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(flashback) prise la clope au bec (happy)

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   Rien ne se déroule comme prévu. Ça court à la catastrophe. Pourtant avec Ludmila, le moindre détail est passé au peigne fin. Il n'existe pas une personne plus méticuleuse que la belle russe. Lorsqu'il faut que tout soit parfait, tout est parfait. Le faux pas n'est pas accepté. Le mot défaut ? Elle ne connaît pas. Mais miss perfection perd le contrôle. Rien ne va plus. Elle se porte volontaire pour organiser un évènement caritatif. Un évènement simple, banal. C'est comme faire du tricot les yeux fermés pour l'étudiante. Sauf que le sort semble s'acharner contre elle. L'organisation part en cacahuète, rien n'est prêt et voilà maintenant qu'elle est rongée par le stress. Il faut l'évacuer avant que ça ne la bouffe en entier, sinon l'évènement est perdu. Alors qu'elle tourne telle une girouette, elle se stoppe soudainement, donne son cahier des charges au premier venu et quitte la salle en trombe. Il lui faut quelque chose, il lui faut un remède. Elle sort du bâtiment et machinalement se dirige vers un coin à l'abri des regards. Un coin tranquille entre un bâtiment et une immense haie. Un coin qui lui sert de cachette. Un petit regard à droite, puis à gauche. Elle guette comme si elle allait commettre un crime et qu'il ne faut pas qu'elle se fasse prendre. Elle sort finalement du fond de son sac un paquet de cigarette. Oui, tout ça, pour ça. Fumer n'est pas illégal. Mais pour Ludmila, ça ne colle pas avec son image de poupée russe quasi parfaite. Elle en sort du paquet, l'allume et commence à tirer dessus. Libération. Le stress commence à quitter son corps et l'étudiante savoure. Elle n'aime pas forcément fumer, mais une de temps en temps aide radicalement à évacuer le surplus de stress. Absorbée par le plaisir que lui procure la nicotine, elle ne voit pas arriver un élève qui va la prendre en flagrant délit.
   
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Happy avait toujours vécu avec le stress latent dans son existence, telle une épée de Damoclès au dessus de sa têt. Par conséquent, son petit vice de nicotine revenait de temps à autre, envie libératrice évacuant bien souvent toute inquiétude de son organisme. Une illusion bien évidemment, mais ô combien efficace, au moins autant qu’un placebo. Aussi, après cet examen des plus stressants, l’américain n’avait pas hésité à sortir pour s’en griller une, tentant d’oublier - bien que ce soit impossible à cause de sa mémoire - tout ce stress de ne pas réussir ce foutu test. Plusieurs minutes avaient été nécessaires pour qu’il ne regagne son calme, et une respiration normale. Vraiment, le jeune homme pensait être seul face à ses pensées chaotiques au moment où une blonde qu’il connaissait de vue, Ludmilla, apparut un peu plus loin, ayant visiblement la même idée que lui. C’était juste trop beau. La fille parfaite qu’elle semblait être devant toute l’assemblée venait d’apparaître devant lui avec une faiblesse : ce même vice de nicotine qui l’aidait lui à tenir le coup. Fatalement, il s’approcha, sans faire trop de bruit, applaudissant doucement, un sourire amusé sur les lèvres. Juste amusé, pas narquois. « Je savais bien que tu devais avoir au moins UN vice, que la perfection n’existait pas même avec toi… mais je ne te pensais pas fumeuse, c’est drôle ! »
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  Elle savoure cet instant de répit où elle peut enfin relâcher la pression. Toujours en action, toujours en activité, cette jeune femme indépendante n'a pas de limite à son ambition. Lorsqu'on veut, on peut. Ainsi est sa devise. Bien sûr le corps humain ne peut pas toujours suivre un tel rythme infernal. Après tout, elle est humaine. Par conséquent, il lui arrive d'arriver au bout de ses forces. Dans ces moments-là, elle se relâche et se permet quelques déviances. Comme en cet instant précis avec la cigarette. Elle déteste l'odeur, la fumée, pourtant elle apprécie l'effet direct que cela lui procure. Surtout en moment de stress intense. Pensant être seule, une voix la ramène illico à la réalité. Elle affiche la tête d'une fille qui vient de se faire prendre par son père et qui craint l'engueulade. Elle jette immédiatement la cigarette au sol et l'écrase. « Je ne fume pas … » Niveau crédibilité, zéro. « Je veux dire, je ne suis pas une fumeuse, ne me met pas dans la même catégorie que ces cracheurs de poumons ! » Elle déteste savoir le fait qu'une personne l'ait ainsi surprise. Elle a si honte de devoir se cacher pour ne serait-ce que tirer quelques lattes sur une cigarette, donc elle est d'autant plus agacée de voir qu'on l'a prise sur le fait accompli. Elle toise le jeune homme d'un regard glacial. Un regard qui signifie que s'il ouvre sa bouche, il est fini. « Et tu n'as rien vu » Autant être clair. Pour beaucoup c'est sans doute anodin, mais c'est sérieux pour Ludmi.
