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Melody River
Fiche d'identité
NomRiverPrénom(s) MelodyÂge 26 ansDate de naissance 12 Mars1990 iciLieu de naissance BostonStatut amoureux CélibataireOrientation sexuelle Bi Classe sociale aiséeÉtudes majeures MusiqueÉtudes mineures écrire ici (facultatif)Job Tuteur en musique / CompositriceChoix de groupe #1 Cabot HouseChoix de groupe #2 Lowell House)GROUPE 1.
Cabot House Pour leur ouverture sur l'art qui s'élarfit à d'autre disciplines concrètes, et une vision de la société, qui, bien qu'élitiste, comme toute l'université, ne se complait pas à croire que tous les autres sont inférieurs... Après tout, tout le monde a ses forces et ses faiblesses, pour qu'au final, tout le monde se complète. Ca fait hippie ce que je dis? Non... C'est juste une façon de relativiser... On verra ça plus tard... Tout s'expliquera.
GROUPE 2.
Lowell House: Mes parents et ma soeur ont étudiés là bas, et sont devenus de grands musiciens. Ils ont toujours pensé que j'avais le potentiel pour suivre leurs traces et moi aussi jusqu'à... Ce que la vie me rappelle que rien n'est toujours acquis.
Cabot House Pour leur ouverture sur l'art qui s'élarfit à d'autre disciplines concrètes, et une vision de la société, qui, bien qu'élitiste, comme toute l'université, ne se complait pas à croire que tous les autres sont inférieurs... Après tout, tout le monde a ses forces et ses faiblesses, pour qu'au final, tout le monde se complète. Ca fait hippie ce que je dis? Non... C'est juste une façon de relativiser... On verra ça plus tard... Tout s'expliquera.
GROUPE 2.
Lowell House: Mes parents et ma soeur ont étudiés là bas, et sont devenus de grands musiciens. Ils ont toujours pensé que j'avais le potentiel pour suivre leurs traces et moi aussi jusqu'à... Ce que la vie me rappelle que rien n'est toujours acquis.
APRÈS LA BOMBE.
Événement tragique qui a eu lieu en janvier 2013. Autant dire, c'était vraiment choquant et traumatisant ! Du coup, à toi de nous dire ce que t'as ressenti à ce moment là. T'y étais ? Tes proches y étaient ? Peut-être que t'étais pas là, mais du coup, en entendant les infos, t'as peut-être pensé des trucs. On veut tout saaavoiiiiir ici : Nous y voilà... Trois ans et demi. Seulement? Déjà? Je n'en sais rien. Il y a des jours où ça me semble être passé en un battement de coeur... Alors qu'à d'autre moments, j'ai l'impression que c'est une vie entière;. Question d'humeur, d'état d'esprit sans doute. Quand on vous annonce que le noir dans lequel vous êtes plongée ne s'éclaircira plus jamais, aussi grands ouverts que puissent être vos yeux, c'est comme si la vie devenait une nuit éternelle... On perd la notion du temps.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
Événement tragique qui a eu lieu en janvier 2013. Autant dire, c'était vraiment choquant et traumatisant ! Du coup, à toi de nous dire ce que t'as ressenti à ce moment là. T'y étais ? Tes proches y étaient ? Peut-être que t'étais pas là, mais du coup, en entendant les infos, t'as peut-être pensé des trucs. On veut tout saaavoiiiiir ici : Nous y voilà... Trois ans et demi. Seulement? Déjà? Je n'en sais rien. Il y a des jours où ça me semble être passé en un battement de coeur... Alors qu'à d'autre moments, j'ai l'impression que c'est une vie entière;. Question d'humeur, d'état d'esprit sans doute. Quand on vous annonce que le noir dans lequel vous êtes plongée ne s'éclaircira plus jamais, aussi grands ouverts que puissent être vos yeux, c'est comme si la vie devenait une nuit éternelle... On perd la notion du temps.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Parce qu'un malheur ne vient jamais seul. Entre septembre 2014 et janvier 2015, plusieurs agressions sexuelles ont eu lieu à Cambridge, principalement des étudiants d'Harvard et des maisons qui étaient les cibles. Ton perso a forcément été touché par l'ambiance morbide et oppressante qui régnait sur le campus alors dis nous tout, comment tu te sentais à cette période de l'année. Pire encore, te trouvais-tu sur le campus le 17 janvier ? Quand les quatre agresseurs ont pris en otage les étudiants et autres civils présents ? (5 lignes minimum)
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D
Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D
pseudo irl
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Lady Crow et j'ai 22 ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à Ivy . Vos impressions sur le forum: L'accueil est carrément top, alors j'ai hâte de rencontrer du monde ici alors j'ai décidé de m'inscrire sur le forum Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé
