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Je vais te montrer tout ce qui compte. ▬ James

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All that matters.

 
Je l'emmène derrière le mur pour qu'il voit mon oeuvre, J'ai mis beaucoup de temps à la peindre, il faut dire qu'il a fallu que j'achète de la peinture spéciale qui tiendrait sous la pluie et la neige, mais c'était aussi les petits détails que j'avais beaucoup travaillé. Étant perfectionniste, j'y avais réellement passé beaucoup de temps. Et encore maintenant en la regardant j'y voyais certaines imperfections qui me mettaient un peu mal à l'aise. « J'espère qu'il ne les verra pas. » me disais-je. Bon, c'était assez débile puisqu'il s'agissait vraiment de tous petits détails que moi seul je remarque mais bon, je me dis que d'autres personnes pourraient le remarquer aussi et cette idée me stresse. Je le regarde faire et un large sourire se dessine sur mon visage. C'était assez important pour moi qu'il apprécie cette oeuvre, ça compte beaucoup à mes yeux. Pour toutes mes oeuvres d'ailleurs, j'adorais avoir son avis, même s'il était toujours pratiquement positif. Mais il comptait, s'il aimait ce que je faisais, ça voulait tout dire pour moi, même si je savais bien qu'il n'était pas vraiment objectif. « Merci. Oui, tu peux. » Je lui souris de toutes mes dents, me collant contre lui, mes bras passent autour de son cou et ma main se faufile par habitude dans ses cheveux avec lesquels je joue. Et je ferme les yeux sous ses baisers avant de les rouvrir à ses mots. « Peut-être pas de l'or.. T'es pas objectif amour. Mais je suis heureux que t'aimes cette oeuvre. J'y ai passé beaucoup de temps. J'voulais vraiment qu'elle te plaise. » D'un sourire, je plante mes lèvres contre les siennes pour un court et tendre baiser avant de laisser mon regard parcourir son visage d'un air amoureux.
 
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" Paris, je t'adore presque "
J'aimais voir ce sourire splendide accroché aux lèvres de Nevada. Il était si beau, si authentique. À croire que les événements précédents s'étaient envolés juste en admirant cet œuvre qu'il avait dessiné de ces propres mains. Alors que je l'attrape de mes bras, il pose ces lèvres sur les miennes, et aussitôt, je lui rends avec plaisir ce baiser, dont j'exécute dans une douceur, en mêlant ma muqueuse afin de caresser ces chaires masculines. Si cela ne tenait qu'à moi, je pourrais sans autre m'éterniser ici, peut-être même que j'apprécie Paris. Grâce à lui, en toute évidence. Je pose mes mains sur ces hanches, et je le fais reculer faiblement en encrant mes yeux bleus dans les siens, qui étaient de la couleur d'un ciel dégagé. Il me rend heureux, et jamais, ô grand jamais, je voudrais être sans lui. Je me surprends à scruter l'œuvre du coin de l'oeil, alors que je m'y avance en frôlant avec légèreté la peinture. < Je voudrai que tu me peines un tableau, pour mon cabinet, ça te va ? > Je me tourne enfin vers l'homme que j'aime, je l'observe dignement en me rapprochant de lui, tout en dégageant cette fine distance qui s'était créée en quelques fractions de secondes. J'accole mon corps contre lui, mes bras passent une nouvelle fois autour de sa frêle taille, en abordant un tendre et large sourire. < Je connais du monde, qui payerait cher, pour avoir tes tableaux, tu me fais confiance ? > J'estimais que c'était le moment, le moment qu'il soit reconnu par son talent, au lieux de rester enfermé dans son atelier. Je voulais l'aider, non seulement parce que c'était mon petit ami, mais surtout parce qu'il le méritait. Après tout, il travaillait dur pour pouvoir s'améliorer, j'en étais évidemment bien conscient. En venant mordillant sa lippe inférieure, je fais basculer son corps en arrière, tout en le tenant fermement contre moi. Je l'embrasse, tel une scène romantique, dans un film à l'eau de rose. Installé en haut d'un bâtiment, face au monument le plus connu de ce pays.

(c) chaotic evil
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All that matters.

