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Beating Heart pv Shaïna (a)

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G A U T H I E R  A N D S H A Ï N A
Beating Heart ★★★
Un doux destin s’offrait à moi depuis que j’avais mis les pieds en Nouvelle-Écosse. Les soirées se multipliaient et les filles s’enchainaient. Ce n’était pas pour me déplaire, bien au contraire. J’animais là mon désir le plus charnel. Je prenais mon pied, c’était tellement jouisif putain. Je n’avais aucune limite et je ne m’en cachais pas. Des images de la veille me venaient furtivement à l’esprit. Cette blonde aux lèvres pulpeuses avait su satisfaire mes envies les plus profondes. Son prénom m’échappait encore et pour tout vous dires je m’en foutais royalement. Ma mâchoire se serra en repensant au simple contact de ces lèvres sur ma queue. Cette fille ne m’avait jamais intéressé et comme elle, j’avais juste cherché à assouvir un besoin oppressant. Nos chemins s’étaient séparés sans encombre. Lucide la fille n’avait pas insisté à me revoir et c’était bien mieux comme ça. J’avais ensuite regagné ma chambre tranquillement dans la soirée. Les choses étaient d’une simplicité déconcertante avec moi. Tu baises et tu te casses. Je ne demandais pas mieux et je ne cherchais pas mieux. Cette façon de vivre m’allait très bien et j’emmerdais la plupart des personnes qui ne pensaient pas comme moi. J’étais un connard et je ne m’en cachais pas. Je ne l’avais jamais fait. Affalé sur mon lit, mon visage se leva en voyant la porte de la chambre s’ouvrir. Ma meilleure amie avait décidé de venir me faire chier comme à son habitude. Mon visage retomba lourdement sur mon oreiller. « PUTAIN QU’EST-CE QUE TU FOUS GAUT’» je me mis à grogner avant de soupirer longuement. Bordel ce qu’elle pouvait être chiante quand elle s’y mettait. « Et toi tu m’emmerdes ! Qu’est-ce que tu fou bordel ?» je détestais ses moments d’intrusion. Elle le savait et pourtant elle se faisait un plaisir fou à s’introduire dans mon espace. Je n’aimais pas être surpris et en bon râleur je lui fis sur un ton menaçant : « T’as de la chance que je n'étais pas en train de baiser ! » Je me redressais sur mon lit avant de voir approcher ce corps féminin du mien. Mon regard s’attarda sur son ventre découvert. Elle avait beau être ma meilleure, je ne restais pas moins un homme qui venait de se lever et qui regorgeait d’énergie. Elle me regardait sans broncher et elle haussa les épaules. « Tu as oublié ! J’y crois pas Gaut'» oublier ? mais bordel qu’est-ce qu’elle me raconte. J’approchais mes mains de mon visage pour me le recouvrir. Chieuse, chieuse, chieuse me répétais-je avant sentir un vêtement sur moi. Elle venait de me balancer vulgaire une chemise blanche au visage. Mes sourcils se froncèrent et elle ne tarda pas à ajouter. « Tu m’as promis de venir à cette soirée blanche ! » elle était sérieuse et son ton était menaçant. Et là cette furtive promesse me venait en tête. Quel con de lui avoir promis une telle chose. Je me levais de mon lit avant de jeter la chemise sur mon lit. « Je n'ai pas envie d’y aller y a c’est de la merde Lucky ! » et pourtant je savais déjà que j’allais être contraint de la suivre. Bordel que je pouvais la détester parfois. Nous sortions de la chambre tout de blanc vêtu. Je détestais cette chemise, cette couleur. Tous ces trucs ne me ressemblaient pas et j’avais l’impression de ressembler à ces putains riches. Je me mis à grogner tandis que Lucky semblait ravie. « Surtout Lucky ! Ferme la » dis-je agacé. Nous marchions tranquillement vers la piscine extérieure de l’hôtel. Tout avait été soigneusement préparé pour accueillir les étudiants du Summer camp. Mon regard s’attarda sur la foule ou plutôt sur cette fille horriblement vulgaire qui bousillait mon champ de vision. Impossible pour moi de deviner la véritable couleur de sa peau. Retoucher de la tête aux pieds, elle avait bien plus de point commun avec poupée barbie qu’avec les femmes. Elle tourna son regard de pute vers moi et mes sourcils se froncèrent. Je pouvais déjà lire ces pensées sataniques. « Même pas en rêve !» J’avais beau aimer les femmes, j’aimais avoir le choix et cette fille ne faisait clairement pas partie des futures possibilités. Je me mis à marcher tandis qu’Abi était resté là-bas pour discuter avec je ne sais qui. Le comble, j’étais venu et j’étais maintenant seule. La solitude ne m’avait jamais beaucoup plus. Je détestais ça. Je reconnais rapidement un pote à moi. Je m’approchais de lui et lui serra fermement la main. « qui est celle qui t’a forcé à enfiler ste merde» dis-je en rigolant. Ces soirées nous ressemblaient tellement pas. Le regard inquisiteur d’Éric me poussa à porter mon attention sur cette fille. « Regarde là-bas.» mes yeux se plissèrent tandis qu’une serveuse s’approchait pour nous proposer une coupe de champagne. Sans lui porter la moindre attention, je pris une coupe et m’attardai sur l’inconnue. Cette robe, ce cul, ces seins, ces lèvres, ces jambes. Nous étions là loin du bois de Boulogne de tout à l’heure. Mes yeux se plissèrent imaginant presque les sous-vêtements qui se cachaient derrière cette sublime robe blanche. À cette simple pensée, j’étais déjà limite en train de bander. Maîtrise toi bordel de merde Gauthier ! « Tu m’excuses vieux ! j’ai un truc à faire ! » je lui tendis mon verre et comme à mon habitude j’allais me comporter comme le connard que j’ai toujours été. La jolie blonde était de profil, obnubilé par son discours. Elle ne remarqua même pas que je me dirigeais tout droit vers elle. Je n’avais encore aucune idée de comment l’aborder. Mon regard s’attarda sur la piscine qui se trouvait juste à côté d’elle et sans que je ne puisse retenir cette folle envie. Nous venions de tomber lourdement dans la piscine. Allez sublime créature ! Montre nous tes dessous.  
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Shaïna traversa le hall d'entrée d'une démarche féline et aguicheuse. Aux allures de femme fatale, elle était plutôt satisfaite d'avoir passé une heure dans la salle de bain. Le résultat était plus que satisfaisant à ses yeux. Sa crinière était impeccablement domptée sur sa tête, son maquillage était naturel et discret, elle avait raison de se trouver jolie. Détestant la vulgarité, la blondinette savait mettre en valeur les tâches de rousseurs qui ornaient son doux visage. Elle était vêtue d'une magnifique robe blanche, confectionnée par ses soins. Cette tenue mettait ses formes en avant, elle semblait épouser parfaitement son corps. Cintrée au niveau de la taille, évasée sur le bas, sa robe arrivait à mi-cuisse et laissait apparaître son dos délicatement cambré. Elle offrait une vue vertigineuse sur sa délicate poitrine et semblait incarner à la perfection l'expression fait sur mesure. Sa tenue était faite pour et par elle. Si Shaïna avait bien une passion dans la vie, c'était la mode. Baignée dedans depuis sa plus tendre enfance elle affectionnait particulièrement les défilés hautes coutures où le luxe flirtait avec l'élégance. La blondinette a toujours été habituée aux soirées mondaines et autres réceptions ennuyeuses. Faire bonne figure à une soirée blanche snoobinarde n'était qu'une formalité. Perchée sur ses hauts talons, elle ne mit pas longtemps avant de rejoindre l'extérieur de l'hôtel. Le décor était sublime, avec autant de blanc, on se croirait presque à un mariage. La jeune fille s'arrêta pour prendre le temps d'admirer la vue, un petit sourire conquis vint s'afficher sur ses lèvres. Une petite musique se faisait entendre comme bruit de fond, l’atmosphère était plus qu'agréable. L'après-midi fut chaude, la température avait baissé légèrement pour offrir un début de soirée doux et ensoleillé. Shaïna était bien bronzée, il fallait quand même avouer qu'elle passait toutes ses journées et ses nuits dehors. Participer au Summer Camp était une bénédiction pour elle. Loin de ses parents et de la pression qu'ils lui infligeaient, elle pouvait enfin se lâcher. C'était la deuxième année qu'elle participait à ce genre de voyage et, mine de rien, elle commençait à y prendre goût. La Cabot faisait pas mal de rencontres, pour son plus grand plaisir. Telle une petite fille dans un magasin de jouets, elle avança de quelques pas pour rejoindre la réception. Shaïna observait minutieusement les tenues des étudiants présents, il y en avait pour tous les styles. De la simple chemise blanche au polo hors de prix, c'était une extase visuelle. La blondinette faisait des études de mode et comptait bien reprendre lancer sa propre marque de vêtement de luxe. A vingt trois ans, elle avait déjà organisée deux défilés et avait reçu plusieurs propositions de partenariats. De ses longs doigts fins, elle créait des tenues originales et appréciées des autres. A chaque fois, ses créations faisaient l'unanimité. Rapidement, la belle blonde repéra deux amis à elle et leur adressa un petit signe de la main. La soirée commençait à peine, elle aurait surement tout le loisir d'aller leur parler par la suite. Shaïna continua de balayer l'endroit des yeux, elle croisa le regard d'un jeune homme. Elle lui esquissa un fin sourire avant de reporter son attention sur une serveuse qui lui proposait à boire. La Cabot se tourna vers elle et détailla son plateau. Elle proposait des cocktails, sans doute alcoolisées. « Merci. » dit-elle en attrapant un verre. Elle regarda la serveuse partir et capta de nouveau le regard du beau mâle en face d'elle. La Cabot aimait bien plaire et se servait souvent de son charme pour arriver à ses fins. Malheureusement pour lui, ce soir elle n'attendait absolument rien de cette soirée. Elle lui afficha un sourire provocateur et leva son verre dans sa direction. Ils trinquèrent ensemble de loin et alors qu'elle apporta son verre à la bouche, elle se rendit compte que le contenu était bel et bien alcoolisé. Fais-le durer Sha, t'en prends qu'un, pensa-t-elle. A peine arrivée, la blondinette faisait déjà des ravages, cela lui plaisait énormément. Elle rigola silencieusement en défiant l'homme du regard. Ce dernier termina son verre et afficha un air satisfait. Shaïna fut sortie de ses pensées lorsque son amie se rua vers elle. La Caldwell lui fit un large sourire avant de jeter un dernier coup d'oeil au gars et de finalement, suivre son amie. Elles se dirigèrent vers la piscine pour rejoindre d'autres personnes. Ils étaient à quatre et formaient un petit cercle restreint. La conversation s'engagea tout naturellement entre eux. Sans vraiment s'en rendre compte, elle bu son verre avec une vitesse déconcertante. La jeune fille ne buvait pas souvent, elle allait surement en payer le prix un peu plus tard dans la soirée. Ce n'était pas vraiment de sa faute, leur cocktail se buvait comme du jus d'orange. Captivée par la conversation