 
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Le regard aussitôt glacial jeté par Ludmilla, suivi de sa réaction physique - à savoir jeter la cigarette au sol et l’écraser - ne surprit guère Happy. Il aurait bien sûr préféré qu’elle ne se sente pas obligée de continuer à se cacher, niant l’évidence, mais bien loin de lui jeter la pierre, il continua à produire à son corps sa petite dose de nicotine d’après stress. Plus il la voyait, et plus l’américain avait l’impression que son interlocutrice poursuivait sa vie selon ses foutues apparences, se refusant toute faiblesse que quelqu’un pourrait utiliser contre elle. « Je ne te mets dans aucune catégorie ma jolie, relax Max ! » fit-il en levant aussitôt les mains, plaidant non coupable par la même occasion. Il aurait très bien pu l’enfoncer, faire en sorte qu’une sale rumeur traîne sur elle… mais ce n’était pas le genre de la maison et il s’avouait déçu qu’elle ose penser ainsi. « Cracheurs de poumons, tout de suite les grands mots… tu ne peux pas juste agir naturellement, comme une humaine le refait ? Ou toi être robot ? Tu pouvais continuer à kiffer ta clope, c’est con de l’avoir gâchée » haussa-t-il les épaules, esquissant un large rire alors qu’elle le menaçait presque. « Sinon quoi blondie ? Tu crois que tu es le centre du monde ? Qu’est-ce que je m’en fous de ce que tu t’envoies dans les veines ! T’es une grande fille, tu fais ce que tu veux ! Mais un conseil » fit-il en se penchant légèrement vers elle. « Menace pas quand tu ne connais pas la personne que tu as en face. Tu pourrais tomber sur moins gentil que moi. Après tout j’ai un dossier sur toi, pas l’inverse ! Mais relaaaax franchement au moins ça me prouve que t’es pas totalement parfaite. Ca te va bien je te jure ! »
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 Ludmila a grandi au sein d'une famille où l'image est primordiale. Une mère danseuse ballerine et un père diplomate, depuis qu'elle est môme on lui demande de bien se tenir, de prendre ses études au sérieux, d'éviter les dérapages, les débauches. Depuis le décès de sa mère et les déboires de son père, elle s'est portée volontaire pour redorer l'image de sa famille. Chose faite. Mais cette image, il faut la conserver. Si elle agit de la sorte, c'est à cause de son milieu et de l'éducation qu'elle a reçue. Pour beaucoup c'est superficiel et sa réaction face à la situation actuelle paraît alors démesurée. Ce n'est pas grave, ce n'est pas la mort, il y a bien plus grave dans la vie (…), elle connaît très bien le refrain. Sauf qu'elle ne peut pas s'empêcher de vouloir tout contrôler et ça jusqu'au moindre détail. « Cela ne me gêne pas qu'on puisse me voir comme un robot. Je ne demande pas aux gens de comprendre pourquoi quelque chose d'aussi insignifiant pour une personne telle que toi, puisse à mes yeux avoir de l'importance. » Souffle-t-elle en guise de réponse. « Et si le gâchis te déplaît autant, tu peux terminer sur le mégot » Elle connaît à peine cet étudiant, mais elle sait déjà qu'il ne va faire que l'agacer. Lorsqu'il se penche légèrement vers elle pour terminer son monologue, automatiquement elle a un geste de recul. L'écoutant d'une oreille, elle ne fait pas gaffe à ses pics. Encore une fois si elle est autant attachée au fait qu'elle ne veuille pas que ça se sache, ce n'est pas pour une simple question d'égocentrisme. Elle le sait que ce n'est pas le centre du monde, que la plupart des gens s'en balancent qu'elle fume ou pas. Mais ça lui tient à cœur que cela reste secret. Donc lorsqu'il lui assure qu'elle n'a pas de soucis à se faire, elle se contente d'acquiescer. « Même si pour toi ça peut paraître stupide, je te remercierais de garder ça pour toi … ».  
