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Retrouvailles en famille. ▬ James x Oli

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Retrouvailles en famille.
james x oli(parents) x nevada
Ca y est, c'était le moment. Nous venions d'arriver à l'aéroport de Paris, et mes parents devaient nous attendre dans la maison dans laquelle j'ai grandi. C'était une maison aux abords de Paris, pas réellement dans le centre-ville. Et c'était bien plus pratique ainsi, au moins, on n'avait pas tout ce boucan auquel les habitants de la ville avaient droit. Non, nous habitions dans un quartier assez calme, résidentiel, même. D'habitude, pour y aller, je prenais le métro, mais je voulais épargner ça à James qui n'avait pas ce goût-là. Alors, j'avais appelé un taxi et j'avais donné l'adresse au chauffeur. Plus que quelques minutes encore et James allait voir pour la première fois mes parents.

Je ne sais pas tellement si je dois angoisser à cette idée, je les avais prévenu, je leur avais dit que je ne venais pas seul, mais je suppose qu'ils ne s'attendent pas à ce que je me ramène avec mon petit ami, en le présentant comme tel, parce qu'ils ne m'avaient jamais vu avec quelqu'un en tant que tel. Même ma seule relation, Soan, je ne l'avais pas présenté. Ils allaient être surpris, et au fond, c'était peut-être ça qui me faisait peur. « Tu t'sens comment ? » demandais-je à James alors que nous étions encore dans le taxi. Serrant sa main, je lui lance un sourire tendre, en essayant d'être rassurant. « T'en fais pas, ça va bien se passer. » C'était peut-être facile à dire, mais d'un côté, j'étais certain que tout allait bien se passer. Du moins, je l'espérais.

Nous arrivons devant la maison et je sors le premier pour sortir ma valise du coffre du véhicule. Une façon pour moi de ne pas trop penser à cette rencontre. Et mes parents, ils étaient déjà là, sur le pas de la porte. Ils avaient sûrement entendu le taxi arriver, on entend tout, par ici. C'était tellement calme aussi. Ma mère me souriait tendrement, et mon père fronçait les sourcils. Je suppose qu'il se demandait qui était James, et ça ne m'étonnait pas. Enfin, j'espérais qu'il ne le juge pas trop à cause de ses tatouages et son allure, personnellement, je le trouvais parfait, et beau, et sexy en diable.. Mais il n'était pas temps de penser à ça. J'essaie de rassurer James en passant une main dans son dos, lui adressant un autre sourire, avant d'aller payer le taxi. Puis, en m'assurant qu'il me suive, je m'avance dans l'allée pour aller embrasser ma mère. « Salut maman. T'm'as manqué. » dis-je dans ses bras, avant de me tourner vers mon père. « Salut 'pa. Content d'te revoir aussi. » Je leur souris ensuite avant de me reculer d'un pas en prenant la main de James, les regardant tous les deux. « J'vous présente James. C'est mon petit-ami. » Après tout, on ne va pas y aller par quatre chemins, hein. Au moins, ce serait vite passé. Non ?
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Retrouvailles en famille.
Nevada & Oli(parents)
J'étais en panique, mon coeur s'emballait comme jamais. J'avais cette sensation à l'estomac qui me donnait juste envie de vomir là, sur moi. Mais je prenais sur moi, je me disais que ça ne pouvait que bien se passer. Après tout, je suis James, et malgré mon apparence, je reste quelqu'un de soigner et surtout présentable pour n'importe quels parents. J'ai un beau métier, j'ai une maison, une voiture, un compte en banque réellement chargé, et un chien. C'est parfait non ? À part le fait, que je suis alcoolique, et que je dévie les lois américaine pour avoir davantage d'argent, mais en soit, ce sont que des détails futiles que je vais éviter de parler. En sentant la main de Nevada bouger la mienne, je tourne mon regard vers lui, et j'examine son attitude. Il n'est pas serein, il fait mine que ça va aller, mais je vois qu'il a peur, qu'il redoute cet affrontement. Je pousse un lourd soupir, et j'hoche la tête en restant silencieux. L'idée de voir mes beaux-parents, me fout littéralement les boules. D'habitude, je ne suis pas ainsi, je suis sérieux, et surtout imposant, alors autant vous dire qu'actuellement, me voir dans l'état que je suis, est pathétique.