Mot de la fin ? ▲ Blood is Life.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
Participer au Summer Camp, en tant que :
Summer Camper
Vacancier
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Mot de la fin ? ▲ Blood is Life.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
Participer au Summer Camp, en tant que :
Summer Camper
Vacancier
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Once upon a time
Melody River. Fille de Lia et Allan River, respectivement compositrice et chanteur. Ma mère a commencé l’école de musique très jeune pour ne pas dire qu’elle est née dedans… Elle a rencontré mon père sur les bancs de la fac, et le moins qu’on puisse dire, c’est que ça avait mal commencé. Mon père avait l’aura des chanteurs leaders qui électrise les foules… Et ma mère plutôt le genre méticuleuse et un peu timide. Ce qui fait qu’elle n’aimait pas se mettre sur le devant de la scène, et l’attitude de tombeur de mon père avait le don de l’irriter…. Je tiens d’elle là-dessus. Mais voilà… Un jour, il a posé les yeux sur elle… Et elle a commencé à écrire sur lui. C’est comme ça qu’entre eux est né un échange inaccessible aux autres. Que ma mère a nuancé le sourire de mon père avec quelque chose qu’une groupie ne saurait lui apporter…
Il en a fallu du temps pour qu’ils s’apprivoisent. Qu’elle canalise ses frasques… Qu’il adoucisse son caractère de fauve. Mais de fil en aiguille… Harmony et moi sommes nées. Ma sœur a 2 ans de plus que moi. Elle, s’est plus inspirée de notre père question caractère, et vocation. Elle chante aussi. En somme, nous avons tous été touchés par le syndrome de la scène. Ma voie semblait être une évidence, même pour moi. J’ai rapidement été fascinée par le travail de ma mère, autant dans ses méthodes, que dans le résulta. Mais apprendre en autodidacte ne me suffirait pas à faire valoir mes compétences, même si celles-ci avaient été acquises par des musiciens renommés. Sans compter qu’il leur arrive de s’adonner à plusieurs styles différents. Je savais par exemple, que ma mère avait déjà été demandée pour des musiques de films. Quelques courts métrages, au piano. Bref. Tout ça était bien beau, mais je devais devenir quelqu’un moi aussi. Je ne pouvais pas me contenter d’être la petite Lia River. Non. Moi c’est Melody River. C’est comme ça que je me suis retrouvée à entrer à Harvard. Sur les traces de mes parents, certes. Ils avaient été admis parmi les élitistes de la musique. Lowell House. A force de travail, j’étais arrivée moi aussi parmi les meilleurs. Harmony, elle aussi avait foulé ces bancs avant moi. Enfin... Au moment de mon entrée, son cursus n’était pas fini.
On peut dire que c’est une vraie jungle. Les gens, pour des artistes n’étaient pas très liants, si l’on pouvait dire. Mais il en fallait plus pour me déstabiliser. Après tout, je ne ressentais pas le besoin de me trouver constamment entourée. Mes compositions me demandaient de la concentration, et mon image un peu froide était un atout parfois. Cela dit, on ne pouvait pas dire que ça m’aidait beaucoup sur le plan personnel… J’avais même fait l’objet de paris stupides… Du style « 50$ que j’arrive à embrasser la lionne dans deux semaines…. Et… Si ça se passe vraaaiiiiment bien, je te dirais si elle griffe… » Vivent les bruits de couloirs…
Ca m’avait profondément blessée, et renfermée un peu plus, ajoutant une pointe d’amertume envers les gueules d’anges qui venaient m’aborder avec leurs sourires séducteurs. Je m’étais fais avoir quelques fois, mais s’en était fini. Et pourtant, en me voyant, on pourrait se dire que j’aime attirer l’attention. Mon corps est couvert de tatouages. Oui, j’adore cet art. J’aime les talons et les vêtements qui me mettent en valeur, parce que c’est comme ça que je me sens… Moi. Pas besoin de faire baver les autres. Après, c’est certain que j’aimerais qu’on s’intéresse réellement à moi. Peut-être que c’est aussi une question de maturité…
En tous cas, tout allait bien à l’Université… Mais… Oui. Parce qu’il y a un « mais ». Janvier 2013. La bombe… Ca parait surréaliste. On pense toujours que ça n’arrive que dans les films. Ou très loin de nous, dans les pays pauvres, ravagés par la guerre. Mais moi je peux vous dire qu’on se dit ça pour se rassurer. Parce que moi, cette bombe… je l’ai entendue… Je l’ai sentie tout souffler sur son passage. Mais quand c’est comme ça, c’est déjà trop tard… Pas la peine de se dire qu’on va avoir le temps de courir s’abriter. Ca, ca n’arrive que dans les films….
