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► Feat Aymalyne&Milan
JUKEBOX
Boulot, boulot, boulot. Qu’est ce que je me fais chier. Je suis affalé sur une chaise devant l’entrée du restaurant à fumer ma clope : « Milan, tu n’as pas l’impression qu’on est en plein rush là ? », « ouai mais justement, je prends des forces avant pour être plus efficace chef », petit rire insolent, amusé par la situation. Heureusement qu’on est en pleine saison et que le patron ne peut pas me trouver un remplaçant maintenant sinon, ça fait longtemps que j’aurais plié bagage. Mais bon, je m’en branle, il fait beau, j’ai les jambes tendues devant moi, la main sur le ventre, le tee shirt remonté jusqu’aux pectoraux, les yeux à moitié fermés, je profite des rayons du soleil : « Milan sérieux, active toi ! », me dit un collègue en passant qui semble être prêt à s’écrouler sous sa montagne d’assiettes : « ça va, ça va j’arrive », et je balance le mégot d’une pichenette avant d’entrée dans le restau, les bras en équerre derrière la tête : « Je m’occupe de la terrasse droite ? », « Et du milieu. Mais commence par la table là-bas, elle attend depuis vingt minutes qu'on prenne sa commande », me dit une autre collègue en me balançant un torchon au visage. Je l’enfonce dans la poche arrière de mon jean, me tourne vers la table en question, et sort m’atteler à la tâche. Ils se font vraiment des idées mes collègues, elle n'a pas l'air méchante du tout. Une petite blonde bien propre sur elle, tout l’inverse de moi avec mon short en coton noir, mon débardeur noir et ma casquette à l’envers . Je m’arrête devant elle tout sourire : « Alors, qu’est ce qui te ferait plaisir ? », tandis que j’essuyais sa table pour un peu plus de propreté. Je suis quelqu’un de très familier, les conventions, les bonjour, les manières inutiles, très peu pour moi.
Boulot, boulot, boulot. Qu’est ce que je me fais chier. Je suis affalé sur une chaise devant l’entrée du restaurant à fumer ma clope : « Milan, tu n’as pas l’impression qu’on est en plein rush là ? », « ouai mais justement, je prends des forces avant pour être plus efficace chef », petit rire insolent, amusé par la situation. Heureusement qu’on est en pleine saison et que le patron ne peut pas me trouver un remplaçant maintenant sinon, ça fait longtemps que j’aurais plié bagage. Mais bon, je m’en branle, il fait beau, j’ai les jambes tendues devant moi, la main sur le ventre, le tee shirt remonté jusqu’aux pectoraux, les yeux à moitié fermés, je profite des rayons du soleil : « Milan sérieux, active toi ! », me dit un collègue en passant qui semble être prêt à s’écrouler sous sa montagne d’assiettes : « ça va, ça va j’arrive », et je balance le mégot d’une pichenette avant d’entrée dans le restau, les bras en équerre derrière la tête : « Je m’occupe de la terrasse droite ? », « Et du milieu. Mais commence par la table là-bas, elle attend depuis vingt minutes qu'on prenne sa commande », me dit une autre collègue en me balançant un torchon au visage. Je l’enfonce dans la poche arrière de mon jean, me tourne vers la table en question, et sort m’atteler à la tâche. Ils se font vraiment des idées mes collègues, elle n'a pas l'air méchante du tout. Une petite blonde bien propre sur elle, tout l’inverse de moi avec mon short en coton noir, mon débardeur noir et ma casquette à l’envers . Je m’arrête devant elle tout sourire : « Alors, qu’est ce qui te ferait plaisir ? », tandis que j’essuyais sa table pour un peu plus de propreté. Je suis quelqu’un de très familier, les conventions, les bonjour, les manières inutiles, très peu pour moi.
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