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DAFOX
Stephen James
Jake Cooper
Jake Cooper
Fiche d'identité
Prénoms Nevada & JamesÂge 23 ans & 30 ans Se connaissent depuis.. Août 2015En couple depuis.. 28.11.15 (séparation de trois mois) Donc 5 mois, officiellement Date d'anniversaire du couple: 28.11.15Défauts Les défauts de Nevi : Anxieux, possessif, froid (de temps en temps) lunatique, susceptible. Et énervant. Les défauts de James : Jaloux, nerveux, imposant, borné, grande gueule, impatient. Qualités Les qualités de Nevada: Adorable, patient, attentif, présent, quelqu'un de déterminé, enfantin. Les qualités de James: marrant, affectueux, généreux, attentif, rassurant, protecteur.la première chose qui t'a attiré Nevada: Ce qui m'a attiré chez James ? Son assurance. James: Ce qui m'a attiré chez Nevi ? Son insouciance. LA RENCONTRE
- Comment vous vous êtes rencontrés ?
James - Alors.. Si je me souviens bien.. C'était durant une soirée. Je ne sais pour quelle raison, mais Nevada me tournait autour, assez lourdement. J'étais avec des amis, et semblablement, il m'avait choisi pour cible... Je crois que j'ai dû lui répéter deux fois, ou même quatre fois.. Que je n'étais pas gay, et qu'il ne m'intéressait pas. (Il ricane faiblement, en passant une main sur sa nuque, qu'il frotte intensément) Pourtant, vous imaginez bien que c'était faux. Il avait un truc, vraiment. À l'époque, je ne supportais pas l'idée d'être attiré par un homme. Question personnelle. Mais Nevada s'en fichait, quand il veut quelque chose, cet homme est dur à faire changer d'avis. (Un regard rapide sur son partenaire, et il reprend vivement la parole.) Il m'a dragué, et je crois que ça m'a énervé. Justement parce qu'il ne lâchait pas l'affaire. Mais ma rencontre avec lui, était dans une soirée.. Ou j'étais probablement très saoul. (Il tourne une nouvelle fois le regard vers Nevada) Oui bon, j'avoue que durant toutes mes soirées, je suis toujours bourré.
Nevada - Oh ouais, t'étais drôlement éméché. Et j'étais persuadé qu'à force de persévérance, il allait céder. En réalité j'étais encore ce gars qui se fiche des autres. Qui ne tenait à rien ni personne et qui foutait la merde un peu partout. J'crois que ce jour-là je devais m'être pris une baigne, c'est sûrement pour ça qu'il n'a pas voulu de moi ce soir là. (il soupire exagérément) Pourtant j'ai entendu dire que les coups me donnaient un air de "bad boy" (il imite les guillemets avec ses doigts). Ce qui m'a un peu fait lâcher prise ce soir-là, c'était que je l'avais surpris en train de rouler des pelles à une fille au hasard. J'avoue que ça m'a refroidi direct.. Alors je suis rentré bredouille. Juste pour ce soir, parce que j'le voulais, et que j'allais le coller comme une sangsue. (il rit légèrement)
James - (il hausse un sourcil, en laissant un faible rire s'extraire de sa gorge) bon, après j'avoue que Nevada avait un air pas mal, même si je voyais trouble. Honnêtement, je ne me souviens pas des nanas que j'ai du entraîné dans mon lit. Et même si ça paraît dégueulasse.. Je crois que j'ai pensé à lui, quand j'embrassais les nanas. De plus, je le voyais du coin du regard. (il scrute Nevada, en lui lançant un clin d'oeil) il me fixait, et j'embrassais. Histoire de savoir s'il allait lâcher l'affaire ou non.
Nevada - Alors le jeu a commencé bien plus tôt que prévu. Mais s'il a pu croire que j'allais lâcher l'affaire, il s'était lourdement trompé. Après cette soirée, on s'est recroisés à d'autres. Il a toujours refusé, et j'avoue que je commençais à m'énerver. Je n'aime pas vraiment quand on me rejette, mais lui, j'sais pas. C'était pire. Plus il embrassait de filles, plus je lui en voulais, et plus je le voulais, aussi. (il lance un regard à James, en souriant légèrement) Et j'étais certain que je n'allais faire qu'une bouchée de lui. Pas seulement parce que j'étais tenace, mais surtout parce que tout dans son attitude me disait qu'il était attiré. C'était évident. Il n'y avait que lui pour ne pas le voir.