qu'elle tenait avec ses amies, Shaïna en oublia presque l'homme de tout à l'heure. En même temps, ils la complimentaient sur sa tenue, elle ne pouvait décidément pas penser à autre chose. Très réceptive aux compliments, elle prenait en note toutes les critiques qu'on pouvait bien lui faire, en vue de s'améliorer. Elle était perpétuellement à la recherche du meilleur pour elle et son avenir. Finalement, cette soirée n'était pas si désagréable que cela. Elle profita qu'un serveur passe par là pour poser le verre désespérément vide sur son plateau. Elle hésita quelques secondes à en reprendre un autre mais cela n'était pas vraiment raisonnable. Tu me diras, elle n'avait pas loin à aller pour regagner à sa chambre. La blondinette éclata de rire à une blague que venait de lancer son ami. Elle ne pensait à rien et se laissait bercer par la légèreté de la soirée. Mais sans trop savoir pourquoi, son regard fut attiré vers la gauche. Elle croisa instantanément celui d'un homme imposant et intimidant. Il avait des yeux d'un bleu captivant. Shaïna ouvrit délicatement la bouche et un frisson lui parcouru le corps lorsqu'elle le sentit se coller contre elle. La jeune fille n'eut pas le temps de comprendre ce qu'il se passait, qu'elle se retrouva plaquée dans l'eau. Elle arracha un cri aigu de surprise sous l'intensité du choc. Son corps vint heurter lourdement l'eau relativement froide. Tous les regards se tournèrent vers eux tandis que la Cabot remonta rapidement à la surface. Prise de cours, elle manqua d'avaler l'eau chlorée. C'était incompréhensible, comment avait-elle pu se retrouver dans l'eau ? Et cet homme au regard poignant ? Que lui voulait-il ? Shaïna ouvrit les yeux et reprit sa respiration. L'eau lui arrivait juste en dessous de sa poitrine, une chance qu'elle aît encore pied, elle ne savait pas nager. Elle posa ses mains sur son visage pour enlever l'eau dégoulinante. Elle retrouva ses repères et regarda l'imbécile qui avait osé le foutre à l'eau. Finalement, il n'était plus si beau que ça. Elle voyait rouge. « Putain, tu ne peux pas regarder devant toi ? » dit-elle sur un ton des plus agressifs. L'un de ses amis haussa un sourcil en l'entendant parler ainsi. Eh oui, la jeune fille était douce et délicate mais il ne fallait pas trop la chercher. Elle ne criait pas, inutile d'ameuter toute la réception. Son regard ne quittait pas l'illustre inconnu. Ses sourcils étaient froncés, elle n'était pas contente la petite. « Tu l'as fait exprès ? » continua-t-elle sur le même ton. Alors qu'elle essayait tant bien que mal d'essorer ses cheveux, elle le fusilla du regard. « T'es conscient du temps que ça m'a prit pour faire mes cheveux ? » ragea-t-elle. En fait, elle ne savait pas si elle était énervé sur le fait d'attirer autant l'attention ou sur le fait d'avoir gâché en quelques secondes, une heure de préparation. Shaïna n'aimait pas perdre son temps et là clairement, il l'avait fait exprès. La blondinette reporta son attention sur sa main et ouvrit la bouche en fronçant toujours un peu plus les sourcils. Elle tenait encore son Iphone 6. Elle le leva et regarda, d'un air dépité, son portable dégouliner d'eau. « Putain mais c'est possible, t'es fier de toi ? Débile ! » grogna-t-elle avant de lui balancer sauvagement son portable en pleine gueule. Elle avait la rage. Les gens autours admiraient le spectacle et contre toutes attentes, cela semblait amuser le mec. Shaïna serra la mâchoire, il n'allait pas s'en tirer aussi facilement. Et alors qu'elle allait répliquer une nouvelle fois, la Cabot remarqua que le jeune homme avait les yeux rivés sur sa poitrine. Elle baissa instantanément les yeux pour se rendre compte que l'eau sur sa robe blanche rendait le tissu transparent. Manque de chance pour elle, la belle blonde ne portait pas de soutien-gorge. Fallait bien avouer que des bretelles auraient dénotées toute sa tenue. Shaïna ne pouvait pas vraiment s'attendre à se retrouver dans l'eau. Quoiqu'il en soit, on devinait parfaitement le cercle dessiné par sa poitrine. L'eau froide avait fait durcir ses tétons qui ressortaient à travers le tissu. « Bah vas-y, rince toi l'oeil ! Nan mais t'es un grand malade toi ! » lança-t-elle, folle de rage. A son tour de jouer les impulsives. Shaïna donna un grand coup dans l'eau pour l'éclabousser et le faire détourner le regard. Avec un peu de chance, l'eau arrivera jusqu'à ses yeux et elle lui fera mal. Nan mais franchement, sa technique de drague était juste à chier.   
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Mon visage regagna la surface de l’eau et un sourire diabolique s’afficha sur mes lèvres lorsque mon regard croisa celui de l’inconnue. Ses cheveux retombaient sur son visage. La donzelle venait de perdre toute l’assurance d’antan. Ses doigts se posèrent sur son visage remettant un semblant d’ordre dans ces cheveux. Mes yeux se plissèrent examinant chaque détaille, chaque façon quelle avait de faire. Ma bouche s’immergea dans l’eau tel un prédateur. Je ne parlais pas. J’attendais une réaction de sa part. Son visage se tourna vers moi et ses yeux me fusillaient. L’énervement pouvait se lire sur ces traits. Je n’en étais que plus satisfait. Énerve toi ma belle ! Sa ne changeait rien au faite que je pouvais voir les formes de son corps se dessiner petit à petit sous mes yeux. « Putain, tu ne peux pas regarder devant toi ? » mes sourcils se froncèrent face au ton qu’elle prenait avec moi. Elle était agressif. Des plies se dessinaient sur le dessus de son nez, s’était à tomber par terre. Ses joues se mirent à rougir en constatent les regards inquisiteurs des invités. Je n’y prêtais aucune attention, bien trop préoccupé par l’insolente. Mes bras bougeaient lentement dans l’eau. Après quelques secondes, je lui fis bêtement : « Tu te fous de ma gueule ? la prochaine fois t’apprendra à te tenir éloigner du bord ! » dis-je sur la défensive provoquant une nouvelle fois un peu plus la blonde. Il était hors de question de fermé ma gueule. Ses sourcils se froncèrent et mes yeux se plissèrent. Sors moi donc ton venin ! « Tu l’as fait exprès ?» je ne répondis pas laissant le silence s'installer. Elle ne tarda pas à répliquer une nouvelle fois. « T’es conscient du temps que ça m’a prit pour faire mes cheveux ?» Je me mis à rire bruyamment attirant une nouvelle fois les regards vers nous. Ses joues rougissaient à vu d’oeil. Je sortis mes lèvres de l’eau claire et lui fis : « Qu’est-ce que j’en ai à foutre ! hein ? Tu sauras la prochaine fois que sa sert à rien de rester 3 heures devant un miroir ! Je viens de niquer ton travail en quoi... même pas une minute » mon sourcil se releva affichant un air provocateur. Je la cherchais volontairement et une certaine haine pouvait se lire dans ces yeux. Bordel ce qu’elle était bandante. L’eau brouillait mon champ de vision, ces formes se faisaient plus évasive. Elle s’attarda sur son téléphone qui semblait ne plus fonctionner. Je haussais les épaules avant de reporter mon attention sur Eric. Il était parti, sans doute dégoutté d’avoir été doubler par un abruti comme moi mais cette fille m’appartenait. S’était une évidence à laquelle je n’avais pas pu batailler. Mon regard se reporta sur la folle «Putain mais c’est pas possible, t’es fier de toi ? Débile !» dit-elle avant de me lancer son téléphone en pleine figure. Ma tête se baissa rapidement pour éviter l’objet. Je me fichais royalement des dommages que je pouvais causer autour de moi. Je n’avais d’ailleurs jamais prête la moindre attention au monde extérieur. Mon égoïste me poussait à ne voir que part moi même et je n’allais certainement pas me soucier de l’état d’un putain de téléphone. Ma langue me titillait. J’avais envie de lui vomir des insanité à la gueule. Son visage d’ange avait besoin de connaitre la vérité sur l’illusion entière qu’elle se faisait de la vie. Cette fille respirait la fraîcheur même si ces traits étaient marqué par l’énervement. Il ne fallait pas être con pour savoir qu’elle n’avait rien de commun. Rattraper par cette réalité, mes mots restèrent suspendu entre mes lèvres et mon regard lui détaillait la forme de ces seins. A ma plus grande surprise, l’ignorante ne portait aucun soutien gorge. Mon sang se glaça à cette simple vision. La surprise était d’autant plus agréable puisqu’elle dépassait mes espérances. Ces seins étaient parfaitement dessinées. Le blanc de son vêtement laissait entrapercevoir ces mamelons et l’eau fraîche titillait le bout de ses tétons. Une pensée malsaine me vint à l’esprit. Mes dents martelaient mes lèvres me poussant à revenir à cette dure réalité. Mon regard était insistant, ne prêtant aucune attention à la manière dont je m’y prenais avec elle. J’avais envie de la regarder ! « Bah vas-y, rince toi l’oeil ! Nan mais t’es un grand malade toi !» Ses mains se posèrent sur sa poitrine et d’un geste rapide elle me balança de l’eau en plein visage. Je tournais ma tête fermant les yeux au passage. Quelle garce. Un sourire amusé s’afficha sur mes lèvres avant d’approcher mes mains de mon visage pour m’essuyer. Elle s’était reculée, s’accrochant au bord de la piscine. Sa robe remontait le long de ces courbes. Cette fille était vraiment sublime. Folle mais sublime et elle le savait. J’en étais sûr. Elle était dos à moi et son regard était en l’air. Son attention se portait sur son ami qui s’apprêtait à l’aider pour sortir de l’eau avant que je ne vienne la rejoindre. Mes mains s’étaient posé sur le rebord de la piscine et encadrait son corps si parfait. Elle était toujours dos à moi. Je fusillais son ami du regard et lui fis : « Casse toi ! J’ai un truc à lui dire avant ! » mon ton était autoritaire. Il se redressa et fronça un peu plus les sourcils. Barre toi connard ! elle a pas besoin de toi ! Mon ton s’était radouci et je lui fis tout en gardant une distance presque raisonnable. Mon visage se rapprocha mais ne toucha pas le sien. « Je suis malade peut être mais le spectacle n’était pas déplaisant !» dis-je susurrant presque à son oreille. Elle ne se retourna toujours pas. « mais au lieu de passer 3 heures à te coiffer ! La prochaine fois pense à mettre un soutien gorge.» dis-je avant de me mettre à rire bruyamment. Mes mains se décollèrent du bord de la piscine et mon emprise s’envola comme elle était arrivée. « Et petit conseil ! Faudrait mieux pas que tu sortes tout de suite de l’eau.» Sa robe était devenue inutile.Tandis que mon regard la défiait toujours un peu plus. Je nageais en arrière pour m’éloigner d’elle « Au faite, c’est qui cette abruti qui voulait te sortir de l’eau ?» dis-je en faisant un signe de tête vers le mec qui avait voulu l’aider à sortir de l’eau. Enculé ! j’étais persuadé qu’il voulait lui aussi profiter du spectacle. « C’est pas malin de sa part ! Tout le monde t’aurait vu à moitié à poil !»  
