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LEZIA • " Fifty shades of Zia "

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Tu reviens de chez ta meilleure amie, applaudissant de manière ironique son comportement puéril, ridicule sa façon de perdre le contrôle face à une vulgaire droguée bas de gamme. Toi, tu préfères taper fort, là où ça fait mal, avec de bonnes armes, de bonnes munitions et envoyer les torpilles qui anéantirait ta cible en morceau. Talons aiguisés, jupe cintré, tes cheveux tombant en cascade dans ton dos, tes pas résonnent en tapant sur le bitume. Toi, princesse de pierre, de feu, tu fais régner la terreur qu'avec ta démarche électrique, macabre, tu laisses des tonnes de cadavres derrière toi. Tellement qu'on ne les comptent plus, que tu ne les comptent plus. Une brise fraîche vient caresser ton visage, soulevant à peine ta chevelure et tu remontes la bandoulière de ton sac jusqu'à l'épaule. La nuit sombre, ton chemin à peine éclairé par un ou deux lampadaires qui fatiguent, tu avances jusqu'à ton hôtel qui se trouve à quelques mètres à peine. Tu penses à ton père, il ne t'as pas donné de nouvelles depuis quelques jours, tu n'arrive pas à le joindre et ça te frustre, tes nerfs se jouent de toi et tu bouillonnes. Le moindre faux pas et tu démarres, tu le sens, là, au fond de tes tripes, dans ta façon de serrer les poings rien qu'en y pensant. Et ton regard se porte sur une silhouette, déambulant sur le même trottoir que le tient.. Pauvre bête perdue. Tu le regarde avec pitié, lamentable état, tu le dénigre volontairement du regard alors qu'il s'approche de toi. Tu déglutis, il marmonne quelques phrases que tu as du mal à entendre et il est face à toi, osant te barrer la route. - Dégage de là. Que tu souffles avec une lueur de rage dans tes yeux avant de le bousculer d'un coup d'épaule pour tracer ta route.
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Il titubait. Le sang imbibé d'alcool, il lui était difficile de marcher sans vaciller, sans s'accrocher toutes les secondes au plus proche réverbère pour prendre appui et se stopper deux secondes et reprendre son souffle. Putain de bordel à chiottes, quelle petite tafiole, incapable de tenir l'alcool. Ta gueule. Ta gueule. Ta gueule. Chui bien, très bien. Il essayait de se résonner, à voix haute, comme si ça allait être plus efficace ; de reprendre marche, mais deux secondes plus tard, retrouvait un point d'appui, et regrettait amèrement d'avoir refusé quelconque compagnie pour le raccompagner. A vouloir jouer le foutu chevalier de service, voilà ce qui arrive. Bien fait pour ta gueule, Prior. Ta gueule. Tu pourrais te faire méchamment tabasser à l'heure qu'il est, dans cette ruelle sombre, personne n'y fera gaffe sombre idiot. Comme tu t'es fait tabassé à la soirée. Par une nana. Une foutue nana. Son esprit lui rejoua le moment, assez comique.  Il avait le don de s'attirer les foudres des plus coriaces en demoiselles ce Lennox, allez savoir pourquoi. Tss, personne le comprenait vraiment le p'tit, c'est tout. Personne l'aidait, personne l'aiderait, il était destiné à finir seul, comme lui avait répété son frère. Seul et pathétique. Soit. Va te faire foutre, Ed. Son esprit  scanda l'insulte à l'infini pendant que son corps marchait sans que son cerveau lui ai pourtant donné d'ordres. Baaah. La faible lumière des réverbères l'aveuglait, mais il marchait, avec peine, et au bout d'une longue marche qui lui paraissait vraiment interminable, une ombre se détachait devant lui, devant un bâtiment. Les quelques parties de son cerveau encore en fonction firent vite une observation rapide, aussi rapide qu'ils pouvaient cela dit, et le visage de l'ombre qui se détachait enfin de l'obscurité lui revint petit à petit l'esprit.  Sans prier gare, il se dirigea vers elle, tout en tentant de l'appeler. Tenter. Heeeey, regardez qui voilààà : madame je tape tout ce qui bouge, l'est là, elle. Tenter. En réalité, ce qui devait être sorti de sa bouche devait ressembler à tout sauf ça. Elle ne prit pas la peine de le comprendre cela dit, elle l'insulta, et le bouscula violemment en le dépassant. Classique. Mais il ne se laissa pas faire ; en passant, il lui prit violemment le poignet le plus accessible, gauche, et la força à se retourner. T'es toujours aussi condescendante comme nana ? Lui demandez pas comment il a réussi à sortir une phrase en entière sans tituber, il l'ignore, et encore moins comment il a réussi à placer le mot 'condescendant' quelque part là-dedans. Sans être sûr du sens de ce foutu mot, qui plus est. L'alcool c'est vraiment mal.
