je faisais référence au fait qu'il ne voulait pas que d'autres mecs voient ma poitrine, qu'il ne supportait pas que je l'ignore mais surtout, qu'il détestait que je parle à un autre gars que lui. J'affrontais son regard sans plier. Je n'avais, presque, plus peur de lui. Ma conscience semblait me quitter au fur et à mesure qu'il me regardait. L'alcool avait des effets dévastatrices sur moi, j'allais en subir les conséquences. Inconsciemment, je posais ma main sur son torse. J'étais comme attirée vers lui. Qu'est ce que tu fou Shaïna, sérieux ? Arrête tout de suite tant qu'il est encore temps, pensais-je.En fait, je commençais à aller mieux, j'étais certainement beaucoup moins blanches. C'était le sang qui descendait de mon cerveau. Mes longs doigts se posaient sur son torse, le silence nous avait gagné. Je regardais ma main et ne pu m'empêcher de rigoler légèrement. C'était tout nouveau pour moi. J'y prenais goût. Enfin, c'était surtout l'alcool qui y prenait goût. « T'avise même pas d'ouvrir ta belle gueule. » menaçais-je sur un ton peu crédible. Je rigolais, je me foutais de sa gueule, c'était amusant. Il me fit un petit sourire, il se détendait et j'en étais bien contente. J'allais échapper à la séance de torture dans une cave ou un entrepôt désinfecté. Avec toute la douceur dont j'étais capable, je remontais ma main tremblante jusqu'à son cou. Je ne le regardais toujours pas. Je fixais ma main, par peur qu'elle ne dérape. Mes doigts touchèrent sa peau nue, je déglutis avant de serrer ma mâchoire. Je voulais calmer la bête déchaîné. Je sentais son coeur battre à travers mes doigts. Il battait vite. Je penchais ma tête sur le côté pour admirer ma main remontrer sur sa joue. Mes yeux dérivèrent vers ses yeux et en voyant qu'il me regardait, je rigolais avant de détourner à nouveau mon regard. Gauthier me perturbait. Je remontais ma main pour caresser ses cheveux. « Ça t'énerves de ne pas pouvoir me contrôler ? » demandais-je faiblement. Le stress montait en moi, je m’apprêtais à faire une chose horrible. C'était indescriptible. Je n'arrivais plus à réfléchir, j'avais envie de le provoquer, de le faire chier, de m'amuser avec lui. Peut-être même de le taper. Gauthier réveillait en moi des sensations insoupçonnées, j'avais soif de vengeance et de délire. Son côté autodestructeur serait-il contagieux ? Je voulais attiser une quelconque flamme et lui faire regretté de m'avoir bousculer. Rien n'avait de sens. Ma gorge était nouée. « Tu vois Gauthier, ce soir je ne suis pas Shaïna. Non, rien que pour t'emmerder, j'ai envie d'être une Gloria. » dis-je en rigolant. Et alors qu'il plissa les yeux sans comprendre, mon sourire vint s'élargir. Certainement trop obnubilé par mes lèvres, Gauthier ne vit même pas mon autre main se faufiler dans la poche de mon short. J'haussais un sourcil de satisfaction. Et là, tout s'enchaîna très vite. « T'as intérêt à être à la hauteur de ta pseudo réputation. » lançais-je très sérieusement. Sans chercher à comprendre plus loin, je passais la langue et y déposa la petite pilule verte. Je lui laissais une fraction de seconde, pour qu'il voit de quoi il s'agissait, avant de fermer la bouche et d'avaler la pilule magique. Eh ouais mon pote, fallait pas me provoquer.
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Comment étais-je supposer réagir face à tout sa ? Aurais-je du la regarder s’enfoncer un peu plus dans une merde pourtant bien visible. Ce mec l’aurait baisé sans aucun scrupule, j’en étais persuadé. Son regard ne trompait personne et surtout pas un mec comme moi. Pourtant, elle avait été avec lui. Elle avait accepté ces putains de verre sans se soucier une seconde des intentions qu’il pouvait avoir à son égard. Ma mâchoire se crispa et ma respiration s’accéléra. Shaina était postée juste devant moi. Assise sur ce muret, mon regard se perdait dans ces yeux azurs. Elle était putain de belle et même avec une gueule de bois cette fille en dégageait. Loin de la vulgaire que j’avais pour habitude de côtoyer, elle m’était un point d’honneur à être naturelle et jolie. Mes mains cherchaient un repère et c’est sans nulle doute dans les cuisses de la belle que je le trouvais. Mes doigts s’écartaient sur sa peau. J’étais en colère, bordel. En colère contre lui et contre elle. Mon regard se releva tandis qu'elle murmurait dans un souffle mon prénom. « Gauthier...» ma gorge se serra. Ces mots ne suffisaient pas. Elle avait beau murmurer mon prénom. J’imaginais le prénom d’un autre entre ces lèvres. Le prénom de cet enfoiré de fil à papa. Un sourire presque sauvage s’afficha sur mes lèvres en repensant au main pleine de sang qu’il avait apporter à son nez. J’étais fière de moi, fière de lui avoir fermer sa gueule. Mon sourire s’évapora aussitôt en imaginant un tout autre scénario. Et si je n’avais pas été là ! L’aurait-elle repousser ? s’était une question qui restait sans réponse. Les battements de mon corps s’accélérait. Cette chieuse avait un cran qui m’échappait complètement. Fragile un moment et rebelle un autre moment. Son regard me fuyait et mes mains se pressaient un peu plus contre sa peau nu. Dit quelques chose putain shaina ! C’est le moment d’ouvrir ta jolie petit bouche et de me calmer. Elle était silencieuse, beaucoup trop silencieuse à mon gout. Mes sourcils étaient froncés. Je la détaillais essayant de me rattacher à ce visage d’ange que j’avais sous les yeux. Littéralement faite, elle ne tenait même pas assise. C’était affligeant putain. Je n’avais jamais été un grand fan d’alcool ou de drogue. Homme plus ou moins sérieux, je ne me perdais jamais dans ces conneries. Je préférais me battre pour assouvir ces bonnes vieilles pulsions. Ce n’était pas mieux me direz-vous. Mon corps s’était rapprocher du sien. Ses jambes encadraient ma taille et mon visage était assez proche du sien. Mes yeux noir la fusillait lorsqu’elle dénia enfin ouvrir la bouche. « Je suis consciente de ce qu’il voulait, arrête de penser que j’ai besoin que tu me sauves des autres. Ne te sens surtout pas obligé de jouer les héros, ça ne te va pas.» A ma grande surprise, mon regard s’était une nouvelle fois durci. Elle était consciente des choses et elle était restée avec lui. Je me reculais légèrement d’elle. Putain elle me faisait chier. Elle ne serait pas ivre, je l’aurais planté là sur ce muret pour seul compagnie. Mon regard la fusillait tandis que mes doigts se crispaient sous sa peau. J’étais tendue. « Shaina ! Je rigole pas... Tu te serais laisser baisé par cet enfoiré hein ? tu te serais laisser...» dis-je sur la défensive avant d’être coupé net. Sa main s’était déposée sur mon torse. Surpris, mon regard détaillait son visage. Elle ne me regardait pas. Je baissais le regard sur ses doigts fin. Elle tremblait, l’alcool lui donnait des ails et bizarrement s’était de sa dont j’avais besoin. J’avais besoin de savoir que je n’étais pas le seul à m’enfermer dans ce délire paranoïaque. La douceur de ces gestes m’obligeait à relâcher la pression que j’exerçais sur ces cuisses. La laissant exercer son emprise sur moi. Elle se mit à rire et sans pouvoir contrôler quoi ce soit un sourire s’étira sur mes lèvres. « T’avise même pas d’ouvrir ta belle gueule.» mes sourcils s’étaient froncés. La blonde se foutait ouvertement de ma gueule. Sa voix s’était légèrement durcis essayant d’imitier mon comportement de tout à l’heure. J'hallucinais. Mon sang bouillonnait encore dans mes veines et cette fille n'avait pas trouver d'autre idée que de se foutre de moi. En réalité, elle me plaisait et cette imitation de merde me plaisait aussi. Putain. « Tu es un piètre imitateur shaina ! C’est