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Les événements s'étaient enchaînés très vite et Shaïna s'était retrouvée dans la piscine sans trop savoir comment, ni pourquoi. Un mystérieux inconnu s'était approché d'elle pour la pousser dans l'eau. Elle ne le connaissait pas du tout et ne remarqua chez lui, que son regard envoûtant. En une fraction de seconde, il avait su capter son attention et marquer son esprit. Ses yeux, d'un bleu pénétrant, restaient plantés son esprit. C'était incompréhensible mais le plus surprenant dans cette histoire était de savoir pour quelle raison il l'avait accompagné dans l'eau. Après tout, le mec aurait très bien pu la pousser et passer son chemin. Mais non, il avait sauté avec la blondinette. Il ne pouvait pas s'agir d'une technique de drague, c'était beaucoup trop affligeant. Non mais à quoi s'attendait-il ? A ce qu'elle sorte de l'eau en mode bombe sexuelle et qu'elle rigole ? Non, ce n'était pas vraiment son genre. La Cabot était de nature très calme mais il ne fallait pas la chercher. Elle avait du sang italien dans les veines et savait se montrer impulsive. Même si elle savait gérer ses émotions, ce mec venait de lui faire perdre le contrôle en un claquement de doigts. Shaïna ne savait plus se maîtriser, elle pestait contre cet homme et se retenait de le gifler. L'envie de lui écraser sa main sur sa joue virile était présente. Il se croyait supérieur et cela avait le don de l'énerver. Ici, il n'était personne et n'avait aucun droits sur elle. Sa petite scène avait attisée la curiosité des personnes présentes autour de la piscine. Mais rapidement, l'euphorie s'estompa et chacun retourna à ses occupations, jetant quelques coup d'oeil de temps à autre sur eux. Après tout, aux yeux de tous, ils n'étaient que des étudiants qui chahutaient sauf que ce n'était pas vraiment le cas. Le jolie blonde ne le connaissait pas et en voyant ça, elle ne voulait pas le connaître. Ce faux badboy était vraiment dérangé, quelque chose n'allait pas chez lui. Qu'il apprenne à maîtriser ses pulsions et à se canaliser avant d'emmerder les autres. Clairement, il l'avait fait saoulé. Shaïna aurait pu passer une bonne soirée avec ses amis mais c'était sans compter sur un débile profond, avide de sensations fortes. Quoiqu'il en soit, elle n'allait pas se laisser abattre et répliqua du tac au tac. Lorsqu'il la taquina sur sa mise en beauté, elle lui répondit instantanément quelque chose du genre. « Mais qu'est-ce-que ça peut te foutre sérieux ? » De quoi il se mêlait celui-là ? Tout d'abord il venait l'accoster d'une façon peu banale et ensuite, il lui reprochait de passer du temps dans la salle de bain. Cet homme était étrange et s’immisçait dans sa vie d'une façon qui ne lui plaisait absolument pas. Shaïna tenait à son intimité et n'aimait pas la tournure que les événements prenaient. Elle voulait le laisser en plan mais c'était sans compter sur sa fierté et un verre de cocktail qui commençait à faire effet. La Cabot ne buvait pas souvent donc forcément, un simple verre suffisait à lui faire perdre le fil de ses pensées. D'ailleurs, comme si l’humiliation n'avait pas assez durée, l'homme se permettait de mater allègrement sa poitrine. L'inconnu faisait ce que bon lui semblait, c'était agaçant. Shaïna mit une main devant ses seins, cela ne changeait rien à la vue qu'elle pouvait lui offrir, malgré elle. Le pervers diabolique semblait prendre un malin plaisir à baver sur elle. En temps normal, la blondinette était plutôt flattée qu'on la regarde mais là, elle n'avait qu'une envie, lui foutre son poing dans sa gueule. A défaut d'avoir la force nécessaire pour le frapper, elle lui balança de l'eau. La petite Caldwell essaya tant bien que mal de viser sa figure, elle réussit néanmoins à lui faire détourner le regard. Profitant de ce petit répit, Saïna se retourna avant de rejoindre le bord où l'un de ses amis vint s'accroupir pour lui venir en aide. « Ça va Sha ? » lui demanda-t-il. Un peu sonnée par tout ça, la jeune fille leva la tête et répondit un faible « Oui ça va, aide moi à sortir de l'eau s'il te plait. ». Son ton s'était calmé, après tout, il n'avait rien fait le pauvre. Sans trop chercher à comprendre, son ami s’exécuta et lui tendit une main innocente. Shaïna allait la saisir lorsqu'elle sentit une présence derrière elle. L'inconnu vint se placer derrière elle et posa ses mains sur le rebord de la piscine. La blondinette écarquilla les yeux, un frisson lui parcouru le corps en sentant son corps, jute derrière le sien. Elle déglutit difficilement en l'entendant menacer son ami. Tout ceci ne lui plaisait pas du tout, le rouge de ses joues vint disparaître presque instantanément. Elle était blanche, limite cadavérique. Que pouvait-il avoir de si important à lui dire ? Sans déconner, ce type était complètement cinglé, il avait des allures de psychopathe. Ok, calme toi Shaïna, il ne peut pas te violer dans la piscine, pas avec tout ce monde. La Cabot n'était pas rassurée, elle sentait son rythme cardiaque augmenter et sa respiration s’accélérer. Elle avait peur. Peur de ce qui pourrait bien se passer, peur qu'il ait une main baladeuse sur elle, peur qu'il ne l'agresse. En la jetant à l'eau comme il l'avait fait, il ne lui inspirait pas du tout confiance. « Qu'est-ce-que tu veux ? » demanda-t-il sur un ton tranchant. Shaïna essayait de faire bonne figure et de paraître imperturbable mais en réalité, elle était tétanisée. Un léger silence s'installa entre eux avant que le beau brun n'approche son visage du sien. La jeune fille inspira profondément et ferma les yeux. Elle pouvait sentir son souffle chaud sur son cou. Son sang se glaça lorsqu'il prit la parole. Il avoua avoir apprécié le petit spectacle. Donc c'était ça ? Il l'avait poussé à l'eau juste pour voir ses seins ? C'était d'un pathétique. Il continua de parler, de lui murmurer des choses pour alimenter son côté psychopathe. Shaïna restait silencieuse, son corps entier était crispé, en alerte. Sa voix raisonnait dans son esprit telle une musique de film d'horreur. Une douce mélodie angoissante. En l'entendant mentionner le fait qu'elle n'avait pas de soutien-gorge, la jolie blonde ouvrit calmement les yeux. Elle ne voulait pas faire de gestes brusques, elle n'était pas en position dominante et devait faire profil bas. Son regard se posa sur les mains du beau brun. Elles étaient parfaitement dessinées. Shaïna se surprit à se mordiller la lèvre inférieure. Mais qu'est ce qui lui prenait de réagir ainsi ? C'était vraiment indescriptible. Ce mec lui inspirait la peur et la sécurité. Elle ne le connaissait pas, ne l'avait jamais vu avant aujourd'hui et pourtant, il en imposait. Sa voix était virile voir autoritaire et son corps contre le sien, semblait la rendre toute chose. Le stress l'avait envahit, elle avait chaud et le rouge revint se déposer naturellement sur ses pommettes. La Cabot sursauta légèrement lorsqu'elle l'entendit rigoler. Heureusement pour elle, cela passait inaperçue. Comme un geste de détresse et d'incompréhension, elle leva les yeux pour essayer de trouver une once de soutien. Mais c'était sans compter sur son ami qui s'était déjà barré. Shaïna était seule au monde, dans cette piscine, avec cet inconnu. Alors que tout espoir d'échappé à ce fou furieux l'avait quitté, il se recula. Presque immédiatement, la blondinette lâcha un soupire sans précédent. Il venait de la perturber, de réduire son self-control à zéro. La jeune fille se sentait démunie face à la situation mais ne pouvait pas se permettre de le montrer. Le beau brun la questionna alors sur ses fréquentations en lui demandant qui était son ami. Il se permit même de faire une petite réflexion désobligeante. Shaïna se retourna d'un geste assez brusque et le fusilla du regard. Hors de question de se montrer vulnérable ou perturbée. Elle ne voulait pas lui donner ce plaisir là. Le stress à son maximum, elle avait la gorge nouée. « Mais de quoi tu te mêle ? Ça ne te regarde pas ! » dit-elle sur un ton agressif. Parler sans réfléchir semblait être la meilleure issue possible, il ne devait pas avoir l'avantage sur la situation. Après tout, en voyant que son petit manège ne fonctionne, rien ne pouvait l'empêcher de recommencer. Non, Shaïna tenait à son indépendance et ne voulait pas être terrorisée par quelqu'un. La blondinette ne pensait pas une seule seconde qu'entrer dans son jeu, signait son arrêt de mort. Et sans chercher plus loin que le bout de son nez, elle le pointa du doigt et avança vers lui. « T'es qui pour me pousser comme tu viens de le faire, pour te permettre d'insulter mon ami et de me menacer hein ? T'es personne ici alors calme tes hardeurs ! » commença-t-elle à râler. La Cabot s'approcha dangereusement de lui, pour lui prouver qu'elle n'avait pas peur, pour se prouver qu'elle pouvait gérer la situation. Une fois à sa hauteur, elle s'arrêta devant lui. Son regard plongé dans celui du beau brun, elle déglutis silencieusement. Il était vachement séduisant, si on mettait de côté sa personnalité dérangeante. Shaïna n'était pas à l'aise dans l'eau et heureusement quelle avait pied sinon, elle aurait sans doute paniqué. « Et si j'ai envie de montrer mes seins à la moitié de la Nouvelle Ecosse, c'est mon problème ! » continua-t-elle, presque dans un murmure. La jeune fille le fixait sans faiblir. Elle tenait bon même si la couleur de ses pommettes la trahissait allègrement. Shaïna ignorait totalement ce qu'elle faisait, ce mec lui faisait perdre les pédales et ce n'était pas bon. Pas bon du tout. Elle le regardait, les sourcils froncés. Alors qu'il s’apprêtait à répliquer, une voix les coupa dans leur duel verbal. « Qu'est ce que tu fou Gauthier, t'as trop chaud ? » Shaïna leva les yeux vers la droite et vit l'autre mec de toute à l'heure, sans doute un pote à lui. La belle blonde le fusilla également du regard. Ah non hein, ils n'allaient pas s'y mettre à deux. « Ton pote a prit un coup de chaud ! » lui lança-t-elle sur un ton désabusé. Elle regarda de nouveau ce fameux Gauthier et afficha un sourire provocateur  « Donc t'es mignon mais trouves-toi une fille à emmerder ! » conclut-elle. allez, va faire le malin ailleurs. En gros dégage et laisse-là tranquille.
