● Flashback - If we ever meet again feat Viktor

Ce jour la c'était le matin. Ouais c'était une belle matinée. Malheureusement pas pour moi car, j'allais en chier comme à l'accoutumée. Je m'étaie lever ce matin pour faire ma séance de tir quotidienne pour le Basket. Je connaissais bien le gardien du gymnase qui était un bon ami de mon coach et qui comprenait parfaitement le besoin que j'avais de m'entraîner comme une machine quitte a finir par terre et a ne plus pouvoir me relever si cela me permettait de devenir professionnel alors avoir les clés n'avait jamais été un problème. Le gardien comprenait parfaitement ce but. Cette recherche de perfection et d'excellence que je m'imposais pour être le prochain espoir sportif de la nouvelle génération était comme une drogue pour moi. Je ne voulais rien laisser au hasard. Si je pouvais être infaillible sur le terrain je sacrifierais tout ce qui est en mon pouvoir pour le faire, mais ce n'est malheureusement pas possible. Alors, je donne tout chaque matin, chaque après midi, chaque soirée. Je sacrifie ma vie et mes envies. Je sacrifie les amis et les conquêtes pour atteindre ce pourquoi je suis née devenir professionnel et jouer au Basket. Faire du basket ma passion, ma vie. Accomplir mon rêve de manger, dormir, vivre et respirer Basket voilà ce qui me motivais a me lever chaque matin malgré les coups de fatigue trop nombreux du à la weed et à l'alcool que j'allais bien devoir arrêter si je désirais atteindre mes objectifs élevés . J'étaie prêt a tout renié à cette époque là. A tout sacrifié et tout laisser tomber et bazarder si cela pouvait me permettre de vivre de ma passion au quotidien. Sillonner les états de toutes les USA et voir du pays chaque jour nouveau même si à force de le faire cela en deviendrais banal. J'avais tant souffert de Brooklyn que je voulais seulement m'en aller. M'évader. Partir loin avec une carte postal comme horizon. À l'époque c'était un doux rêve et mes amis me mettaient souvent des tapes sur les épaules ou me pinçait pour m'extirper des rêves et me reconduire à une triste réalité. Le basket j'y étais très bon, mais cela ne suffisait pas car,des gens bonsil y en avait un paquet. Je devais me démarquer d'eux en m'améliorant sans cesse dans tous les compartiments de mon jeu. Si cela pouvait me permettre de devenir qui je voulais être passé des heures et des heures entières a enchaîné les tirs et autres mouvement tous plus complexe les uns que les autres ne me gênaient pas. Le sport bien qu'étant addictif n'étaient qu'une drogue avec des effets positifs. Le Basket me donnait la santé, l'endurance sur le terrain et au lit car, il fallait bien des avantages extérieurs a tout cela. Et ma condition physique d'enfer était un de ces avantages la qui me servait autre part que sur un terrain et cela croyez moiles filles n'allaient pas s'en plaindre bien au contraire. Je transpirais a grosse goûte. Mon don et mon talent certes était exceptionnel, mais sans maîtrise la puissance ne servait a rien alors j'entretenais ce talent. Je le façonnais et l'améliorait. Je le travaillais sans relâche et les médisants diront sans doute que je suis fou ou obsédé par cette quête de célébrité quitte a négligé les choses qu'il y a autour. Je les laisse parler et cracher leur venin derrière mon dos. Ils seront les premiers a se mordre les doigts quand j'exploserais les paniers de toutes les équipes des USA en direct de leur télévision. Ils seront bouche bée devant leur poste de télévision a se dire "Hé mais c'est Boobs ce gars ! J'étaie avec lui en cours ! Il est devenu pro bordel ?! Et il est même sacrement bon merde !" et suivra une réaction différente pour chacun d'entre eux. D'autre souriront de me voir l'a en repensant a tous les bons souvenirs que j'ai eux avec eux. D'autre seront contents eux aussi pour moi mais pleureront car, eux ne sont que de petits employés qui galèrent a payé le câble pour me voir jouer, mais qui l'ont quand même. Et puis vous savez les haineux et les médisants le reste toute leur vie parait il alors ils continueront a me haïr et a déversé leur haine et leur venin sur moi et encore plus maintenant que je suis connu je pense.

