"meilleurs amis" ne sont pas simplement des mots, c'est un engagement à vie ✮ GAUTHIER

G A U T H I E R  A N D L U C K Y
meilleurs amis" ne sont pas simplement des mots, c'est un engagement à vie. ★★★

La soirée avait été encore rude. Mon corps se liquéfiait à mesure que le summer camp défilait. Mes paupières étaient lourdes et instinctivement je ramenais mes bras contre mon corps. Mon visage se tourna sur cette fabuleuse brune que j’avais baisé un peu plus tôt dans la nuit. Une fille on ne peu plus facile à obtenir, batailler ne servait à rien avec elle. Il n’était pas question de jeu de séduction. Il était question de cul, de baise. Pas d’amour ou de séduction. Cette gonzesse étaient affalée la montrant à pleine vue ces nichons trop rebondit. Des faux sans doute. Le naturel ne la définissait pas. Loin de cette blonde que j’avais pu rencontrer à la piscine. Elle était très loin, très, très loin du compte. La sonnerie de mon téléphone attira mon attention. Je me redressais difficilement sur mes coudes et pris mon téléphone. Le prénom de ma meilleure amie s’afficha sur mon écran. Je glissais mon doigt sur l’écran et lu le message qu’elle venait de m’envoyer. « J’me fiche de ce qui te prend autant de temps pour me rejoindre, mais grouille toi ou sinon j’viens te botter le cul Gauthier.» mes sourcils se froncèrent me rappelant petit à petit que j’avais rendez-vous avec elle. Merde. Dans la précipitation, je me levais de mon lit manquant presque de perdre l’équilibre en me prenant les pieds dans ce putain de soutien gorge. Sans faire gaffe, je pris son sous vêtement et balança à la gueule de la jeune femme. « Bon la partie de plaisir, c’est terminé ! Va pioncé ailleurs !» dis-je d’une voix monotone. La remercier ? la complimenté sur ces exploits d’hier ? très peu pour moi. Je n’en avais rien à foutre d’elle. Elle m’avait rendu service et je lui avais rendu service. Le deal s’arrêtait au porte de cette chambre. Je n’étais pas du genre à ramener des gonzesses dans mon pieu mais quand on ne pouvait pas faire autrement il faut faire des concessions. Paroles écrite et dite par mon putain de géniteur. Elle ouvrit les yeux difficiles tandis que je me à grogner pour lui répéter un peu plus fort. « Allez putain ! Bouge, j’ai autre chose à foutre.» je m’habillais rapidement ne prenant pas le temps de prendre une douche. On verra sa à mon retour. Lucky était le genre de fille impatiente, chiante et possessive. Le genre de blondasse qui arrivait facilement à m’énerver dès la première syllabe. La brune se leva, les yeux endormis et noir. Elle ne semblait pas contente. Elle se pressa à prendre ces affaires et alors qu’elle commençait à se rhabiller lentement. Je m’avançais vers elle et son regard se releva. Je me mis à la pousser jusqu’à ma porte de sortie et lui fis en la jetant dehors. « Pas terrible la pipe mais t’es pas mal comme même chérie !» dis-je en refermant la porte d’un coup sec. Je remis mon tee shirt noir de la veille. Quoi ? j’avais pas le temps de trouver autre chose et je me mis en direction du phare qui surplombait la baie dans laquelle nous nous trouvions. Romantique à souhait. Putain j’avais envie de gerbé. Lucky ne pouvait elle pas se contenter d’une putain de cafétéria. non il fallait qu’elle se hisse toujours plus haut rien que pour m’emmerder. Je n’étais pas d’humeur et mes petites heures de sommeil n’arrangeait rien du tout. Une fois arrivée au phrase, je pouvais L4apercevoir tout en haut. Ces cheveux blond vaguaient dans l’air frais du matin. Les mains dans les proches j’approchais lentement, prenant les escaliers pour la rejoindre. Arrivé en haut, elle me regard d’un regard sombre. Regard que je connaissais trop bien. Elle était énervée pour causse je l’avais oublier. « Je n’aime pas attendre et tu l’sais crétin ! C’est quoi son prénom ?» Mes sourcils se froncèrent et sans faire vraiment attention. Je m’avançais vers elle pour posé une main sur sa hanche. Doucement, je l’obligeais à me dire bonjour. Un calin amicale que nous avions toujours l’habitude de faire même en pleine tempête. « Ta gueule Lucky ! tu me donnes déjà mal à la tête.» dis-je en l’embrassant sur la joue pour me décoller d’elle. « J’en sais rien de comment elle s’appelle ! commence pas à me casser les couilles.» dis-je sur un ton très plat avant de venir m’asseoir au bord. Mes pieds tombèrent dans le vide et mes mains se rattrapent aux barreaux. Son regard était insistant et elle voulait une réponse. Je la connaissais bien pour le savoir. « C’était une brune ! Elle m’a taillé une pipe, je l’ai baisé ! T’as un problème avec sa Lucky ? t’as fait quoi toi hier ?» dis-le légèrement curieux. Cette fille était chiante et exaspérante elle n’en restait pas moins une de mes amies les plus fidèle. 