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J’aimais jouer avec son esprit. Je l’intimidais et sa se voyais. Machinalement et sans pouvoir contrôler le moindre de mes gestes, je m’étais rapproché pour me retrouver derrière elle. Encadrant ce corps sublime entre mes bras musclés. Il était impossible pour la blonde de s’échapper. Mes dents martelaient mes lèvres, rêvant presque de sentir ce corps si parfait contre le mien. Cette fille avait su attirer mon attention et voilà maintenant que j’étais à la limite du fantasme. Elle m’appartenait pour ce soir et il était hors de question de voir ce gros lourdeau la sortir de l’eau. Prétextant une nouvelle discutions, j’avais dégagé ce connard de l’éffronter. La blonde restait immobile et relativement silencieuse. Je détallais la peau de son cou que j’avais envie de mordre et d’embrasser. Je descendais jusqu’à apercevoir son décolleté. Cette fille offrait une vue imprenable sur ces courbes. Courbes que j’avais l’habitude d’aimer chez les femmes. Aussi naturelle qu’énervante, elle arrivait à faire monter en moi un désir profond. Mes pensées malsaines bousillaient mon raisonnement. J’avais envie de la culbuté, là devant tout ce monde et de lui faire ravaler sa fierté passagère. Contrôlant mes envies bestiales, je me contentais d’être provocateur et désagréable avec elle. Elle ne se doutait même pas de la lutte que j’étais en train de mener en étant aussi prêt d’elle. « Qu’est-ce que tu veux ?» sa voix était douce voir même fébrile. Un sourire mesquin s’afficha sur mes lèvres en constatant cette petite baisse de régime. Je l’intriguais et la déstabilisais. Je ne pouvais pas rêver mieux. Mes yeux analysaient toujours un peu plus le corps de la belle. Je la titillais attendant une réaction de sa part, un rejet soudain mais rien. Elle ne bougeait pas. Je décidais de prendre mes distances, nageant en arrière pour pouvoir lui laisser le loisir de me répondre. Elle se retourna immédiatement. Son regard était froid mais au combien excitant. Cette fille ne se rendait même pas compte du potentielle qu’elle dégageait. Son regard ne m’intimidait pas au contraire, il me poussait à vouloir en savoir plus sur elle. Elle attirait une curiosité mal placé chez moi et m’empêchait presque de lâcher l’affaire. En tant normal, je n’étais pas insistant et pourtant je me surprenais à être différent. « Mais de quoi tu te mêle ? ca ne te regarde pas !» mes sourcils se froncèrent. L’éffronté avait raison, son jardin secret ne me regardait pas. Je ne la connaissais pas et elle n’étais encore rien pour moi. Je m'immobilisais attendant une réponse de sa part. Son affront ne me plaisait pas. Quelle casse couille ? ne pouvait-elle pas se contenter de répondre et fermer sa gueule ? Je ne lui répondis pas même si mes paroles abruptes ne demandaient qu’à sortir. Elle me pointa du doigt et continua dans son délire fou « T’es qui pour me pousser comme tu viens de le faire, pour te permettre d’insulter mon ami et de me menacer hein ? T’es personne ici alors calme tes hardeurs !» calmer mes hardeurs ? avait-elle seulement une idée de ce qu’elle me demandait ? tout en parlant, elle s’approcha de moi. Un sourire mesquin s’afficha sur mes lèvres tandis que je reculais doucement. Mes pieds touchaient le sol de la piscine et l’eau diminuait. On pouvait apercevoir le haut de mon torse, la chemise se collait contre ma peau et la dévergondé continua de s’avançer pour me rejoindre. Terrible erreur que de me suivre ma belle. Je m’arrêtais brusquement, l’amenant une nouvelle fois dans mon piège. Elle s’avança dévoilant un peu plus son corps qui sortait de l’eau. Mon regard la fusillait. Elle se posta devant moi. Son regard me détaillait. Elle semblait à la fois affolé, exciter et énervé. Une multitude d’émotion se lisait dans son regard ce qui la rendait impossible à comprendre. Elle s’arrêta juste en face de moi gardant une distance respectable puis elle continua à cracher son venin. « Et si j’ai envie de montrer mes seins à la moitié de la Nouvelle Ecosse, c’est mon problème !» elle murmurait et mes sourcils se froncèrent un peu plus. Montrer ces seins à tout le monde ? certainement pas. Cette fille valait bien mieux que ces putes des bas quartier. Elle le savait et je le savais aussi. Machinalement et comme attirer par ce corps fabuleux. J’avançais réduisant l’écart qu’il y avait entre nous. Mon corps effleurait celui la jolie blonde. Mon regard était insistant même menaçant. Mon regard se perdait dans le sien. Je voulais la déstabilise, la faire redescendre de son petit nuage. Alors que je m'apprêtais à répliquer. Eric ouvrit sa grande gueule. CASSE TOI BORDEL ! PAS MAINTENANT« Qu'est-ce que tu fou Gauthier, t'as trop chaud ? » si j’avais trop chaud ? bien sûr que oui. Cette fille était agaçante mais s’était un vrai spectacle que de la voir dans cette piscine. Ses vêtements lui collait à la peau. Plutôt ravie de ma bêtise, je tournais mon visage vers mon ami avant que la blonde ne réplique. «Ton pote à prit un coup de chaud !» je me mis à sourire. Elle n’avait pas tord et j’étais plutôt ravie de savoir qu’elle l’avait remarqué. Les choses étaient tendues dans cette piscine. Eric se mit à rire et je fis à l’inconnu. « Qui sait qui parle ! Regarde ta peau, je t’excite alors que je te touche même pas !» dis-je en la défiant du regard. Je fis un signe à Eric de se casser et aillant bien interpréter mon geste il retourna à ses occupations. La blonde lâcha une dernière provocation. J’approchais dangereusement d’elle, les secondes défilaient et un silence s’installa. Mon visage s’abaissa quelque peu, elle était légèrement plus petite que moi. « On t’entend plus dit donc !» elle était silencieuse mais son regard semblait toujours aussi furieux que tout à l’heure. J'approchais mon visage pour le dévier rapidement et lui murmurer ces quelques mots à l’oreille. « En réponse à ta question de tout à l’heure, je suis un putain de connard qui a décidé de venir te faire chier ! Et je ne suis pas partageur. Tu vois le genre ?» Mon visage s’éloigna pour analyser sa réaction. Bordel qu’elle était séduisante. « Et si tu veux te comporter comme les sales putes des bas quartier, va y ! Te gêne surtout pas mais d’habitude, elles ne parlent pas autant.» dis-je en connaissance de cause. Il m’était arrivé de baisé des prostitués ou de me payer une petite pipe, des exploits dont je ne me vantais pas mais dont je ne me cachais pas non plus. « En règle, générale ! Elles ferment leur gueule et elles sucent !» dis-je d’un ton assez satanique. Vulgaire à souhait. Je ne serais pas étonner de la faire fuir. J’étais comme sa sans demi mesure et je ne faisais aucun effort pour paraître convenable devant elle. Ses joues rougissaient. Elle avait chaud et elle n’était pas la seule. Je pouvais sentir mon sexe se durcir à cette simple proximité. Cette fille me faisait bandé alors que je ne connaissais rien d’elle, pas même son corps. Putaiiiiiiin ! Elle recula dans l’eau tandis que j’avançais vers elle. Un vrai duel était en train de se dérouler. « Au faite ! pas mal la robe ! » Cette soirée n’était pas si mal finalement. L’inconnue se stoppa jusqu’au muret de la piscine et mes mains se posèrent une nouvelle fois sur les rebords. Mes doigts se serraient et faisaient ressortir élégamment mes muscles. « Tu t’appelles comment ?!» dis-je en plissant les yeux. Conscient que je n’allais pas avoir de réponse. « Répond !» dis-je en resserrant mon étreinte. Mon torse était pratiquement coller à son corps. J’allais avoir ce que je voulais ! Elle resta silencieuse et je finis par lui dire : « Je vais t’appeler Gloria, ça va bien à une fille qui veut montrer ces nichons à la moitié de la Nouvelle Ecosse.» dis-je en rigolant et en me reculant doucement sachant pertinemment qu’elle allait répliquer et sans doute m’envoyer sa jolie main en plein sur mon visage. Pas con le Gauthier !
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Comme technique d'approche, Shaïna avait déjà vu mieux, beaucoup mieux. Gauthier s'était jeté dessus comme un sauvage pour la pousser dans l'eau. Il n'avait pas cherché à comprendre quoi que ce soit. Il avait les yeux d'un fou furieux mais surtout, d'un homme mystérieux et plutôt viril. Juste avant de se retrouver dans la piscine, la blondinette fut frappé par l'intensité de son regard. Comme un coup de foudre subit de plein fouet, elle sentit un frisson lui parcourir tout le corps. C'était vraiment très étrange à expliquer, c'était bien la première fois qu'elle ressentait des choses pareilles. Le Gauthier s'était montré difficile à cerner. Tantôt distant, tantôt proche, la Cabot ne savait pas quoi en penser. Elle qui redoutait la présence des hommes, elle était servie. En règle général, ils s'y prenaient autrement. Un verre offert ou un petit compliment suffisaient à la faire rougir légèrement ses pommettes. Shaïna était une rêveuse, elle attendait le prince charmant et n'était pas vraiment pressée pour le rencontrer. Des rêves pleins la tête, elle espérait tomber sur un homme romantique qui lui ferait renouer le contact avec la gente masculine. La belle blonde espérait, secrètement, tomber sur l'homme parfait. Gentil, doux, attentionné et particulièrement séduisant. Bon, là clairement, le petit Gauthier avait que la beauté pour lui. Ce psychopathe de première ne s'y était pas prit de la bonne façon avec elle. Après tout, ce n'était pas important. Elle connaissait que trop bien ce genre de mec, il voulait juste se la faire pour la jeter ensuite. La Cabot n'était pas comme ça, elle n'était pas du tout intéressée par les coup d'un soir. Il pouvait passer son chemin sans même lui dire au revoir, elle n'allait certainement pas lui en tenir rigueur, bien au contraire. Le pote de Gauthier s'était approché d'eux. Shaïna voyait en lui, son sauveur. Avec un peu de chance, il allait le faire sortir de l'eau et la lâcher un peu. Manque de bol, il n'entendit même pas sa remarque. Par contre, un qui avait bien entendu, c'était Gauthier. Ce dernier la défia littéralement du regard et la provoqua toujours un peu plus. La Cabot voyait rouge et plissa les yeux. « Rêve pas, tu fais fantasmer personne ici. » répondit-elle du tac au tac. Mais c'est qu'elle devenait bonne à ce petit jeu. Un fin sourire se dessina sur ces lèvres. Sourire qui disparu presque instantanément lorsqu'elle le vit s'approcher d'elle. Mais tu vas me lâcher la grappe, pensa-t-elle bien fort. Shaïna baissa les yeux et essaya de ne pas bouger. Gauthier était proche, beaucoup trop proche. Son coeur battait à la chamane et sentait son rythme cardiaque s'emballer. C'était dingue l'effet qu'il lui faisait. Ignorant si ce qu'elle ressentait était de la peur ou de l'excitation, elle ne pouvait pas le laisser avoir le dessus sur la situation. Déjà qu'il semblait prendre un malin plaisir à la manipuler, il n'allait pas en plus gagner ce combat. Le beau brun était plus grand qu'elle et avait baissé la tête pour capter son regard. A son tour, elle déglutit et finit par lever ses yeux dans sa direction. Sans vraiment s'en rendre compte, elle entrouvrit la bouche. Apeurée, elle n'osa pas bougea et le laissa approcher son visage de son oreille. Il lui murmura quelques mots flippants. Au moins, Gauthier était clair avec lui même, c'était un connard. Non pardon, un putain de connard égoïste et manipulateur. Shaïna écarquilla les yeux en l'entendant. Une sueur froide vint lui capturer tout le dos. Elle n'était pas rassurée et franchement, elle était à deux doigts d'hurler pour que quelqu'un vienne la sauver des griffes de ce pervers psychotique. Il se recula pour lui permettre de respirer. Son regard sur elle était instant et particulièrement déstabilisant. La Cabot détourna ses yeux en espérant qu'il ne remarque pas trop à quel point elle était troublée. « Hm. » marmonna-t-elle en guise de réponse à son tu vois le genre. Elle resta silencieuse à la suite de son discours. Plus Gauthier parlait et plus Shaïna se décomposait. Peu habituée à un langage aussi cru, elle n'était pas du tout à l'aise avec ces mots. Elle essayait de rester de marbre mais c'était sans compter sur ses joues colorées d'un rouge vif. Elles sucent, ces mots venaient à son esprit. Elle cligna des yeux, ne lâchant pas Gauthier des yeux. Une larme lui monta aux yeux mais dans l'eau, elle serra fermement le poing pour la ravaler. Il n'allait quand même pas lui demander de le sucer ? Tout un tas d'images perverses et écœurantes lui vint à l'esprit. La jeune fille n'était pas du tout à l'aise et ne demandait qu'une seule chose, se barrer en courant. Cette proximité était beaucoup trop envoûtante et oppressante à son goût. Comme une petite fille en présence de sa pire phobie, elle essaya de fuir