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(flashback) and will always love you -bentley

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Le Summer Camp me change les idées. Plus de pensées noires, plus ses souvenirs qui me tailladent le coeur. J'aurais presque oublié cet être possédant encore et toujours ce membre utile à ma survie. Mon coeur est entre ses mains, je n'ai jamais su le lui reprendre. Ma fragilité face à lui est beaucoup trop importante. A croire qu'il m'intimide. Il me connait mieux que n'importe qui, il sait que je suis celui à qui il ne faut jamais faire confiance. C'est ça de jouer avec les gens. On finit toujours par se prendre une gifle monumentale pour nous remettre en place. Ai-je changer? Surement pas. Ce n'est pas parce que mon coeur se retrouve en milles et unes pièces que je dois me vanter d'avoir changer, de montrer une autre facette de ma personnalité. Après tout, je suis comme je suis. Les autres n'ont qu'à m'accepter tel que je suis. Je cherche à mentir, c'est la seule façon que j'ai pour me cacher de ses regards identiques à des lames de rasoirs. Ce sont des juges d'un concours stupide duquel on cherche tous à gagner le plus haut prix. Nous voulons tous atteindre la perfection. On veut tous se fondre dans la masse, être identique à son voisin. Et si il y a une certaine différence, tous les regards sont vrillés sur nous, tous les doigts pointés sur cette imperfection que la vie a créé.

Au fond, je crois qu'il me manque. Du moins beaucoup plus que je ne l'aurais souhaité. Il est toujours là. Ses critiques assaillantes encore bien présentes dans ma tête. Sa voix raisonne encore dans les parois de mon cerveau. Tout se bouscule. Une sorte de tempête qui s'abat dans tous les sens. Mon coeur se tord à chaque pensée, il saigne à chaque souvenir un peu trop vivace. Les larmes restent bloquées aux coins de mes yeux, rien ne coule, rien ne s'échappe. Si il y a bien quelque chose que j'ai appris, seul, c'était de ne jamais laisser paraître le moindre sentiments. Mes bras sont les preuves que j'ai toujours bien fais attention. Mon visage est impassible, mes bras, des champs de guerre où les différentes " mines " ont creusé le sol. Personne, ou presque, ne sait pour ce coeur qui a cessé de battre à partir du moment où celui que j'aimais a brisé notre union. C'est fou, jamais je n'aurais cru m'attacher autant à un être humain, surtout un homme, surtout celui que j'aimais. Une sorte de réveil trop brutal qui m'a ramené à la réalité alors que les mots " c'est finit " se glissaient entre ses lèvres. Je l'ai senti ce putain de coeur se brisé sous le poids horrible de ses paroles. Elles glissent sur moi, se faufilent entre les recoins de mon coeur avant de le faire complètement explosé. A croire que c'était tout ce qu'il attendait. Me faire souffrir, me rabaisser. Tomber des nus après avoir vécu comme un Dieu pendant plusieurs mois, ayant la personne que j'aime dans mon lit ainsi que des amants sans importances.

Je me suis échappé du Summer Camp, l'espace de quelques minutes, heures, histoire d'être seul, pour penser, pour me laisser aller à des ressentis que je ne me permet pas, entouré par les membres du camp. J'me balade, les mains dans les poches, en plein milieu des rues du village. Je suis loin de toute agitation, de tout humain susceptible de me casser les couilles. J'ai besoin d'être seul, plus que jamais. Un mois qu'il m'a quitté. L'oublié est surement l'une des choses les plus difficiles au monde. L'aimer a été la plus belle chose de ma vie et pourtant, mes espérances, mes croyances, ont été brisé. C'est ma faute, dans l'pire des cas je n'ai qu'à me reprocher mes actes, chose que je ne ferais jamais. Les mains dans les poches, je ère comme une âme en peine sous le soleil de plomb qui s'écrase sur mon crane. Une casquette sur la tête, à l'envers, des vêtements de skateur. Je crève de chaud et j'ai qu'une envie, me foutre sous une douche d'eau glacée. Je prend une glace chez un épicier du coin et j'vais me caler sous un arbre. Je m'allonge sous celui si et mange en silence, fixant le ciel bleuet. Je penche légèrement la tête et regarde les gens passer dans la rue. C'est fascinant de regarder ses gens qu'on ne connait pas, évoluer dans un lieu commun. Des personnes inconnues qui sont surement, au fond, juste comme nous. Une silhouette familière s'avance entre les voitures. Putain. C'est lui. Mon coeur se serre, saigne. Je me redresse. Ma voix s'échappe seule de mes lèvres. « Putain, Bentley, tu fous quoi là ? Ca t’amuse de me hanter ? » Ca t'amuse de me tuer l'coeur?
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bentley & trevor
you lost me.


