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Pavel Antipov
Fiche d'identité
Nom AntipovPrénom(s) Pavel, Pacha de surnom, Ilitch par marque du père.Âge Trente-huit ans, la vieillesse du corps.Date de naissance Dix-sept février 1978.Lieu de naissance Saint-Pétersbourg, dans la belle Russie.Statut amoureux Célibataire dans les règles de l'artOrientation sexuelle Les courbes des femmes.Classe sociale Aisé, car repose sur le legs familiale.Job Professeur de littérature russeDepuis combien de temps ? Cinq ans, tout au plus.Choix de groupe CitizensAvez-vous étudié à Harvard ?
Je n'ai jamais été attiré par les Etats-Unis, et ce je le dois à ma Russie natale. Alors, les universités américaines n'ont jamais été synonymes d'excellence, et de liberté. J'ai même longtemps trouvé qu'il était ridicule d'associer les Etats-Unis à la notion de Liberté. Aujourd'hui encore, cette association me fait rire! A l'âge de quinze ans, j'ai été envoyé dans un lycée français, n'emportant de ma terre que sa littérature. Classe scientifiques, pour finir par approfondir mes connaissances en sciences dans le supérieur.
QU'EST-CE QUI A VOUS A POUSSÉ À ENSEIGNER À HARVARD ?
Ayant mené une vie de parfait scélérat, et tout à fait décousue les années qui ont précédé mon entrée à Harvard, j'ai certainement eut envie de calme et de continuité. Pourquoi choisir un pays que j'ai longtemps raillé, et aux relations houleuses avec la Russie ? J'ai fini par échouer aux Etats-Unis sans vraiment comprendre, sans vraiment vouloir y faire quelque chose autre que Las Vegas. Les jeux d'argents, et l'alcool. Les jolies filles qui s'accrochent aux bras des chanceux. Je suppose que j'ai été trop fatigué pour partir. Je suppose que je n'ai plus eut envie de partir : je n'étais plus Russe, après tant de temps passé ailleurs. Et, mes livres publiés en Russe, mon expertise en la matière - nul ne sait mieux se plonger dans les merveilles de Fiodor, m'ont ouvert les portes du professorat. J'ai dû vouloir racheter mes fautes, en faisant quelque chose de bien. Une drôle de volonté, j'admets : pas faite à moitié. Prendre la meilleure des université est une énième tentative pour me prouver que je peux faire bien.
Je n'ai jamais été attiré par les Etats-Unis, et ce je le dois à ma Russie natale. Alors, les universités américaines n'ont jamais été synonymes d'excellence, et de liberté. J'ai même longtemps trouvé qu'il était ridicule d'associer les Etats-Unis à la notion de Liberté. Aujourd'hui encore, cette association me fait rire! A l'âge de quinze ans, j'ai été envoyé dans un lycée français, n'emportant de ma terre que sa littérature. Classe scientifiques, pour finir par approfondir mes connaissances en sciences dans le supérieur.
QU'EST-CE QUI A VOUS A POUSSÉ À ENSEIGNER À HARVARD ?
Ayant mené une vie de parfait scélérat, et tout à fait décousue les années qui ont précédé mon entrée à Harvard, j'ai certainement eut envie de calme et de continuité. Pourquoi choisir un pays que j'ai longtemps raillé, et aux relations houleuses avec la Russie ? J'ai fini par échouer aux Etats-Unis sans vraiment comprendre, sans vraiment vouloir y faire quelque chose autre que Las Vegas. Les jeux d'argents, et l'alcool. Les jolies filles qui s'accrochent aux bras des chanceux. Je suppose que j'ai été trop fatigué pour partir. Je suppose que je n'ai plus eut envie de partir : je n'étais plus Russe, après tant de temps passé ailleurs. Et, mes livres publiés en Russe, mon expertise en la matière - nul ne sait mieux se plonger dans les merveilles de Fiodor, m'ont ouvert les portes du professorat. J'ai dû vouloir racheter mes fautes, en faisant quelque chose de bien. Une drôle de volonté, j'admets : pas faite à moitié. Prendre la meilleure des université est une énième tentative pour me prouver que je peux faire bien.
APRÈS LA BOMBE.