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Perchée du haut de tes échasses vertigineuses, parfaite image de ce que tu montres, toi, petite princesse au-dessus de ton petit monde que tu aimes manipuler, dont tu aimes te jouer. Tu adores tester tes limites, voir jusqu'où tu peux aller, quelle niveau tu peux atteindre en matière de destruction.. Oui, parce que c'est ton domaine, c'est ton joujou, détruire tout ce qu'il y a autour de toi, c'est tout ce que tu es capable de faire. Éternelle insensible, insociable, inanimée, vide en tout point, on peut te frapper durant des heures que rien ne parviendrait à te toucher. Là, où certain pleurerait des larmes de sang, toi, Zia tu gardes la tête haute, le nez levé jusqu'au ciel de fierté et tu ne flanche jamais, jamais tu ne flanchera. C'est ce que tu t'es toujours promis, toujours dit. Et le voilà, lui et son air sarcastique à la con sur le visage, l'alcool coule à flot dans ses veines et tu le trouve juste lamentable. Deuxième rencontre, la première était loin d'être glorieuse et le seul souvenir que tu en tire c'est son nez qui pisse le sang. Il a sûrement dû avoir recours à la chirurgie après ce malheureux incident. Tu ne t'attarde pas sur lui, il n'y a aucun intérêt pour que tu le fasse mais il en décidé autrement, attrapant ton poignet violemment et ton regard se baisse instinctivement vers son geste. Les yeux noircis par sa main qui touche ta peau, tu grinces des dents et tu te dégage de son emprise. - Ne pose plus tes mains salles sur moi, j'ai pas envie d'attraper une mauvaise maladie.. Tu dis en esquissant un léger sourire en coin, narquois, mesquin, hypocrisie que tu ne cache pas. Tu hoches la tête avec exagération, faisant mine d'être impressionné par son langage, alors il n'a pas le cerveau d'un primate ? - Tu connais l'existence de ce mot toi ? Il y a donc un semblant de connaissance dans ce qui paraît être ton cerveau ? Tu lances avec sarcasme en ramenant tes bras sur ta poitrine. Ton regard le toise de haut en bas, arquant un sourcil à sa remarque. -J'essaye de faire en sorte que tu n'oublie jamais où est ta place.. Tes yeux le fusillent presque, tu fais un pas en avant vers lui, avec assurance, forcément tu baignes dedans toi, l'assurance. - En dessous de mes escarpins ! Tu reprends alors rapidement en haussant les épaules, satisfaite.