pas comme sa que je l’ai dis !» fis-je pour ma défense avant de sentir ses doigts migrer. Je maudissais ce petit de t-shirt qui m’empêchait de sentir complètement ses doigts sur moi. Elle remonta dans mon cou. Ces mains étaient aussi douce que possible. Bordel que c’était bon, partager entre cette animosité et ce désir fou qui montait en moi. Elle arrivait petit à petit à calmer la bête. Elle tremblait. Je pouvais le sentir, ces gestes étaient hésitant. Mon regard cherchait le sien mais elle ne m’apporta pas l’attention que je demandais. Elle était préoccupée par sa caresse. Elle remonta ensuite sur ma joue, l’obligeant enfin à me regarder. Je cherchais une réponse. Ces gestes étaient beaucoup trop fébrile pour une personne ‘ normal ‘ et comme un con je lui fis : « Tu as froid ?» dis-je comme pour justifier ces tremblements. L’air était pourtant doux, loin du froid de boston. Je ne comprenais vraiment pas. Sa main continua sa traversé pour s’arrêter dans mes cheveux. Elle les caressait du bout des doigts. Mes yeux étaient plissés profitant de ce tendre instant. La colère s’était quelque peu estompée avant qu’elle ne dise : « Ca t’énerves de ne pas pouvoir me contrôler ?» si sa m’énervait, bien sûr que sa m’énervait. En parfait manique du contrôle, j’avais bien souvent envie de tuer cette fille. Partager entre le désir de la brûler sur un bûcher et de la baisé comme pas possible. Il était parfois difficile de trouver une frontière respectable. Elle caressait tendrement mes cheveux subitement j’appuyais un peu plus sur ses cuisses et me redressa pour coller mon bassin contre le sien. « Si sa m’énerve de te voir te comporter en parfaite petite casse couille ?» dis-je entre mes dents. Mes sourcils étaient froncés et mon regard sombre. « Sa me gonfle ouai !» dis-je sincèrement. Ce n’était pas une nouvelle. Cette fille me faisait complètement dérailler. Il était impossible de penser sainement. Ses doigts s’écartaient dans mes cheveux pour les tirer délicatement. Mes envies montaient doucement en moi. Ma queue commençait à se durcir délicatement sous ces caresses. Ses doigts se stoppèrent et elle fit : « Tu vois Gauthier, ce soir je ne suis pas Shaïna. Non, rien que pour t’emmerder, j’ai envie d’être une Gloria.» elle se mit à rire tandis que je la dévisageais. Je ne comprenais rien. Qu’allait-elle encore faire bordel ? cette affront ne lui avait-elle pas suffit ? Cette fille était un vrai désastre. Une vrai chieuse bordel. Ne pouvait-elle juste ps fermer sa gueule et continuer ces caresses. Non. Son sourire s’était élargie alors que mon visage lui s’était durcit. Ne comprenant rien à la situation. Je m’étais une nouvelle fois desserrer d’elle pour pouvoir mieux l’analyser. Fait attention Shaïna ! « T’as intérêt à être à la hauteur de ta pseudo réputation.» Une mine d’incompréhension s’affichait sur mon visage avant de la voir déposer sur sa langue une pilule verte. Mon regard s’était durcit, faisant ressortir plusieurs pli sur mon front. Alors que je comprenais ce qu’elle était en train de faire, elle ferma sa bouche et avala la mystérieuse. NOOOOOOOOOON MAIS ELLE ETAIT MALADE. « non maiiiiiiiis putain Shaina qu’est ce que tu viens d’avaler !» dis-je méchamment. Mes paroles étaient glaciales et fortes. Je me foutais de me faire entendre. Une main s’approcha machinalement à son menton « OUVRE TA BOUCHE !» lui criais-je dessus. Son regard était toujours aussi provocateur. Elle ouvra sa bouche et comme je me doutais il n’y avait plus rien. Elle avait avaler. « Tu me fatigues bordel !» dis-je en rejetant sauvagement la main qu’elle avait porter à mes cheveux. Je m’éloignais d’elle, la laissant toute seule sur son muret. Je me mis à marcher frappant mon pied dans le premier rocher qui s’offrait à moi. Mon pied s’écrasa contre le rocher avant de revenir précipitamment vers elle. Ma main se posa maladroitement derrière la nuque de Shaina. Au passage, ma main agrippa ses cheveux et tira légèrement en arrière pour faire basculer sa tête. « C’est lui qui t’a donner cette pilule hein !» dis-je méchamment. Son regard soutenait le mien et d’un petit mouvement elle me fit oui de la tête. Ma main se retira. « T’es vraiment qu’une emmerdeuse. Tu sais même pas ce qu’il t’a refiler cette abruti !» dis-je en marchant une nouvelle fois. J’avais envie de la défoncer. De la laisser là toute seule sur son putain de muret. « Tu as de la chance d’être bourré ! Je t’aurai laisser depuis bien longtemps sur ce putain de muret.» dis-je en la pointant du doigt. Je n’arrivais pas à me calmer et pourtant il le fallait. Il était impossible pour moi de la laisser ici ou de la laisser seule. Cette putain d’abruti venait faire de moi sa putain de nounou. Elle avait une nouvelle fois jouet à un jeu qui allait sans doute lui coûter bien pire qu’un petit short ou vêtement. J’avais besoin de me défouler ! De lui montrer comme elle m’insupportait. Shaina avait appuyer sur un bouton qu’elle ne pouvait même plus éteindre. Je me dirigeais rapidement vers là, la prenant une nouvelle fois sur mes épaules. « Vomi Gloria et je te jure que je te tue !» dis-je en commençant à marcher rapidement vers l’hôtel. La fête était terminée, enfin disons juste qu’elle ne faisait que commencer. Ses mains se posèrent sur mon dos pour se redresser un peu. Elle ne parla pas. « Bah tu vois ! C’est cool la drogue fait effet ! T’es tout de suite moins casse couille !» dis-je en serrant la machoire. Le faite qu’elle ne parle pas ne me rassurait pas tellement. Et la sa voit se fit entendre. Voilà qui était rassurant et énervant. Mes émotions se bousculaient. J’étais énervée, inquiet et putain d’exciter par cette fille. Arrivé à l’hôtel, les couloirs étaient dessert. Tout le monde était encore à la fête. En même temps, il n’était pas si tard que sa. Arrivée à l’ascenseur, shaina continuait de parler. Je me mis à soupirer avant de lever les yeux au ciel. Elle semblait surexciter. J’appuyais sur le bouton avant de la faire redescendre de sur mes épaules. Mon regard était toujours aussi sombre. Son regard croisa le mien avant de se mettre à tituber. Elle ne tenait même plus sur ces jambes. Pitoyable la fille. Sans vraiment comprendre je la pris par la taille et la plaqua violemment contre le mur. Mon corps se pressa ouvertement contre elle et mon visage s’approcha sur sien. Une de mes mains se posa sur sa taille avant de descendre le bout de mes doigts se sa cuisse. Délicatement, je l'obligeais à relever sa jambe contre la mienne. Mon regard la fixait avec colère et passion « J’ai envie de te baisé Gloria» dis-je en reprenant le prénom de cette fameuse prostitué. Mon visage se perdait dans son cou, mon souffle caressait sa peau et mes lèvres restaient encore en suspens. « J’ai envie de te mater en train de sucer ma queue ! J’ai envie de te goutter, j’ai envie de te faire crier mon prénom pour avoir accepter ces putain de verre, pour m’avoir caresser pour me défier de plus belle !» dis-je en resserrant la pression sur sa cuisse. Son souffle s’était arrêté. Ces mains agrippaient mes épaules. Mon visage se releva et mon regard se porta au sien. « Tu veux jouer ! On va jouer gloria !» dis-je sur la défensive. En réalité, j’étais en train d’animer un vieux fantasme à laquelle je n’allais même pas pouvoir goûter. Shaina était complètement ivre et shooter. Abuser d’elle ne me disait absolument pas. Elle avait juste mériter que je me comporte comme le petit connard que j’avais l’habitude d’être avec toute les autres filles. Elle l’avait amplement chercher et ma vengeance allait se trouver ici. Mon bassin se pressa contre elle avant que je n’entende une petite