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Ce n’était pas étonnant de la voir rappliquer à tout ce que je disais. Lucky était comme sa aussi têtu que moi. Alors quand elle me fit : « Ta gueule toi-même Gaut !» sa ne m’étonnait même pas. Un sourire sarcastique sur mes lèvres, mon regard se posa sur elle. J’aimais la faire virevolter dans le peu d’espace ou se trouvait sa patience. Lucky n’a jamais été une fille très patiente. Dans le genre casse couille, elle était la reine. Je m’approchais d’elle doucement attrapant fermement sa taille pour l’approcher de moi. Son coude s’écrasa dans mon ventre et une grimace s’afficha sur mon visage alors qu’elle continuait à déverser son poison tout autour de moi. « J’avais été bien clair la dernière fois que je t’ai dit de me faire passer avant toutes ces putes que tu baises okay !» mon visage se tourna et mes sourcils se fronçèrent un peu plus. Je resserais ma prise et lui fis « J’étais endormi Lucky ! La nuit a été rude pas de ma faute si je n’ai pas ouvert les yeux à temps pour mademoiselle !» dis-je d’un ton lasse tout en affichant un petit sourire. Le genre de petit sourire qui avait le dons d’irriter ma meilleure amie.Mes lèvres se posèrent ensuite sur sa joue et rapidement ses mains se postèrent dans ma nuque m’incitant à continuer. Mes lèvres parcouraient sa joue en de petit baisé. Mes doigts eux agrippaient un peu plus fermement ces hanches, l’incitant à rester là ou elle était. Loin de toute tension, je saluais Lucky comme il se devait. « Tu m’as manqué durant ses quelques jours mon keunard.» un fin rire s’etouffa entre mes baisés tandis que mon sourire s’étirait. J’étais un connard mais avec elle, ce mot n’avait plus aucune signification. Nous étions à ce fameux niveau ou nous ne valions pas mieux l’un que l’autre. Nous étions pareils. Mes lèvres s’entrouvaient en de délicieux petit bisou baveux. Je préférais le silence aux aveux. M’étendre sur mes émotions ou mes sentiments ne me ressemblaient pas. Je n’avais jamais été ce mec qui crie haut et fort ces sentiments ou ces émotions. Elle m’avait manqué mais je ne trouvais pas utile de le préciser. Elle le savait, mieux que personne et cela suffisait amplement. Je m’éloignais de la blonde pour retrouver une place confortable par terre. Elle me rejoigna sur le sol, ses sourcils étaient froncés lorsque je me mis à décrire ma petite soirée. Jalouse la lucky. J’aimais la taquiner, l’embêter sur sa profonde possessivité. « Une belle moche en gros ! Putain, les blondes sont de bien meilleur gout c’est reconnu.» je me mis à rire avant de lever un sourcils. Il n’y avait que moi pour relever des connotations sexuels dans une phrase aussi simple que celle ci. « Je ne l’ai pas goutter si tu veux tout savoir ! On s’est limite à sa bouche si tu veux tout savoir.» dis-je en bougeant de haut en bas les sourcils comme pour la provoquer un peu. Lucky n’avait pas tord dans une chose, les blondes attiraient bien plus mon attention que les brunes. S’était comme sa. Ma curiosité me poussa à lui demander ce qu’elle avait bien pu faire la nuit dernière. Raconte nous donc tes exploits Burberry. « Moi ? Hier ? Ummm, hier j’ai baisé un blond, il était... si tu savais. Et il a une plus grosse que toi si si.. j’ai grave pris mon pied.» mes sourcils se froncèrent légèrement. La garce. Elle voulait me faire chier et elle y arrivait très bien. « Un plus gros ? tu perds la boule ! Je devrais te rappeler un peu la sensation que sa fait de se faire baisé par Gauthier Bushnell plutôt que ce connard de blond !» dis-je en affichant un sourire provocateur. Mon regard se reporta ensuite sur la sublime vu qui s’offrait à nous. Lucky n’avait pas tord, la vue en hauteur était bien plus jolie. Un petit silence s’installa avant qu’elle ne dise : « T’sais