Mon regard valse dans toutes les directions, j'observe les paysages en me disant que j'étais en France, que j'allais vivre chez des gens que je ne connais pas, quitté mon confort et surtout mon privé. Cars, oui, soyons honnêtes, je ne me voyais pas faire l'amour avec Nevada, dans sa chambre d'adolescent. C'est plutôt malsain comme pensée. Je la chasse d'un clignement de paupières, alors que ma main vient caresser mon menton, en essayant d'évacuer le stress que j'accumulais depuis l'aéroport. Bordel, j'ai envie de fumer, mais si je demande de fumer, je risque de puer la clope fraîche, et peut-être que les deux parents détestent cette odeur. Je me suis préparé, soigneusement. Un jean noir, ainsi qu'un débardeur noir, parce que je n'allais pas arriver en costard alors que la température est excessive. Je porte mes converses noires, les jeans étaient légèrement retroussés, et on voyait à la perfection mes tatouages. D'ailleurs, j'espère qu'ils ne vont pas penser que je suis un trafiquant de drogue, et que j'utilise Nevada pour la faire circuler jusqu'en France. Je ricane, mais avant de réaliser cette pensée. Nous nous arrêtons, et là, en tournant mon regard sur la vitre, je vois les parents de Nevi. Oh merde. Il aurait fallu que je m'habille plus.. Classe ? J'ai l'air d'un gamin-là. Merde. Je sors, et dans un souffle, en abordant un faible sourire au chauffeur. Je m'approche du coffre pour extraire ma valise et mon sac que je pose sur mon épaule. Suivant les pas de Nevada, qui se jette sur ces parents. Pour ensuite.. Prendre ma main naturellement... Woh.. Calme bébé.. Sacrée présentation. Je fais un effort, et je tends ma main à la mère, puis au père en articulant dans un Français plus que médiocre. < Bonjour je souis, James. > Mon sourire est large, mon regard est doux. Mais je vois bien que le père me regarde comme si j'étais un délinquant, et la mère, ne cesse de regarder mes tatouages. Heureusement que je ne me trimbale pas le ventre à l'aire, les deux risqueraient de faire un arrêt cardiaque.
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Retrouvailles en famille.
James + Nevada & Oliver (as Mom & Dad)
Petit quartier tranquille aux abords de Paris. Loin des grands bruits et où il fait bon vivre. Quartier résidentiel et presque familiale où plusieurs ont élevé des enfants, maintenant devenu grands et qu’on ne voit plus tous les jours car ils ont quittés le nid. Comme chez les Fox où on grandit les jumeaux Sidney et Nevada. Certains les auraient dit adorables, d’autres turbulents et certains encore préfèreront s’abstenir de commentaires alors que les souvenirs refont surface. Leur parents, quant à eux, répondront toujours avec un sourire que ce sont leur garçons, peut importe.

Dans le salon, le poste de radio joue un vieil air tandis que Henrick Fox lit tranquillement le journal (activité plausible?). Fredonnant la chanson, Louise s'active déjà dans la cuisine en préparation de l'arrivé de l'un de ses petits garçons. Oui, il n'est plus petit depuis longtemps, mais au regard d'une mère, ça ne change jamais réellement. Un bruit de voiture attire son regard vers la fenêtre, cent fois déjà elle a fait ça aujourd'hui alors qu'il ne s'agissait pourtant pas toujours d'une voiture. Son esprit semblant parfois vouloir lui jouer des tours, alors qu'elle attendait avec une certaine impatience l'arrivé d'un taxi qui se garerait devant l'entrée. Et enfin, c'est le cas.

- Henrick, Nev arrive avec son ami! lance-t-elle à son mari, avant de presque en accourir sur le porche.

À ses côtés, son mari se tient bien droit, la main doucement posée à sa taille. Un discret sourire de fierté éclairant son visage en reconnaissant la tête blonde qui s'extirpe du taxi. Un froncement de sourcil alourdi cependant son regard alors que se déplit la carrure d'un homme de l'autre côté du véhicule. Un homme, mais dont la peau se cache derrière les tatouages. « Quel sorte d'énergumène Nev nous a ramener? » Pense-t-il. Un artiste à coup sur! Quelqu'un qu'il aura rencontrer durant son cursus.

Le jeune blond s'avance dans l'allée, suivit de près par le grand brun. Automatiquement Louise s'avance les bras ouverts pour y accueillir son fils, le serrant tout contre son cœur.

- Moi aussi, mon trésor, lui assure-t-elle dans un souffle.

Doucement, elle le fait reculer, pour mieux l'observer.

- Tu as maigri, constate-elle. Tu as arrêter de manger ou quoi? C'est effarant, mais qu'est-ce qui s'est passé? S'inquiète-elle en passant pourtant une main emplie de tendresse sur sa joue creuse tandis qu'il salue son père.