en reculant légèrement. Ne pas faire de grands gestes, juste reculer pour lui échapper. Non mais ce type était complètement fou, pourquoi ne jetait-il pas son dévolu sur une autre fille. Franchement, des pétasses, il y en avait pleins tout autour d'eux. Pourquoi elle ? C'était donc la boule au ventre qu'elle recula. Shaïna redoutait une parole de plus, un geste déplacé ou pire. Evidemment, elle reculait, il avança, c'était pas drôle sinon. Gauthier la complimenta sur sa robe. Elle leva les yeux au ciel. Voilà autre chose. « Laisse ma robe tranquille, elle ne t'es pas destinée. » dit-elle sur un ton glacial. C'était la peur qui la faisait parler. A reculer comme elle le faisait, la jolie blonde ne mit pas longtemps avant de coller son dos contre le rebord de la piscine. Oh non, grossière erreur Shaïna. Elle en regrettait presque d'avoir reculé. Être coincée entre le mur et le corps imposant du beau mâle n'était pas vraiment la meilleure des situations. Elle soupira, agacée par elle-même. C'était vraiment du grand n'importe quoi cette soirée. Elle rêvait de repartir dans sa chambre et de prendre un bon bain chaud pour oublier le traumatisme qu'elle était en train de subir. Gauthier ne s'en rendait peut-être pas compte mais Shaïna restait une petite gamine qui avait peur de grandir. Alors certes, elle arborait la soirée sous des allures de femme sure d'elle mais en réalité, se cachait une fille fragile et extrêmement sensible au monde hostile qui l'entourait. Comme elle s'y attendait, le beau mâle vint l'encadrer de ses bras puissants et virils. Il le faisait exprès. La Cabot savait qu'il ne laissait rien au hasard pour la séduire et l'attirer dans son piège à meuf. Pas de chance, il était tombé sur la mauvaise personne. Il lui demanda son prénom mais elle ne semblait pas vraiment vouloir coopérer. Oh non, hors de question qu'elle lui dise comment elle s'appelait. Après tout, il serait encore capable de la retrouver sur internet et de la harceler à longueur de journée. Shaïna tenait à son anonymat. Elle voulait juste disparaître de son emprise et ne plus jamais le recroiser de sa vie. Gauthier lui trouva rapidement un surnom. Elle haussa les épaules en entendant le prénom qu'il lui avait choisit. Gloria, c'était particulièrement moche. La blondinette afficha un petit sourire en le voyant reculer. « Appelle moi comme tu veux, Gauthier. » dit-elle en insistant bien sur son prénom. Il n'y a pas de raison qu'il soit le seul à profiter de la situation. Shaïna ne savait pas du tout ce qu'elle faisait mais elle allait trouver un moyen pour lui échapper. « Puisque t'as pas l'air de vouloir me lâcher et que je sens bien que je vais passer ma soirée dans l'eau, laisse moi au moins me mettre à l'aise. » lança-t-elle avant de laisser échapper un petit rire discret entre ses lèvres. Sans vraiment chercher à comprendre plus loin, elle se pencha vers l'avant, leva un genou et détacha délicatement la fermeture de sa chaussure pour l'enlever. La blondinette posa son talon au dessus d'elle, sur le rebord de la piscine. Elle se pencha de nouveau vers l'avant pour ôter sa deuxième chaussure qu'elle posa à côté de la première. Shaïna avait les mains tremblantes, heureusement qu'elles étaient sous l'eau et que Gauthier ne les voyaient pas. Elle reporta son attention sur le beau brun qui semblait satisfait de la pression qu'il mettait sur elle. La Cabot inspira silencieusement. Elle était une idée mais c'était pure folie. Elle ne savait pas de quoi il était capable et ne voulait pas se prendre un coup. Cet homme semblait aimer les femmes, il allait être servit. « Tu penses impressionner qui avec ton langage vulgaire, hein ? » dit-elle sur un ton assez convainquant et sérieux. Shaïna n'était plus consciente de ce qu'elle faisait, elle avait peur et voulait juste lui échapper. Sans chercher plus loin, elle lui tourna le dos, posa ses mains sur le rebord de la piscine te prit appui avec ses bras pour se soulever et venir s'asseoir. « T'as encore des progrès à faire si tu veux séduire une femme. Ton petit plaquage marche peut-être avec les prostituée mais pas avec moi. » continua-t-elle, le sourire aux lèvres. Elle se sentait déjà un peu plus en sécurité que dans l'eau. Bon, on devait voir ses seins mais qu'importe, elle n'était plus à ça prés. En voyant qu'il se rapprochait, Shaïna prit sa chaussure et lui balança dans la figure. « Approche pas ou je hurle. » dit-elle en rigolant. La belle blonde croisa lentement ses jambes et remonta un peu sa robe sur ses cuisses. Elle le regarda et afficha un large sourire, finalement ça l'amusait. Forcément, elle reprenait peu à peu le contrôle de la situation. Shaïna se risqua même à lui envoyer un peu d'eau sur son visage à l'aide de son pied. « Merci Gauthier pour ce petit moment fort distrayant mais tu m'excuseras, mon mac m'attendant pour ma tournée. On se recroisera surement dans une maison close ou autre. T'as l'air d'avoir tes petites habitudes là-bas. » conclut-elle. Et contre toutes attentes, Shaïna se leva et le laissa en plan dans l'eau. Elle se faufila dans la foule, le sourire aux lèvres. La blondinette tourna sa tête vers l’arrière et rigola légèrement. On aurait dit une gamine. Son plan marchait à merveille malgré tout, une part d'elle espérait qu'il la suive. Mais qu' est-ce qui t'arrive Braster ? Toi aussi t'as prit un coup de chaud ?
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Cette fille m’intriguait. Ma curiosité me tiraillait de l’intérieur et j’avais ce besoin presque oppressant d’en connaitre plus sur sa personne. Putain ! J’en étais presque fou. Je ne connaissais rien d’elle et elle me faisait perdre les pédales. Je ne suis pas un romantique, je ne l’ai jamais été et je ne le serai jamais. Cette fille rêvait du futur. J’en étais persuadé. Sa faiblesse la trahissait lorsque ses pomettes se mirent à rougir à mon simple contact. Son regard lui était à la fois craintif et remplie d’un vice que je ne soupçonnais même pas. Il était difficile de la cerner. « Rêve pas, tu fais fantasmer personne ici.» baliverne. Sa peau et son comportement la trahissaient. Mes sourcils se froncèrent et je lui répondis lourdement comme pour ancrer mes mots dans son esprit. « Peut être pas encore mais ça viendra ma belle !» dis-je presque sur de moi. Cette fille allait devenir une obsession. Je sentais la menace gronder et pour tout vous avouez j’avais envie de lui gueuler dessus. Pourquoi était-il si belle ? ne pouvait-elle pas ressembler à l’autre pouffiasse de tout à l’heure. Cette inconnue étaient parfaite à mes yeux. Mon regard s’attarda sur ces lèvres. Parfaitement dessinées, elles réveillaient en moi de profond désir. Du calme ! Du calme ! Peu habitué à parler autant, j’étais déjà en train de franchir certaines barrières. Cette fille allait me casser les couilles. Je le présageais. Mon corps se rapprocha de l’étincelle féminine. « Mais tu vas me lâcher la grappe.» si tu savais. Tout ceci ne venait que de commencer et je n’avais aucune intention de partir pour la laisser tranquille. Elle était à moi pour ce soir. Mon regard s’était assombri. Ferme donc ta gueule et ouvre moi cette putain de bouche et rend toi utile. Quel connard, je pouvais être. Je ne faisais aucun effort. Mes fantasmes brouillaient tout ce qui avaient de plus saint chez moi - c’est à dire pas grand chose -. Je mis à soupirer avant de refermer mon piège sur elle. Prise entre deux feux, la blonde semblait prise au piège. Ses joues étaient d’un rouge vif, son coeur battait anormalement. Je pouvais le sentir d’ici. Sa respiration était anormale même si elle s’entêtait à vouloir paraître forte et froide avec moi. J’appréciais l’effort qu’elle était en train de faire. Elle me repoussait et cela me donnait encore plus envie de la connaitre. J’avais beau vouloir la traiter comme ces putes des bas quartier. J’étais persuadée qu’elle était bien plus que sa. Son intelligence et sa sagesse rendaient l’atmosphère lourde. Cette fille était une fille bien. Le genre de fille que j’aimais voir de loin mais... elle... elle semblait attiser ce feu que je détestais. J’avais fini par lui demander son prénom. Une question qui fut sans réponse. Je n’étais pas si surpris. Putain. J’étais agacée par son comportement. La plupart d’entre elle seraient déjà en train de jouir et de crier mon nom. Elle ! Elle m’était un temps à tout faire. Ces présentations n’en n’étaient même pas une. Elle haussa les épaules lorsque ma bouche prononça se prénom. Gloria. Horrible au passage ! Gauthier tu t’emmerdes pas à réfléchir. Vraiment. Elle afficha un sourire et finit par répliquer « Appelle moi comme tu veux Gauthier.» mes yeux se plissèrent. Bien sûr qu’elle connaissait mon prénom et voilà qu’elle me l’envoyait en pleine gueule. Elle me provoquait et un sourire pervers s’afficha sur mes lèvres. Joue ma belle, joue. Je ne répondis pas gardant le silence même si mon regard en disait long. J’avais envie de la bouffer, de lui faire payer son insolence. « Puisque t’as pas l’air de vouloir me lâcher et que je sens bien que je vais passer ma soirée dans l’eau, laisse moi au moins me mettre à l’aise.» Mes sourcils se froncèrent, imaginant déjà la créature à poil. Elle n’allait comme même pas faire sa ici. Moi, sa ne me dérangeait pas mais eux ! Ces connards en manquent de sensation forte ? elle y pensait. Je la regardais avec attention tandis qu’elle se penchait légèrement en avant. Ses mains se posèrent sur ces pieds avant d’enlever le premier talon. Rassurer et déçu de la tournure des événements, je lui fis en rigolant. « Moi qui pensait que t’allait enlever ta culotte.» J’étais claire dans mes intentions. La belle m’intéressait. Mes mains se portaient à mon torse. J’avais besoin de contrôler mes gestes. Il était impossible pour moi de la toucher, pas maintenant en tout cas même si j’en rêvais d’envie. Elle retira sa première paire pour la poser sur le rebord. Elle s’attaqua ensuite à la deuxième. Elle était silencieuse, trop silencieuse. Je la détaillais analysant une nouvelle fois les courbes de son corps. « Tu penses impressionner qui avec ton langage vulgaire, hein ?» impressionner ? mon langage était elle que je n’avais pas juger bon de le changer même devant elle. J’étais comme sa. Cru dans mes mots. Mon sourire s'évapora et je lui fis : « Tu crois que je cherche à t’impressionner ma belle ? tu sauras bien assez tôt que c’est la dernière chose que j’essaye de faire !» dis-je d’un ton sec. Retire même cette idée de la tête. Je ne veux pas t’impressionner, je veux te baiser et te faire taire. D’un coup, la blonde se retourna et mes yeux fixaient sa colonne vertébrale. Ma gorge se noua. Même de derrière, elle restait sublime. Mon visage se recula légèrement pour essayer d’entrapercevoir son cul mais rien.... Son corps se releva de l'eau. Elle venait de lui échapper. Sa diversion avait été délicate et comme une grosse merde. Je n'avais rien vu venir. «T’as encore des progrès à faire si tu veux séduire une femme. Ton petit plaquage marche peut-être avec les prostituée mais pas avec moi.» Peu fière de la voir se dérober sous mes pas. Je m’approchais avant de recevoir une de ces chaussures dans la figure. Connasse. « Putain.... t’avise pas à refaire sa !» dis-je méchamment commençant presque à perdre patience. Les choses m’échappaient. Cette fille m’échappaient et je n’aimais pas sa. « Approche pas ou je hurle.» fit-elle rigolant. Elle se foutait de ma gueule en plus. Géniale. Super vraiment. Toucher dans mon estime, j’avais presque cette soudaine envie de la couler. Mes envies charnelles s’étaient envolés. Elle croisa ses jambes et remonta sa robe. Une robe courte, beaucoup trop courte. Elle dévoilait parfaitement ces jambes. Mon regard était froid tandis qu’elle semblait amusé par la situation. Perdre le contrôle ne me plaisait pas. Rigole Gloria, rigole. On verra bien qui rira le dernier. ahah. Je m'approchais une nouvelle fois d'elle avant de recevoir de l'eau dans le visage. Putain elle faisait exprès ! Laisse moi t'approcher merde ! « Merci Gauthier pour ce petit moment fort distrayant mais tu m’excuseras, mon mac m’attend pour ma tournée. On se recroisera surement dans une maison close ou autre. T’as l’air d’avoir tes petites habitudes là-bas.» prêt à lui répondre, je me redressais en voyant qu’elle venait de se relever. Mon regard se porta autour d’elle. Plusieurs regard se laissa tenter. Je fusillais ces sales types du regard. J’étais fou au fond de moi. Cette fille me mettait une leçon et comme un con. Je ne savais même pas quoi faire. Elle se faufilla. « FAIT CHIER !» dis-je assez fortement. Je m’approchais du rebord et sortis à mon tour de l’eau. Hors de question de finir cette échange de cette manière. Mon regard