Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(flashback) Aza&Alek ✗ i don't quite know if i'm normal but i don't care because i'm yours
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(flashback) Aza&Alek ✗ i don't quite know if i'm normal but i don't care because i'm yours

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Aza Ҩ Alek
« i don't quite know if i'm normal but i don't care because i'm yours »


Bon dieu que je souffrais. Mes jolies petites Louboutin toutes neuves étaient un vrai supplice mais une petite merveille d'esthétique. Sauf que passer toute une journée à se balader sur plusieurs centimètres de haut mais bien moins de large. J'étais une pro dans ce domaine, comme dans beaucoup d'autres. Je savais me mouvoir sur ces petites merveilles. Et je savais aussi, je sentais toujours le regard des hommes dont les yeux s'accrochaient à la vue de mon cul moulé dans ma jupe de tailleur. Personne porte le tailleur mieux que moi, toute la journée, sans broncher. Personne à ce petit cul à tomber par terre qui décroche les mâchoires des clients et qui me décrochent de bon contrat. J'aime cette lueur avare dans leurs yeux. Mais vous savez ce que j'aime le plus en ce moment ? Rentrer chez moi et me dire que mon frère est là, à m'attendre.

Il est tard, bordel. Chuis fatiguée, j'ai les jambes sciées, je viens à peine d'ouvrir la porte d'entrée que déjà, j'envoie valdinguer mes Louboutin. Petites merveilles, merveilleux outils de torture, j'en rachèterai d'autre s'il le faut mais je peux plus les voir là. Je supporte plus rien, sur ma peau non plus. Je pourrais même me foutre à poil ici, quitte à choquer le personnel mais j'ai trop hâte, je cours déjà. Je grimpe les escaliers à la hâte, j'ai le cerveau grillé mais le coeur en parfait état de marche. Il est là-haut, il est là-haut. Je le sais, je le sens. Je l'ai toujours senti. Lui et moi, on a ce truc, ce lien, cette connection. Certains disent que c'est une connerie, cette histoire de lien entre les jumeaux. Honnêtement, j'en suis pas convaincue n'en plus. Mais Alek et moi on a le truc. Parce qu'on est parfait, on est les meilleurs, pas de vulgaires expériences mais un succès, on est les deux parts d'un tout. Point barre.

J'ouvre la porte de la chambre. Il est là, étendu sur son lit, un pli soucieux sur le front. Je sais pas s'il m'a entendu entrer, il a son casque sur les oreilles. Sans doute que oui mais il ne bouge pas. Mais moi je bouge, déjà, très vite. Je me jette sur le lit, je me colle contre lui et je reforme le tout que nous n'avons jamais cessé d'être. J'enfouis mon visage dans son cou, je noue mes bras autour de lui et je suis bien, je ne sens plus rien. Il a anesthésié la douleur de mon existence. Je souris, je soupire d'aise, je ferme les yeux et je murmure:

« Salut, toi. Tu m'as manqué, tu sais ? »
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La journée fut pour moi le plus grand des désastres : je n'avais pas réussis à boucler le contrat. À vrai dire, j'aurais mieux fait de ne pas attirer son unique fille dans mon lit, mais que voulez-vous ? Elle me faisait tant de peine avec sa chevelure respirant encore l'enfance et ses yeux candides d'une fille de dix-sept ans à peine. Pour tout avouer, elle ne s'en plaignait pas sur le moment, de se sentir désirée par un tel homme au visage si parfait que l'on aurait pu le confondre avec un ange. Cependant, elle était loin d'être exceptionnelle au lit, un peu trop hésitante à mon goût et pas assez sauvage. Cette sauvagerie, je la retrouvais souvent chez ma sœur, même si je n'ai jamais eu l'occasion d'y goutter pleinement. Dans un soupire, je me débarrassais du strict minimum, quittant l'élégance de cette ensemble Armani pour rejoindre mes draps simplement vêtu d'un boxer. J'avais les nerfs à vif, et mon sang était en ébullition : j'avais besoin de me calmer. Aussitôt, j'attrapais mes écouteurs afin de m'enfermer dans ma bulle, de me couper par la même occasion du monde extérieur. Malgré mes vaines tentatives, je ne pouvais me laisser pleinement à mes rêveries et j'étais contraint de me ressasser ma journée inlassablement. La seule chose qui me fallait en cet instant trouvait lieu en Aza, l'être m'étant le plus cher en ce monde. Rien qu'à son évocation, une mince sourire s'esquissa sur mon visage. J'espérai qu'elle rentre bientôt, que je puisse discuter des heures de choses futiles qui avec elle, prenaient toutes leur importance. Mon front se plissait : j'entendais la porte d'entrée s'ouvrir en un grand fracas, un autre bruit que j'apparentais à une paire de chaussures envoyée au loin sous la colère ou l'éreintement, puis des pas. Mon esprit était si fatigué qu'il ne parvenait pas tout à fait à identifié le malotru. Celui-ci se rapprochait, si bien qu'il fit irruption dans ma chambre, et vint se blottir tout contre moi : ma sœur, ma tant aimée sœur!, venait de me rejoindre. Salut, toi. Tu m'as manqué, tu sais ? Bien évidement, nous formions une paire, une même personne. Et moi donc... lui susurrais-je tout en abandonnant mon casque sur la table de chevet. Soudainement, je l'attrapais par les épaules, la forçant à me faire face : j'admirai quelques temps son visage parfait, avant de me pencher légèrement en avant, exerçant ainsi une mince pression sur ses lèvres tout en posant une de mes main sur ses cuisses. Comment cela, je me conduisais d'une manière immorale ? Je lui démontrais juste mon affection.
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Tu m'arraches de ton étreinte, je ne comprends pas, et je ne cache pas mon air incrédule. Tu viens de dire que je t'avais manqué aussi alors pourquoi ? Et ce regard... je semble comprendre malgré moi ce qui va se passer, une fraction de seconde avant que tu ne m'attires plus près de toi encore. J'ai les yeux mi-clos, je n'ai pas besoin de plus pouvoir ton beau visage avec clarté. Ces traits que je connais par coeur, que je chérie. Je sens ta main sur ma cuisse qui y instaure une chaleur nouvelle. Je sens tes lèvres qui papillonnent avec légèreté contre les miennes. Je m'abandonne; ma main vient verrouiller ta nuque, mon corps épouse le tien et mes lèvres fusionnent avec les tiennes, avec plus de passion, de la passion brute.

Cette passion, elle me consume, elle me dévore. Tu le sais, je le sais. Elle a toujours été là. Petite Aza-Bela se languit d'amour pour sa moitié. C'est ça l'amour non ? Trouver sa moitié. Moi j'étais née avec. Pas besoin d'aller chercher plus loin. Il était parfait, Alek avait été fais juste pour moi. Je n'en voulais pas d'autre. Mais mon ange, pourquoi cet abandon soudain ? De ma part, ce n'est qu'habitude. J'aime me blottir contre toi, j'aime toucher ta peau, j'aime jouer avec ton corps mais jamais tu ne m'as permis de franchir la limite. Jamais tu n'as toi-même franchi cette limite. Mais la faille est là et je m'y engouffre. Je défonce tout, je ne fais pas dans la dentelle. Parce que j'ai tellement soif de toi. Mes lèvres dévorent les tiennes, mes mains parcourent ton corps, avide de te sentir, je me presse contre toi comme pour venir fusionner nos deux corps, comme une évidence. Ma vie n'est qu'évidence quand tu es là pour l'éclairer.

Je soupire, je suffoque, je t'embrasse encore et encore à perdre la raison. Ces baisers, je les ais maintes fois rêvés, tu le sais. Mais tu me les as toujours refusé. Maintenant que tu me les offres, prendre garde à toi mon fou car c'est toi que je m'apprête à prendre tout entier. Je me moque des autre, je me moque du monde. Je n'existe que dans tes yeux, le reste est vain.
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TJe soupirai. Ses caresses, ses baisers, ses doigts sur moi, dans l'intimité de mon corps éveillait en moins une fièvre. Elle n'avait rien de douceâtre, ça non. Tout brûlait. Je brûlai, mes lèvres brûlaient, ma peau brûlait, tout mon être s'enflammait de désir. C'était violent, brutal, primitif, ardent. J'en trésaillais de plaisir. Tant de désir me faisait peur. Je le désirai, plus fort que jamais. Je ressentai tout intensément. J'en avais tant rêver mais je refusais désormais de croire à un rêve. C'était le destin, rien de plus que le destin. Jamais personne ne m'avait résisté si ce n'est Alek. Je n'avais jamais désiré quelqu'un aussi fort que je le désirai lui. Oh mon ange, si tu savais le carpharnaüm que tu provoques dans ma tête. Je n'avais toujours été que lucidité froide, manupilatrice frigide, amante douée et rôdée mais toi, toi tu me faisais perdre les pédales. Mes gestes et mes mouvements étaient fébriles. J'avais l'impression d'être vierge à nouveau, une nouvelle Madonna, en plus bonne. Je n'ai jamais trempé que sous ton regard, sous tes caresses, sous tes baisers.