Terrible nouvelle. Affreuse en tout point, et qui ne m'a pas laissé de marbre. Et, pour de multiples raisons, elle m'a laissé froid. Quand, de la foule, j'ai entendu les rumeurs je n'ai pu contenir autant la fureur que la culpabilité. J'aurais dû m'y trouver. J'aurais dû être de ceux à souffrir. J'étais en ville, allant d'agences de voyage en d'autres, pour un séjour pédagogique en Russie. J'ai été absent. Ailleurs. Je suis resté là, sans bouger. Au milieu de gens qui ne devait comprendre qu'à moitié ce sentiment, cette douleur. Et, une fois la tétanie envolée, je n'ai pu rentrer avant quelques jours. Trop de remords, trop peur d'affronter les désastres. Une décision de dernière minute a épargné ma santé, et je le déplore presque.
Terrible nouvelle. Affreuse en tout point, et qui ne m'a pas laissé de marbre. Et, pour de multiples raisons, elle m'a laissé froid. Quand, de la foule, j'ai entendu les rumeurs je n'ai pu contenir autant la fureur que la culpabilité. J'aurais dû m'y trouver. J'aurais dû être de ceux à souffrir. J'étais en ville, allant d'agences de voyage en d'autres, pour un séjour pédagogique en Russie. J'ai été absent. Ailleurs. Je suis resté là, sans bouger. Au milieu de gens qui ne devait comprendre qu'à moitié ce sentiment, cette douleur. Et, une fois la tétanie envolée, je n'ai pu rentrer avant quelques jours. Trop de remords, trop peur d'affronter les désastres. Une décision de dernière minute a épargné ma santé, et je le déplore presque.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
La bassesse d'un viol. Que du dégoût, que j'ai pu ressentir. La terreur qu'une femme ressent face à l'assaillant, la vulnérabilité qui la met en échec! Et l'imbécile qui croit y voir sa toute puissance! La menace morbide, à chaque couloir. Un sursaut, à chaque main qui se pose sur une épaule. J'ai bien vu cela, cette peur indicible. Tout pour me rappeler l'enfance en Russie, pourtant aimée, où voyant parfois sur l'avant bras d'un homme un tatouage d'une pêcheuse dont l'hameçon se prend dans sa jupe... Le signe du violeur. Qui s'affiche et se vante. Quel est le plus terrible, s'en cacher où le porter littéralement ? Mais les deux, ça fait naître la rage.
Et la prise d'otage, là encore je n'y étais pas. Pas très loin, assez pour entendre des bribes. Assez pour me faire haïr ce jour.
La bassesse d'un viol. Que du dégoût, que j'ai pu ressentir. La terreur qu'une femme ressent face à l'assaillant, la vulnérabilité qui la met en échec! Et l'imbécile qui croit y voir sa toute puissance! La menace morbide, à chaque couloir. Un sursaut, à chaque main qui se pose sur une épaule. J'ai bien vu cela, cette peur indicible. Tout pour me rappeler l'enfance en Russie, pourtant aimée, où voyant parfois sur l'avant bras d'un homme un tatouage d'une pêcheuse dont l'hameçon se prend dans sa jupe... Le signe du violeur. Qui s'affiche et se vante. Quel est le plus terrible, s'en cacher où le porter littéralement ? Mais les deux, ça fait naître la rage.
Et la prise d'otage, là encore je n'y étais pas. Pas très loin, assez pour entendre des bribes. Assez pour me faire haïr ce jour.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
N°1 Russe de sang et de cœur, épris des rues de Saint-Pétersbourg, où il n'a cessé de s'épanouir. Ses plus beaux souvenirs s'y trouvent, et ses tourments les plus délicieux y restent. Revenir serait une joie, mais il sait qu'il causerait autant de mal que s'il ne revenait jamais : trop de temps est passé. Il est trop différent. Il n'est plus celui que Mère aime, que Père aurait pu admirer.
N°2 Persuadé de n'être rien, car voilà qu'un homme se mesure à ses tatouages, au pays natal. Lui, n'en a aucun : la seule encre qui vient à sa peau est celle qui s'égare de la plume au papier. Il rêverait partant de ceux de son oncle, à la croix majestueuse frappée sur le torse. Et les épaulettes dessinées avec finesse, comme la plus belle forme de rébellion. Et l'étoile au genou du père : celui qui ne s'agenouille devant aucun. Qu'est-il, alors ?