 
Et si j'avais pu rendre son séjour un peu plus agréable qu'il ne l'était grâce à cet endroit, j'en étais fort heureux. Je ne voulais pas qu'il ait un mauvais souvenir de Paris, parce qu'il s'agissait de la ville dans laquelle j'avais grandi, là où j'avais tous mes souvenirs et puis ma famille. J'espérais seulement qu'il les apprécie tout de même un peu. Mon regard dans le sien qui me disait tant de mots d'amour, je lui souris d'un air heureux, alors qu'il se sépare pour regarder la peinture de plus près. « Oui, bien sûr. Qu'est-ce que tu voudrais ? » Je pourrais lui peindre tout ce qu'il me demandait s'il le souhaitait. Il n'avait qu'à demander, et j'étais plutôt heureux qu'il le fasse. Ainsi, il aurait une trace de moi dans son bureau. En reposant mes bras autour de son cou, je laisse mon corps aller à la rencontre du sien et admire son si beau sourire qui fait fondre mon coeur. Et à ses paroles, je lève un sourcil. Je n'étais pas certain d'être prêt, surtout parce que je n'avais pas terminé mes études, mais en voyant son regard pétillant, je me dis que je devais certainement me sous estimer. Alors, je hoche positivement la tête. « Je te fais confiance. Mais.. T'es sûr que les gens achèterais des toiles d'un gars qui n'a même pas fini ses études..? J'veux dire, j'suis personne, juste un étudiant banal. » En haussant les épaules, je lui fais part de mes craintes, alors qu'il semble en décider autrement. Je m'accroche à lui tandis qu'il me penche et je réponds à son baiser avec amour, en savourant le romantisme du moment. Et mon corps frémissait de toute part tant c'était romantique. Je souriais contre ses lèvres, en lui disant à quel point je l'aimais entre nos baisers, et par la chaleur de ma langue qui venait tendrement rencontrer la sienne.
 
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" Paris, je t'adore presque "
Nevada a toujours été un grand artiste, même s'il ne le voyait pas encore. Je savais qu'il serait connu, et que plus tard, il vivrait de ces peintures. Mais, après, c'est trop tard, j'étais persuadé que plusieurs personnes voudraient acheter ces œuvres, que c'était même une évidence. Il fallait juste qu'il me fasse confiance, qu'il m'écoute et qu'il me laisse faire, surtout au niveau administratif. En nous plaçant droit, face à face, je scrute attentivement les faibles traits, parfaitement dessinés sur le faciès de mon petit-ami. Nous nous trouvions sur le toit d'un bâtiment, au coeur de Paris, c'était un endroit romantique, un endroit calme, qui bizarrement me faisait davantage aimer ce pays. Mes phalanges glissent dans les siennes, mon visage s'incline en s'imposant sur l'une de mes épaules. < Les études ne sont pas importantes, cela ne sera pas inscrit dans la galerie. Les gens, veulent tes peintures, parce que tu es doué, tu es très doué avec tes doigts, et tes mains. > Certes, je faisais vivement une référence à nos ébats endiablés. Et pour ceci, je lui offrais un clin d'oeil. Ma main filant jusqu'aux courbes de son fessier, que j'empoigne agressivement contre ma paume masculine. < Je vais en parler, avec ma secrétaire, et résoudre ça, après, je te proposerai des endroits, tu auras le choix. De qui tu invites, bien que je propose quelques invités, et surtout, si tu veux apparaître dans le journal, ça peut te faire une bonne pub. Bien, que moi, je préfère que les gens en parlent entre eux. > J'étais convaincu que les gens iraient en parler, c'est un fait, voir un artiste si jeune, avec de l'or sur les mains, il ne passerait guère inaperçus. Je plonge mon regard dans le sien, et je nous fais voyager jusqu'au divan, où je prends place, l'incitant à se positionner à califourchon, mes mains sur ces cuisses, puis à nouveau sur ces fesses, qui me narguaient depuis le début. < Tu m'as fait aimé Paris, comme tu m'as fait t'aimé. > Je faufile mon visage dans le creux de sa nuque, déposant de nombreux baisers, mélangés par quelques coups de langues habiles.

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All that matters.

 
James avait tout à fait raison, en fin de compte. Les artistes n'étaient pas appréciés à cause de leurs études, mais surtout pour leur talent. Je le savais qu'il avait raison, mais je ne pouvais pas m'empêcher de me dire qu'il fallait forcément avoir soit un peu d'expérience, soit des diplômes, comme dans tout domaine en réalité. Mais l'art avait toujours été différent, alors peut-être que je me trompais. Son allusion à nos ébats me fait sourire en coin, tandis que je secoue légèrement la tête en me collant davantage contre lui. Mes doigts caressaient sa mâchoire que j'observe avec attention alors que je l'écoute parler. « Tu crois que j'vais avoir droit à un article dans le journal ? » dis-je alors tout excité. Avoir mon nom dans le journal, un journal que tout le monde lirait, était une idée qui me plaisait beaucoup. Et si je devais ouvrir une galerie, j'espérais qu'elle fonctionne. En retournant m'installer sur lui, je souris en entendant ses mots, et frissonne grandement sous ses baisers. Je tends mon cou, qu'est-ce que j'aimais quand il m'embrasse ainsi. Quand il dévore mon cou, en caressant mes fesses, il m'émoustille, comme ça. « Je suis ravi que tu aimes ma ville. Mais encore plus que tu m'aimes moi. » D'un sourire aimant, je tire légèrement ses cheveux pour pouvoir embrasser ses lèvres, dans un baiser amoureux. Nous formions un magnifique couple amoureux à travers ce beau paysage, étalé devant nos yeux. Il n'y a pas plus romantique, il n'y a pas mieux pour se rendre compte de l'amour qu'on porte à une personne, du mien envers James.
 
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