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Un an plus tard w/ Happy

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ONE YEAR LATER. HAPPY & ANNA.
Le soleil, la chaleur. Je le sens, je ne suis plus dans mon Paris, dans cette ville que je connais si bien. Loin de tout, loin du bruit et de la pollution. Me voilà en vacances au Summer Camp avant d'entamer prochainement ma nouvelle vie à Harvard. Je ne n'appréhende pas plus que cela, je suis sereine car c'est ce que j'ai toujours voulu faire. Je n'ai pas encore rencontré beaucoup de personnes puisque je suis arrivée dans la nuit alors j'espère me rattraper aujourd'hui. J'ai hâte de rencontre des étudiants du campus, de pouvoir échanger avec eux sur les possibilités qui vont s'offrir à moi une fois installée à Cambridge. Ma boutique ouvrira ses portes mi-septembre, tout ira pour le mieux. Je sens le sable fin sous mes pieds comme celui qu'on retrouve sur les plages de la Corse. Tout est beau et le soleil améliore encore plus le décor. J'enlève le cache de mon appareil photo et fait mes réglages pour capturer ce moment de calme. Avec la chaleur et mais moites, mon appareil me glisse des mains et finit la t^te dans le sable. Oh non ! Merde ! Mon anglais suscite des regards, des visages qui se tournent vers moi. Je le ramasse et pose mes affaires sur le sable pour regarder s'il n'a rien.

mise en page par .Stay Away

@Happy S. Gainsborough
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Barboter dans l’eau et bronzer sur la plage, voilà quelles seraient les futures activités d’Happy pour cette journée. Pas question d’aller à la chasse au laideron ou à la cagole alors qu’il pouvait simplement se reposer, peinard, tel un futur bébé dans son petit liquide amniotique confortable et accueillant. Le jeune homme déposa de façon laconique sa serviette sur la plage, prêt à s’asseoir dessus lorsqu’un accent français titilla ses oreilles. Happy leva le regard, surpris, et ne manqua pas de découvrir avec surprise le visage d’une demoiselle qu’il connaissait. Il ne s’agissait pas là de la première énergumène venue mais bien d’une amie qu’il appréciait. Une amie française, en position légèrement putative puisqu’elle essayait toujours de gommer cet accent pourtant charmant chez elle. « Hey, mais qui voilà… » lança-t-il après s’être relevé et placé à son niveau, tout souriant. « Le monde est incroyablement petit ! » Rien de plus explicite ou truiste d’ailleurs.
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