Résultat… La fumée toxique a complètement brulé ma cornée. Ce jour là, le soleil s’était levé pour la dernière fois, pour moi.
On me dit souvent que ça aurait pu être pire. Que j’aurais pu mourir. Mais sur le coup, je pensais que la mort ne pouvait pas être pire que ça. Tout ce que j’avais construit me paraissait n’être plus que rêves inaccessibles. Comment écrire dans ses conditions ? Le monde est devenu chaotique, et hostile. Moi qui peinais déjà à trouver ma place…
Un an. C’est le temps que j’ai passé sans toucher à un instrument, ni aligner deux notes sur une portée. Heureusement que ma famille me soutenait. Sans eux, je ne sais pas où j’en serais… C’est qu’ils ont quand même dû lutter pour me sortir de ma prostration. Finalement, c’est Harmony qui a réussi à me convaincre en me demandant de l’aider à préparer son premier concert solo… Pour elle, je me suis investie. Parce que ma sœur est… Comme un de mes membres. Sans elle, je me sentirais mutilée… J’avais essayé de la persuader de demander à Maman, mais elle trouvait toujours un argumentaire entier pour me prouver que c’était de moi qu’elle avait besoin...
C’est comme ça que j’ai commencé à sentir la musique naitre sous mes doigts. Pendant tous ces mois de travail, mon oreille s’est développée, et si je ne voyais plus les instrument que j’avais dans les mains, je sentais leurs courbes, leurs vibration avec une précision toute nouvelle. Enfin, j’ai eu l’impression de me remettre à respirer.
Un jour, constatant ma métamorphose, mes parents ont soumis l’idée que je vienne en aide à d’autres musiciens. Que ça m’aiderais à me sentir utile. Pas la peine de dire que ça me fichait une trouille bleue, d’être confrontée au regard des autres… Mais j’ai fini par m’y mettre, pour des séances individuelles, et puis plus le temps passait, plus j’arrivais à aviser dans l’obscurité. Retrouvant enfin le bon versant de la pente, j’ai même eu envie de reprendre mes études, mais mon humeur n’était plus à l’individualisme exacerbé. J’avais besoin de créer des liens… La vraie vocation de la musique selon moi. J’ai donc délaissé les Lowell, pour envoyer un dossier à la Maison Cabot… Mais bon… Je reste réservée… On ne se refait pas.
Il en a fallu du temps pour qu’ils s’apprivoisent. Qu’elle canalise ses frasques… Qu’il adoucisse son caractère de fauve. Mais de fil en aiguille… Harmony et moi sommes nées. Ma sœur a 2 ans de plus que moi. Elle, s’est plus inspirée de notre père question caractère, et vocation. Elle chante aussi. En somme, nous avons tous été touchés par le syndrome de la scène. Ma voie semblait être une évidence, même pour moi. J’ai rapidement été fascinée par le travail de ma mère, autant dans ses méthodes, que dans le résulta. Mais apprendre en autodidacte ne me suffirait pas à faire valoir mes compétences, même si celles-ci avaient été acquises par des musiciens renommés. Sans compter qu’il leur arrive de s’adonner à plusieurs styles différents. Je savais par exemple, que ma mère avait déjà été demandée pour des musiques de films. Quelques courts métrages, au piano. Bref. Tout ça était bien beau, mais je devais devenir quelqu’un moi aussi. Je ne pouvais pas me contenter d’être la petite Lia River. Non. Moi c’est Melody River. C’est comme ça que je me suis retrouvée à entrer à Harvard. Sur les traces de mes parents, certes. Ils avaient été admis parmi les élitistes de la musique. Lowell House. A force de travail, j’étais arrivée moi aussi parmi les meilleurs. Harmony, elle aussi avait foulé ces bancs avant moi. Enfin... Au moment de mon entrée, son cursus n’était pas fini.