Et tandis qu'il reprend place au près de son ami, les pupilles des parents convergent un instant vers les doigts qui s'enlacent à avant de remonter vers les visages tandis qu'une vague et rapide présentation prends place, laissant les deux parents sous le choc pendant quelques secondes. Puis le dénommé James s'anime et la scène reprends là où on l'avait mis sur pause. La mère répond à la poignée et à la présentation avec ce sourire chaleureux qui lui est habituel, quoi que légèrement oscillant tandis que son regard n’a cesse de balayer les tatouages qui couvre les bras, les mains, le cou, la tête…  « Seigneur, il en partout! » ne peut-elle s’empêcher de penser. Le père le détaille toujours, légèrement renfermé, se contentant d'un hochement en lui serrant la main. Il réalise peut-être enfin réellement l'orientation de son fils.
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james x oli(parents) x nevada
Je m'y attendais à celle-là. Forcément, une mère est une mère, elle remarquera toujours ce genre de choses. C'est normal après tout. Elle m'avait connu bien plus en chair, la dernière fois qu'on s'était vu. « C'est rien, m'man, j'me suis juste vachement concentré sur mes études, et j'ai passé beaucoup de temps à peindre. Mais j'ai eu mon année alors ça va aller mieux maintenant. » Je lui souris tendrement après ma réponse, oui, j'avais menti. Mais en même temps, je viens pour présenter l'amour de ma vie, je ne vais pas lui dire que c'est à cause de lui que j'ai eu des problèmes de santé. Il est évident que mes parents ne le prendraient pas très bien. Et comme je voulais que tout se passe au mieux, je préfère ne rien dire à ce sujet.

Je me poste finalement à côté de James en le présentant comme mon petit ami, en lui tenant la main, et lui leur dit bonjour avec une poignée de mains. Mais en croisant le regard de mon père, je vois bien qu'il est un peu.. Réticent, peut-être ? Je ne sais pas trop, en tout cas, il n'a pas l'air très heureux. Je ne comprends pas pourquoi pour autant, il m'avait toujours laissé faire ce que j'avais envie concernant mon orientation sexuelle et n'avait jamais fait de remarque déplacée, ou ne s'était montré homophobe. Enfin, si ça se trouve, je me faisais simplement des idées. « James ne parle pas couramment français. Mais il essaie, et je peux traduire ce qu'il ne comprendra pas, si besoin est. » expliquais-je alors à mes parents, pour justifier de l'accent anglais de mon petit ami.

On entre ensuite dans la maison et je prends ma valise, et celle de James, lui signifiant que je vais les placer dans ma chambre. Ainsi, il pourra peut-être visiter le salon avec ma mère, et d'autres pièces encore au rez-de-chaussée. Et peut-être parler un peu avec ma mère qui avait appris l'anglais grâce à mon père, mais qui avait toujours ce petit accent français, celui que j'ai également. Je vais donc à l'étage monter les valises, ce qui me prend cinq bonnes minutes, et je reviens ensuite vers eux, en souriant, en m'installant sur le canapé. J'invite d'ailleurs James à s'y asseoir, et en souriant rapidement à mon père, je sors mon paquet de cigarettes pour en allumer une, et en proposer une à James. Mes parents m'avaient toujours laissé fumer, bien sûr, j'ai eu droit au fameux sermon « c'est mauvais pour ta santé » mais finalement, ils avaient fini par me laisser tranquille. Et puis, mon père fumait aussi alors on pouvait dire que c'était de famille. J'observe les traits de James qui me paraissent un peu tendus, mais c'était normal, de mon avis. Moi aussi, j'étais un peu stressé, parce que je n'avais pas encore eu les réactions de ma famille.. Et je les attendais avec impatience, mais aussi avec appréhension. Au final, je voulais simplement qu'ils l'apprécient autant que moi. « Ca va aller, t'en fais pas bébé. » lui murmurais-je à l'oreille avant de lui adresser un sourire rassurant.
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Nevada & Oli(parents)
Les regards des parents de Nevada, disaient tout. Le regard de la mère qui faisait voyager ces pupilles sur l'intégralité de mon corps, et celui du père, qui me dévisageait comme si j'étais un monstre. Je prenais sur moi, pour simplement sourire et hocher la tête. Comme si j'avais compris aux mots de Nevada, alors qu'encore une fois, je ne comprenais absolument rien. En tenant fermement ma valise, je suivais attentivement les pas de mon petit-ami, jusqu'à pénétrer dans la maison. Mes yeux détaillaient chaque décoration, ainsi que les cardes disposées sur le mur. Je me disais qu'ils devaient être fiers de leurs enfants, même si Sid, n'est en rien à féliciter à mon simple avis.