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Happy haussa un sourcil avant de secouer négativement la tête de droite à gauche. Cette peste était encore pire qu’il ne se l’était imaginée : si elle pensait ne pas se prendre pour le centre du monde, alors elle aimait bien pisser à la raie d’autrui, les écraser d’un mot. Du moins était-ce l’image qu’elle renvoyait avec cette morgue à laquelle l’américain aurait presque été tenté d’applaudir. Mais il s’en moquait bien. Elle pouvait l’accuser de fouiller dans les poubelles que cela ne l’aurait pas atteint… comme elle ne le connaissait pas, elle n’avait aucune arme pour l’atteindre justement, et il comptait bien jouer - gentiment tout de même - de ce mini avantage pour lui rabaisser juste une fois son caquet. Ce serait son petit plaisir du jour, sans conséquence aucune. « En tout cas, ce qui a de l’importance pour toi, c’est de rabaisser autrui ! Tu peux te le mettre là où je pense ton mégot au lieu de songer une seconde que je vais te le ramasser » soupira-t-il, plus hilare qu’autre chose. Cette demoiselle, quasi inconnue finalement, avait du mordant mais dans le mauvais sens. Elle se trompait d’ennemi, et s’aveuglait toute seule bien trop fortement pour le comprendre. « Si tu évites de m’insulter encore à l’avenir, tu peux être sûr que je m’en balancerais suffisamment pour te laisser gérer ta petite addiction toute seule. »
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C'est dingue comment aujourd'hui une simple phrase anodine est détournée en insulte. On ne peut plus rien dire sans que ça soit déformé. Elle a sans aucun doute des paroles crues, mais en aucun cas ce sont des injures. Jusqu'à présent Ludmila est plutôt calme, malgré qu'elle soit agacée par l'attitude de l'étudiant et qu'elle le cache difficilement. Lorsqu'elle attaque une personne, elle est dix fois bien plus sévère que maintenant. Que Happy s'estime heureux, elle est plutôt gentille pour le moment. Pas de sa faute s'il semble susceptible, bien qu'il ait l'air de s'en foutre plus qu'autre chose. Dans ce cas, pourquoi l'emmerder davantage. « Quand t'ai-je insulté ? J'insulte une personne quand je lui porte un minimum d'intérêt. » Et dire qu'elle le pense sincèrement. Certes elle est agacée de la situation, mais elle ne l'a pas insulté. Du moins pour elle, ce n'est pas le cas. Insulter une personne est quelque chose de bien plus fort dans la vision de Ludmi. Disons que maintenant, à ses yeux, c'est davantage un banal échange, bien qu'elle se montre assez froide envers l'étudiant. Mais ça la titille qu'une personne tierce l'ait surpris une clope au bec, même si cette personne s'en fout royalement. La belle russe se torture inutilement l'esprit, c'est quelque chose qu'elle ne contrôle pas. Elle détourne son intention du jeune homme et s'active à éliminer toutes les traces de cette vilaine manie. Du désinfectant pour les mains, un chewing-gum pour l'haleine et une pointe de parfum pour camoufler l'odeur. « Donc vu que tu t'en balances, comme tu l'as dit, laisse-moi gérer ce défaut … ».
