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↔J'suis pas cet esclave
► Feat Denise&Milan
JUKEBOX
Y’a pas à dire, la Nouvelle-Ecosse, c’est plutôt pas mal. Le temps est bon, il n’y a pas trop de vent, les filles sont jolies, et il y a tout l’océan pour se baigner. Je suis obsédé par l’idée de me baigner. Beh ouai, j’ai grandis entre New-York et Washington DC, je ne connais pas grand-chose à part les piscines publiques bondées d’enfants et de gens en moules-bites. Et vous savez ce qui me déplait le plus dans ces endroits ? Le fait que même pour se baigner on doit s’habiller ! Sérieux, déjà que j’ai la mort chaque fois que je mets un caleçon, alors je vous laisse imaginer. J’étais tranquillement calé dans mon petit studio de fonction, bien en bordel je dois dire. Mais hé, je n’en ai rien à faire. Je me roule un petit pétard, il doit être minuit et demie, un truc du genre. En fait, je n’en sais rien. Je le cale derrière mon oreille et je sors de chez moi avalant rapido le reste de mon sandwich du midi. Mon skate aux pattes, je roule sur le trottoir direction la plage. Je choppe mon joint, l’allume à mes lèvres et le fume en me dandinant sur ma planche, saluant de temps en temps d’un sourire les filles qui croisent mon chemin. Et j’arrive sur la plage. Presque déserte. Enfin je crois, je ne prends pas trop le temps de regarder. Je sais que c’est dangereux de se baigner en pleine nuit mais hé, un petit plongeon ça n’a jamais tué personne. Je plante mon pétard dans le sable, me désape complètement, pose le tout sur ma planche et en hurlant comme un fou je cours dans les vagues obscures. Je me trempe en entier, le bien que ça fait ! Et là, quand je me retourne vers mes affaires, voire si elles sont bien à leur place, je remarque à quelques mètres un corps échoué. Echoué ? Ouai je crois, je ne sais pas, je suis peut-être un peu trop défoncé : « Oh merde ! ». Et je cours vers le corps en question, me jette dessus. Comme si j’étais dans un film, Alerte à Malibu, un truc du genre. Je me prends vraiment à mon propre jeu, et sans réfléchir, je me mets à faire du bouche à bouche à la personne, je ne sais même pas si c’est une fille ou un garçon, je n’ai pas pris le temps de la regarder. Tout ce que je sais, c’est que je suis entrain de l’inonder.
Y’a pas à dire, la Nouvelle-Ecosse, c’est plutôt pas mal. Le temps est bon, il n’y a pas trop de vent, les filles sont jolies, et il y a tout l’océan pour se baigner. Je suis obsédé par l’idée de me baigner. Beh ouai, j’ai grandis entre New-York et Washington DC, je ne connais pas grand-chose à part les piscines publiques bondées d’enfants et de gens en moules-bites. Et vous savez ce qui me déplait le plus dans ces endroits ? Le fait que même pour se baigner on doit s’habiller ! Sérieux, déjà que j’ai la mort chaque fois que je mets un caleçon, alors je vous laisse imaginer. J’étais tranquillement calé dans mon petit studio de fonction, bien en bordel je dois dire. Mais hé, je n’en ai rien à faire. Je me roule un petit pétard, il doit être minuit et demie, un truc du genre. En fait, je n’en sais rien. Je le cale derrière mon oreille et je sors de chez moi avalant rapido le reste de mon sandwich du midi. Mon skate aux pattes, je roule sur le trottoir direction la plage. Je choppe mon joint, l’allume à mes lèvres et le fume en me dandinant sur ma planche, saluant de temps en temps d’un sourire les filles qui croisent mon chemin. Et j’arrive sur la plage. Presque déserte. Enfin je crois, je ne prends pas trop le temps de regarder. Je sais que c’est dangereux de se baigner en pleine nuit mais hé, un petit plongeon ça n’a jamais tué personne. Je plante mon pétard dans le sable, me désape complètement, pose le tout sur ma planche et en hurlant comme un fou je cours dans les vagues obscures. Je me trempe en entier, le bien que ça fait ! Et là, quand je me retourne vers mes affaires, voire si elles sont bien à leur place, je remarque à quelques mètres un corps échoué. Echoué ? Ouai je crois, je ne sais pas, je suis peut-être un peu trop défoncé : « Oh merde ! ». Et je cours vers le corps en question, me jette dessus. Comme si j’étais dans un film, Alerte à Malibu, un truc du genre. Je me prends vraiment à mon propre jeu, et sans réfléchir, je me mets à faire du bouche à bouche à la personne, je ne sais même pas si c’est une fille ou un garçon, je n’ai pas pris le temps de la regarder. Tout ce que je sais, c’est que je suis entrain de l’inonder.
Fiche de réponse créée pour ILH ®
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