sonnerie. S’était l’ascenseur. Les portes s’ouvraient derrière nous. Sans demander la permission, mes mains se placèrent en dessous de son cul pour la soulever. Machinalement ces jambes encerclaient ma taille. Je me mis à marcher vers l’ascenseur et la plaqua de nouveau contre la parois. Mes mains relâchaient ces jambes et mon visage lui garda la même proximité. Elle se pinça délicatement les lèvres, ma main se plaqua contre sa bouche. « Putain ! arrête avec sa.» dis-je sur un ton autoritaire. Elle me fixait perdu et à la fois pleine de désir. C’était vraiment bizarre. Mon regard s’attarda sur mon pousse qui venait caresser ces lèvres. « T’imagine même pas ce que j’ai envie de faire avec tes lèvres bordel !» dis-je dans un souffle avant de me remettre à froncer des sourcils. Sauvagement, mes mains prirent ces poignets et les plaça au dessus de sa tête. « Tu veux toujours que je t’appelle gloria ?! parce qu’on peu baiser ici même si sa me chante.» dis-je sur un ton autoritaire. Elle semblait démunie. Elle se laissait faire et son regard tantôt fuyant et tantôt provocateur. Une main soutenait les siennes et mon autre main se mit à caresser le côté de son corps. Putain qu’elle était bonne. Mon érection durcissait au fur et à mesure de ma connerie. Une nouvelle sonnerie retenti et comme par magie mon corps se décolla d’elle. Relâchant toute la pression que je venais de lui infliger pour la mettre une nouvelle fois sur mes épaules. « Problème ! T’es bourré, je nique pas les alcooliques et drogués !» Dis-je sèchement avant de sortir de l’ascenseur avec une shaina sur les épaules. Dans ta face ma beauté !
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Sur le coup j'étais contente de moi. Satisfaite de ma petite provocation, j'avalais le cachet d'une traite. Surprise de constater qu'il n'avait pas vraiment de goût, j'affichais une mine amusée. L'alcool venait de guider mon geste, je n'aurais jamais été capable d'une telle chose en temps normal. Je n'étais plus moi. Outre le regard de Gauthier, j'étais vraiment perturbée par les cocktails et les Tequilas que je venais d'ingurgiter. N'ayant pas vraiment l'habitude de boire, l'alcool me montait directement au cerveau. Je n'avais pas mangé ce soir et boire le ventre vide n'était pas une bonne chose. J’ignorais tout ça, je l'apprenais à mes dépends. J'avais encore tellement de choses à découvrir sur la vie, cela en était presque effrayant. J'étais consciente de passer pour la nunuche de service mais ce n'était pas vraiment de ma faute. Ma mère m'avait empêché de sortir et de vivre pleinement mon enfance. J'avais besoin de prendre mon indépendance et de m'ouvrir aux autres. Depuis le début du Summer Camp, j'avais fait pas mal d'efforts pour me décoincer un tant soit peu. Mes efforts semblaient payer puisque j'avais participé à quelques épreuves de mon équipe, j'avais prit un bain de minuit avec deux copines, j'avais même plongée dans une piscine avec une robe blanche qui devint transparente au contact de l'eau. Cela pouvait paraître anodin pour n'importe quel étudiant mais pas pour moi. J'avais fait là, des choses inhabituelles et j'avais même kiffé. Il fallait que je me bouge et que je sorte de ma zone de confort. Je me forçais à aller vers les autres et à m'amuser. Vouloir changer était bien beau mais là, tout s’enchaînait vite, beaucoup trop vite. Assise sur un muret avec Gauthier entre mes cuisses, complètement bourrée, là je faisais fort. Je ne me rendais plus compte de l'impact que pouvaient avoir mes gestes et mes paroles. Je voulais vivre de nouvelles expériences. J'étais avide de découverte et brûlais clairement les étapes. Avaler cette mystérieuse pilule relevait de l'inconscience. J'ignorais les raisons qui me poussaient à agir de la sorte, l'alcool y était sans doute pour beaucoup mais il n'y avait pas que cela. Pour dire vrai, je voulais attirer l'attention de Gauthier. Je voulais qu'il me regarde comme il regarderait une Gloria. J'étais complètement larguée avec lui et ne savait vraiment pas comment m'y prendre. Je détestais son côté malsain et manipulateur mais j'étais attiré par ce qu'il dégageait. Un sentiment de sécurité et de peur m'avait envahit à la soirée blanche. C'était des émotions que je retrouvais ici. C'était bien la première fois qu'un homme me faisait ressentir autant de choses. En sa présence, je perdais les pédales et n'arrivait pas à me contrôler. Il avait un certain pouvoir sur moi et même si je ne connaissais absolument rien de lui, il m'attirait. Oui voilà, c'est dit, cet homme me plaisait. Lorsqu'il posait son regard sur moi, j'avais ces petits papillons dans le ventre et ce n'était pas dû qu'à l'alcool. Attirée vers le danger, je ne pouvais pas renier ce désir inévitable. Moi, la petite Shaïna, j'avais envie qu'il me prenne dans ses bras et qu'il m’embrasse. En prenant cette pilule, je voulais me libérer de ma timidité et sauter un cap. Je voulais oublier la petite fille enfantine et prude que j'étais. Oui, ce soir je voulais me libérer de tout ça et vivre des sensations fortes avec lui. Il n'avait posé que ses mains sur moi et déjà je sentais le stress monter. J’espérais vraiment que le cachet fasse effet rapidement. Mon inconscience n'avait d'égal que mon état lamentable. A peine la pilule avalée, je me rendis compte que je venais de faire une connerie, j'étais d'un pathétique. Les regrets n'eurent pas le temps de s'installer en moi que déjà, il me gueula dessus. Sa voix était forte et imposante. J'écarquillais les yeux en l'entendant hurler. Gauthier posa ses doigts sur mon menton et m'obligea à ouvrir la bouche. Comme une petite fille de huit ans, j'ouvris ma bouche et passa la langue. « Ahhhh. » lançais-je avant de rigoler légèrement. Voilà qu'il vint admirer mes amygdales, on était intime à présent. Cette pensée me fit sourire, j'avais envie d'exploser de rire. Sa main sur mon menton me chatouillait légèrement le cou. Ce n'était pas vraiment le moment de le provoquer davantage. Je ravalais mon envie de rire lorsqu'il enleva brutalement ma min de ses cheveux. J'étais allé trop loin ? Je ne m'en rendais pas vraiment compte. Mon sourire s'évapora et ma tête se baissa légèrement lorsque je le vis s'éloigner de moi. Non, il n'allait quand même pas me laisser toute seule. Mes sourcils se froncèrent, je sentais la panique me gagner. Bordel, j'étais à moitié morte et il allait me laisser sur ce putain de muret, à la merci de n'importe quel homme venu ? Non, c'était impensable et pourtant, je le vis me tourner dos. J'avais envie de pleurer, je venais de gâcher ma seule chance de passer une nuit de folie avec Gauthier. Savait-il seulement qu'il était le seul qui avait réussit à me plaire depuis mon ex ? Non, il l'ignorait et moi aussi je l’ignorait. Ou du moins, je m'en étais rendu compte beaucoup trop tard. Alors qu'il marchait dans ma direction opposée, j'avais qu'une envie : lui crier dessus pour qu'il revienne. En fait c'était ça, j'avais besoin qu'il me remarque, j'étais vraiment débile. Le beau brun laissa son pied s’écraser sur un malheureux rocher qui passait par là. Et sans que je ne puisse régir, il revint à la charge. Mes réflexes étaient réduits à néant. J'avais avalé une pilule dont j'ignorait les effets mais pour l'instant, je ne me sentais pas différente que tout à l'heure. Gauthier s'approcha de moi et m'attrapa les cheveux pour faire basculer ma tête en arrière. Il m'arracha un petit cri de surprise. Incapable de me défendre, je levais ma tête sans opposer la moindre résistance. Mon regard se perdait dans le sien, j'essayais de deviner ce qui allait se passer. Mon sang se glaça