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« Le problème, c’est que tu pisses tellement à la raie de tout le monde que pour toi, ce genre de mot est totalement normal… » leva-t-il les yeux au ciel, se trouvant devant un phénomène du genre question irrespect et œillères soigneusement placées. Bah, Happy n’avait pas de temps à perdre à lui donner un cours là-dessus, d’autant qu’il trouvait que c’était un peu tard pour corriger le tir. Le tempérament de Ludmilla semblait tellement ancré dans son quotidien que la rendre moins hautaine relevait de la mission impossible. Puis à quoi bon ? Il ne lui prêtait aucun intérêt non plus, ce serait donc une dose d’énergie conséquente dépensée pour rien. L’américain l’observa par conséquent dans le plus grand silence et la plus grande des surprises, car la blondinette se donna particulièrement du mal à camoufler toute trace de sa petite manie. Il trouvait cela à la fois balèze et totalement stupide, car il y aurait bien un moment où quelqu’un de mal intentionné la prendrait en flagrant délit et ferait une affaire personnelle du fait de la « dénoncer partout ». Happy se gratta doucement la tête, avant de prendre une nouvelle bouffée de sa propre cigarette, encore à peine entamée. « Bah dis donc… ça doit être vachement important pour toi que tu caches si habilement… ça » fit-il, n’énonçant pas le nom au cas où quelqu’un passerait par là. Une preuve de son silence futur et de son respect envers la blonde, au moins. « Oh mais je te laisse gérer, t’es une grande fille ! Je trouve ça juste marrant. Marrant et… étrange. »
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Ludmi n'a jamais démenti le fait qu'elle a toujours été très susceptible, mais elle vient de trouver pire. Si on ne peut plus rien lui dire sans que ça soit une insulte. Elle n'a peut-être pas conscience que certains de ses propos ou son attitude font d'elle une fille totalement hautaine, voir même détestable. Elle n'a pas la même vision des choses et contrairement à ce qu'il avance, elle n'a pas l'impression de « pisser sans arrêt sur la raie des gens ». Du coup elle laisse couler et s'abstient de lui répondre. Elle préfère user de son énergie afin de camoufler toutes traces de cette incartade. Mais l'étudiant continue de l'ouvrir avec ses remarques inutiles. Lorsqu'il s'y met, il est du genre agaçant. Encore une fois la jeune russe l'ignore. Sauf que ce dernier continue de tirer sur sa cigarette et lui souffle la fumée dans sa direction. Soit il ne le fait pas exprès, il n'a pas fait attention et dans ce cas, ça peut passer. Mais s'il s'amuse à recracher sa fumée de clope dans la tronche de Ludmi juste pour l'emmerder, ça risque de ne pas aller en s'arrangeant entre les deux étudiants. Elle lui lance un furtif regard agacé avant de prendre la parole. « « J'ai bien compris que tu me prends pour une fille totalement stupide à vouloir cacher ma manie en y mettant tant d'effort, mais tu pourrais au moins éviter de me recracher toute ta fumée dans la tronche … ?  » Elle n'emploie pas un ton vexant, dur ou même froid. Elle invite simplement le jeune homme à ne pas recommencer. Même si dans la forme on pourrait croire qu'elle le réprimande à nouveau et le prend encore une fois de haut.
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Les nouveaux propos de Ludmilla ne manquèrent pas d’arracher un haussement de sourcils à Happy. Oui, il devait s’avouer surpris sur le coup. « Stupide ? Je n’ai jamais pensé une chose pareille. Je te pense au contraire très intelligente. C’est juste que ces cachotteries m’étonnent » expliqua-t-il en toute bonne foi, avant d’écraser sa propre cigarette. « Navré, je n’avais pas fait exprès. Je ne pensais pas que ça t’atteindrait… la fumée te gêne ? » demanda-t-il, bien que maintenant ce ne soit plus un souci fut qu’il venait d’arrêter. Gêner autrui n’avait jamais été son but, même si ce quelqu’un n’était pas un proche. Vrai, ils ne se connaissaient pas vraiment avec Ludmilla et on ne pouvait pas dire qu’ils s’appréciaient en ces termes… mais même dans ces conditions, il la respectait suffisamment pour ne pas l’indisposer avec sa propre fumée. « A moins que merde, je suis con… c’est pour pas empester » secoua-t-il négativement la tête de droite à gauche. « Doublement navré alors » fit-il, sans se moquer une seconde. Oui, Happy était sérieux. Si la blondinette voulait à tout prix cacher cette manie, alors c’était son droit et inutile de lui mettre des bâtons dans les roues en faisant en sorte de gâcher ses efforts. « Écoute. Je me doute que tu ne me portes pas dans ton cœur mais d’un autre côté, on ne se connaît pas. On pourrait peut-être déjà repartir à zéro, se présenter comme il faut ? »
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