On peut dire que c’est une vraie jungle. Les gens, pour des artistes n’étaient pas très liants, si l’on pouvait dire. Mais il en fallait plus pour me déstabiliser. Après tout, je ne ressentais pas le besoin de me trouver constamment entourée. Mes compositions me demandaient de la concentration, et mon image un peu froide était un atout parfois. Cela dit, on ne pouvait pas dire que ça m’aidait beaucoup sur le plan personnel… J’avais même fait l’objet de paris stupides… Du style « 50$ que j’arrive à embrasser la lionne dans deux semaines…. Et… Si ça se passe vraaaiiiiment bien, je te dirais si elle griffe… » Vivent les bruits de couloirs…
Ca m’avait profondément blessée, et renfermée un peu plus, ajoutant une pointe d’amertume envers les gueules d’anges qui venaient m’aborder avec leurs sourires séducteurs. Je m’étais fais avoir quelques fois, mais s’en était fini. Et pourtant, en me voyant, on pourrait se dire que j’aime attirer l’attention. Mon corps est couvert de tatouages. Oui, j’adore cet art. J’aime les talons et les vêtements qui me mettent en valeur, parce que c’est comme ça que je me sens… Moi. Pas besoin de faire baver les autres. Après, c’est certain que j’aimerais qu’on s’intéresse réellement à moi. Peut-être que c’est aussi une question de maturité…
En tous cas, tout allait bien à l’Université… Mais… Oui. Parce qu’il y a un « mais ». Janvier 2013. La bombe… Ca parait surréaliste. On pense toujours que ça n’arrive que dans les films. Ou très loin de nous, dans les pays pauvres, ravagés par la guerre. Mais moi je peux vous dire qu’on se dit ça pour se rassurer. Parce que moi, cette bombe… je l’ai entendue… Je l’ai sentie tout souffler sur son passage. Mais quand c’est comme ça, c’est déjà trop tard… Pas la peine de se dire qu’on va avoir le temps de courir s’abriter. Ca, ca n’arrive que dans les films….
Résultat… La fumée toxique a complètement brulé ma cornée. Ce jour là, le soleil s’était levé pour la dernière fois, pour moi.
On me dit souvent que ça aurait pu être pire. Que j’aurais pu mourir. Mais sur le coup, je pensais que la mort ne pouvait pas être pire que ça. Tout ce que j’avais construit me paraissait n’être plus que rêves inaccessibles. Comment écrire dans ses conditions ? Le monde est devenu chaotique, et hostile. Moi qui peinais déjà à trouver ma place…
Un an. C’est le temps que j’ai passé sans toucher à un instrument, ni aligner deux notes sur une portée. Heureusement que ma famille me soutenait. Sans eux, je ne sais pas où j’en serais… C’est qu’ils ont quand même dû lutter pour me sortir de ma prostration. Finalement, c’est Harmony qui a réussi à me convaincre en me demandant de l’aider à préparer son premier concert solo… Pour elle, je me suis investie. Parce que ma sœur est… Comme un de mes membres. Sans elle, je me sentirais mutilée… J’avais essayé de la persuader de demander à Maman, mais elle trouvait toujours un argumentaire entier pour me prouver que c’était de moi qu’elle avait besoin...
C’est comme ça que j’ai commencé à sentir la musique naitre sous mes doigts. Pendant tous ces mois de travail, mon oreille s’est développée, et si je ne voyais plus les instrument que j’avais dans les mains, je sentais leurs courbes, leurs vibration avec une précision toute nouvelle. Enfin, j’ai eu l’impression de me remettre à respirer.
Un jour, constatant ma métamorphose, mes parents ont soumis l’idée que je vienne en aide à d’autres musiciens. Que ça m’aiderais à me sentir utile. Pas la peine de dire que ça me fichait une trouille bleue, d’être confrontée au regard des autres… Mais j’ai fini par m’y mettre, pour des séances individuelles, et puis plus le temps passait, plus j’arrivais à aviser dans l’obscurité. Retrouvant enfin le bon versant de la pente, j’ai même eu envie de reprendre mes études, mais mon humeur n’était plus à l’individualisme exacerbé. J’avais besoin de créer des liens… La vraie vocation de la musique selon moi. J’ai donc délaissé les Lowell, pour envoyer un dossier à la Maison Cabot… Mais bon… Je reste réservée… On ne se refait pas.
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