Mais lorsque Nevi, prenait ma valise. Je le fusillais du regard, alors qu'intérieurement je jurais Dieu qu'il allait m'en devoir une. Je sais que je dois connaître ces parents, mais ça fait deux secondes que je viens d'arriver. Ciel. Je me surprends à être face à deux inconnus. D'habitude, je suis à l'aise, après tout, c'est mon métier, d'être constamment en rendez-vous avec des étrangers. Mais là, ce n'était pas pareil. C'était les parents de l'homme que j'aimais, et ils pouvaient refuser à cette liaison. S'il estimait que je n'étais pas à la hauteur de leurs espérances. Les mains derrière le dos, je prenais enfin la parole, auprès de la femme, qui me scrutait.. Depuis mon arrivée. Oui, ce sont des vrais, et oui.. J'en ai vraiment partout. < Vous avez toujours habitez à Paris ? C'est très différent de l'Amérique. > J'essayais de faire de la conversation. Et je crois que j'y arrivais non ? Après tout, je n'ai pas évoqué la conversation du beau temps. En regardant de plus prêt les cadres, je prends un moment pour moi, en avançant vers ces derniers, détaillant les frères jumeaux. Merde, je suis persuadé que Nevada c'est celui de droite. < Nevada, c'est celui de droite ? > Je souris, grandement en voyant l'homme que j'apprécie ainsi, jeune. Innocent, peut-être pas, mais plus saint qu'il ne l'est désormais. En regardant l'homme s'en aller dans la direction du salon, j'en fais de même en pinçant mes lèvres l'une contre l'autre. Reviens, Nevada. Reviens. Je le cherche partout, et enfin, il apparaît. Il m'incite à prendre place à ces côtés, et c'est ce que je fais, sagement en exprimant aucune émotion. Et surtout, les sourcils froncés par cet accueil des plus froids. Je ne doutais pas, sur le fait que cela semblait étrange d'accueillir le petit-ami de son fils, mais quand même. Je ne suis pas un chien. Je connais le savoir-vivre, et il me semble pas avoir été impolis depuis ces 7 minutes. En soupirant, j'entends la voix de Nevi, et je ne peux me contenir de lui sourire. Je sens la fumée me chatouiller les narines, et je détourne mon regard vers mon compagnon, alors que je ne peux réprimander une grimace. < Je sais d'où vient le petit accent de Nevada, désormais. > Merde, pourquoi j'ai dit ça ? J'ai la gorge sèche, je me sens hyper mal à l'aise. Je ne sais même pas si c'est un compliment où s'ils vont penser que je me fous de leurs gueules. Dans tous les cas, je joins mes mains ensemble, en posant mes coudes sur mes genoux. Je ne dis rien. Ferme-là, James. Sérieux. On dirait un gamin de deux piges.
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Retrouvailles en famille.
James + Nevada & Oliver (as Mom & Dad)
Les joues creuses et le teint cireux de son fils n’avait pas échappés à l’inspection. Connaissant son appétit habituel, s’en était inquiétant. Il tentait pourtant de la rassurer, affirmant qu’il s’était donné corps et âme à ses études et sa peinture.

- Essaie de faire attention mon chéri, recommande-t-elle. Tu sais ce qui peut se passer. Ce ne sera pas mieux si tu te retrouves à l’hôpital.

Elle comptait bien redresser en partie la situation durant le séjour de son fils à la maison familiale. Son père en sourit légèrement connaissant le caractère de sa femme et les pensées qui devait l'agiter. Il était curieux de voir les dernières œuvres de son fils pour le coup. Il n’approuvait pas le jeun qui semblait s’être imposé, mais savait tout le talent dont disposaient les jumeaux, chacun dans leur branches, leur domaines. Il ne manquait d’ailleurs pas de les soutenir en se sens. Dans quel domaine pouvait d’ailleurs œuvré cet homme qui suivait Nevada? Était-il seulement légal?

La famille pénétrant à l'intérieur, leur fils s'occupant des valises, les deux parents se retrouvent donc avec cet inconnu dans leur salon. Tel une habitude, la femme prends place dans l'un des fauteuils tandis que ton mari se place derrière elle, accoudé au dossier et bienveillant. Leur regards ne cessaient détailler le grand brun.

- Depuis que j’ai rencontré Louise, réponds Henrick posant machinalement une main sur l’épaule de son épouse. Elle était venu en Amérique pour un ...séminaire, c'est bien ça? Questionne-t-il en se penchant.
- Oui, confirme-t-elle en souriant. J'avais juré que je ne repartirais pas. Je ne voulais pas le quitter.
- Au final, c'est moi aie décidé de partir, termina l'homme. Ça fait plus de trente ans.

Ils s'étaient rapidement établie tous les deux, avaient trouvé cette maison et quelques années plus tard, les jumeaux voyaient le jour pour changer leur vie. Au mieux. Aucun des deux ne diraient l'inverse! Tous deux laissent les souvenirs de cette époque remonter leur mémoire, tandis que le nouveau venu scrutte les photos. À sa question, le regard de Louise s’adoucit. Ce n’est qu’un détail. Il a tout aussi bien pu lancé la question en misant sur la chance pour trouver qui se positionne où sur les encadrements familiaux. Mais, elle n’a pas l’impression que c’est le cas et c’est ce qui, sans qu’il ne s’en rende compte, fait monter le grand tatoué dans son estime. Qui arrive ainsi à distinguer des jumeaux sans hésitations? Une mère. « …ou un amoureux. » complète-elle mentalement, alors que son sourire s’agrandit laissant apparaître de minuscule pattes d’oie qui trahisse son âge réel. Son mari affirmera qu’il s’agit plutôt d’une trahison de son corps pour montrer sa sagesse.