Un son. Une voix. Une mélodie ... Non. Un bruit. Un vacarme épouvantable qu'il m'est impossible de taire ... Depuis bien des mois. Lui. Moi. Ça avait existé, et pourtant, pas vraiment. On s'était aimés ... Enfin, il me semble. Et puis ... Et puis, je n'ai pas 'pu'. Je n'ai pas eu le courage de continuer, malgré tout. Après tout ce qu'il s'était passé ... Aussi courageux que je me prétendais, ça m'était impossible. Je n'ai pas su pardonner, pas cette fois ... Probablement parce qu'on ne m'avait jamais pardonné, et pour largement moins pire. J'étais peut être adorable, lorsque tout allait bien ... Mais j'étais sans doute devenu intransigeant à la moindre erreur.

Souffrir.

Ce n'est plus une question d'aimer, ou de ne pas aimer. C'est une question de souffrance. J'ai déjà eu ma dose de larmes et de peines avec Jacobs ... Il a déjà su anéantir en moi tout l'espoir, tout l'optimisme, et toute la beauté intérieure pendant bien longtemps. Et ce n'était pas lorsque j'allais mieux que j'allais me laisser re-sombrer à nouveau dans une spirale de déceptions et de douleur. C'était plus fort que moi ... Je pouvais l' ... Les aimer, tous deux, autant que je le voulais, je ne pouvais pas m'accorder le luxe d'avoir mal. Je devais me protéger, défendre mon petit coeur fragile de tout sanglant impact avec le monde extérieur ... Je devais l'empêcher de se fracasser à nouveau, du moins, tant qu'il ne s'était pas complètement ressoudé.

Dans un monde dominé par l'imperfection, comment pouvoir espérer donner le meilleur de soi même ?

Je le donnais, le meilleur de moi ... Malgré le temps et l'énergie que cela prenait, je le faisais. Sans broncher. Sans rien demander en échange ... Et puis, c'était trop. J'avais essayé autant que je le pouvais, et pourtant, ça m'était toujours retombé dessus ... Et parfois, ça m'empêchait d'avancer, du coup. J'avais essayé d'être prêt, pour Jacobs, par exemple. Et lorsque je l'avais enfin été, il m'avait jeté comme un vulgaire objet avec lequel la moindre des explications n'était pas nécessaire. Et depuis, je n'avais plus jamais été prêt.
J'avais été bête. Naïf. J'avais vraiment cru qu'il m'avait ... Trevor. Son nom résonne dans ma tête comme s'il s'agissait d'un dard d'abeille prêt à me piquer au moindre faux mouvement. Et en effet, j'avais visiblement fait un faux mouvement. J'avais cru qu'il m'aimait. J'avais naïvement cru qu'il comprendrait, qu'il attendrait ... Mais les gens ne sont pas tous décents, ni comme moi. J'avais oublié que nombreux étaient ceux capables de coucher, à gauche à droite, histoire de passer un beau moment, sans sentiments ... À moins que c'était pour moi qu'il n'avait pas de sentiments ... Ça me faisait mal, rien que d'y penser.

Cocu ... Ironiquement, je ne pouvais même pas me qualifier de tel, simplement parce que nous n'étions pas mariés ... Et pourtant, j'avais l'impression qu'on m'avait vraiment trompé. La rupture dans mon âme s'était vraiment fait sentir, à ce moment là ... Ma confiance, brisée. Mon amour, bafoué, ridiculisé ... Il m'avait humilié, également ... J'avais été sa bonne poire, celle qu'il se traînait partout, en profitant pour sauter sur tout ce qui bougeait. Et pourtant, nous étions si bien, ensemble ... Non ? Enfin, c'était l'impression que j'avais eu, en tous les cas ... On mangeait des glaces, ensemble ... Haha ... On mangeait des glaces ... On parlait de notre avenir, commun ... Comme si on en avait vraiment eu un, ne serait-ce qu'un jour ... On parlait des enfants qu'on aurait, de la belle maison ... Il me caressait les cheveux, pour que je puisse m'endormir ... Mes cheveux bouclés ... Il les aimait bien, bouclés ... Tout le monde les aimait, mes cheveux ... Il m'embrassait, sur le front, dans le cou ... Je me rappellerais toujours de ce que j'avais ressenti, à l'époque. Comme si je suffoquais et que je réscucitais à la fois. Comme si chaque souffle qui passait de ses poumons aux miens avait le don de me faire revivre ...