que j’aurais pu te castrer après ce que t’as fait il y a quelques jours ? Souviens-toi.» mon regard se fronça et se tourna vers elle. Qu’avais-je fais ? Lucky se souvenait bien souvent de tout moi j’oubliai à la seconde ou je décidais d’ouvrir une porte ou de faire à manger. Mes actes n’avaient aucune conséquence sur ma personne. (ahah elle liiiiiit mes rp quoi :P) alors que je m’apprêtais à répondre. Elle me balança « T’en penses quoi si je devenais strip-teasuse ?» mon regard se fronça immédiatement. Stip-teaseuse ? elle était sérieuse ?! hors de question. Même pas en rêve. « Tu te fous de ma gueule Lucky ?» dis-je sur un ton légèrement tranchant. Elle continua dans ses explications plus merdique les unes que les autres. « ça m’plairait bien de voir la chaleur que je peux procurer à tous ces beaux garçons qui viendront me voir danser.» un rire diabolique et plein de frustration se déversa. Non mais n’importe quoi et je lui fis en me redressant. La position assise ne me convenait plus. Elle se redressa aussi et je lui fis: « Parce que tu crois que tu vas avoir des beaux mecs ? Tu te fous le gros doigt Lucky. T’aura que des vieux pervers dégueulasse ! Chacun son truc, si tu veux faire jouir des putains d’enculer. Putain, franchement, des fois je sais pas ou tu trouves tes idées de merde !» dis-je en soufflant sec. Elle me gonflait sa y ai. Je sentais les nerfs monter. Elle savait y faire putain. Rien que de l’imaginer danser autour de ces enfoirées, ma mâchoire se crispa. Prêt à péter la gueule au premier connard qui aurait le malheur de baver en la regardant danser. « Si je te vois dans une de ces putain de boite ! Je te préviens Lucky, tu passeras un sale quart d’heure !» dis-je sur le ton de la menace avant qu’elle ne dise en changeant de sujet. « Et sinon monsieur je n’ai plus le temps pour ma meilleure amie, tu passes de belles vacances au moins ?» mon regard était mauvais et malgré la jolie tentative de passer à autre chose mon regard restait froncé. Si mes vacances se passaient bien ? elle était parfaite. Idéale dans tout son ensemble, je ne me faisais pas chier. Non, j’évoluais paisiblement. Je ne répondis pas à sa question. Je n’avais pas envie. Trop arrêter sur son idée idiote d’aller danser dans ces vieux bar miteux. Je reportais mon attention sur le paysage. Allez gauthier calme toi, elle se fout juste de ta gueule pensais-je. La blonde continua dans ces longues tirades qui me donnaient presque envie de gerbé tellement, elle était longue. Je l’écoutais et mon regard restait toujours aussi noir. Happy ? c’était quoi ce prénom de merde. Un peace and love sortie tout droit du vagin d’une hippie ? « Happy ? t’es sérieuse ?» je me mis à rire comme me foutre de sa gueule. « Pas étonnant qu’il aime le chocolat ! Non mais happy paye ton prénom quoi» dis-je en rigolant un peu plus. Je me foutais de la gueule de cette abruti. « Et tu l’as rencontré ou ce mec ?» dis-je un peu plus sérieusement. La voir traîner avec d’autre ga m’avait toujours un peu gêné. Je me tournais vers elle et finis par croiser les bras autour de mon torse. « Tu as vraiment décidé de m’emmerder hein !» dis-je tout à fait sérieusement. Elle voulait me faire payer mon affront, j’en étais sûr et me parler de cet abruti d’Happy maintenant n’était pas la solution. « Putain t’es relou quand tu t’y mets !» je m’approchais et finis par me mettre devant elle. Lucky était adossé aux barreaux du phare. Mon corps se rapprocha et mes mains encerclaient son corps en se tenant contre la rembarre. « Tu vas arrêté de jouer avec mes nerfs Lucky ? ou je crois que je pourrais pas contenir mon envie de t’étrangler si tu continues.» dis-je avec un sourire sarcastique sur les lèvres. Fait gaffe Lucky ! Continue et il va te bouffer tout cru. Meilleure amie ou pas. 