- Oui, c’est bien lui, admet-elle.

Le concerné descendant justement les escaliers pour se joindre à eux. Voyant son petit Nev sortir un paquet de cigarette et en allumer une, son âme de mère ne pouvait que le reprocher, bien qu’elle se tue. Que pouvait-elle vraiment dire alors que le père faisait pareil? Père qui, aux premières volutes de fumées dans la pièce plongea la main dans sa poche pour en sortir son écrin et son briquet, presque qu’inconsciemment. Le bâton de nicotine entre ses lèvres, ses iris croisèrent le chemin de celles de sa femme et il pouvait clairement y deviner un « Henrick, franchement! » qui fit retrousser les coins de ses lèvres. « Tu peux bien me laisser un défaut, je n’ai que celui-là. » lui aurait-il répondu d’ordinaire si elle avait porté un commentaire. Le dialogue en resta cependant muet, échange complice entre deux âmes soudées. La remarque de James sur l’accent de Nevada, venant briser ce petit moment, le père se renfrogne légèrement se demandant s’il s’agit d’un reproche, tandis que la mère laisse échapper un léger rire.

- C’est tout le charme français qui fait succomber les américains, affirme-t-elle, fière de ses racines.

Le charme français, oui. C’était en effet en partie ce qui avait séduit son Henrick à l’époque. Tendrement, elle appose sa main sur celle de son mari, toujours présente sur son épaule. Il ne peut s’empêcher de couler un regard sur vers sa femme. Après tant d’années, ils étaient toujours aussi amoureux. Les mouvements de son fils lui faisant un instant détourner les yeux en sa direction, le sourire que le jeune blond aborde craque finalement sa carapace. Il se reconnaît, des années plutôt, alors qu’il était fébrile d’annoncer à ses propres parents qu’il avait trouvé la femme de sa vie. À cette époque, c’était ainsi. C’en était à la limite cérémonieux. Ça engageait à des plans futurs très clairs. Aujourd’hui, de telles présentations officielles étaient plus rares et n’avait pas le même poids exactement. Seulement si Nevada avait fait traversé un océan à cet homme pour le leur présenter, c’est que, quelque part, il devait penser que ça en valait la peine. Aussi pouvait-il lui laisser une chance et tenter de connaître celui-ci avant de le juger que de par son apparence.


*  *  *  *


HJ:
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james x oli(parents) x nevada
« Oui maman. T'en fais pas, je gère. » dis-je à ma mère et je rajoute en murmurant, un sourire complice aux lèvres. « James m'a à l'œil, il prend soin de moi alors t'as pas à t'en faire. » Je voulais vraiment la rassurer, et puis, c'était vrai après tout. James était derrière moi pour ce qui était de la nourriture, et parfois du reste. Mais bon, il prenait soin de moi après tout. Je ne peux décidément pas lui reprocher d'être aussi attentionné à mon égard. C'était aussi pour ça que je l'aimais, parce qu'il était tenace.

Je monte nos valises dans ma chambre en les laissant un peu seul quelques minutes. En réalité, je voulais surtout que mes parents apprennent à connaître un peu James sans moi à côté. Et en revenant, je ne sais pas si ça a été un franc succès, mais mes parents étaient installés et James n'attendait plus que moi pour en faire de même. Je le rassure, en m'installant près de lui, et en m'allumant une cigarette. Et je croise le regard désapprobateur de ma mère. J'en souris, elle était mignonne à s'en faire pour moi. Mais j'en souris davantage, laissant même échapper un léger rire lorsque je la vois d'un regard reprocher à mon père de s'en griller une aussi. Mon coeur se réchauffait à les voir ainsi, toujours aussi complices l'un et l'autre. Ca m'avait tout de même manqué de voir ma famille, même s'il me manquait quand même Sid pour aller parfaitement avec ce décor de famille heureuse et épanouie. J'espérais seulement que James s'y sentait bien malgré les regards auxquels il avait eu droit avant d'entrer. Je le regarde d'ailleurs, en lui souriant tendrement alors que je lui propose une cigarette.