lorsqu'il me menaça sur place. Gauthier voulait savoir d'où venait la pilule, il me demanda si c'était Ethan qui me l'avait donné. J'avais peur de sa réaction, je me contentais d'hausser brièvement la tête pour acquiescer. Il était en rage, je me sentais honteuse. Je restais silencieuse pour ne pas aggraver mon cas. J'avais les larmes aux yeux face à ma propre connerie. Calmement, j'apportais mes mains à mon visage pour me cacher. J'avais envie de fondre en larme mais mon corps refusait littéralement de me répondre. Mon souffle chaud se reflétait entre mes doigts, je puais l'alcool à des kilomètres. A cet instant précis, je me dégouttais. Qui suis-je pour me comporter ainsi ? Ce n'était pas digne de moi. Alors que j’apitoyais sur mon propre sort, je sentis les mains de Gauthier se poser sur mes hanches pour me soulever. Une nouvelle fois, il me porta sur son épaule comme un sac à patate. Méchamment, il vint m’interdire de vomir. Je plissais les yeux avant de croiser les bras. Trimbalée de gauche à droite, c'était plus facile à dire qu'à faire. L'alcool montait directement à mon cerveau, mes yeux virolèrent dans mes paupières et le paysage à l'envers commençait à me donner la nausée. Je posais mes mains dans son dos pour me redresser. Il fallait que je prenne un peu l'air sinon j'allais vomir. Mes cheveux dansaient légèrement au vent. La petite brise était bénéfique, je pouvais respirer même si son épaule virile me comprimait l'estomac. « Nan mais franchement ? Tu pousses les meufs et après tu les portes sur ton épaule pour les emmener dans ta chambre ? T'es obligé de les kidnapper pour qu'elles acceptent de te suivre.. » dis-je en rigolant. C'est bon, j'avais fermé ma gueule trop longtemps. J'avais envie, ou plutôt besoin de parler. Je ne savais pas si c'était la pilule ou l'alcool mais l'excitation montait en moi. Pas l'excitation sexuelle mais plutôt l’énervement. J'avais envie de bouger, de parler, d'exploser. Il fallait que je parle, c'était plus fort que moi. « J'te ferais dire que je ne suis pas saoule, je peux marcher... Pose moi par terre, j'te montre si tu veux. Tu vas être épaté par tant d'habilité. » continuais-je sur un ton léger. J'te ferais dire, c'était bien une phrase de fille bourrée ça. En réalité, je disais n'importe quoi. Les mots se succédaient mais ne voulaient rien dire. Je faisais aller mes pieds de haut en bas pour palier à l'envie de bouger. J'étais prisonnière des bras de Gauthier, non pas que ça me déplaise. Disons simplement que mon corps entier me démangeait. C'était donc ça de l’extasie ? Pas mal. « Pourquoi tu dis rien ? Tu t'es étouffé avec ta langue ? » demandais-je avant d'exploser de rire. C'était pas drôle mais sur le coup, je me trouvais plutôt humoristique. Je ne voyais pas le visage accusateur de Gauthier et je me détendais au fur et à mesure qu'il avançait. « J'vais te vomir dessus Gauthier, pose moi par terre si tu veux pas que je te tapisse ton beau t-shirt. » dis-je en rigolant, toujours un peu plus fort. J'apportais mon regard sur son t-shirt avant de le saisir délicatement de mes longs doigts fins. Je le soulevais pour le rapprocher de mon visage afin d'examiner minutieusement le tissu.  « Alors je dirais, 20% élasthanne, 70% coton et les 20% restants... heu ... polyester ? Nan attends ça fait pas 100 ça ... 20 + 70 + 20. Gauthier, t'as pas une calculet... Ahhh ! » marmonnais-je avant d'arracher un cri de stupeur. Le beau brun me posa par terre, je ne m'y attendais pas, j'avais même pas capté qu'on était entrés dans le hall de l'hôtel. Mes pieds touchèrent le sol sans que je ne puisse réagir. Je ne m'y étais pas préparer et forcément, je me mis à tituber légèrement. Je reportais mon regard craintif vers Gauthier. J'avais dis de la merde toute la route, il allait encore s'énerver contre moi. J'allais lui demander pardon quand il s'approcha de mois pour me plaquer brutalement contre le mur. Ma tête cogna contre le béton, je ne compris pas vraiment ce qui m'arrivait. Gauthier mettait un point d'honneur à se montrer brutal envers moi, il aimait le contact physique. Un frisson me parcouru tout le corps. C'était un frisson de détresse et d'extase. C'était la première fois que je ressentais une chose aussi forte. Gauthier colla son corps contre lien et baissa son visage pour se rapprocher toujours un peu plus. Machinalement, je levais ma tête dans sa direction, le fixant droit dans les yeux. J'affichais un sourire timide sur mes lèvres. Enfin il passait à l'action. J'étais loin, bien loin de m'imaginer ce qui allait suivre. Gauthier posa ses mains sur mes hanches, je ne pu me résigner à lui faire enlever. Il avait les mains bouillantes, je le sentais à travers mon short. Je clignais lentement des yeux, ne comprenant pas vraiment ce qui m'arrivait. Je sentais la chaleur monter en moi et plus le beau brun se collait, plus je perdais pied. J'avais peur mais je savais qu'il ne pouvait rien m'arriver de mal en sa présence. Après tout, il s'était montré très autoritaire et possessif avec moi. Il laissa ses doigts glisser le long de ma cuisse pour l'agripper et me la lever. C'était torride, je me laissais faire en sentant son souffle chaud dans mon cou. Gauthier savait s'y prendre, il avait réussit à faire disparaître mes craintes en quelques secondes. Je me sentais désirée et désirable. Mon rythme cardiaque s'accéléra, je succombais sous ses caresses. Et alors que je m’apprêtais à murmurer son prénom, Gauthier prit la parole et me cloua sur place. Ses mots étaient crus. Une boule de stress venait de se former dans mon ventre. Ma gorge se noua et mes yeux s'écarquillèrent. Je n'avais plus du tout envie de faire ma maline. Je regrettais d'avoir avalé ce putain de cachet de merde. Je n'étais pas prête pour ça, je ne voulais pas souffrir. La crise d'angoisse me guettait, attendant le moment propice pour faire irruption. Gauthier me donnait chaud et je n'arrivais pas à lutter pour le faire dégager. L'alcool et la drogue m'empêchaient de réagir à sa provocation. Ses mots résonnaient dans mon esprit, je détestais la vulgarité et il le savait très bien. Gauthier jouait avec moi, je n'étais qu'un simple objet à ses yeux. Il serrais ses doigts sur ma cuisse. J'avais besoin d'air, je suffoquais littéralement. Mes mains se portèrent machinalement à ses épaules. J'essayais de le repousser mais tout ce que je réussis à faire, c'était de l'attirer un peu plus vers moi. Je n'entendis même pas l'ascenseur s'ouvrir. Gauthier remonta ses mains pour m’agripper les fesses et me soulever. Je restais silencieuse, je lui obéissais. J'enroulais ma deuxième jambe autour de bassin, ma conscience m'avait abandonné depuis quelques minutes. Un gémissement s'échappa de ma bouche lorsqu'il me plaqua contre la paroi glaciale de l'ascenseur. La chaleur m'accablait. Je levais délicatement la tête pour lui présenter mon cou. J'avais envie qu'il m'embrasse, qu'il pose ses lèvres sur moi ou sur Gloria, peu importe. J'étais dans un autre monde, un monde avec lui et moi, personne d'autre. Gauthier me perdait et semblait s'amuser à me rendre folle. La drogue amplifiait certainement mes émotions. Je ne répondait plus de rien, ma tête était vide de sens. Le beau brun lâcha mes fesses et m’obligea à descendre mes jambes. Je le regardais, complètement perdue. Je me taisais parce que je ne savais pas quoi dire. Inconsciemment, je vins me mordre la lèvre inférieur de désir. Gauthier n'était pas du même avis, il plaqua sa main sur ma bouche pour me faire arrêter. J'étais à ses ordres. Je clignais des yeux pour lui faire comprendre comprendre qu'il pouvait lâcher ma bouche. Il caressa mes