N°3 Forgé de nostalgie, il ne se passe aucun jour sans qu'il ne se replonge dans Pouchkine, Dostoïevski, Gogol! Sans qu'il ne savoure les plats de sa mère, qu'il peine à refaire! Sans qu'il ne chante, de sa voix grave et accidentée, les comptines d'une douce мама. Et, s'il prend sa plume, c'est pour y rejouer ses instants de jeunesse, retranscrire les histoires familiales. Tout lui reste, et ne souhaite jamais rien oublier.
N°4 Dès l'âge de quinze ans, il a été arraché à la douceur froide, aux saisons hivernales pour s'éloigner en France. Se perdre en France. Un lycée, des diplômes à obtenir. Un caprice de la mère, la douce мама, qui n'en voulait pas un homme comme le père, comme l'oncle Anton! Et lui, mettant de côté les lettres et les nuances pour s'enfoncer dans les Sciences. Sciences détestées qu'il s'est senti obligé de poursuivre encore après. Ultime châtiment d'un cœur de bonnes intentions.
N°5 Au lieu d'être celui qu'elle a voulu qu'il soit, il s'est enfuit en Angleterre avant le doctorat. Adieu Paris, adieu les Parisiennes. Une jeune adolescente qui lui en demande trop, à qui il fait ses adieu : il lui laisse un foulard de son pays, de belles broderies. Un jeu de carte, en poche. Des pièces d'argent. Des magouilles. Petit magicien de quartier, au début, avant de faire croire à des cafés qu'il est un professionnel. Des bases de physiques, pour les illusions d'optiques. De chimie, pour le grandiloquent. Il suffit de les endormir, de leur faire croire qu'ils comprennent et voient tout absolument. Des billets, des ovations. Du bluff, mais l'ambiance bon enfant ne suffit bientôt plus.
N°6 Si les Sciences expérimentales ont été merveilleuses pour une Magie de pacotille, voilà que ses facilités dans les abstractions, les mathématiques, lui servent. Les jeu d'argent, le hasard, n'est qu'une question de probabilité. De comptage. D’œil vif, cela il fait faire. Alors, des tournois de Poker. Des magouilles là encore : manipuler des cartes, les faire disparaître autant qu'apparaître. Contrôler ses mains, pour ne pas qu'elles tremblent. Contrôler son cœur, pour ne pas qu'il flanche.
N°7 Accent de Russie, conservé jalousement, et élégance Parisienne. Jamais sans un trench, jamais sans un costume trois-pièces. Un point d'honneur à bien présenter, à excuser ses manières rustres, son humour fait de couteaux et son regard froid. Glacial même : et le sourire n'arrange rien.
N°8 Drôle de professeur. Immense exigence, il ne pardonne l'erreur, et ne reporte aucun devoir. Persuadé depuis toujours qu'aucun n'a le niveau, et qu'il n'y a qu'un russe pour comprendre les grands noms ! Que les frères Karamasov n'ont de sens que pour un d'entre eux. Et, il donne des surnoms, des sobriquets en russe car il ne retient jamais les prénoms. Il ne se donne pas cette peine.
N°9 Comme du baume au cœur. Chose blanche et noires, très joie de vivre. Quelque qui cour partout. Quelque chose qui fait les yeux doux. Plus agréable qu'une femme, et le silence n'est dérangé que par des aboiements plaintifs, et des respirations enjouées. щенок, littéralement chiot. Et il pourrait même lui pardonner de mordiller ses manteaux en cachemire. Dalmatien similaire à celui de sa jeunesse, celui qui a été le plus fidèle compagnon de bataille, et de magouille.
N°1 Russe de sang et de cœur, épris des rues de Saint-Pétersbourg, où il n'a cessé de s'épanouir. Ses plus beaux souvenirs s'y trouvent, et ses tourments les plus délicieux y restent. Revenir serait une joie, mais il sait qu'il causerait autant de mal que s'il ne revenait jamais : trop de temps est passé. Il est trop différent. Il n'est plus celui que Mère aime, que Père aurait pu admirer.
N°2 Persuadé de n'être rien, car voilà qu'un homme se mesure à ses tatouages, au pays natal. Lui, n'en a aucun : la seule encre qui vient à sa peau est celle qui s'égare de la plume au papier. Il rêverait partant de ceux de son oncle, à la croix majestueuse frappée sur le torse. Et les épaulettes dessinées avec finesse, comme la plus belle forme de rébellion. Et l'étoile au genou du père : celui qui ne s'agenouille devant aucun. Qu'est-il, alors ?