s’attarda sur les cheveux doré qui se perdaient dans la foule. Je pris une serviette et me mis à la poursuivre. Sans déconner putain, j’étais en train de lui courir après. Excéder à cette simple idée, je me mis à soupirer. Mon regard était noir, je sentais mon sang bouillir en moi. Mon regard croisa celui de ma meilleure amie. Elle posa sa main sur mon épaule pour me stopper. D’un mouvement brusque, sa main s’échappa. « Pas maintenant Lucky PUTAIN !» dis-je sèchement sans lui apporter la moindre attention. Je continuais ma course poursuite laissant derrière moi, une amie furieuse. En même temps, je ne pouvais pas la blâmer. Je venais de me comporter une nouvelle fois comme le parfait des abrutis. Après plusieurs secondes, la foule se faisaient moins dense. Mon bras se tendit et attrapa fermement celui de la jeune femme. L’obligeant à me suivre, je la plaquais lourdement contre le mur qui se trouvait juste à côté de nous. Mon corps se pressa contre le sien, au diable la retenu. Elle m’avait chercher ! Une main se plaqua se tenait au mur juste à côté de sa tête. L’autre venait lui tendre cette putain de serviette. Les étudiants nous entouraient et ne nous prêtaient aucune importance. Trop occuper à boire, ils n’avaient que faire de nous. « Prend cette putain de serviette s’il te plait !» dis-je sur un ton autoritaire. J’étais sérieux. La voir partir était une chose mais voir ses visages se retourner sur le même cul qui me faisait fantasmer. S’était trop pour moi. Ma main restaient encore en suspens. Elle ne prenait pas la serviette. Fallait s’en douter, une chieuse reste une chieuse. « Putain ! Tu fais chier gloria» dis-je en affichant un mince sourire avant de retrouver mon sérieux « Prend cette putain de serviette et met là autour de toi. Ils étaient tous en train de bander sur toi. Je t’ai pousser dans l’eau donc laisse moi au moins t’apporter cette putain de serviette ! Je plaisante pas... » dis-je sur la défensive. Elle ne bougea pas et finit tout de même par prendre cette serviette. Mon regard la détaillait, proche de mon visage. Je pouvais sentir son souffle s’accélérer. D’un air provocateur. Je lui fis : « T’as kiffer hein ! Avoir la sensation de me dominer ! Sa te plait !» dis-je sur un ton froid avant de finalement me mettre à sourire avant de me détacher délicatement d’elle pour qu’elle puisse mettre la serviette autour d’elle. « Voilà qui est mieux ! C’es ton kiffe toi de te faire mater par ces gros con ? t’es bizarre comme fille !» s’était l’hôpital qui se foutait de la charité.
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Shaïna n'en revenait toujours pas. Son plan avait marché et Gauthier n'avait absolument rien vu venir. Il ne s'y attendait tellement pas à ce qu'elle sorte de l'eau pour partir en courant, offrant à tout le monde une vue dégagée sur sa poitrine. La belle blonde n'était plus à ça prés. Elle venait de se faire manipuler par un fou furieux, quelques regards indiscrets sur elle ne pouvaient plus la déranger. Depuis quelques mois, la jeune fille s'était mise en tête de profiter de la vie, elle sortait davantage et se débridait petit à petit. Ce n'était pas vraiment pas évident pour cette naïve. La Cabot avait tendance à croire tout ce qu'on lui disait, de faire ce qu'on lui demandait et ainsi, passer pour le cruche de service. Comme le dit le proverbe, Shaïna était trop bonne et trop conne. Elle se laissait souvent abuser, les gens profitaient de sa naïveté pour arriver à leurs fins. Mais attention, le sexe ne faisait pas parti de ces domaines. La blondinette était extrêmement mal à l'aise avec tout ça et même si elle ne le montrait pas, elle ne laissait personne l'approcher. Hormis son ex, aucun homme n'avait eu la chance de pouvoir goûter à son corps. Elle ne se laissait pas faire et pouvait se montrer violente. La peur de la gente masculine la suivait partout et la complexait énormément. Shaïna voyait souvent ses copines en charmantes compagnies. Elle les enviait énormément mais restait très discrète. La belle blonde rêvait de tomber sur l'homme parfait. Un grand, brun avec un regard charmeur. Elle espérait vraiment rencontrer l'homme idéal, avec une personnalité douce et attentionné. Consciente que la perfection n'existait que dans les livres, elle continuait malgré tout à croire au prince charmant. En attendant la perle rare, elle prenait des cours avec Happy. Ce dernier l'aidait à prendre confiance en elle et à se familiariser avec les hommes. Sans lui, elle aurait certainement fait une crise d'angoisse dans la piscine, lorsque Gauthier l'approcha pour venir se coller à elle. Shaïna pouvait être fière de ses progrès. Elle marchait vite, elle courrait presque pour échapper à cet inconnu aussi sournois qu'attirant. Gauthier était un très bel homme, elle ne pouvait pas le nier. Ses yeux étaient envoûtants et la perturbait énormément. Incapable de distinguer la peur de l'attirance, la belle blonde essayait de le fuir. Elle se faufilait entre les invités de cette fameuse soirée blanche. Elle ne faisait plus attention à rien, ne remarqua même pas son ami de tout à l'heure, lorsqu'elle passa à côté. La Cabot était dans ses pensées et semblait être hors du temps. Serait-ce le cocktail qu'elle avait bu ou cet homme ? En tout cas, s'il avait voulu marquer son esprit, c'était chose faite. Alors qu'elle commençait à rejoindre la fin du jardin, elle sentit une main agripper brusquement son bras. Shaïna laissa échapper un petit cri de surprise lorsqu'elle se retrouva plaquée contre un mur. Par pure réflexe, elle avait fermé les yeux et avait même arrêté de respirer. Sait-on jamais. Il n'y avait pas d'eau autour d'elle mais Gauthier l'avait quelque peu, traumatisé. Elle fronça les sourcils en sentant son dos s'écraser sur le mur. C'était lui. Encore. Alors qu'ouvrit les yeux, la jeune fille vit son corps s'avancer vers le sien. Gauthier se colla à elle, l'empêchant de bouger. Elle baissa les yeux pour voir sa chemise collée à sa peau. Sans vraiment s'en rendre compte, elle leva les yeux au ciel avant de plonger son regard dans le sien. Contre toutes attentes, Gauthier lui tendit une serviette et lui demanda de l'enrouler autour d'elle. Shaïna se pinça les lèvres et ne bougea pas. Il lui faisait peur, cette proximité lui faisait peur. Elle se sentait vulnérable mais désirable. On voyait sa poitrine à travers sa robe mouillée, cela ne semblait pas lui plaire. C'était vraiment très étonnant de sa part. Elle ne comprenait pas et se contenta de baisser la tête pour regarder la serviette qu'il lui tendait. « S'il te plait ? T'as décidé d'être poli ? » dit-elle en reportant son attention sur son visage très stricte. Shaïna plissa les yeux pour le provoquer. C'était trop facile. Il débarquait de nulle part, la poussait à l'eau et espérait qu'elle lui obéisse ? Non, cela ne marchait pas ainsi. Gauthier allait devoir apprendre les bonnes manières s'il voulait obtenir plus de sa part. Il jouait avec elle, la manipulait et ça, elle l'avait bien compris. La belle blonde essayait de garder, au maximum, le contrôle de la situation. Même si c'était difficile, elle ne voulait pas lui faire ce plaisir là. Le beau brun râla, la traitant une nouvelle fois de Gloria. Il afficha un mince sourire auquel elle répondit. Instinctivement, son propre sourire vint s'élargir, elle savait que son refus l'agaçait au plus haut point. Comme quoi, elle n'était pas la seule à trouver cette situation particulièrement énervante. Finalement, il lui demanda plus poliment de prendre la serviette. Voilà qu'il s'excusait presque de l'avoir poussé à l'eau. Shaïna déglutis en entendant le mot bander, ses joues devaient être de nouveaux toutes rouges. Ahh, elle se détestait dans ce genre de situation. Refroidie par ses paroles, elle posa ses longs doigts fins sur la serviette pour l'attraper. Elle non plus n'appréciait pas du tout qu'on la reluque comme une vulgaire prostituée sur le bas de la route. Elle valait mieux que ça mais s'était affichée, juste pour l'emmerder. « C'est bon, j'la prends ! » lança-t-elle avant de lui arracher la serviette des mains. Ce gars était d'un compliqué. Un coup autoritaire, un coup cru, un coup vulgaire. En temps normal, Shaïna n'y aurait porté aucune attention mais là c'était différent. Elle ignorait tout de lui et n'appréciait pas ses méthodes pourtant, un court instant, elle avait espérait qu'il la rattrape. C'était vraiment très étrange, il était loin des critères qu'elle s'était fixée. Il s'éloigna légèrement d'elle pour lui permettre de mettre sa serviette. La Cabot ne bougea pas pour autant et le regarda sourire. Elle cligna bêtement des yeux, elle se surprit même à apprécier le moment. « C'est le maniaque du contrôle qui parle là ? » demanda-t-elle sur le même ton provocateur qu'il avait employé. La belle blonde rentrait dans son jeu et cela lui arracha un nouveau sourire. Gauthier était beau quand il souriait. A son tour, les lèvres de Shaïna vinrent s'élargir, elle se mordilla la lèvre inférieure en baissant les yeux, un peu honteuse. Ses joues venaient de virer vers le rouge. Il l'intimidait, la Cabot n'avait pas vraiment l'habitude qu'on soit comme ça avec elle. « Ouais c'est mon kiff. J'te l'ai dit Gauthier, montrer mes seins à la moitié de la Nouvelle Ecosse, c'est la grande passion de ma vie. T'es sourd ou quoi ? » dit-elle avant de laisser échapper un petit rire discret. Elle aurait bien voulu ajouter quelque chose du genre " arrête la branlette " mais ces mots ne voulaient visiblement pas sortir de sa bouche. Ce n'était pas son genre, elle n'y arrivait pas. A défaut de les dire, elle les pensait très fort. Quoiqu'il en soit, la jolie blonde se décolla du mur mais ne le regarda pas pour autant. Elle coinça la serviette entre ses jambes. Qu'il ne s'inquiète pas, elle allait bien la mettre mais avant, elle allait le faire baver un peu. Après tout, il l'avait mouillé pour ça, pour avoir du spectacle. Shaïna attrapa un élastique blanc autour de son poignée, elle le fit glisser lentement le long de sa main. Et dans un silence pesant, elle passa ses mains dans ses cheveux mouillés pour les attacher. Elle pencha légèrement sa tête en arrière et ferma les yeux. Les bras levés, elle offrait à Gauthier, une vue plus qu'alléchante sur sa poitrine généreuse. Elle prit tout son temps pour attacher ses cheveux en un joli chignon. La Cabot baissa la tête et rouvrit ses yeux. Elle fit une grimace en voyant son regard sur son corps. En même temps, elle l'avait cherché. Quoiqu'il en soit, elle prit la serviette et la déplia. En bonne soumise, elle vint l'enrouler autour de sa poitrine. D'une main experte, Shaïna attacha la serviette de façon à ce qu'elle tienne toute seule. « T'es content ? » lança-t-elle, le sourire aux lèvres. Elle plongea son regard dans le sien et déglutit. Sa présence la perturbait mais elle ne voulait pas qu'il s'en aille. Aussi paradoxale que cela puisse paraître, il l'intriguait. Ce Gauthier était très vulgaire mais n'avait eu, hormis le petit plongeons, aucun geste déplacé envers elle. Il lui avait mal parlé, certes mais elle l'avait également bien provoqué. C'était de bonne guerre. Shaïna se pinça, une nouvelle fois, les lèvres. Il la regardait. Sa respiration s'accélérait, elle redoutait la suite des événements. Pour ne pas perdre son sang froid, elle se mit à parler. Effectivement, la peur lui faisait faire des choses étranges ce soir. Avec recul, peut-être qu'elle aurait mieux fait de le laisser en plan avec sa foutue serviette. « Tu attends quoi de moi Gauthier ? » demanda-t-elle d'une voix douce et fluide. Cette question lui brûlait les lèvres depuis un moment et elle aurait regretté de ne pas l'avoir posé. Se rendant compte bien assez vite que sa question était déplacée et qu'elle allait avoir une réponse du genre " bah te baiser " elle ne lui laissa pas le temps de réagir, qu'elle enchaîna. « J'veux dire... Pourquoi tu m'as poussé ? Tu ne savais pas me proposer un verre comme font les gens civilisés ? T'es flippant comme gars, franchement ! » se risqua-t-elle de dire. Oui, Shaïna était peut-être naïve mais elle était franche. Instinctivement, elle se mit à jouer avec ses doigts et se mordilla la lèvre inférieure. Elle n'était pas à l'aise et jouer avec ses lèvres était un refuge dans lequel elle trouvait un certain réconfort. « Je l'aurais accepté ton verre tu sais. T'es pas plus moche qu'un autre, t'as pas à te montrer désobligeant pour attirer l'attention. » dit-elle avant d'exploser littéralement de rire. Elle retroussa son nez en rigolant. Shaïna commençait à se détendre un peu. C'était les montagnes russes avec Gauthier, en une fraction de seconde, il savait lui faire perdre tous ses moyens. C'était aussi flippant que perturbant.