« Eh ouais, on les a comme ça les hommes, chez les Fox. A l'usure avec notre magnifique accent. » ajoutais-je aux propos de ma mère, en lui souriant toujours autant. Ce n'était qu'une plaisanterie, mais je savais que ma mère allait en rire, tandis que mon père me lancer une pique. Enfin, vu son regard, je m'y attendais. Il était du genre taquin, et si ça n'était pas une taquinerie, ce serait forcément discret et plus que politiquement correct. Même s'il avait un petit air abrupte, mon père était quelqu'un de très respectueux. En aspirant la fumée d'une bouffée de cigarette, je la recrache en déposant ma cendre dans le cendrier, posant également une main sur la cuisse de mon petit ami. « J'ai vu que t'avais préparé des p'tits trucs à grignoter maman. Tu veux que je t'aide à tout ramener ? » lui demandais-je en la regardant d'un regard tendre, avant de poser mes yeux sur James, le logeant d'un regard tout aussi tendre et aimant. Ca se voyait à mille kilomètres que j'étais fou de cet homme là. Et je pense que ma mère va vite le comprendre.
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Nevada & Oli(parents)
Il fallait que je me détende, après tout, ils n'allaient pas me manger, et j'étais certain d'avoir un comportement assez satifaisant, j'étais calme, posé, et j'écoutais attentivement les réponses Nevada, ainsi que celle de sa mère. Je hochais la tête, en étant totalement d'accord. J'aimais, l'accent de Nevada, j'aimais quand il me parlait. Il était adorable. Alors que ce dernier imposait sa phalange sur le sommet de ma cuisse, je baissais instinctivement le regard, alors que je vins la rejoindre de ma main, en nouant nos doigts ensemble. Je n'ai pas à me cacher, franchement, je commençais à comprendre que jouet un papier ne servirait à rien, et qu'en plus, s'ils devaient m'apprécier, cela serait de mon attitude naturelle. Et non, le contraire. Les mots de mon petit-ami, me sortaient de mes songes, et je plaçais mon intention sur la femme, alors que par la suite, je fis voyager mon regard sur l'homme. < C'est un très beau endroit, où vous vivez. J'aime beaucoup Paris, j'espère que Nevada et moi aurions le temps de profiter. > J'assurais mes paroles dans un sourire assez prononcé, où l'on pouvait admirer sans autre ma dentition. Cependant, j'envoyais un petit regard doux à Nevada, qui lui se redressait pour s'occuper avec sa mère, tout en dirigeant vers la cuisine. Bon, encore une fois, je n'aimais pas vraiment me retrouver de cette manière seul, et je préférais grandement qu'il soit à mes côtés, histoire que le silence ne vienne pas s'installer comme il le fait actuellement. Je me penchais en avant, ôtant une cigarette du paquet de mon petit-ami, en brûlant l'embout. Aspirant cette fumée toxique qui s'évadait ensuite dans l'air. < Vous devez être fier de Nevada. C'est un très grand artiste. Il fait des œuvres très surprenantes. J'essaie de lui faire accepter le fait, que je veuille le présenter à des personnes, et qu'il poste ces peintures dans une galerie. Vous en pensez quoi ? > Honnêtement, j'étais intrigué sur l'avis du père, je voulais savoir s'il percevait le talent de son fils, et s'il était aussi fier que moi, je l'étais. Dans un passé proche, j'avais proposé à Nevada d'exposer ces toiles, mais sans succès, ce dernier n'estimait pas être à la hauteur et il préférait attendre. Ce qui, était faux. Il avait de l'or sur les mains, et je ne cessais de le répéter à chaque occasion.

Alors que nous poursuivons dans ce sujet, je pris la peine, de me présenter comme il se doit. Non, parce que je ne veux pas qu'il pense que je suis un trafiquant d'organe. < Je me suis pas vraiment présenté. Je suis avocat. Votre fils et moi, nous nous sommes rentré durant une petite soirée. Je sais que mes tatouages peuvent créer plusieurs sous-entendus, mais je vous assure, que c'est juste une question d'art. Je suis dans la protection des femmes qui subissent des maltraitances. C'est un dominais qui me tiens très à coeur. > Je ne veux pas avoir des mérites, loin de là, de mon intention. Mais, il me semblait que c'était la moindre des choses, qu'ils ne pensent pas des choses négatives envers moi. Je me redresse, comme il faut, pour écraser le bâton de nicotine dans le cendrier. J'entends les voix de Nevada, ainsi que celle de sa mère, et je me permettais de me lever du divan, ajustant mes habits rapidement. < Je vais voir, ce qu'ils font ! > Peut-être était-ce une excuse pour pouvoir me sortir des mains du père, enfin, oui, ça l'était. Je me dirige vers la cuisine, tout en passant en revue les cadres placés sur plusieurs murs. Je n'avais jamais eu ce droit. Aucun photo de famille n'avait été suspendu au mur.

Toc, toc. Je cognais mon index contre la porte, en pénétrant dans la pièce, les mains dans les poches. < Je viens jeter un petit coup d'oeil. > Mon corps se plaçait derrière Nevada, et discrètement mes mains venaient toutes les deux se loger sur le creux de ces hanches, en posant mon visage sur l'une de ces épaules, l'odeur de nourriture voyageait sous mes narines.


