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Blame it on the drugs ! Blame it on the alcohol !

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Blame it on the drugs ! Blame it on the alcohol ! feat Emma J. Müller
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Le lac ! Sans aucun doute l'endroit le plus déjanté de ce camp ! On en a fait des choses ici fumer de l'herbe, boire de l'alcool jusqu'au coma éthylique pour certains et même baiser ou se taper une baignade collective a poil comme les derniers nudistes du cap d'Agde. Pour résumé si je devais qualifier le lac du camp je dirais que c'est l'équivalent du village olympique en période de Jeux Olympiques. On y fait tout et n'importe quoi et le plus souvent c'est plus n'importe quoi que tout. Ici on est tous jeune et fêtards enfin presque alors il n'y a jamais vraiment eu de soucis. Ceux qui ne voulaient pas faire la fête restaient dans leur chalet a étudié ou a squatter leur ordinateur par exemple. Bref chacun faisait ce qu'il désirait faire et à propos de faire la fête j'ai donné rendez-vous a une amie qui sait bien très bien même parfois trop bien s'amuser. Comparer à moi c'est comme ma soeur a mes yeux. On se comprend bien car on est de la même génération. Elle a vingt ans et moi vingt-et-un et on se comprend très bien car on pourrait être frère et soeur tellement on a de points en commun dont le gout pour la fête. Elle sait délirer et c'est le plus important. Je l'ai rencontrée ici au camp. C'est ma pote de weed et de beuverie. Elle ne se casse pas la tête par contre je dois avouer qu'elle est plus excessive que moi en matière de fête mais j'en avais rien à faire tant que moi je savais m'arrêter. Elle m'a dit son nom et m'a racontée son histoire entre deux joints et quelques trop nombreux verres d'une grosse bouteille de Jack Daniels un whisky célèbre et terriblement délicieux que j'affectionne beaucoup. Au niveau du matos on s'est organisé d'une matière terriblement diabolique mais efficace et qui n'a pas fini de faire ses preuves. Venant de Brooklyn et connaissant des dealeurs qui sont des amis d'enfance j'avais simplement à passer quelques coups de fils et une variétés ou un cocktail explosif de substance illicite de compétition débarquaient chez moi. Bien sur il fallait faire cela discrètement car, bien que les organisateurs fermait les yeux sur beaucoup de choses qui les arrangeaient bien il ne fallait pas faire n'importe quoi. Pas de soucis histoire de les soudoyer et de faire en sorte qu'il n'ait rien vu rien entendu je demandais du supplément a mes potes en plus de ma consommation personnelle puis je leur passais de quoi se mettre bien et le soucis était réglé. Je n'avais pas à payer les drogues car, selon mes potes j'étaie de la famille vue que je les avais côtoyé toute ma jeunesse et de deux c'était un business très lucratif alors il ne voulait pas extorquer ce qu'il considérait comme leur "frère". Il savait que je n'étaie pas accroc et que je touchais à la weed que très rarement pour délirer avec les potes. Les gars de mon quartier me respectait beaucoup non pas pour le fait que je sois un dur,mais pour mon parcours. Pour le fait que je m'en sois sorti. Pour le fait que je sois sorti du quartier et de ses problèmes et que je sois accepté a Harvard même si c'était plus pour mes capacités physiques et sportive que pour mon quotient intellectuel, mais quand même c'est le final qui compte pas les closes spécifiques qui accompagnais cette entrée a Harvard. Harvard quoi ! Cela en jetait sévère et beaucoup de potes enviait mon parcours à Brooklyn même s'il n'était pas très glorieux sur certaines étapes c'était la finalité qui comptait. Ce que je leurs enviais a eux ? Le fait que leur parent ne les ai pas lâché comme moi-même si ils sont devenues dealeur. Dealer ou taper le fer à l'usine pour une misère j'ai très vite compris leur choix. Je ne l'approuve pas, mais je le comprend et puis je ne vais pas me plaindre ce choix m'arrangeait bien. Ce qui fait le malheur des uns fais le bonheur des autres. Hors ils étaient heureux et moi aussi. Ce qu'il faisait il le faisait bien et les flics n'y voyaient que du feualors tant mieux je les aimais beaucoup et loin de moins l'idée de désirer qu'il se fasse incarcérer et puis cela m'arrangeai bien, mais revenons a nos moutons.

Emma se chargeait de l'alcool je ne sais pas comment elle fais, mais elle le fait bien. Elle ramène toujours de bonne bouteille et de bon alcool. Emma a le nez niveau alcool faut dire qu'elle est Allemande en même temps donc cela aide. Bon elle et les excès de faite ça faisait plusieurs mais c'était pas mon soucis j'étaie pas psychologue et encore moins un bon samaritain. D'ailleurs en parlant de psychologie c'était l'objet de ses études. Le premier cas qu'elle va devoir traiter ce sera à mon avis le sien car elle est complètement déjantée. Au niveau de son orientation sexuelle elle est bisexuelle mais j'en avais rien à taper vu que je ne compte pas me la faire et réciproquement sauf si l'alcool ou la weed nous fait défaut un soir mais ça ne risque pas d'arriver vu qu'on tiens tous les deux très bien cela et qu'on a l'habitude, mais il faut jamais dire jamais. On était de bon ami rien de plus. Elle s'attachait pas souvent et moi aussi, mais on s'est bien trouver faut croire. Qui se ressemble s'assemble. Ce proverbe était encore une fois confirmé par ce cas là. Au niveau des nanas et pourra me présenter quelque chaudasse bisexuelle j'espère. Ba quoi ? Je reste un homme ! Donc forcement je pense avec mon pénis et je pense a mes intérêts chacun doit y trouver son compte dans une amitié non ? De plus si c'est nécessaire et si elle me le demande surtout je lui présenterais des mecs et des amis bien en chair et a ses goûts. Mais pour que ce soit le cas il faudrait que cela aille dans les deux sens. Mais je la connais trop peu alors on verra. Je ne suis pas un mec généreux en général avec les gens que je connais trop peu. Je connais Emma depuis pas très longtemps, mais une fois qu'elle aura ma confiance si elle l'a un jour je serai le meilleur ami qu'elle a. Quand j'ai confiance aux gens je donne tout et je partage tout bien plus qu'actuellement. Je partage bien plus qu'un verre et un joint croyez-moi. J'arrive au lac avec un petit sac dans le dos. Si des flics tombait sur ce que contient ce sac il m'enverrait à l'ombre pour un bon bout de temps. Dans ce sac il y avait un peu de tout. De la grosse frappe atomique. L'ogive nucléaire de la weed ! Elle y trouverait son compte et moi aussi. Il y en avait pour tous les goûts et toutes les saveurs sont dans ce sac. Que ce sois de la californienne ou de la purple il y avait de quoi faire. Je me pose sur une chaise laissée la par quelqu'un d'autre en attendant Emma. Je sors le matos et l'allonge sur une serviette que j'ai ramené. Emma doit ramener les gobelets et la serviette et les alcools plus qu'a l'attendre. Je me pose patiemment en commençant a me rouler un joint en prenant bien soin de bien doser tout ça car, il était hors de question d'éveiller les soupçons. On était la pour se mettre bien pas pour finir à l'hosto ou en cure de désintoxication.
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