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Cette fille m’intriguait. Ma curiosité me tiraillait de l’intérieur et j’avais ce besoin presque oppressant d’en connaitre plus sur sa personne. Putain ! J’en étais presque fou. Je ne connaissais rien d’elle et elle me faisait perdre les pédales. Je ne suis pas un romantique, je ne l’ai jamais été et je ne le serai jamais. Cette fille rêvait du futur. J’en étais persuadé. Sa faiblesse la trahissait lorsque ses pomettes se mirent à rougir à mon simple contact. Son regard lui était à la fois craintif et remplie d’un vice que je ne soupçonnais même pas. Il était difficile de la cerner. « Rêve pas, tu fais fantasmer personne ici.» baliverne. Sa peau et son comportement la trahissaient. Mes sourcils se froncèrent et je lui répondis lourdement comme pour ancrer mes mots dans son esprit. « Peut être pas encore mais ça viendra ma belle !» dis-je presque sur de moi. Cette fille allait devenir une obsession. Je sentais la menace gronder et pour tout vous avouez j’avais envie de lui gueuler dessus. Pourquoi était-il si belle ? ne pouvait-elle pas ressembler à l’autre pouffiasse de tout à l’heure. Cette inconnue étaient parfaite à mes yeux. Mon regard s’attarda sur ces lèvres. Parfaitement dessinées, elles réveillaient en moi de profond désir. Du calme ! Du calme ! Peu habitué à parler autant, j’étais déjà en train de franchir certaines barrières. Cette fille allait me casser les couilles. Je le présageais. Mon corps se rapprocha de l’étincelle féminine. « Mais tu vas me lâcher la grappe.» si tu savais. Tout ceci ne venait que de commencer et je n’avais aucune intention de partir pour la laisser tranquille. Elle était à moi pour ce soir. Mon regard s’était assombri. Ferme donc ta gueule et ouvre moi cette putain de bouche et rend toi utile. Quel connard, je pouvais être. Je ne faisais aucun effort. Mes fantasmes brouillaient tout ce qui avaient de plus saint chez moi - c’est à dire pas grand chose -. Je mis à soupirer avant de refermer mon piège sur elle. Prise entre deux feux, la blonde semblait prise au piège. Ses joues étaient d’un rouge vif, son coeur battait anormalement. Je pouvais le sentir d’ici. Sa respiration était anormale même si elle s’entêtait à vouloir paraître forte et froide avec moi. J’appréciais l’effort qu’elle était en train de faire. Elle me repoussait et cela me donnait encore plus envie de la connaitre. J’avais beau vouloir la traiter comme ces putes des bas quartier. J’étais persuadée qu’elle était bien plus que sa. Son intelligence et sa sagesse rendaient l’atmosphère lourde. Cette fille était une fille bien. Le genre de fille que j’aimais voir de loin mais... elle... elle semblait attiser ce feu que je détestais. J’avais fini par lui demander son prénom. Une question qui fut sans réponse. Je n’étais pas si surpris. Putain. J’étais agacée par son comportement. La plupart d’entre elle seraient déjà en train de jouir et de crier mon nom. Elle ! Elle m’était un temps à tout faire. Ces présentations n’en n’étaient même pas une. Elle haussa les épaules lorsque ma bouche prononça se prénom. Gloria. Horrible au passage ! Gauthier tu t’emmerdes pas à réfléchir. Vraiment. Elle afficha un sourire et finit par répliquer « Appelle moi comme tu veux Gauthier.» mes yeux se plissèrent. Bien sûr qu’elle connaissait mon prénom et voilà qu’elle me l’envoyait en pleine gueule. Elle me provoquait et un sourire pervers s’afficha sur mes lèvres. Joue ma belle, joue. Je ne répondis pas gardant le silence même si mon regard en disait long. J’avais envie de la bouffer, de lui faire payer son insolence. « Puisque t’as pas l’air de vouloir me lâcher et que je sens bien que je vais passer ma soirée dans l’eau, laisse moi au moins me mettre à l’aise.» Mes sourcils se froncèrent, imaginant déjà la créature à poil. Elle n’allait comme même pas faire sa ici. Moi, sa ne me dérangeait pas mais eux ! Ces connards en manquent de sensation forte ? elle y pensait. Je la regardais avec attention tandis qu’elle se penchait légèrement en avant. Ses mains se posèrent sur ces pieds avant d’enlever le premier talon. Rassurer et déçu de la tournure des événements, je lui fis en rigolant. « Moi qui pensait que t’allait enlever ta culotte.» J’étais claire dans mes intentions. La belle m’intéressait. Mes mains se portaient à mon torse. J’avais besoin de contrôler mes gestes. Il était impossible pour moi de la toucher, pas maintenant en tout cas même si j’en rêvais d’envie. Elle retira sa première paire pour la poser sur le rebord. Elle s’attaqua ensuite à la deuxième. Elle était silencieuse, trop silencieuse. Je la détaillais analysant une nouvelle fois les courbes de son corps. « Tu penses impressionner qui avec ton langage vulgaire, hein ?» impressionner ? mon langage était elle que je n’avais pas juger bon de le changer même devant elle. J’étais comme sa. Cru dans mes mots. Mon sourire s'évapora et je lui fis : « Tu crois que je cherche à t’impressionner ma belle ? tu sauras bien assez tôt que c’est la dernière chose que j’essaye de faire !» dis-je d’un ton sec. Retire même cette idée de la tête. Je ne veux pas t’impressionner, je veux te baiser et te faire taire. D’un coup, la blonde se retourna et mes yeux fixaient sa colonne vertébrale. Ma gorge se noua. Même de derrière, elle restait sublime. Mon visage se recula légèrement pour essayer d’entrapercevoir son cul mais rien.... Son corps se releva de l'eau. Elle venait de lui échapper. Sa diversion avait été délicate et comme une grosse merde. Je n'avais rien vu venir. «T’as encore des progrès à faire si tu veux séduire une femme. Ton petit plaquage marche peut-être avec les prostituée mais pas avec moi.» Peu fière de la voir se dérober sous mes pas. Je m’approchais avant de recevoir une de ces chaussures dans la figure. Connasse. « Putain.... t’avise pas à refaire sa !» dis-je méchamment commençant presque à perdre patience. Les choses m’échappaient. Cette fille m’échappaient et je n’aimais pas sa. « Approche pas ou je hurle.» fit-elle rigolant. Elle se foutait de ma gueule en plus. Géniale. Super vraiment. Toucher dans mon estime, j’avais presque cette soudaine envie de la couler. Mes envies charnelles s’étaient envolés. Elle croisa ses jambes et remonta sa robe. Une robe courte, beaucoup trop courte. Elle dévoilait parfaitement ces jambes. Mon regard était froid tandis qu’elle semblait amusé par la situation. Perdre le contrôle ne me plaisait pas. Rigole Gloria, rigole. On verra bien qui rira le dernier. ahah. Je m'approchais une nouvelle fois d'elle avant de recevoir de l'eau dans le visage. Putain elle faisait exprès ! Laisse moi t'approcher merde ! « Merci Gauthier pour ce petit moment fort distrayant mais tu m’excuseras, mon mac m’attend pour ma tournée. On se recroisera surement dans une maison close ou autre. T’as l’air d’avoir tes petites habitudes là-bas.» prêt à lui répondre, je me redressais en voyant qu’elle venait de se relever. Mon regard se porta autour d’elle. Plusieurs regard se laissa tenter. Je fusillais ces sales types du regard. J’étais fou au fond de moi. Cette fille me mettait une leçon et comme un con. Je ne savais même pas quoi faire. Elle se faufilla. « FAIT CHIER !» dis-je assez fortement. Je m’approchais du rebord et sortis à mon tour de l’eau. Hors de question de finir cette échange de cette manière. Mon regard s’attarda sur les cheveux doré qui se perdaient dans la foule. Je pris une serviette et me mis à la poursuivre. Sans déconner putain, j’étais en train de lui courir après. Excéder à cette simple idée, je me mis à soupirer. Mon regard était noir, je sentais mon sang bouillir en moi. Mon regard croisa celui de ma meilleure amie. Elle posa sa main sur mon épaule pour me stopper. D’un mouvement brusque, sa main s’échappa. « Pas maintenant Lucky PUTAIN !» dis-je sèchement sans lui apporter la moindre attention. Je continuais ma course poursuite laissant derrière moi, une amie furieuse. En même temps, je ne pouvais pas la blâmer. Je venais de me comporter une nouvelle fois comme le parfait des abrutis. Après plusieurs secondes, la foule se faisaient moins dense. Mon bras se tendit et attrapa fermement celui de la jeune femme. L’obligeant à me suivre, je la plaquais lourdement contre le mur qui se trouvait juste à côté de nous. Mon corps se pressa contre le sien, au diable la retenu. Elle m’avait chercher ! Une main se plaqua se tenait au mur juste à côté de sa tête. L’autre venait lui tendre cette putain de serviette. Les étudiants nous entouraient et ne nous prêtaient aucune importance. Trop occuper à boire, ils n’avaient que faire de nous. « Prend cette putain de serviette s’il te plait !» dis-je sur un ton autoritaire. J’étais sérieux. La voir partir était une chose mais voir ses visages se retourner sur le même cul qui me faisait fantasmer. S’était trop pour moi. Ma main restaient encore en suspens. Elle ne prenait pas la serviette. Fallait s’en douter, une chieuse reste une chieuse. « Putain ! Tu fais chier gloria» dis-je en affichant un mince sourire avant de retrouver mon sérieux « Prend cette putain de serviette et met là autour de toi. Ils étaient tous en train de bander sur toi. Je t’ai pousser dans l’eau donc laisse moi au moins t’apporter cette putain de serviette ! Je plaisante pas... » dis-je sur la défensive. Elle ne bougea pas et finit tout de même par prendre cette serviette. Mon regard la détaillait, proche de mon visage. Je pouvais sentir son souffle s’accélérer. D’un air provocateur. Je lui fis : « T’as kiffer hein ! Avoir la sensation de me dominer ! Sa te plait !» dis-je sur un ton froid avant de finalement me mettre à sourire avant de me détacher délicatement d’elle pour qu’elle puisse mettre la serviette autour d’elle. « Voilà qui est mieux ! C’es ton kiffe toi de te faire mater par ces gros con ? t’es bizarre comme fille !» s’était l’hôpital qui se foutait de la charité.