Mais ce n'était que du pipeau. Des rêves d'enfants dans un appartement miteux. Des verres vides sur une table basse, un drap sale, des couvertures roulées en boule ...

Je n'avais jamais su lui faire l'amour. Et lui n'avait pas su m'aimer.

Et juste comme ça, c'était terminé.

Mes valises, mes bagages ... Je ne sais même plus comment j'ai fait pour les boucler aussi rapidement. Sans doute l'adrénaline. J'ai pris mes cliques et mes cloques et je suis parti. Comme ça. Sans prévenir. 4 Mois ... Volatilisés. Disparus. Où était donc passé ma vie, mon temps ? Où avais-je perdu toutes ces heures dont les souvenirs ne sont plus que brouillard et larmes, à l'heure actuelle ?

Je me promenais une dernière fois dans la ville. Cambridge ... Mes habitudes prises au cours de cette dernière année allaient me manquer. Mais lui non. Je l'aimais, je l'ai aimé ... Mais à présent, il était temps de tourner la page. Bye bye, Trevor. Je partais pour l'Angleterre, le lendemain, et bientôt, tout cela ne serait plus qu'un distant souvenir ... Il fallait dire qu'il avait su se rendre discret, heureusement. Il avait eu la décence de m'empêcher d'avoir à affronter son regard à chaque tournant. Ou alors, il s'en était totalement moqué ... D'une manière ou de l'autre, ce n'était plus mes histoires. Je ricane encore lorsque les autres me parlent de lui. Comme si je n'avais pas mieux à faire que d'entendre parler de quelqu'un dont je n'avais plus rien à faire ...

Une voix déchira les cieux. Je me retournais. Pause. Demi tour. Silence. Que faire ? L'affronter.

- Excuse moi de vivre. Je penserais à mourir, la prochaine fois. Quoi que, pour toi, c'est sans doute du pareil au même. rétorquais-je alors sèchement.


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Souffrir en silence est la seule chose qu'il me reste à faire. Oublier ses moments de tendresse, égarés au fond de ma mémoire, enfouit sous la douleur procurée par cette fin si brutale de notre couple. Tout mettre dans une boite, fermée à clé et la cachée pour ne plus y penser. C'est toujours à l'instant où on pense être guérit des douleurs procurées qu'on se rend compte que rien n'a disparu et que notre coeur ne cesse de saigner, brisé en une centaine de morceaux. C'est une sorte de cercle vicieux, la moindre chose peut nous rappeler cette relation qu'on cherche à fuir par tous les moyens. Le seul problème, c'est quand on ne parviens pas à oublier. Le souvenir est toujours bien présent, les moments tellement palpables, la voix de l'être aimée qui raisonne dans notre crâne. C'est comme une mélodie qui ne s'arrête jamais qui tente désespérément de nous faire plier, de nous foutre à genoux. Les larmes me montent aux yeux, c'est plus fort que moi. Je revois ses passages, ses moments de douceur, de tendresse. Je ne dois pas être fais pour ce genre de relation. Trop de sentiments, trop de joie pour que ça dure. Espérer que ça fonctionne, toujours espérer. J'aimerais tellement changer, recommencer depuis le début et changer le moindre de mes gestes pour que rien ne se casse la gueule. Être le mec parfait. Bien trop compliqué pour moi. C'est plus fort que moi. Je suis allé voir ailleurs, je lui ai mentis, j'me suis pris tout ce que je méritais dans la gueule. La solitude est la punition suite à mes actes. Je ne méritais que ça. Tant pis pour mon coeur déchiré.