lèvres, exactement de la même manière qu'à la soirée blanche. Je le regardais faire, sans un mot. Un petit sourire vint orner mon visage. Je le contemplais, il était vraiment très beau. Viril et mystérieux, j'aimais ça. Délicatement, je levais mes mains pour les poser sur sa joue mais c'était sans compter sur un Gauthier déterminé à me faire payer mon affront. Il m'attrapa les poignées et les leva au dessus ma tête. Il parlait mais je ne l'écoutais pas, ses paroles étaient toujours crus mais je me surpris à aimer ça. « J'ai chaud ... » murmurais-je difficilement en fermant les yeux. Il passa lentement ses mains sur mes cuisses, c'était de la torture. Ma tête se releva légèrement , j'ouvris mes yeux pour fixer le plafond. « Qu'est-ce qu'il m'arrive ? » dis-je faiblement. J'étais même pas certaine qu'il l'ai entendu. Mon dos se cambra contre le mur, je succombais sous ses caresses. Il me faisait rêver. J'espérais lui faire le même effet, son regard était posait sur moi. Je me sentais flattée par tant d'attentions. Gauthier était parfait, il était doux et sur de lui, tout ce dont j'avais besoin. J'avais pas écouté ce qu'il avait dit, c'était futilité et vulgarité. Qu'il parle de moi ainsi ne me dérangeais pas. Du moins, avec l'alcool, cela ne me dérangeait plus. Je me pinçais les lèvres, je me sentais frémir sous ses doigts. Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent. Brusquement, Gauthier se recula de mois et me prit sur ses épaules. « Mais naaaan. » soupirais-je de rage. Je me débattais légèrement, encore sous le choc de ses caresses. Je me passais les mains sur le visage avant étouffer un éclat de rire. « T'as pas le droit Gauthier, m'en fou, je vais me venger. » dis-je en faisant aller mes jambes rapidement. Je me pinçais les lèvres de rage. C'était abusé. Pour une fois que je laissais un homme m'approcher, c'était lui qui se barrais. Non, je refusais que ça se passe ainsi. Bourrée ou pas bourrée, j'étais prête à m'offrir à lui, il n'avait pas le droit de piétiner mes estime comme il venait de le faire. J'affichais une mine boudeuse et vexée et même s'il ne pouvait pas me voir, j'allais lui montrer que je n'étais pas contente du tout mais pas du tout du tout. « T'as pas le cran d'embrasser une fille bourrée, avoue. T'es qu'un petit joueur en faite... » dis-je en rigolant. Mauvaise la Shaïna en plus. « Et arrête de me porter fièrement à bout de bras, pour montrer tes muscles, t'es ridicule ! » continuais-je sur le même ton amusé et vexé. Il était ridicule et moi je n'étais pas crédible du tout. Une fois arrivés devant la porte de sa chambre, il me posa et me fit comprendre de ne pas bouger. « A vos ordres ! » Je croisais les bras en le regardant sérieuse, ou du moins, presque sérieuse. Il posa ses yeux sur moi, mes pommettes étaient encore rouge de sa petite scène dans l'ascenseur. Gauthier afficha un léger sourire auquel je répondis par une grimace. Le temps qu'il ouvre la porte de sa chambre, je vins me poser contre le mur du couloir pour ne pas tituber et perdre l'équilibre. J'étais vraiment dans un sale état. Un petit clic se fit entendre avant qu'il n'ouvre la porte. Il se tourna vers moi pour que j'entre en première. Le pauvre, il avait trop peur que je ne me barre en courant. Ce qui était bien avec l'alcool et la drogue, c'est que les émotions s'enchaînaient en moi. Tantôt nauséeuse, tantôt excitée, tantôt furieuse, voilà que maintenant j'étais d'humeur joueuse. Je lui affichais un large sourire avant de passer devant lui d'une démarcher nonchalante. Je passais mon doigt, en une caresse, sur sa joue. D'un petit rire aiguë j'avançais dans la pièce. Ok, concentre-toi Shaïna, un pied devant l'autre, ça va aller, pensais-je en essayant de me concentrer un minimum. Sa chambre ressemblait étrangement à la mienne, nous devions être très certainement dans le même hôtel. Je regardais autour de moi avec de grands yeux, en fait, je cherchais à en apprendre davantage sur lui. La piaule était propre et rangée, c'était étonnant. J'avais imaginé Gauthier en vrai bordélique. Mon regard se posa sur son portable posée sur la table un peu plus loin. J'affichais un large sourire en me dirigeant vers lui. Une idée me vint alors à l'esprit. Sans chercher à comprendre plus loin, je pris le portable et me retourna vers lui. Gauthier, me voyant avec son portable dans la main fronça les sourcils et s'approcha. « C'est bon, t'as peur que je tombe sur tes films de fesses ? » dis-je en rigolant. Eh ouais, j'avais envie de dire des vulgarités mais les mots comme culs, boules ou autre injures ne voulaient pas sortir de ma bouche. C'était plus fort que moi, je n'étais pas à l'aise avec ses mots là. Gauthier s'approcha de moi pour me prendre le portable des mains mais, en le voyant arriver aussi rapidement, je me retournais pour lui tourner le dos. Il se colla à moi. Je dû avancer le portable pour éviter qu'il ne me l'arrache des mains. Je rigolais en tournant la tête sur le côté, vers la sienne. Mon regard se posa sur ses lèvres et je mordillais légèrement ma lèvres inférieure, me remémorant ce petit moment intime dans l'ascenseur. Gauthier ne cherchait déjà plus à me l'attraper. J'en profitais pour reporter mon attention sur le portable, j'ouvris youtube et pianota à l'aveugle sur le clavier. Je me sentais d'humeur joueuse et j'allais lui faire comprendre. Une fois que j'eu terminé avec son portable, je me penchais vers l'avant pour le poser sur la table, là où il était initialement. J'avais fait exprès de ne pas bouger les jambes pour me pencher lentement, sensuellement. Certes je ne connaissais absolument rien au sexe mais j'avais déjà vu ça dans un film. Je ne voyais pas sa tête mais je devinais, cela me faisait doucement rire. Je sentis ses mains se poser sur mes hanches, il ne résistait pas longtemps. Je me redressais pour coller mon dos à son torse. « Tu baises pas, tu touches pas. » dis-je sans vraiment m'en rendre compte. Un léger silence s'installa avant que je n'éclate de rire. Bordel, c'était bien moi qui venait de dire ça ? Non, je n'y croyais pas. J'apportais rapidement mes mains à mon visage et étouffa un éclat de rire sans précédent. Mes pommettes étaient rouges vives. « Oh non ! » bredouillais-je entre mes mains. Je sentais Gauthier rigoler juste derrière moi. Je levais la tête pour la poser délicatement sur son épaule. Je fermais les yeux avant de les rouvrir brusquement. Les premières notes de musique se firent entendre. Eh bah mon vieux, ta connexion internet c'est de la merde. Je riais toujours un peu plus, j'étais bien. J'avais pris la première chanson qui me venait à l'esprit. Le rythme lent vint chatouiller mes oreilles. J'avais mis le son à fond, ignorant totalement les voisins qui devaient surement dormir. Portée par la musique envoûtante, mes hanches commencèrent à bouger en rythme. Sensuellement, je laissais mon corps s’imprégner de la chanson. Mon bras droit se leva pour venir se poser dans le cou de Gauthier, toujours posté juste à côté de moi. Mes doigts se posèrent sur sa peau brûlante. Je me mordais la lèvre inférieure, ignorant totalement s'il me voyait ou pas. « Something about your body says come and take me » murmurais-je en même temps que la musique. C'était de circonstance. Oh oui Gauthier, mon corps te réclamait. Je dansais sensuellement contre lui, je me frottais contre lui pour lui faire comprendre la chaleur que je pouvais ressentir. Je voulais le faire craquer, lui faire regretter ses choix d'abstinence. Je n'était plus vraiment moi-même et heureusement, j'aurais eu honte de moi. Ma mains caressait sa peau fragile et dure. Je sentais la pression