James - Enfin bon, on peut dire qu'on a longuement joué ensemble, sans même s'approcher honnêtement. (il hausse les épaules, en passant un bras pardessus les épaules de Nevada) Puis, il y a eu une soirée. Ou j'ai lâché prise. Je lui ai donné ce qu'il voulait. J'étais parti fumé, pour une fois seul. Puis après, il m'a rejoint. Je crois qu'on n'a pas eu besoin de parler. Je paniquais à l'idée que quelqu'un puisse me voir accompagner par un homme. (il sourit, en soupirant) Je crois que c'est lui qui m'a embrassé, il était très entreprenant, vous savez !
Nevada - Bien sûr que je l'étais. J'te voulais. Je saurais pas expliquer pourquoi mais j'te voulais. (Il prend sa main en souriant) Enfin, je l'ai embrassé et je l'ai emmené dans une chambre, c'était une soirée dans une grande maison. Et.. Et on s'est trouvé, tout simplement. Après ça, il est parti à la hâte dans la salle de bains pour se débarbouiller, et comme j'me doutais qu'il allait partir plus vite que la lumière.. (il observe James avec un sourire malicieux) J'ai profité de son absence pour attraper son téléphone et composer mon numéro. J'me suis appelé vite fait pour pouvoir avoir son numéro. Comme j'ai dit, j'allais pas le lâcher. Puis, il est parti, et c'est là que le jeu a commencé.
- Comment vous vous êtes rencontrés ?
James - Alors.. Si je me souviens bien.. C'était durant une soirée. Je ne sais pour quelle raison, mais Nevada me tournait autour, assez lourdement. J'étais avec des amis, et semblablement, il m'avait choisi pour cible... Je crois que j'ai dû lui répéter deux fois, ou même quatre fois.. Que je n'étais pas gay, et qu'il ne m'intéressait pas. (Il ricane faiblement, en passant une main sur sa nuque, qu'il frotte intensément) Pourtant, vous imaginez bien que c'était faux. Il avait un truc, vraiment. À l'époque, je ne supportais pas l'idée d'être attiré par un homme. Question personnelle. Mais Nevada s'en fichait, quand il veut quelque chose, cet homme est dur à faire changer d'avis. (Un regard rapide sur son partenaire, et il reprend vivement la parole.) Il m'a dragué, et je crois que ça m'a énervé. Justement parce qu'il ne lâchait pas l'affaire. Mais ma rencontre avec lui, était dans une soirée.. Ou j'étais probablement très saoul. (Il tourne une nouvelle fois le regard vers Nevada) Oui bon, j'avoue que durant toutes mes soirées, je suis toujours bourré.
Nevada - Oh ouais, t'étais drôlement éméché. Et j'étais persuadé qu'à force de persévérance, il allait céder. En réalité j'étais encore ce gars qui se fiche des autres. Qui ne tenait à rien ni personne et qui foutait la merde un peu partout. J'crois que ce jour-là je devais m'être pris une baigne, c'est sûrement pour ça qu'il n'a pas voulu de moi ce soir là. (il soupire exagérément) Pourtant j'ai entendu dire que les coups me donnaient un air de "bad boy" (il imite les guillemets avec ses doigts). Ce qui m'a un peu fait lâcher prise ce soir-là, c'était que je l'avais surpris en train de rouler des pelles à une fille au hasard. J'avoue que ça m'a refroidi direct.. Alors je suis rentré bredouille. Juste pour ce soir, parce que j'le voulais, et que j'allais le coller comme une sangsue. (il rit légèrement)
James - (il hausse un sourcil, en laissant un faible rire s'extraire de sa gorge) bon, après j'avoue que Nevada avait un air pas mal, même si je voyais trouble. Honnêtement, je ne me souviens pas des nanas que j'ai du entraîné dans mon lit. Et même si ça paraît dégueulasse.. Je crois que j'ai pensé à lui, quand j'embrassais les nanas. De plus, je le voyais du coin du regard. (il scrute Nevada, en lui lançant un clin d'oeil) il me fixait, et j'embrassais. Histoire de savoir s'il allait lâcher l'affaire ou non.
Nevada - Alors le jeu a commencé bien plus tôt que prévu. Mais s'il a pu croire que j'allais lâcher l'affaire, il s'était lourdement trompé. Après cette soirée, on s'est recroisés à d'autres. Il a toujours refusé, et j'avoue que je commençais à m'énerver. Je n'aime pas vraiment quand on me rejette, mais lui, j'sais pas. C'était pire. Plus il embrassait de filles, plus je lui en voulais, et plus je le voulais, aussi. (il lance un regard à James, en souriant légèrement) Et j'étais certain que je n'allais faire qu'une bouchée de lui. Pas seulement parce que j'étais tenace, mais surtout parce que tout dans son attitude me disait qu'il était attiré. C'était évident. Il n'y avait que lui pour ne pas le voir.