Je pose mes yeux sur lui alors que les larmes se forment lentement aux coins de mes iris. Jen e cherche pas à l'émouvoir ni rien, je dois juste lui procurer un immense sentiment de pitié après tout. Je ne vaux rien du tout, je suis juste faible. L'être humain est conçu pour faire des erreurs, mais ne suis-je pas une erreur à moi seul? A croire que le moindre de mes actes a des répercutions négatives sur ma vie. Je la vois partir en vrille, je suis à la fois spectateur et aux commandes. Je vais droit dans le mur alors que mes sentiments se mélangent dans ma tête. Retomber dans ses bras serait la pire des idées, revenir en arrière serait inutile. Ce qui est fait est fait, ce qui est dit est dit. Assumer est un pas vers l'avant. Un énorme pas en avant. Qui sait, il me pardonnera peut-être un jour et je n'aurais plus cet horrible poids dans le bas du ventre que je me contente de porter sans savoir son origine. C'est sa faute si je n'arrive pas à trouver quelqu'un d'autre. Entièrement sa faute si je ne parviens plus à ressentir le moindre sentiment. Si j'pouvais l'oublier, balayer ses souvenirs d'un revers de main. Être débarrasser d'une relation que j'ai gâché, de sentiments bafoués. Je lui ai filé mon coeur, j'aurais pas du. Je le garde désormais, précieusement, à l'abris de tout ceux qui s'amuseraient à le briser à coup de paroles vicieuses.

La sincérité n'a pas été ce qu'il m'a manqué dans cette relation. Au contraire. C'était la première fois que j'osais autant m'ouvrir, la première fois que je laissais apparaître la vraie personne que j'étais, malgré les nombreuses mensonges tous plus gros que des montagnes. Mes sentiments, eux, avaient réellement exprimés. Je l'avais aimé, je l'aimais surement encore, un peu. Un premier vrai amour ne s’oublie jamais totalement. Je me souviens encore du gout de ses lèvres contre les miennes, nos deux corps parfaitement enlacés. A croire qu'il était parfait pour moi. Bien trop vu que j'ai réussi à foutre en l'air cette bulle rose d'amour. J'aurais dus m'accrocher, faire des efforts. J'ai fuis lâchement. Les sentiments m'effraient bien trop pour que je ne m'y accroche. Aimer est un beau verbe, un bon sentiment au fond, mais il fait aussi énormément souffrir lorsqu'il est finalement bousillé à la suite de phrases sous l'effet de la colère. Pourquoi avoir décider de mettre fin à une histoire qui aurait pus durer des années? Oui, j'en suis sur. Nous aurions pus être heureux. Nous aurions pus. Le passé reste le passé. A quoi bon vouloir y retoucher alors que ça ranimerait toutes les petites douleurs engendrées en même temps?

- Excuse moi de vivre. Je penserais à mourir, la prochaine fois. Quoi que, pour toi, c'est sans doute du pareil au même. Mon coeur se serre alors que le son de sa voix parvient à mes oreilles. Son timbre de voix m'avait manqué. Un sourire se dessine sur mon visage alors que je me redresse pour pouvoir le regarder. Il n'a pas tellement changer, toujours aussi attractif, toujours aussi beau. A vrai dire, je sais pas quoi dire, quoi faire. Les mots et les gestes me manquent, pour une fois. Ma confiance ne moi me lâche volontairement, elle me laisse seule face à mon plus noir souvenir. Celui d'un homme que j'ai aimé, que j'aime et qui m'a brisé après que je lui ai infligé les pires souffrances. Je lui ai mentis, je l'ai trompé, et je l'ai aimé. Aimer à en crever. C'était beaucoup trop pour un seul homme, beaucoup trop beau pour quelqu'un qui ne méritait absolument pas ce genre de relation. Pourquoi est-ce tomber sur moi? J'en sais rien. Aujourd'hui, les choses sont différentes. Tu n'es plus avec lui, tu n'es plus censé l'aimer, tu es juste censé l'avoir oublier, avoir tirer un trait sur votre amourette. « Ca va, j't'excuse. » Je me lève, lentement, prenant soin de ne pas tomber à la renverse alors que le monde semble bouger violemment. La tête me tourne. Je finis par réussir à me stabiliser en reposant mes yeux sur lui. « Ca a l'air de rouler pour toi dis donc Bentley. T'as pas changé en tout cas. » T'es malheureusement toujours aussi canon qu'avant. Mon Dieu, mais dans quoi j'suis entrain de me foutre? Masochiste moi? Absolument pas.
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