qu'il mettait dans ses mains. Sans chercher à comprendre plus loin, je m'avançais d'un pas pour me retourner et lui faire face. « I like the way you move, come and show me what to do. » chantais-je pour le provoquer. Mon regard croisa le sien et un frisson me parcouru tout le corps. C'était exactement ce que je ressentais. Je voulais qu'il vienne vers moi et qu'il me montre de quoi il était capable. Mon taux d’alcoolémie m’empêchait d'attendre plus longtemps, ce fut moi qui avança vers lui. Je posais mes mains sur son torse et me mordilla la lèvre pour le et me faire frémir. Je continuais à danser devant lui, cette musique m'inspirait énormément. Je me perdais dans son regard. Je laissais mes mains glisser vers le bas de son ventre. J'agrippais le rebord de son pantalon et l'attira vers moi. Un large sourire provocateur était posté sur mon visage. J'haussais un sourcil l'air de dire " Eh ouais, moi aussi je sais le faire " Je sentais Gauthier très réceptif à tout ça. Mes mains se postèrent ensuite dans les siennes. Délicatement, je me fis tournoyer sur moi même. Bizarrement là j'avais retrouvé un semblant d'équilibre. Je m'amusais avec lui, j'étais bien, je riais aux éclats, profitant de ce petit moment de complicité, tout en simplicité. Je voulais, à mon tour, jouer avec lui. Je me reculais de deux pas. « Got me crazy, got me hypnotized... » susurrais-je en fermant les yeux. Naturellement, mes bras se levèrent, je remontais mes cheveux en continuant de danser sensuellement. Mes pieds, mes hanches, mon bassin, tout bougeait en rythme avec la musique. Je rigolais en sentant son regard insistant sur moi. Fais moi rêver Gauthier, fais moi danser.
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C’était impressionnant le nombre de connerie que Shaina pouvait déblatérer à la seconde. La plupart de ces paroles ne me parvenait pas à l’esprit. Trop occupé à toucher avec sensualité et fermeté ces courbes, je n’accordais presque plus aucune importance aux mots qu’elle pouvait sortir. Cette fille était aussi chiante que charmante. Guider et contrôler par une tension qui m’échappait complètement. Elle semblait à la fois craintive et réceptive à mes avances. J’étais perdu dans cette tension presque animal. Je la désirais, mes doigts se frayaient un chemin sur ces cuisses prenant le temps d’encrer en elle chaque mouvement. Je voulais qu’elle me sente, je voulais qu’elle ressente cette tension qui régnait en moi. Je voulais la faire taire des plus belle des façons. La perdre dans ces gémissements était mon souhait le plus profond. Et elle venait de me privée de ce plaisir en avalant cette putain de pilule. Mes mains s'était emparées des siennes et venaient les immobilisés au dessus de sa tête. Elle était complètement à ma merci. Mon regard froid et provocateur descendit le long de son cou pour s'arrêter sur sa poitrine. Je ne me gênais pas. Cette position la mettait en valeur et faisait ressortir ces seins. J'avais cette obligation de profiter du spectacle. J'avais envie de les toucher, de les caresser et de les embrasser. Ma gorge se serra à cette simple pensée. " J'ai chaud." ce n'est que le début ma belle ! mon regard se releva vers elle et un léger sourire apparue sur mes lèvres lorsqu'elle ferma les yeux. Je n'avais encore rien fait et elle était pourtant prête pour beaucoup plus. Voilà qui était parfait. Mon visage s'approcha du sien, mêlant sa respiration et frôlant sa joue de mes lèvres. Elle n'était pas la seul à avoir chaud. Mon érection durcissait au fur et à mesure. Attendre ne faisait pas partie de mes habitudes, les préliminaires n'avaient jamais été une grande partie de plaisir. J'aimais allez droit au but mais ce soir j'allais devoir me contenter du peu qu'elle m'offrait. Sa tête s'était penchée en arrière m'offrant le champ libre sur son cou. Elle voulait que je l'embrasse, je pouvais le sentir dans la façon qu'elle avait d'ouvrir ses lèvres légèrement, dans la façon qu'elle avait de tourner délicatement sa tête. Son corps appelait le mien. Ces appels étaient presque impossible à éviter et bordel, il fallait que je le face. Putain de conscience de merde ! Qu'est-ce qui m’empêchait de la prendre dans cet ascenseur ? de la faire jouir contre ce miroir ? De foutre mon putain de doigt dans sa bouche pour qu'elle me suce ? Qu'est-ce qui me retenait hein ? rien ! Après tout je ne la connaissais pas et elle n'était rien pour moi. A part cette emmerdeuse profonde qui avait le dons d'attiser mes envies et d'énervé mon être. " Qu'est-ce qu'il m'arrive ? " je me mis à rire avant de poser ma joue contre la sienne. Mon souffle caressait le creux de son oreille et je lui fis sensuellement. " Tu as envie de baisé avec moi Shaïna, c'est aussi simple que sa." dis-je en ouvrant mes lèvres pour lui succès délicatement le lobe de son oreille. Ma langue s'enroulaient contre sa peau avant de venir mordiller le côté de son oreille. Ma main l'immobilisait, elle ne pouvait pas bouger et au simple contact de mes lèvres sur son oreille. Son dos se cambra, rapprochant son bassin du mien. Elle offrait une pression exquise contre mon entre jambe. Bordel ce qu'elle pouvait être excitante. Son souffle était coupée et court comme je les aimais. Mon autre main s'apprêtait à franchir la barrière de son t-shirt. Relevant lentement le vêtement avant d'entendre cette fameuse alerte. Celle qui m'ordonnait de tout arrêter pour mieux apprécier ma vengeance. Je m'étais reculé pour contempler son expression, laissant la blonde face à son fantasme et à ces illusions. Je lui rendais tout simplement l'appareil. Son visage s'était durci tendit que mes traits eux s'était assoupli. Elle était mignonne la petite frustré. Je m'approchais une nouvelle fois d'elle pour la mettre sur mes épaules avant qu'elle ne crie " Mais naaaaan " je me mis à rire en la voyant aussi gêné et frustré. Je lui avais fais de l'effet s'était inévitable. Elle secoua ses jambes pour que je la face descendre et sans attendre ma main s'écrasa lourdement sur ces fesses. " Calme ta joie beauté ! " dis-je en reprenant mon petit air sérieux. En réalité la situation me plaisait. J'adorais ce qui venait de se passer et j'adorais la voir aussi démunie. Son rire se perdait en un bruit étouffer. Je pouvais parier qu'elle se cachait le visage. Mon sourire s'était élargie avant qu'elle ne dise : " Tu as pas le droit Gauthier, m'en fou, je vais me venger ! " voilà que les choses allaient devenir intéressant. Un sourire provocateur s'afficha sur mes lèvres. Nous étions arrivés devant la porte de ma chambre et ma main gauche se posa sur le creux de son genoux pour remonter délicatement sur sa cuisse et venir se perdre sous son short à la lisière de ces fesses. Mes doigts caressaient doucement cette partie si intime. Elle s'immobilisa immédiatement. Mon sourire s'était étiré à ce simple contact. La blonde portait un string qui mettait sans doute en valeur cette sublime paire de fesse. Bordel, mon imagination ne mit pas longtemps à divaguer sur la nature de ces sous vêtements. Ce silence ne dura pas longtemps. Elle poursuivit de plus belle : " T'as pas le cran d'embrasser une fille bourrée, avoue. T'es qu'un petit joueur en faite... " le cran n'avait rien à voir là dedans. Ma pression sur ces fesses se faisaient un peu plus forte. Fait gaffe ma belle, tu ne sais pas à qui tu as affaire ! mes sourcils s'étaient froncé tandis qu'elle se mettait à rire. Elle ne me laissa pas le temps de répondre : " Et arrête de me porter fièrement à bout de bras, pour montrer tes muscles, t'es ridicule ! " un nouveau sourire s'afficha. Qu'elle putain d'emmerdeuse. J'étais tombé