James - Enfin bon, on peut dire qu'on a longuement joué ensemble, sans même s'approcher honnêtement. (il hausse les épaules, en passant un bras pardessus les épaules de Nevada) Puis, il y a eu une soirée. Ou j'ai lâché prise. Je lui ai donné ce qu'il voulait. J'étais parti fumé, pour une fois seul. Puis après, il m'a rejoint. Je crois qu'on n'a pas eu besoin de parler. Je paniquais à l'idée que quelqu'un puisse me voir accompagner par un homme. (il sourit, en soupirant) Je crois que c'est lui qui m'a embrassé, il était très entreprenant, vous savez !
Nevada - Bien sûr que je l'étais. J'te voulais. Je saurais pas expliquer pourquoi mais j'te voulais. (Il prend sa main en souriant) Enfin, je l'ai embrassé et je l'ai emmené dans une chambre, c'était une soirée dans une grande maison. Et.. Et on s'est trouvé, tout simplement. Après ça, il est parti à la hâte dans la salle de bains pour se débarbouiller, et comme j'me doutais qu'il allait partir plus vite que la lumière.. (il observe James avec un sourire malicieux) J'ai profité de son absence pour attraper son téléphone et composer mon numéro. J'me suis appelé vite fait pour pouvoir avoir son numéro. Comme j'ai dit, j'allais pas le lâcher. Puis, il est parti, et c'est là que le jeu a commencé.
COMMENT SONT-ILS TOMBÉS AMOUREUX ?
James : La relation que j'ai avec Nevada, ne débute pas y a bien longtemps. Et pourtant, je l'ai aimé, j'ai toujours aimé ce type, même s'il me manipulait à sa guise et que je me retrouvais souvent dans la merde à cause de lui. Je me souviens de l'avoir cité comme frère, pour que personne ne découvre que je sortais avec un homme, et qu'en plus de ça, qu'il aille à peine 23 ans. Il me tenait, et je crois que je le tenais, à ma manière. J'essayais de le rendre fou, en lui écrivant des messages quand j'étais dans des discothèques, ou quand je savais où il était, je me ramenais souvent avec des filles. Histoire de lui faire comprendre que dans ce jeu, on est deux, et pas un. J'ai jamais vraiment assumé mon attirance envers les hommes, et Nevada l'a directement compris. C'était notre petit secret, petit secret qu'il n'hésitait pas en jouer pour m'avoir dans son lit. Même si entre nous... Il n'avait pas besoin de ça. Mais un moment, il fallait réaliser les choses. C'est un soir, où j'étais encore une fois sous l'influence de l'alcool, qu'il m'a trouvé dans un coin de la rue, alors que je tenais au bras une jolie demoiselle (lui dites pas, que j'ai dit jolie !) Il m'a posé un ultimatum. Comme ça, sans même me donner d'autres possibilités. Je n'ai pas réfléchis. Je pouvais tout claqué pour lui. C'était juste hallucinant. Je n'ai jamais éprouvé de tels sentiments envers quelqu'un. C'est limite.. Au premier touché, que j'ai senti qu'un truc clochait, que cette liaison n'était pas "simple" Il m'a eu, et je l'ai eu. Je suis tombé amoureux de lui, quand j'ai su que cet homme n'allait jamais me lâcher, qu'il me suivrait n'importe où, et qu'il m'accepterait comme je suis. Ce qui en soit, est un exploit !