désoulééééééééééé pour la longueeeeeeur

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Lucky rallait encore. L’heure était l’heure. Elle n’avait pas changer et ces réflexions me firent doucement sourire. Elle était mignonne. Protectrice et possessive jusqu’au bout des ongles. Elle détestait passée après les autres et bordel je la comprenais puisque j’étais pareil. C’était moi et rien que moi. Ces connard de petit copain pouvaient bien attendre. Mes paroles s’élançèrent sur un sujet fâcheux provoquant un peu plus la belle blonde avec mes histoires de cul. « et bah non, j’veux rien savoir et surtout pas ce genre d’chose quoi ! Epargne-moi tu veux !» Je me mi à soupirer avant de lui lâcher. « Tu t’en plains pas quand je te fais la même chose !» dis-je sèchement avant d’afficher un sourire amusé sur mes lèvres. Je la provoquais et mes paroles n’avaient de très sérieux. Elle bascula la tendance à son avantage en m’infligeant les même douleur que je venais de lui faire. Putain de jalousie. « Et si je n’ai pas envie que tu me le rappelles juste pour garder en mémoire, ce beau blond hein hein hein ?» mes sourcils étaient froncé. PFFFF. Je me mis à grogner pour finalement dévier mon regard. Elle était énervante, aussi emmerdante que Biddie et Shaïna. Qu’avais-je fais à ce putain de bon dieu pour mériter sa ? hein. Une terrible erreur tu ferais ! Ce mec n’était rien comparer à moi. Je ne répondis pas préférant le silence. Elle voulait que je pète un câble et des visions de moi la balançant par dessus le phare me traversait l’esprit. Allez Lucky, une bonne douche pour te refroidir. Elle continua à balbutier sans que je n’accorde aucune importance. Ferme la Burberry pensais-je fortement tandis que mon regard lui se perdait le paysage qui s’offrait à nous. Enfin, elle ajouta : « Tranquille ! Tu sais que ta meilleure amie n’irait pas danser dans ce genre de bar, sinon j’en castrerais plus d’un» Mon regard se tourna vers ma meilleure amie. Il était froid et sérieux à la fois. Je n’avais plus envie de rire et bizarrement la voir remué son cul devant tout le monde me donnait envie de gerber. « Tu as intérêt !» dis-je froidement avant de finalement sourire. Elle était chiante. Elle me connaissait tellement bien qu’il lui suffisait d’une parole pour déclencher en moi ce feu qui ne demandait qu’à sortir. Par la suite, elle continua sur son fameux compagnon de bouffe. Je me mis à soupirer avant de l’entendre me stopper directement au première petit critique que je faisais sur son ami. « Ferma ta joli bouche et garde toi de critiquer mon Nutella Boy ! Il est bien comme il est et je l’apprécie beaucoup, alors chut et respect ! Merci.» je me mis à sourire hypocritement et lui fis : « Vient me fermer ma jolie bouche chérie ! Parce que j’arrêterai pas de dire que ton pote l’abruti doit soit être complètement stupide ou complètement gay pour oser porter ce prénom.» dis-je avec une pointe de sarcasme tout en la défiant de venir fermer ma gueule. Vient donc me couper la respiration Lucky. Je t’attends ! Par la suite ma curiosité me piquait à vif. Qui était ce connard sans déconner. Elle m’informa qu’elle l’avait rencontrer à l’université et me demanda pourquoi. Je levais les épaules et ne répondis pas avant de me rapprocher d’elle. Allez ferme là ! Les jeux devaient se terminer rapidement. Ma machoire était serrée, imaginant déjà mon point dans la jolie gueule de cet