N°3 Forgé de nostalgie, il ne se passe aucun jour sans qu'il ne se replonge dans Pouchkine, Dostoïevski, Gogol! Sans qu'il ne savoure les plats de sa mère, qu'il peine à refaire! Sans qu'il ne chante, de sa voix grave et accidentée, les comptines d'une douce мама. Et, s'il prend sa plume, c'est pour y rejouer ses instants de jeunesse, retranscrire les histoires familiales. Tout lui reste, et ne souhaite jamais rien oublier.
N°4 Dès l'âge de quinze ans, il a été arraché à la douceur froide, aux saisons hivernales pour s'éloigner en France. Se perdre en France. Un lycée, des diplômes à obtenir. Un caprice de la mère, la douce мама, qui n'en voulait pas un homme comme le père, comme l'oncle Anton! Et lui, mettant de côté les lettres et les nuances pour s'enfoncer dans les Sciences. Sciences détestées qu'il s'est senti obligé de poursuivre encore après. Ultime châtiment d'un cœur de bonnes intentions.
N°5 Au lieu d'être celui qu'elle a voulu qu'il soit, il s'est enfuit en Angleterre avant le doctorat. Adieu Paris, adieu les Parisiennes. Une jeune adolescente qui lui en demande trop, à qui il fait ses adieu : il lui laisse un foulard de son pays, de belles broderies. Un jeu de carte, en poche. Des pièces d'argent. Des magouilles. Petit magicien de quartier, au début, avant de faire croire à des cafés qu'il est un professionnel. Des bases de physiques, pour les illusions d'optiques. De chimie, pour le grandiloquent. Il suffit de les endormir, de leur faire croire qu'ils comprennent et voient tout absolument. Des billets, des ovations. Du bluff, mais l'ambiance bon enfant ne suffit bientôt plus.
N°6 Si les Sciences expérimentales ont été merveilleuses pour une Magie de pacotille, voilà que ses facilités dans les abstractions, les mathématiques, lui servent. Les jeu d'argent, le hasard, n'est qu'une question de probabilité. De comptage. D’œil vif, cela il fait faire. Alors, des tournois de Poker. Des magouilles là encore : manipuler des cartes, les faire disparaître autant qu'apparaître. Contrôler ses mains, pour ne pas qu'elles tremblent. Contrôler son cœur, pour ne pas qu'il flanche.
N°7 Accent de Russie, conservé jalousement, et élégance Parisienne. Jamais sans un trench, jamais sans un costume trois-pièces. Un point d'honneur à bien présenter, à excuser ses manières rustres, son humour fait de couteaux et son regard froid. Glacial même : et le sourire n'arrange rien.
N°8 Drôle de professeur. Immense exigence, il ne pardonne l'erreur, et ne reporte aucun devoir. Persuadé depuis toujours qu'aucun n'a le niveau, et qu'il n'y a qu'un russe pour comprendre les grands noms ! Que les frères Karamasov n'ont de sens que pour un d'entre eux. Et, il donne des surnoms, des sobriquets en russe car il ne retient jamais les prénoms. Il ne se donne pas cette peine.
N°9 Comme du baume au cœur. Chose blanche et noires, très joie de vivre. Quelque qui cour partout. Quelque chose qui fait les yeux doux. Plus agréable qu'une femme, et le silence n'est dérangé que par des aboiements plaintifs, et des respirations enjouées. щенок, littéralement chiot. Et il pourrait même lui pardonner de mordiller ses manteaux en cachemire. Dalmatien similaire à celui de sa jeunesse, celui qui a été le plus fidèle compagnon de bataille, et de magouille.
SECRET HEEEE OUEEEE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle /// et j'ai votre âge. Je suis trop cool et j'ai connu le forum grâce à J'y ai déjà été quelques fois, donc de mémoire ?. Il est très vivant, très peu prise de tête alors j'ai décidé de m'inscrire sous les traits de Pavel Antipov. J'utilise Hugh Dancy comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Aeroplane. Je fais environ du très petit à l'immense mots par RP et mon personnage est un personnage invent crée par DIEU.
Mot de la fin ? ▲ Ca fait très longtemps que j'ai pas trainé par ici .
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
Participer au Summer Camp, en tant que :
Summer Camper
Vacancier
9] adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Mot de la fin ? ▲ Ca fait très longtemps que j'ai pas trainé par ici .
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
Participer au Summer Camp, en tant que :
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Vacancier
9] adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
(Invité)