Aymalyne K. Strauss ► dianna agron

Toutes les histoires commencent par il était une fois, personnellement je trouve que ça fait un peu clicher. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que ça nous incite à croire aux contes de fées mais, on sait tous qu'ils n'existent pas sauf dans nos rêves. La vie est faite de joie et de peine c'est ainsi, c'est comme ça que notre existence doit se dérouler ? Doit-on nous retirer le droit de rêver ? De croire encore au prince charmant ? Nous empêcher d'y croire changera notre vision du monde dans lequel nous évoluons où l'apparence, le statut social, l'orientation sexuelle a toute son importance ? Il est toujours beau de rêver même si le monde n'est pas entouré de fées, de lutins, d'une princesse tombant amoureuse d'une bête...on sait que rien de tout cela n’existe mais le temps de quelques minutes, quelques heures ce monde de rêve nous offre une vision des choses plus belle remplissant nos cœurs d'espoir et d'amour. Certains d’entre nous y crois encore mais pas moi. J’en ai fini avec tout ça. Le grand amour n’existe pas. Vous devez vous demander comment je peux affirmer cela avec autant d’aplomb ? Eh bien pour ça je dois vous raconter mon histoire. On dit souvent que ce que nous vivons durant l'enfance influence grandement ce que nous serrons adultes. J'aimerais contredire cela mais, c'est tout bonnement ce qu'il s'est produit pour moi. Petite, je voulais être ballerine puis princesse. Quelques années plus tard, je voulais être pompier pour ensuite m'arrêter sur la médecine. J'ai grandi dans une famille aimante, riche et particulièrement influente. Comme tout les enfants, je pensais que mes parents étaient heureux ensemble, que leur mariage était le mariage parfait c'est pour ça que j'ai moi aussi très vite chercher l'homme parfait pour vivre ce genre de relation. J'ai rencontré Andrew un peu avant ma rentrée à Harvard après quelques semaines j'ai demandé mon transfère à Yale pour le suivre. Andrew était un mec incroyable, drôle, malicieux vraiment tout ce qui me plait. Après un an de relation il m'a demandé de l'épouser. C'était enfin la consécration pour notre couple jusqu'au jour où tout à basculer.

*Flashback On*

Salut mon amour, tu dois être sous la douche ou tu dois t'être endormi bref, j'ai fini donc je passe nous prendre un repas chinois, on ouvrira le gâteau des prédictions que le finira par ''au lit'' comme tu l'aimes. J'en ai pour une demi-heure, je t'aime. Une demi-heure plus tard, j'étais à l'appartement le sourire aux lèvres. J'avais plus que hâte de le retrouver, j'avais passé la nuit dernière à la bibliothèque bossant comme une malade pour réussir ce putain de partiel qui pouvait ruiner en un claquement de doigts si je ne l'avais pas. Andrew ? Tu as encore oublié d'éteindre la cafetière. Je vais vraiment finir par te le graver sur le front si t... Je ne pus continuée, totalement figée sur la scène qui se jouait devant moi. J'avais envie d'hurler, de les frappés, d'exploser mais, rien venait à part la nausée qui me prenait par les tripes. Amy l Ce n’est pas c'que tu crois ! Oh non ! Ne t’avise pas de me sortir  cette putain de phrase ! Ce n’est pas ce que je crois alors que tu te tapes ma propre soeur ? Dégagez de chez moi ! .MAINTENANT ! Mon amour calme toi s'il te plait, on va tout te dire mais, laisse nous enfin tu vois... Ce que je vois c’est que  t'es encore dans le vagin de ma sœur ! Vous avez trois minutes avant que je te castre et que je la défonce !

*Flashback Off*

Depuis lors je ne crois plus en l’amour, je ne veux même plus entendre parler du mot couple. Ce n’est plus mon objectif premier. L'amour n’a plus sa place dans ma vie. Aucun homme ne passe une nuit entière dans mon lit depuis Andrew.  Les choses sont claires, je dicte les règles, si ça n'plait pas il dégage aussi vite que ça plaise ou non. La seule chose qui compte pour moi maintenant ce sont mes études et rien d’autre à part une chose le sexe. Le sexe a toujours été un sujet très sensible dans ma famille. Pour mes parents ont ne devrait pas goûter au plaisir de la chair avant le mariage. La bonne blague ! Surtout quand on surprend son père en train de sauter sa secrétaire pendant la petite fête de noël organisé dans notre propre maison. Il m'a supplié de ne rien dire à ma mère c'est donc sans aucune honte que j'ai un accord avec lui. Je refuse que ses infidélité ruine la réputation de notre famille. C’est donc à ce moment-là que j’ai décidé de tout quitter, de recommencer ma vie à Harvard comme je l'avais toujours voulu. Je mène une vie simple qui me plait et sans avoir à rendre de compte à personne que demander de plus ?