abruti. Je me rapprochais de Lucky avant de l’emprisonner entre mes bras. Elle afficha un sourire sublime et me poussa à faire de même. « Ouuuuuuuh j’ai peur Gauthier.» je levais un sourcil en voyant le petit cinéma à laquelle, elle s’adonnait. Mon regard était insistant. Je la contemplais. Elle était belle, très belle même et ce n’était pas si étonnant de voir autant de mec courir derrière elle. « Tu devrais avoir peur de moi j’ai peur de toi.» dis-je en souriant et en rigolant. Prend toi sa dans la face blondasse. Ses doigts effleuraient mon bras délicatement me provoquant un frisson de plaisir. Elle était douce et argneuse en même temps. Un cocktail franchement pas dégueulasse. « Mais que vois-je ? ne serait-ce pas de la jalousie pardi ?» Je levais les yeux au ciel et me coupa dans l’intension que j’avais de répondre. « Penses-tu que je devrais annuler mon rendez-vous demain avec Abel ?» putain mais c’était qui lui encore. Je me mis à soupirer. Avait-elle autant de prétendant qu’elle le montrait ? ou avait-elle juste envie de me voir piquer une crise. Son doigt tournoyait sur ma joue avant de descendre délicatement sur le bas de mon cou. Elle me cherchait son sourire s'illuminait et mon corps lui se pressa contre celui de Lucky. « Je crois que t’es un peu trop beaucoup proche de moi là !» Elle avait beau être ma meilleure amie, je n’arrivais pas à contrôler ce degré d’attirance qu’il y avait entre nous. Elle descendit son doigt sur mon torse et me dit reculer. Mes sourcils se froncèrent peu convaincu parce qu’elle me demandait de faire. Me reculer ? maintenant ? il en était hors de question. J’allais lui faire payer son affront ! Elle me poussa délicatement et se retourna. Elle était dos à moi et je me mis à rire. Avait-elle conscience qu’elle venait de se mettre dans une sacré merde en se retournant. Sans vraiment plus attendre, je m’étais de nouveau rapprocher d’elle sauvagement. La poussant presque un peu plus contre le barreau. Ma taille encadraient parfaitement son cul et mon visage se perdait dans ses cheveux. « Lucky... tu devrais la fermer plus souvent ta gueule !» Dis-je en lui balançant un coup de rein comme si je venais de la prendre par derrière. C’était excitant et ce petit jeu venait juste de commencer. Étrange comme relation amicale, je pouvais le concevoir mais une partie de moi avait envie d’oublier le tendre moment que j’avais passé avec Shaïna. Une partie de moi voulait redevenir le connard que j’étais et que je suis toujours. Ma queue durcissait contre son cul. « Si tu continues de parler de ton Happy et ton Abel ! Je te promet que je te prends ici contre ces barreaux à la vu de tous. Ok chérie ?!» dis-je d’un ton menaçant. Mes lèvres se perdaient dans son cou, pressant une nouvelle fois un peu plus mon bassin contre son cul. « Tu devrais avoir honte de donner des envies aussi peu catholique à ton meilleur ami !» dis-je dans un souffle avant de lui mordre l’oreille. Mes bras encerclaient son corps et venaient se placer sur son ventre. « Revenons ou nous en étions ! Pourquoi m’as-tu appelé pour me parler de tes connard ? Parce que si c'est pour sa je me casse ! » dis-je en gardant cette même position. Elle était tendue comme je sais pas quoi et je lui fis : « détend toi ! C’est quoi qui te rend aussi tendu ? c’est ma queue c’est sa ?» dis-je dans un rire avant de me reculer pour poser mes mains sur ces épaules et lui faire un massage.