sur la plus casse couille. En plus de parler trop, je ne pouvais même pas profiter du tendre moment qui nous attendait. J'étais frustré et toujours aussi énervé qu'elle est ruiné la possibilité de me perdre en elle en une fraction de seconde. Si je n'avais pas le cran de la baisé ? c'était là ou elle se trompait. Rapidement, je la fis descendre de mon épaule pour la déposer contre le mur. Mon regard croisa le sien et un léger sourire s'afficha lui ordonnant d'un simple regard de ne pas bouger. J'avais préféré ne pas répondre même si l'envie de fermer sa gueule me tentait bien. Elle lâcha un petit à " a vos ordres." je ne pu me retenir de rire avant de sortir la clés de ma poche. Mon regard se reposa sur la blonde. Il était intense. A ce moment même, je lui offrais la possibilité de rentrer un peu plus dans mon intimité. Mes sourcils étaient froncés et je prenais cette air sérieux qui m'avait quitter. Je n'avais pas pour habitude de m'envoyer en l'air dans ma chambre ou bien d'inviter une fille à dormir dans mon lit. Mon intimité restait privée et pour mon plus grand bonheur aucune fille n'avait réussi à ruiner le peu de plénitude que je construisais dans les endroits ou je vivais. Fort heureusement d'ailleurs. Je lui fis : " Tu vois quand tu veux ! Tu peux être sympas ! " dis-je en rigolant avant d'ouvrir enfin cette fichue porte. Entre donc ma jolie et vient te perdre avec moi dans le doux rêve que je te réserve. elle n'imaginait même pas ce que j'allais bien pouvoir lui faire. Moi tout se dessinait dans mon esprit et tout était relativement fluide. Je ne pouvais pas laisser mes pensées malsaines à la porte de cette chambre. Shaina allait rentrer avec moi dans un voyage qu'elle n'oublierait sans doute pas. Enfin si l'alcool et la drogue lui permettait de ne pas oublier cette nuit. J’espérai secrètement qu'elle n'oublie rien de ce soir ! j'avais envie qu'elle se souvienne comme elle avait eu envie de moi ce soir là au point de me laisser la pénétrer dans cet putain d'ascenseur. J'étais persuadé que j'aurais pu la niqué là ou bien même dans le couloir. Shaina se laissait guider par ces envies relâchant le peu de retenu qu'elle avait eu à la piscine. Mon esprit se perdait dans ce regard vert azur. Elle se décolla doucement du mur. Elle était lente et tentait de contrôler le peu de geste qu'elle faisait. Mon regard détaillait sa façon de marché avant de reporter mon visage sur le sien. Elle se pinça une énième fois les lèvres et s'approcha de moi pour rentrer. Au passage, elle posa son doigt sur ma joue. Sans m'en rendre compte, je me mordais les lèvres. Putain qu'elle était bandante. Je déglutissais attendant de pied ferme cette petite revanche qu'elle allait avoir sur moi. Je lui fis en rappelle à ces menaces. " Il me tarde de voir ta vengeances ! " dis-je en haussant les sourcils l'air impressionné. Elle venait de s'introduire dans ma chambre et mon regard s'attarda sur son cul parfaitement rebondit. Cul que je venais juste de toucher au passage. Je me secouais la tête retirant ces images de moi en train de lui arracher ces vêtements ou en train de la prendre par derrière. Je rêvais de ces caresses sauvages, de la découvrir sans aucune retenu. Putain, elle me rendait complètement fou cette fille. C'était tellement perturbant et envoûtant à la fois. Je décidais enfin à rentrer dans la chambre refermant délicatement la porte dernièrement moi. Mon dos se colla contre la porte, analysant son comportement. Elle semblait étonné par la bonne tenu de ma piaule. Elle s'approcha de la table et attrapa mon portable. Bordel, qu'est-ce qu'elle foutait encore ! Et la vie privée, tu connais ?! j'avais toujours détesté qu'on touche à mes affaires. C'était un défaut d'un solitaire dans l'âme. Elle se retourna pour pouvoir planter son regard sur moi. Son sourire était diabolique et provocateur. Je ne savais pas ce qu'elle avait en tête mais je ne pu retenir un léger sourire avant de me décoller de là ou j'étais pour pouvoir la rejoindre. Mes sourcils s'étaient froncé comme pour la prévenir qu'elle dépassait une nouvelle fois les frontières du raisonnable. " C'est bon, t'as peur que je tombe sur tes films de fesses ? " J'avançais vers elle d'un pas déterminé. Je me mis à rire avec elle et ne pus m'empêcher de lui dire en me foutant de sa gueule. " Tes films de fesses ? tu as une façon bien courtoise de dire les choses shaïna." mon sourire s'était étiré. On pouvait y déceler de la perversion. J'adorais son côté sainte ni touche. Tellement en décaler par rapport à moi, son langage reflétait la douceur. Saine d'esprit, j'étais persuadée qu'elle ignorait bien des choses sur le monde du sexe. J'aimais la brutalisé par mes mots cru et j'étais persuadé qu'elle y prenait goût. Une fois à sa hauteur, mon visage se baissa pour pouvoir mieux la regarder. J'étais sérieux, mon regard l'était en tout cas même si j'arborais ce stupide petit sourire qui avait l'air de la faire craquer. Elle se retourna immédiatement, ne me laissant même pas le temps de tendre ma main pour me saisir de mon téléphone. Elle anticipait bien pour une alcoolique drogué. Ces gestes étaient rapide, j'en étais presque surpris. Son dos me faisait face et comme pour lui montrer que je n'allais pas céder. Mon bassin se colla contre son cul. Mes mains se plantèrent sur les côtés de sa taille l'obligeant à tenir cette proximité. Mon torse se colla contre son dos et mon visage se colla contre sa tête. Un doux parfum de vanille venait titillé mes narines. Pas mal le shampoing. J'avais envie de rire. Si elle pensait une seule seconde qu'elle allait pouvoir me faire face de cette manière, elle se trompait. Mon visage se rapprocha tendis que son visage se tournait vers moi. Un sourire provocateur sur les lèvres, je lui fis : " sa aurait été plus sensuellement de ta part de dire film de boule ou film de cul shaïna ! Les choses n'ont pas besoin d'être embellie surtout pas avec moi ! " dis-je en frottant mon visage contre le sien. Mes mains avaient perdu ce seul objectif que je m'étais fixé. Je ne souhaitais plus reprendre mon téléphone. Mes mains glissaient sensuellement sur son ventre que je caressais du bout des doigts laissant parcourir mes mains sur son t-shirt. Rapidement, il m'en fallait plus. Je descendis pour passer en dessous son vêtement, mes mains chaudes touchèrent enfin sa peau. Rooooh putain. Je pouvais sentir son nombril sur mes doigts. Mon doigts forma un cercle autour de celui ci avant de remonter tendrement sur son ventre. Arrêter dans mon désir d'aller plus loin, mes mains s'échappèrent pour la voir se baisser. Son cul contre mon érection, mes sourcils se froncèrent ne comprenant pas tout de suite ce qu'elle était en train de faire. Elle se baissa toujours un peu plus m'offrant une vue imprenable sur son postérieur. J'ouvris les yeux en grand. Cette meuf me vendait du rêve. Elle était en train de m'offrir la position la plus alléchante qui soit. Ma queue était dur, tellement dur qu'il était impossible pour elle d'ignorer le désir que je ressentais pour elle. Un sourire provocateur s'afficha sur mes lèvres. Mes mains appuyaient un peu plus fort sur ses hanches. J'avais envie de la prendre là. Ma main droite quitta ses repères pour venir caresser son dos avec insistante. Ma mâchoire se serra avant que je ne ferme les yeux pour me répéter. Elle a bu gauthier ! Elle a avaler ce putain de caché ! je ne pouvais rien faire avec elle. Du moins rien qui n'amène à me perdre en elle. Je ne pouvais pas, pas ce soir ! pas dans cet état. Putain ! Elle se releva délicatement collant une nouvelle fois son dos contre moi. Mes mains se faufilèrent