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Partagée entre le feu et la glace, Shaïna ne savait pas où donner de la tête. Cet homme, ce Gauthier s'était montré très entreprenant avec elle. Après tout, il ne la connaissait pas du tout. Il avait certainement du l'observer de loin, faisait d'elle sa prochaine proie. Il aimait plaire, cela se voyait comme le nez en plein milieu du visage. C'était le genre de gars à collectionner les conquête, juste pour le prestige ou pour se soulager. Il était beau, elle ne pouvait pas le nier. Il devait en attirer plus d'une dans son lit. Manque de chance pour lui, la Cabot n'était pas une fille facile. Elle ne se laissait pas approcher facilement et encore moins toucher. Elle rêvait de romantisme et d'évasion, tout ce que Gauthier ne pouvait visiblement pas lui apporter. Il était tellement difficile à cerner mais à la fois prévisible. Il s'était montré très froid dès le début et là, semblait baisser sa carapace en un petit sourire tout à fait charmant. Shaïna posa son regard sur ses lèvres et cligna lentement des yeux. Il était vraiment très beau. Ses lèvres étaient lisses et rosées, sa mâchoire était virile et parfaitement dessinée. Il laissait apparaître une barbe de quelques jours qui augmentait considérable son côté mystérieux. Des yeux d'un marron intense, il avait un regard poignant, limite envoûtant. Et pour finir, des cheveux en pagaille qui commençaient à sécher dans tous les sens. La belle blonde baissa les yeux et resta silencieuse. Elle venait de lancer une bombe en lui demandant ce qu'il attendait d'elle. La jeune fille n'avait pas réfléchit à sa question et l'avait posé sans le moindre filtre. Shaïna ne savait pas vraiment comment s'y prendre avec lui. C'était assez spécial. Il lui avait fait peur et là, elle en était à lui demander ce qu'il voulait. Elle ne contrôlait pas du tout la situation et même si elle voulait garder un minimum de lucidité, Gauthier balayait tout d'un haussement de sourcil. Elle faisait la fille forte mais à l'intérieur d'elle, c'était l'anarchie la plus complète. Contre toutes attentes, il se mit à rigoler. Ce fut un soulagement pour la belle blonde qui vint se joindre à son rire. Toujours très discrète et très classe, elle n'avait pas le gros rire bien gras des piliers de bar. La petite Caldwell mettait un point d'honneur à rester dans l’élégance, peu importe les circonstances. Son éducation dictait son comportement exemplaire. Néanmoins, elle essayait de s'ouvrir aux autres et avait du mal à distinguer le bien du mal. Gauthier par exemple, elle savait que ses méthodes n'étaient pas les bonnes et pourtant, elle se surprit à apprécier le petit moment de complicité qu'ils étaient en train de de vivre. Il semblait surpris qu'elle puisse imaginer qu'il lui offre un verre. Elle baissa les yeux, un peu gênée. Le beau brun semblait vouloir s'amuser avec ses nerfs ce soir. Sans prévenir, il vint se coller à elle, réduisant à néant tous les efforts qu'elle avait fait pour garder une certaine distance entre eux. En le voyant avancer, elle arracha un petit cri de surprise, presque inaudible. Shaïna se pinça les lèvres et arrêta de respirer. Son coeur battait à la chamane, elle ne contrôlait plus son rythme cardiaque. Son coeur, son esprit et son corps semblaient s'emballer en même temps. Un long frisson lui parcouru le dos et elle leva la tête pour plonger son regard dans le sien. Gauthier répéta ses paroles et posa délicatement sa main sur sa joue. Shaïna ferma les yeux pour mieux appréhender ce contact imprévue. Elle les rouvrit rapidement, se rappelant qu'il valait mieux avoir un visuel sur ce prédateur sanguinaire. Elle détourna son regard et fronça les sourcils. Le stress était monté en elle et l'adrénaline l’empêchait de bouger. Il posa son pouce sur sa lèvre inférieur et contre toutes attentes, elle entrouvrit la bouche. Ses joues étaient d'un rouge éclatant. Il lui expliqua brièvement pourquoi il ne l'avait pas invité à simplement boire un verre. La Cabot regardait simultanément son regard et ses lèvres. Elle ne savait pas quoi faire, pas quoi penser. Elle ne voulait pas qu'il la touche, elle ne voulait pas qu'il l'embrasse mais elle était fatalement attirée vers lui. Les bras le long de son corps, elle n'osait pas bouger, pétrifiée par sa présence et par sa main sur elle. Sentir son corps contre le sien n'était pas une chose anodine et elle préférait ignorer complètement la bosse qu'elle sentait au niveau de son bas ventre. Peu importe de quoi il s'agissait, elle ne voulait pas savoir. Que ce soit son portable, un paquet de mouchoir ou pire, une érection. Rester dans l'ignorance lui convenait parfaitement. Shaïna ne répondit pas et se contenta de se mordiller, une nouvelle fois, la lèvre inférieure. Gauthier râla sur elle et lui demanda d'arrêter de faire ça. « Désolé. » répondit-elle timidement. Le jeune homme enleva sa main de sa joue et la posa contre le mur, juste à coté d'elle. La belle blonde se sentait oppressée, elle n'était pas à l'aise et ça se voyait énormément. Elle déglutis avant d'ouvrir légèrement la bouche de peur. Elle voulait se pincer les lèvres mais ne le fit pas, elle devait trouver un autre échappatoire. Il devina rapidement qu'elle avait bu un verre de champagne. Instinctivement elle ferma la bouche et laissa ses pommettes rougir davantage. « Je ... » bredouilla-t-elle. La Cabot n'eut pas le temps de répondre que Gauthier lui coupa la parole pour lui dire de se détendre, il en profita également pour lui redemander son prénom. Décidément, ce monsieur était plutôt curieux. Il lui lança un regard amusé auquel elle répondit. Shaïna afficha un léger sourire conquise. Elle l'avait fait assez ramer comme ça, après tout, lui donner son prénom ne l'engageait en rien, si ? Elle s'humidifia les lèvres et prit la parole sur un ton doux. « Gloria c'est pas mal mais je crois que je préférerais que tu m'appelle Sh... » commença-t-elle avant d'être coupée par Eric. Encore lui. Rhoo, il les coupait dans un moment fort sympathique. La Cabot se surprit à lever les yeux au ciel. Elle regarda silencieusement les deux hommes et plissa les yeux en voyant le visage de Gauthier changer. En une fraction de seconde, il passait de la détente à l'énervement. Décidément, cet home était très mystérieux, elle ne le comprenait vraiment pas. Il dit à Erci qu'il arrivait avant de reporter son attention sur elle. La petite Caldwell était un peu déçue mais ne le montrait pas, contrairement à lui qui baissa la tête. Shaïna regarda autour d'elle avant de finalement voir Eric partir en trombe. Cela avait l'air urgent. La belle blonde ne pouvait pas le retenir plus longtemps. Elle afficha un léger sourire. « Tu es très demandé, Gauthier. » dit-elle avec un regard amusé. Le jeune homme releva la tête pour la regarder. Un frisson lui parcouru tout le corps lorsque son regard croisa le sien. Elle inspira longuement avant de soupirer silencieusement. Elle leva ses mains à sa hauteur et les mit devant son torse. Elle regarda ses mains et hésita un instant avant de finalement les poser sur son torse. Le stress à son comble. Allez Shaïna, courage, toutes tes copines le font, pensa-t-elle pour essayer de se motiver. Sans un mot, elle apporta ses mains sur le premier bouton de sa chemise pour le défaire. Elle rigolait légèrement, c'était plus du stress qu'autre chose. Lentement, elle vint défaire les boutons de sa chemise, un par un. La Cabot sentait le regard insistant de Gauthier sur elle. Shaïna rougissait à vue d'oeil mais ne se dégonfla pas pour autant. Elle se mordilla la lèvre inférieur avant de se rappeler ce qu'il lui avait dit. « Pardon. » s'excusa-t-elle faiblement. La blondinette avait les jambes qui tremblaient, elle ne se reconnaissait pas. Elle les déboutonnait, son sourire de petite fille s'agrandissait à mesure que son torse se dévoilait. Mal à l'aise, elle avait envie de rire et de pleurer. Elle était dictée par une force invisible qui la poussait à agir autrement. A la sortir de sa zone de confort pour vivre de nouvelles expériences et ressentir de nouvelles choses. Une fois qu'elle eût terminé, elle leva légèrement la tête pour poser sur regard sur ses épaules parfaitement sculptées. Elle leva ses mains et les posa sur le col. D'un geste sensuel et lent, elle fit glisser sa chemise le long de ses épaules, de ses bras et lui ôta entièrement. Shaïna n'osait pas le regarder. Elle tenait la chemise d'une main et à l'aide de son autre main libre, elle vint défaire la serviette autour d'elle. En se souvenant qu'il n'appréciait pas que les gens voient ses seins, elle fit en pas vers lui pour qu'il la cache de son torse nu. Délicatement, elle posa la serviette autour du cou du beau brun et ne tarda pas à enfiler la chemise, beaucoup trop grande pour elle. La Cabot prit tout son temps pour mettre les deux boutons du haut. Elle releva la tête pour plonger son regard dans le sien. Il ne bougeait pas et c'était tant mieux. « Bonne soirée Gauthier, merci pour cette petite baignade. A bientôt, j'espère... » dit-elle en affichant un sourire discret. La belle blonde posa ses longs doigts fins sur les bras bouillants de Gauthier, se mit sur la pointe des pieds et déposa un chaste baiser sur sa joue. Shaïna se recula rapidement et se libéra de son emprise. Elle quitta les extérieures sans même se retourner. Cette nuit-là, la petite Braster ne trouva pas le sommeil et s'endormit avec la chemise de ce psychopathe au sourire ravageur.
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