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James + Nevada & Oliver (as Mom & Dad)
Aux paroles de son fils qui se veut rassurant, elle coule un regard vers cette homme qui le suit se questionnant sur l'identité de celui-ci, mais surtout son lien avec son fils, avant que les présentations, très brèves et très directes, ne les jettent tous les trois par terre. Son petit ami. Rien de moins. Si aux premiers regards, l'apparence de celui-ci ne faisait pas l'unanimité, le tout s'améliore progressivement lorsqu'ils entrent tous et passent au salon. Quelques petits détails qui changent les points de vues et adoucit les humeurs. Partiellement du moins.

Les volutes de fumée s'élèvent rapidement dans le salon, Louise lançant un regard désapprobateur à son fils et son mari. Mais que peut-elle vraiment dire? Si l'un n'a commencer que depuis quelques années, l'autre lui sert de mauvais exemple depuis sa naissance, l'habitude datant même d'avant cela. Un regard complice et les deux parents ne peuvent s'empêcher de se sourire doucement. James commentant le parlé de Nev, Louise lui réponds facilement que c'est tout le charme français qui fait son effet. À l'ajout de son fils, elle laisse échapper un petit rire, les doigts délicatement et rapidement posés devant ses lèvres.

- Vous verrez James, ils sont également tout aussi humble que leur accent est charmant, ajoute Henrick, faisant mine d'être découragé par le duo en levant les yeux au ciel.  

Il en sourit pourtant, étant parfaitement conscient que c'est effectivement en entendant cet accent dont il est question et en voyant le sourire de Louise qu'il a complètement craqué pour cette charmante jeune femme à l'époque. Une étrangère en visite dans son pays et avec qui il avait dès lors décidé de passer sa vie. Choisissant même de changer sa nationalité pour elle. En aucun cas, cependant, il ne le regrettait. Il aimait sa vie à Paris. Chose que James semblait tout aussi enclin à visiter.

- Il le faudra mon cher! Assure la mère avec un sourire. Après tout vous n'êtes pas en séjour ici pour rester cloitrer en chambre!  

Elle n'avait aucun doute que Nevada désirerait faire visiter la ville et ses alentours à James. Ce n'est pas seulement que Paris est un endroit terriblement romantique comme on le décrit sans relâche dans les films et les livres, c'est aussi une part de lui qu'elle se doutait que son fils voudrait présenter à son petit ami. Et celui-ci se soumettrait sans aucun doute à l'expérience, y voyant une occasion de mieux le connaître. Du moins étais-ce qu'elle en pensait. De son côté, Henrick toussota, légèrement mal à l'aise par la tournure de phrase employé par sa femme. Certaines images qu'il n'avait pas besoin, ni envie de se faire. Comme souvent, cependant, elle n'avait peut-être réaliser le caractère de tout ça.

Apportant un changement de sujet après avoir écraser sa cigarette dans le cendrier, Nevada proposa d'aider sa mère en cuisine. Enthousiasme, celle-ci se leva et suivi de son fils pénétra à la cuisine pour finir de préparer les bouchées laisser en plan par l'arrivée des deux jeunes hommes. S'affairant à la tâche, elle coula un doux regard vers son fils.

- Ça fait longtemps que vous vous connaissez James et toi? Demanda-t-elle, curieuse.

***

- Vous devez être fier de Nevada. C'est un très grand artiste. Il fait des œuvres très surprenantes. J'essaie de lui faire accepter le fait, que je veuille le présenter à des personnes, et qu'il poste ces peintures dans une galerie. Vous en pensez quoi ?

Henrick haussa un sourcil, tirant sur les dernières bouffées de sa cigarette avant qu'elle n'aille rejoindre les autres embouts dans le cendrier.

- Heureux que vous l'ayez remarqué, fait-il avec un sourire sincère.

Il connait tout le talent de ses fils et est toujours fier qu'on en dise du bien. Nevada créait de véritable chef-d'œuvre en peinture, lui et sa femme ne cessait de le lui répéter. Et Nev, ne cessait de répéter que leur opinion était biaisé car il était leur fils. Légèrement têtu à ce sujet le petit.

- Il ne servira à rien de le pousser s'il n'en a pas envie, mais il a effectivement l'étoffe pour exposer, appuie-t-il avec un hochement de tête. Vous avez beaucoup de contacts dans ce domaine? Le questionna-t-il par curiosité.

En un sens, il espérait pour son fils que ce soit effectivement le cas et que les personnes en question ne soit pas seulement que les tatoueurs qui avait marqué le corps de vis-à-vis. Pour percer dans le milieu artistique, bien souvent, il fallait avoir les bons contacts pour rapidement faire son chemin. Nev avait le talent et une fois lancé, son père se doutait bien qu'il aurait l'énergie pour émerger et atteindre son apogée. Il suffisait simplement que quelqu'un le remarque et soit prêt à lui donner sa chance.

Voulant peut-être dissipé des quiproquos à son sujet, James détailla un peu plus ses activités et ses goûts quand à son apparence.  

- Noble cause, admit-il. Et qu'est-ce qui vous a fait obliqué en cette direction?