une nouvelle fois sous son haut. Reprenant mes caresses là ou je les avais laisser. " Tu baises pas, tu touches pas." mes sourcils se froncèrent en l'entendant juré. Voilà qui était nouveau, mon sourire s'était agrandit. Je devais avouer que ivre et drogué, shaina envoyait du lourd. Elle semblait bien au dessus de ces petites manières à deux balles. La bourgeoise était en train de prendre son pied. Elle se mit à rire m’entraînant avec elle dans son délire. Comme rattraper par une petite réalité, elle comprit rapidement ce qu'elle venait de dire. Elle apporta ces mains à son visage et bafouilla. " Oh non !" mes mains remontaient sur ventre resserrant un peu plus l'étreinte que j'avais avec elle. Mon souffle se frotta à son oreille et je lui fis : " Arrête de faire la sainte ni touche ! Tu es super bandante quand tu dis sa..." dis-je en remontant dangereusement mes mains sur sa poitrine. Sans prévenir, une de mes mains se plaqua contre le bonnet de son soutient gorge malaxant sans retenu son nichon. Je me mis à grogner. " La prochaine fois ! Tache de ne pas mettre de soutient gorge ! A la piscine s'était beaucoup mieux. " Elle respirait fort laissant échapper quelque gémissement. Sa tête tomba en arrière sur mon épaule m'offrant une vue imprenable sur son décolté. Tandis mes mains malaxaient avec envie sa poitrine. Mes lèvres se posèrent enfin à sa cou, léchant et suçant sa peau. " Tu ne pourras plus m'oublier après ça shaïna " dis-je en lui aspirant la peau. Je venais la marqué de la plus sensuelle des manières qui soit. " Tu es à moi ce soir !" dis-je subtilement. En réalité, elle me rendait mais complètement dingue. Comment pouvais-je désirer autant une inconnue ? cette inconnue entre autre. La musique me sortie de mon délire. Boooordel, fait chier ! Ma tête se releva tendit que je sentais ces hantes se frotter contre moi. Elle n'allait comme même pas ? Je fermais mais yeux tentant de garder le peu de lucidité qu'il me restait. Voilà ou se trouvait sa vengeance. Ici même. Son cul se frottait contre mon entrejambe déjà bien endolori. Sa main passa en arrière pour se poster à mon cou. Mes mains cherchaient désespérément à franchir les barrières de son soutien gorge. Avec hâte, je baissais ses bonnets pour faire ressortir ces nichons avant de reposer mes doigts sur sa peau. Je profitais enfin de pouvoir les toucher. Elle voulait du désir, elle allait être servit. Elle se mit à chanter et sans m'en rendre compte mes hanches se mirent à bouger avec elle. L'incitant à poursuivre son frottement contre moi. Elle s'avança m'obligeant à arrêter mes caresses pour se retourner et me faire face. J'étais bouillonnant de désir. Tout sa pour une fille qui n'avait pas arrêter de me casser les couille toute la soirée. Les circonstances étaient elle que je n'arrivais pas à résister. Pas ce soir, pas avec cette fille. Son anglais presque parfait appuyait les paroles de cette chanson laissant sous entendre un message. Mon regard la dévisageait. Elle était désirable à souhait. Je ne bougeais pas profitant du spectacle avant de la voir rapidement revenir vers moi. Ces mains se postèrent sur mon torse. Une main se plaça contre sa joue et l'autre sur sa hanche. Putain que j'avais envie de lui mordre sa lèvre. elle me provoquait avec ce simple affront. Elle savait ce que sa me faisait et insistait. Mon sourire pervers s'étira imaginant mon sexe dans sa bouche. Ma mâchoire se serra en pensant au simple plaisir que cela représentait. Une pipe bien faite ? il n'y avait rien de mieux ! Sa main glissa délicatement contre mon torse pour s'arrêter au bas de mon ventre précipitamment ma main s’écrasa contre la sien et mes sourcils se froncèrent. " fait gaffe beauté ! " dis-je en un regard. Mes doigts relâchaient la pression sur sa main la laissant faire. Elle attrapa le bas de mon pantalon et m'attira brusquement à elle. Mon bassin de colla à elle une nouvelle fois. Ses mains se postèrent sur les miennes. Je me laissais complètement faire. Fait toi donc plaisir Shaïna. Viendra mon tour ne t'en fait pas. elle se recula comme pour marquer la fin de son match. Elle prononça ces nouvelles paroles qui me provoquèrent un frisson. Elle s'avançait doucement vers la table en levant les bras. Elle était sublime. Je la contemplais me vendre du rêve. Cette fille n'était pas une arnaque. Loin de la. Sans pouvoir me retenir, je m'avançais vers mon téléphone poster sur la table. Mes doigts stoppèrent la musique et mon regard se posta sur la belle. " J'espère que tu es prête Shaïna ! Parce que mon Round vient juste de commencer." dis-je en haussant les sourcils de haut en bas. Je me mis à sourire retirant avant hâte mon t-shirt. J'avais chaud et de toute façon je n'allais plus en avoir besoin. Je reposais mon regard sur mon téléphone et sélectionna une chanson. Je me mis à rire suivis de prêt par la blonde qui s'était figée. Je m'approchais dangereusement d'elle, arriver à sa hauteur, une main se plaça délicatement dans son cou. Mon corps se colla contre elle et mon visage fit de même. " dit le que tu veux baisé avec moi Shaïna !" dis-je en approchant mes lèvres siennes. Je les effleurais, faisant planer cette tension entre elle et moi. Je penchais mon visage pour venir l'embrasser dans le cou, ma langue vaguait dans son cou. Je me faisais un plaisir fou de la rendre dingue. " Dit le et tu l'auras !" mensonge mais shaïna n'en savait rien. Je voulais juste la voir aussi démunie que moi. Ces douces mains s'étaient posté sur mes bras puis dans mon dos profitant. Ses doigts étaient habiles et doux. Loin des caresses qu'elle m'avaient fait sur ce muret. Elle ne tremblait plus. Je descendis mes mains sur son corps et finis par prendre le bas de t-shirt. Délicatement, je m'éloignais pour lui retirer son haut. Mon regard s'attarda sur son soutien gorge. Je serrais la mâchoire avant de revenir à la charge embrassant le haut de sa poitrine. " Putain... t'imagine même pas comme j'ai envie de me perdre en toi Shaïna..." dis-je entre deux baisé mouillé. Je remontais dans son cou puis sur sa joue. La musique nous ambiançait, nous motivant à poursuivre sur cette voie. Putain mais quand quelle voie on allait. Plus sa avançait et plus je me sentais perdre le contrôle. Sauvagement, je me saisie de ces hanches et la retourna pour reprendre la position de tout à l'heure. " On était bien comme sa " dis-je sauvagement en venant une nouvelle fois mordre le lobe de son oreille. " Shaina... " fis-je doucement avant de dire : " merde.... je voulais dire Gloria." dis-je en rigolant histoire de l'embêter un peu. Mes mains reprenaient possession de son corps. Délicatement, je postais une mains sur son sein et fis descendre l'autre délicatement le long de son ventre pour arriver à la commissure de son short. Je déboutonnais son bouton d'une main experte et sans plus attendre, je venais introduire ma main sur son sous vêtement. " Putain que tu es chaude." si tu crois que serrer les jambes va m'empêcher de te toucher ! tu te trompes " dis-je contre sa joue. Sa tête s'était renversé en arrière se posant contre mon épaule. Tu voulais danser shaïna. Danse donc ! Ma main se mit à masser son intimité gardant toujours son sous vêtement comme barrière. Mes doigts mourraient d'envie de s'enfouir en elle. Je la titillais tendrement. " Dit le shaina ! je veux t'entendre jurer..." dis-je dans un souffle contre son oreille. Mes doigts bougeaient contre ces mouvements de hanche. Elle gémissait, s'était exaltant. Putain que j'avais envie d'elle. Je devinais l'état de son entrejambe. Elle ne demandait que moi.
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