C'était nouveau, c'était fort, c'était soudain. C'était ça, l'amour ? Je ne comprenais pas, je ne comprenais plus, je ne maîtrisais plus rien, moi qui avait toujours l'habitude d'avoir le contrôle de mes nerfs et de mes pensées mais tu me rendais folle, tu me rends complètement dingue. Je pouvais pas me permettre de perdre les pédales. Une émotion trop forte et j'me mettais à tripoter tout le monde. Fichu toc. Alors je perdais jamais le contrôle soif dans ses bras. Et de sentir ma chemise disparaitre, de sentir tes doigts au seuil de mon intimité... je gémissais.

Aussitôt je m'attaquais à mon tour à tes vêtements, en toute hâte. J'avais soif de ta peau, de ta chaleur, de ton essence. Je couvrais ta peau de mes mains, mes caresses se faisaient à la fois tendre et pressante. J'avais tellement attendu, je ne pouvais plus attendre. Je glissai ma main plus bas sur ton corps, sur ton intimité. Déjà je faisais sauter l'attache de ton jean pour venir te l'enlever. Je voulais plus encore, toujours. J'avais encore plus faim de toi encore qu'auparavant. Je ne m'arrêterai plus. S'il te plaît, ne m'arrête pas.
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Nous n'étions pas dans un moment de tendresse entre deux amours inconditionnels : nos rapports étaient bestiaux. Nous étions assoiffés l'un de l'autre, comme des chiens mis en cage en étant privés de liberté. Et là, nous pouvions enfin goutter à la liberté de notre amour si étrange et peu conventionnel. Nos langues ne faisaient plus qu'une, nos corps fusionnaient à l'aide de notre passion déchainée. Je couvrais son corps de baisers ardents, ne laissant aucun centimètre de sa chair de côté. L'une de mes mains sur sa poitrine exerçait quelques caresse tantôt douces, tantôt moins... L'autre continuait sa taquinerie, lui arrachant quelques râles. J'étais entre la paradis et l'enfer, j'étais partagé entre mille états d'esprits. Je chassais tout ceux qui compromettait notre union charnelle, et me concentrais sur l'instant présent. Tu te dirigeas vers mon intimité, me troublant quelque peu. Dès que tes mains effleurèrent cette partie, quelque chose en moi se révolta toute entière : ce n'était pas l'excitation grandissante. Une force divine m'empêcha de continuer mon geste, et je me retrouvais tétanisé ne sachant que faire. Non. Je ne reconnaissais plus ma propre voix. J'écartais de ma personne ma sœur, sans un regard pour elle. C'était mal, c'était inceste je me convainquais avec beaucoup de mal. J'aimais Aza, plus que tout en ce bas monde, mais il m'était impossible de continuer cela en bonne âme et conscience. Je prenais sa main dans la mienne, risquant un dernier regard pour son corps si désirable.
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Je soupirai. Ses caresses, ses baisers, ses doigts sur moi, dans l'intimité de mon corps éveillait en moins une fièvre. Elle n'avait rien de douceâtre, ça non. Tout brûlait. Je brûlai, mes lèvres brûlaient, ma peau brûlait, tout mon être s'enflammait de désir. C'était violent, brutal, primitif, ardent. J'en trésaillais de plaisir. Tant de désir me faisait peur. Je le désirai, plus fort que jamais. Je ressentai tout intensément. J'en avNon. Le mot avait cinglé comme une gifle, une putain de baffe sonore. Je ne bougeais plus, j'étais groggy. Non ? Puis maintenant le rejet physique, la distance nouvelle que tu instaures de force entre nos deux corps. Uppercut. Une bile amère m'emplit le gossier. J'étais dans les vapes, incapable de bouger. Ce mot, ce mot insignifiant qui venait de tout ruiner tournait en rond dans ma tête. Qu'est-ce que j'avais fais de mal ? Pourquoi il ne voulait plus de moi ? Pourquoi il ne m'aimait pas ? Je sentais une oppression douleur prendre place en mon sein. Elle m'empêchait de respirer aisément, je suffoquais presque de douleur, contrôlant tant bien que mal mon souffle. Mais mon contrôle, tu l'as fais explosé en mille morceaux y'a pas cinq minutes. Et mon coeur vient de rejoindre le tas de cendre. Je me sens vide, glacée, trahie, humiliée. Tu me reprends la main mais je me dégage, je fuis comme tu as fui mon regard. Je te tourne le dos, me recroqueville comme une enfant. J'ai besoin de sauver le peu de chaleur qu'il reste en moi, de recoller les morceaux à la hâte parce que les "Pourquoi" incessant qui tournoient dans mon crâne sont en train de me foutre en l'air, c'est aussi simple que ça.