Il n'en cachait pas sa surprise. Ce n'était pas du tout ce à quoi il s'attendait. Jouant probablement trop par les apparences, il concédait avoir pensé que le métier de l'homme n'était peut-être pas des plus légal. Aussi s'étonnait-il que ce soit, en vérité, à la plus total opposée. Impressionnant. Et somme toute rassurant pour un père, même si son fils n'avait plus 14 ans. Emprunt de curiosité apparemment, James finit par se lever pour aller voir ce que font Louise et Nev à la cuisine.

***

Deux coups discrets contre le battant fit relever la tête à la femme qui se détourna un instant de ce qu'elle faisait. Un doux sourire prit place sur ses lèvres alors que James se glissait derrière Nevada. Un regard complice à son fils et elle se concentre à nouveau sur sa besogne.


*  *  *  *
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Retrouvailles en famille.
james x oli(parents) x nevada
En écrasant mon mégot dans le cendrier et avoir embrassé rapidement mon petit ami, je file ensuite à la cuisine avec ma mère pour l'aider avec les amuses-gueule. Ainsi, je pouvais passer un peu de temps avec elle, pas que je ne sois pas proche de mon père, non, mais je préférais profiter de toutes les occasions pour profiter d'eux, même si je viens à peine de débarquer. Et puis en même temps, mon père pourrait apprendre à connaître James, et apprendre qu'il n'est pas si méchant qu'il en a l'air. James peut parfois faire un peu peur avec ses tatouages et son regard, mais au fond, c'est une crème. Enfin, moi, je le considère comme une crème, même si je ne le lui ai jamais dit, et que je ne compte pas le lui dire. Il va me tuer s'il sait que je pense ça de lui.

Ma mère s'adresse à moi et je lui souris en l'aidant tranquillement. « Ouais, assez. Enfin, ça fait presque un an maintenant. » Dis comme ça, c'est vrai que ça fait peu. Je ne m'en étais jamais rendu compte. « Mon dieu, j'ai l'impression que ça fait plus que ça ! De le connaître depuis toujours. » lui avouais-je en riant. Je ne sais pas si ça fait partie du coup de foudre, mais c'était là : c'était comme si je le connaissais depuis ma naissance. Pourtant, il m'en a fallu du temps avant de le connaître assez bien, même si je ne le connais pas encore parfaitement. On dit d'ailleurs souvent qu'on ne connait pas une personne avant d'avoir vécu deux années avec elle. J'ai encore de la marge. « Tu sais maman, c'était un peu comme dans les films. On était en soirées et je l'avais repéré, et puis tu me connais, j'ai été le draguer parce qu'il m'avait sacrément tapé dans l'oeil. » commençais-je à raconter. « Mais il m'a repoussé, encore et encore, parce que j'ai insisté. Il m'a pas cédé tout de suite, j'peux te dire que le charme de l'accent n'a rien pu faire. Mais au bout de quelques fois, il a fini par céder et puis, c'était assez bizarre comme relation. On n'était pas en couple mais tu sais, je ressentais ce besoin de l'avoir pour moi, tu comprends ? J'avais d'yeux que pour lui et j'voulais juste que ça en soit de même pour lui. » Je hausse les épaules, puis finit par soupirer. « Au final on a mis plusieurs mois avant de se rendre compte qu'on s'aimait et depuis.. C'est le bonheur. » Un grand sourire aux lèvres, mes yeux pétillaient. Bon d'accord, j'avais omis de lui dire pour notre séparation, mais si je le faisais, je savais qu'elle ferait le lien entre ça et ma perte de poids.

Finalement, j'arrête ce que je fais pour observer ma mère d'un air assez sérieux. « Maman, je veux pas que t'aies des préjugés parce qu'il a des tatouages et tout ça.. Tu sais c'est vraiment quelqu'un de bien. D'ailleurs il sait pour ma bêta thalassémie. Il le sait depuis le début, et il prend soin de moi, il me rappelle que je dois prendre mes cachets, m'accompagne au transfusions.. En fait il me rappelle un peu toi, par moments. » Je ris légèrement, bien que ce soit un sujet assez délicat, raison pour laquelle j'avais baissé la voix. « Je sais que tu le jugeras pas mais je voulais juste te dire qu'il est très gentil. Il suffit de le connaître un peu. Il est mal à l'aise, aussi, je le sens bien. Tu veux bien essayer de le mettre à l'aise, maman ? S'il te.. » Alors que j'étais en pleine discussion avec ma mère, j'entends frapper, et mon regard se pose sur James. Mes yeux pétillent automatiquement et je lui souris le plus tendrement du monde, en délaissant mes activités pour poser mes mains contre les siennes. Un regard complice échangé avec ma mère puis je pince les lèvres et baisse la tête pour continuer ce que je faisais. « J'étais justement en train de dire à maman à quel point tu es doux et aimant. »
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