Je serai une cible facile pour eux et chaque occasion, chaque erreur sera pour eux l'occasion de casser encore une fois du sucre sur mon dos, mais passons. Je les ignorerais une fois de plus je pense comme je l'ai toujours fais, mais au moins l'objectif sera assuré et l'avenir lui beaucoup moins incertain voir même je pense qu'on peut le dire sûr. Les gouttes de sueur parcourt mon visage de plus en plus régulièrement, mais je ne désire pas faire de pause pour autant. Pour moi s'arrêter est pour les faibles. D'autres te diront que c'est simplement humain. Ils te diront qu'avoir faiblesses c'est simplement le signe que je suis un être humain comme tout le monde. Mais moi je ne désirais pas être comme tout le monde. Je voulais être exceptionnel et façonner le monde à ma façon seulement en rentrant une balle dans un panier. Je savais pertinemment que cela n'aurait pas le même impact que d'être président ou autres fonctions très haute placée, mais quand même ! Avoir un impact sur le monde ou sur le Basket même infime m'irait très bien. Je suis exigeant et perfectionniste au Basket car, je n'aime pas les critiques et par-dessus tout quand elles sont sur mon jeu. Qu'on critique ma personne la il n'y a aucun soucis car, la plupart des personnes dans ce monde sont des langues de putes et j'y étais habitué depuis mon enfance alors cela ne me surprenait qu'a moitié a vrai dire. Cependant qu'on critique mon jeu cela jamais je ne l'accepterais. Je n'aime pas qu'on dise que j'ai merdé. Que j'ai plomber mon équipe ou que je n'ai pas faits les choses bien. Ce n'est pas de l'arrogance cette recherche permanente de perfection c'est simplement l'envie de bien faire les choses et ça je pense que vous pouvez le comprendre. J'ai toujours aimé le Basket mais l'internat m'avait pousser a me dépassé ! J'ai détesté ma mère de longues heures, de longue journée et de longues nuits pour ne pas dire tout le temps et je la déteste encore, mais je dois bien avouer que c'est finalement l'une des meilleures choses qui me sois arrivé dans la vie. J'ai découvert le piano et les belles mélodies. Certes ce n'était que des bases de piano, mais jouer un instrument aussi noble et aussi célèbre m'avait vraiment fait du bien moralement. Non je n'ai pas oublier d'où je viens car, c'est ce qui a fait de moi l'homme que je suis aujourd'hui. Je n'ai plus trop le temps désormais de jouer du piano, mais une fois pro je compte bien en faire un passe-temps quotidien car ça me plait vraiment. Je ne voulais pas transmettre mon talent une fois ma carrière finit et aider d'autres personnes. Non pas que j'étais égoïste ou nombriliste, mais avoir un ou plusieurs élèves sous mon aile me paraissait impossible car j'aimais le travail propre et la justesse d'exécution et je m'emportais vite. Avec la sagesse peut être que la patience viendra, mais en matière de sport je n'étais guère patient il fallait que tout sois parfait tous de suite sinon je m'emportais immédiatement donc je pense ne pas avoir la patience de prendre quelqu'un ou quelques personne sous mon aile plus tard.

C'était comme cela et personne n'allait me changer de si tôt du moins c'est ce que je croyais car, ce jour la. La porte du gymnase c'était entrouverte. Les équipements étaient moderne alors je fermais les portes en mettant la climatisation. Je négligeais souvent de fermer les portes a clé pour être tranquille. Je laissais le gymnase ouvert en réalité même si de l'extérieur il semblait bien fermer. Je me disais aussi qu'à cet heure ci personne ne viendrait me faire chier à part le plus grand des sportif et encore ce n'est pas sûr. Malheureusement pour ma pomme cela a été le cas. Sans doute un insomniaque ou somnambule avait je pensé. Il n'en était rien. Je pensais que c'était le gardien qui était venu faire une ronde ou des papiers ou me parler. Bref j'étais loin d'imaginer ce qui allait arriver et je me suis tourné en me demandant bien si je rêvais en voyant le jeune homme un peu frêle qui était arrivé et entrer ce jour là. Je m'était pincé pour voir si je ne rêvais pas et effectivement je ne rêvais pas. Un petit blanc bec fin comme une baguette avait décidé de venir me faire chier sur MON terrain dans MON gymnase. Pourquoi fallait il que cela tombe sur moi ? Pourquoi il avait décidé de me faire chier moi ? Était il la pour moi ou pour autres choses ? Même qu'importe le motif je détestait être dérangé et par-dessus tout pendant mon sport. Le sport c'était ma vie. Ma raison de vivre ! Alors qu'on interrompe mon moment solennelle et privilégier avec mon corps et mon ballon cela jamais ! C'était intolérable et j'étaie intransigeant surtout là-dessus. Très remonté je me suis dirigé vers cette baguette ou cette planche a pain appeler cela comme vous voulez et je l'ai agrippé par le t shirt il ne semble pas vouloir se laisser faire, mais même à 6 heure du matin j'étaie une pile électrique ça se voyait que ce bonhomme ne me connaissait pas comme il le fallait. Je l'avais regarder plein de haine droit dans les yeux puis je lui avais glissé quelques mots... Des mots durs certes, mais il devait comprendre. Voilà comment tout cela avait commencé. Voilà notre histoire. L'histoire d'une belle amitié qui avait commencé dans un gymnase avec de la haine, des mots durs et de la colère.

[b]<< Hé toi tu te prends pour qui a venir me faire chier sur mon territoire blanc bec ? Tu crois que tu peux venir me faire chier gratuitement ici un beau matin comme ça sans conséquence ? Il y en a qui s'entraîne pour devenir les prochains athlètes que tu matera dans ton écran plasma 140 pouces derniers cri tout équipé 3D etc que tu te sera payer avec ton gros salaire de cadre supérieur ou je ne sais quel autre métier de gros bouffon qui est assis a ne rien foutre dans son bureau pistonner sans doute par ses riches parents donc pas mérité comparer a d'autre bosseur qui bosse dur comme moi tu saisis ? Je ne suis pas ici pour le plaisirs blanche neige ! Je me prépare a devenir le meilleur Basketteur de la décennie ! Alors, respecte mon Job ou va chier ! >>