Je me tire les cheveux quitte à me les arracher, je comprends pas. Je comprends pas ! Explique-moi ! Pourquoi tu me fais du mal comme ça ? Pourquoi tu m'aimes pas ? Pourquoi j'ai mal comme ça ? Je sais ce qu'il y a dans ta tête. Toute cette morale et ces états d'âme. Tu les laisse à personne d'autre qu'à moi qui ne demande qu'une chose: que tu les oublies. Mais c'est à moi que tu le refuses et c'est à moi que tu fais le plus mal. Il n'y a rien de plus terrible qu'une femme bafouée. Bafouée et humiliée. Je pensais pas que tu me ferais ça un jour ? Pourquoi est-ce que tu ne m'aimes plus ? Encore cette question. Puis soudain une réponse fuse dans mon esprit, une image, furtive, de ce matin de cette "bonne" qui sortait de ta chambre ce matin. J'avais refoulé tout ça, j'avais bossé, j'étais creuvée, je te voulais juste toi mais cette image arrivait à nouveau à la surface. Gifle à nouveau. Alors ma voix s'éleva, comme si cela faisait une éternité que je n'avais pas ouvert la bouche.

« C'est à cause d'elle, pas vrai ? Ta "bonne", ta petite pouffe, ta catin du ghetto. Tu parlais pas de ça hein ? T'as pas parlé d'elle ! Tu t'es bien foutue de ma gueule ! Depuis le début ! Chuis qu'une pauvre cruche de plus pour toi ? »

J'hurlais, j'hurlais ma colère et ma douleur. J'avais fais volte-face à présent, j'avais sauté du lit et je te sautais à la gorge, mais simplement au sens figuré. Cette distance tant détestée m'était pour l'instant salutaire alors je veillais à la sauvegarder.
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Une erreur. La plus grosse erreur que j'ai pu commettre en vingt années de douce débauche. Pourquoi ai-je refusé ? Pourquoi n'ai-je pas décidé de continuer ce que nous nous apprêtions à faire ? J'aurais dû laisser le libre arbitre à nos pulsions trop longtemps enfermées par nos conventions, et consumer cet amour à qui il est possible de dédier des siècles entiers de romantisme. Sa réaction me dévastait et me chamboulait horriblement. Oh non ! Ne réagis pas ainsi, je t'en supplie... Je ne voulais pas tout à fait te dire cela, je voulais juste réfléchir un peu, peser le pour et le contre... Arrête de t'acharner sur tes beaux cheveux d'ange, si tu veux, frappe-moi, défoule-toi sur moi, mais je t'en pris ne te fais plus de mal à cause de ma bêtise. Ta voix me brise, me fait déchanter, elle résonne dans mon crâne et emporte le peu d'espoir de joie que je conservais. C'est à cause d'elle, pas vrai ? Ta "bonne", ta petite pouffe, ta catin du ghetto. Tu parlais pas de ça hein ? T'as pas parlé d'elle ! Tu t'es bien foutue de ma gueule ! Depuis le début ! Chuis qu'une pauvre cruche de plus pour toi ? Tes mots me heurtent en plein cœur. Comment peux-tu croire ça ? Comment peux-tu te comparer à elle ? T'es ma sœur, mon unique sœur, ma moitié. Je soupire tout en m'approchant légèrement de toi, et je caresse ta joue avec crainte. Petit chat, ne me griffe pas. Aza... Je ne sais plus comment te réconforter, je dois être trop maladroit pour comprendre ta fragilité. Tu es ma sœur, et aucune fille ne te remplacera, et ça jamais de la vie. Je tente de prendre sa main. Mais, notre relation est désapprouvée par tous, même par notre famille ! Nous avons quitté la Russie à cause de ça...
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« Aza... »