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Il aimait bien s'attirer des ennuis le Lennox, se foutre dans la merde. Surtout avec la gente féminine. C'était un aimant à femmes aux emmerdes ce p'tit gars, prenez une soirée : la seule nana capable de rembarrer en deux trois mouvements de chaussures n'importe quel mec super lourd, c'était lui qui la prenait. La chaussure. Pas la nana. Perchée sur ses dix centimètres, une arme autant fatale que le couteau-poignard ou la machette de tonton Michel dans son garage. Le genre d'arme censé te traumatiser et t'éloigner jusqu'en Afrique du Sud, m'voyez. Quand t'es un être censé, et à peu près sobre. Ce qui était tout sauf le cas de Lennox. C'est pour ça, il ne lâchait pas l'affaire, plusieurs raisons le poussaient à chercher davantage la moise à l'insociable et dangereuse brune, et parmi ces raisons, autre la stupidité et l'alcool, c'était la fascination. Mec, t'es grave atteint pour être fasciné par une nana qui se balade sûrement avec sa propre machette à emporter dans son foutu sac à main. Ou il cherchait vraiment la merde. Vraiment. Parce qu'elle paraissait tout, sauf agréable et ouverte à son intrusion cette folle. Elle s'était violemment dégagée de son emprise, et l'avait toisé du regard, et si un regard pouvait torturer et tuer, Lennox serait déjà enterré six pieds sous terres. Avec ses couilles. Il riait à la pensée. Parce que ouais, il écoutait pas vraiment ce qu'elle disait après, l'alcool ça aidait pas à se concentrer. Il voyait juste ses lèvres bouger et la noirceur dans son regard qui en disait long sur ce qu'elle pensait de lui, mais dans son état, il ne comprenait strictement rien à ce qu'elle sortait. Et au fond de lui, pensez bien, il en était ravi. Du coup, il riait. Putain, t'es aussi l'genre de nana à ouvrir ta gueule pour du joli vent, non ? Rétorqua-t-il tout en massant les tympans, les yeux fermés, signe  que ses piaillements incessants lui montaient à la tête. Merde, ça tourne là-haut. Elle lui rappelait un peu Ariana quelques instants, vous savez : la blonde sans cervelle qui tentait de se créer une façade de fille intouchable en blablatant tout et n'importe quoi, sans jamais faire de sens. Il avait la version brune là. T'sais autant se la fermer et ouvrir tout de suite tes cuisses, on ira beaucoup plus vite. Un sourire lubrique lui apparut sur les lèvres. Il le savait qu'il allait prendre cher, qu'elle allait sans doute lui faire ravaler ce sourire, mais il s'en foutait, il était bourré. Et j't'en prie, garde tes escarpins, montre-moi où est ma place. Chérie. Il la provoquait, il était assez con pour la provoquer maintenant mais il va le regretter d'ici 5s.

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Tu écoutes, tu te lasse, son sourire agaçant, ses yeux de fouine, sa voix crispante.. Tout de lui te répugne, un lourd de base que même si tu étais le plus gros tapin du Cap Breton ou d'Harvard peu importe, tu ne le toucherait pas. Même pas de loin. Ton visage grimaçant face à son allure ridicule, sa façon de boire comme un trou, un homme faible et fragile dans toute sa splendeur. Là, sous tes yeux, il te cherche, te titille à croire que la dernière fois ne lui avait pas suffit. Qu'il en redemande encore, parce que tu sens que ça te monte, là, dans le cerveau direct, tu sens ta mâchoire se crisper face à ses sarcasmes à caractère sexuelle. Juste l'idée de t'imaginer dans un lit avec genre d'énergumènes te dégoûte, ça t'en donne la nausée autant que son haleine de chacal mort depuis six mois. - Justement, j'aime pas trop les mots moi aussi.. Je préfère les poings. Tu dis en lui lançant un regard en biais. Un soupçon de fierté éclaire ton visage. - Mais ça, tu es le mieux placé pour le savoir. Tu dis en soupirant. Raison de plus pour ne jamais le toucher, jamais, never. Toi, il te faut un homme, un vrai, qui réussira à te tenir tête, à te rendre tes coups avec la même douleur. Légèrement sado sur les bords, tu apprécies. - Je crois que tu es mal placé pour me demander d'ouvrir les cuisses comme tu dis si bien.. Je te rappelle que t'as lâché une larme l'autre soir, entre toi et moi.. Tu recules à peine pour le dévisager de haut en bas. - La jeune femme sans défense.. C'est toi. Tu effaces ton sourire, dans un élan et un geste vif tu plaques ce pauvre connard contre le mur. Encore une fois.. D'une facilité débordante, il tient à peine debout. - Laisse moi tranquille, c'est la dernière fois que je te le répète, chéri. Tu appuies sur tes mots, tu es plus sauvage, tu parles avec plus de fermeté et ton bras sous son menton fait pression un peu plus. - Où tu risques de perdre des bijoux précieux. Finalement, tu le relâche, caressant tes vêtements de la paume de la main comme pour les lisser.
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