Nevada: « Au début, notre relation était un jeu, je le tenais par les couilles avec son petit secret, et lui adorait me faire rager en me montrant que je ne l'aurais jamais entièrement. Il était attirant, il l'est toujours d'ailleurs. J'ai toujours trouvé qu'il dégageait un certain charme. Une assurance, dans sa façon de parler, de bouger. De penser. Il m'attirait comme un aimant, c'était indéniable. Mais il n'y avait que moi pour ne pas m'en rendre compte. C'est surtout quand il a commencé à envahir mes pensées jour et nuit que j'ai commencé à me poser des questions. Je me suis d'abord dit que c'était parce que je le voyais souvent, qu'il m'agaçait à jouer avec mes nerfs, parce que je suis quelqu'un de jaloux, alors quand je le voyais danser, embrasser à pleine bouche et toucher d'autres filles (des filles, moi qui suis gay, je l'avais vraiment mauvaise), vous vous imaginez bien que ça bouillait en moi. Et ce petit chantage que je lui faisais, lui, il avait trouvé un moyen pour me rendre fou de la même manière. En réalité, c'est lors d'une dispute que je me suis rendu compte que je tenais à lui. Je ne savais pas encore à quel point, mais je savais déjà que je ne faisais pas que ressentir une simple attirance. Il me rendait fou. Pendant une semaine on ne s'est pas parlé, mais il était dans mes pensées, il me hantait, et la seule idée qu'il soit avec quelqu'un d'autre me tuait. Et puis je l'ai trouvé dans ce foutu bar, en train de se battre, et le voir blessé m'a provoqué un électrochoc. Là, j'ai su. J'ai su que je l'aimais, j'ai su que j'étais prêt à tout, j'ai su que ce n'était plus un jeu. J'ai su que je voulais être sa moitié autant qu'il était devenu la mienne. »
James : La relation que j'ai avec Nevada, ne débute pas y a bien longtemps. Et pourtant, je l'ai aimé, j'ai toujours aimé ce type, même s'il me manipulait à sa guise et que je me retrouvais souvent dans la merde à cause de lui. Je me souviens de l'avoir cité comme frère, pour que personne ne découvre que je sortais avec un homme, et qu'en plus de ça, qu'il aille à peine 23 ans. Il me tenait, et je crois que je le tenais, à ma manière. J'essayais de le rendre fou, en lui écrivant des messages quand j'étais dans des discothèques, ou quand je savais où il était, je me ramenais souvent avec des filles. Histoire de lui faire comprendre que dans ce jeu, on est deux, et pas un. J'ai jamais vraiment assumé mon attirance envers les hommes, et Nevada l'a directement compris. C'était notre petit secret, petit secret qu'il n'hésitait pas en jouer pour m'avoir dans son lit. Même si entre nous... Il n'avait pas besoin de ça. Mais un moment, il fallait réaliser les choses. C'est un soir, où j'étais encore une fois sous l'influence de l'alcool, qu'il m'a trouvé dans un coin de la rue, alors que je tenais au bras une jolie demoiselle (lui dites pas, que j'ai dit jolie !) Il m'a posé un ultimatum. Comme ça, sans même me donner d'autres possibilités. Je n'ai pas réfléchis. Je pouvais tout claqué pour lui. C'était juste hallucinant. Je n'ai jamais éprouvé de tels sentiments envers quelqu'un. C'est limite.. Au premier touché, que j'ai senti qu'un truc clochait, que cette liaison n'était pas "simple" Il m'a eu, et je l'ai eu. Je suis tombé amoureux de lui, quand j'ai su que cet homme n'allait jamais me lâcher, qu'il me suivrait n'importe où, et qu'il m'accepterait comme je suis. Ce qui en soit, est un exploit !
Nevada: « Au début, notre relation était un jeu, je le tenais par les couilles avec son petit secret, et lui adorait me faire rager en me montrant que je ne l'aurais jamais entièrement. Il était attirant, il l'est toujours d'ailleurs. J'ai toujours trouvé qu'il dégageait un certain charme. Une assurance, dans sa façon de parler, de bouger. De penser. Il m'attirait comme un aimant, c'était indéniable. Mais il n'y avait que moi pour ne pas m'en rendre compte. C'est surtout quand il a commencé à envahir mes pensées jour et nuit que j'ai commencé à me poser des questions. Je me suis d'abord dit que c'était parce que je le voyais souvent, qu'il m'agaçait à jouer avec mes nerfs, parce que je suis quelqu'un de jaloux, alors quand je le voyais danser, embrasser à pleine bouche et toucher d'autres filles (des filles, moi qui suis gay, je l'avais vraiment mauvaise), vous vous imaginez bien que ça bouillait en moi. Et ce petit chantage que je lui faisais, lui, il avait trouvé un moyen pour me rendre fou de la même manière. En réalité, c'est lors d'une dispute que je me suis rendu compte que je tenais à lui. Je ne savais pas encore à quel point, mais je savais déjà que je ne faisais pas que ressentir une simple attirance. Il me rendait fou. Pendant une semaine on ne s'est pas parlé, mais il était dans mes pensées, il me hantait, et la seule idée qu'il soit avec quelqu'un d'autre me tuait. Et puis je l'ai trouvé dans ce foutu bar, en train de se battre, et le voir blessé m'a provoqué un électrochoc. Là, j'ai su. J'ai su que je l'aimais, j'ai su que j'étais prêt à tout, j'ai su que ce n'était plus un jeu. J'ai su que je voulais être sa moitié autant qu'il était devenu la mienne. »
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