Sa voix comme une caresse, sa main pour y supplier. Mais tu ne sais pas. Tu ne sais pas que maintenant tout m'agresser, que je me fais violence. Que si ma peau réagit à tes gestes c'est parce que j'ai mal. Que je me déchire de partout. Que j'ai l'impression de tomber en lambeaux. Ne me touche plus.. s'il te plaît, c'est une torture. Une douce torture. Tu t'arraches à moi pour mieux me faire mal. Je te repousse, je repousse tes mains, tes caresses. C'est toi tout entier que je repousse en cette année. Je n'en peux plus de tout ça, je deviens folle. J'ai besoin d'air.

« Tu es ma sœur, et aucune fille ne te remplacera, et ça jamais de la vie. Mais, notre relation est désapprouvée par tous, même par notre famille ! Nous avons quitté la Russie à cause de ça... »

Non, non, non. C'est trop. C'est trop ! Je sature ! Je débloque, je te gifle. De toutes mes forces. De toute la force de ma frustration, de mon envie, de mon manque, de ma douleur. Puis je sers ma main contre moi, comme si c'était le moignon de ma main que je tenais. Comme pour retenir le moignon de mon coeur. Tu m'as tout envoyée en pleine gueule et j'assume pas, je veux pas, je peux pas.

« Tais-toi pitié, tais-toi.. T'es en train de dire que c'est ma faute tout ça. Mais tu me reprochais rien jusqu'à ce qu'elle arrive. Tout d'un coup t'as ouvert les yeux ? T'es lucide ? Tu te tournes vers le monde ? Mais le monde c'est toi et moi, mais ça t'a oublié. Parce que toi tu te tournes vers elle. »

Et je te tourne le dos pour masquer les larmes qui me montent aux yeux. Je sers les dents. J'veux pas pleurer. J'veux pas pleurer. J'veux plus vivre ça. j'veux plus vivre tout court.
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Une main fendant l'air, un bruit sonore. Une claque. Ma joue me brûle soudainement alors que je m'écarte encore plus de ma sœur : que venait-il de se passer ? Je restais la bouche entrouverte à caresser ma peau meurtrie, sans vraiment savoir ce que j'avais fait de mal. Car au fond, il s'agissait de notre relation qui était mauvaise, et non mon refus. L'inceste est quelque chose qui répugne la plupart de la population, or nous sommes ici pour satisfaire note père, et faire marcher les affaires familiales ici, et non avoir des conflits. « Tais-toi pitié, tais-toi.. T'es en train de dire que c'est ma faute tout ça. Mais tu me reprochais rien jusqu'à ce qu'elle arrive. Tout d'un coup t'as ouvert les yeux ? T'es lucide ? Tu te tournes vers le monde ? Mais le monde c'est toi et moi, mais ça t'a oublié. Parce que toi tu te tournes vers elle. » Je n'ai jamais dit qu'il s'agissait de sa faute, simplement que nous devrions arrêter. J'en avais ma claque qu'Aza ramène Asma sur le tapis, car elle au moins ne me prenait jamais la tête. Qu'est-ce que t'as contre elle à la fin ? Soupirai-je, n'ayant aucunement envie de la consoler. Avec elle, je suis très bien. Et tu n'as pas à me dicter avec qui je dois coucher. Non, cela ne regardais que moi. Notre père ne veut pas ça, tu le sais très bien. Même si mon cœur tombait en lambeau à mesure que je parlais, je me relevais tout en attrapant mon pantalon, et me dirigeais vers la porte laissée entrouverte. Je risquais un dernier regard en sa direction, que je regrettai aussitôt. Pris d'un élan de tristesse et de compassion pour elle, malgré mes fières paroles, je m'élançai vers elle tout en prenant son visage entre mes mains et collait mon front au sien. Non... non, Aza... On peut pas, je le voudrais atrocement mais... Je cherchais mes mots tout en approchant ma bouche de son oreille. Laisse-moi du temps.
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