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SLOALINE • WELL, if you want to play, we'll play together

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Never close your lips to those whom you have already opened your heart.
La tête dans le cul, Sloan rentrait à peine de sa soirée. Il devait être quoi, sept heures du matin, à tout casser. Il avait bien bu mais surtout, bien fumé. Depuis un mois environ, il enchaînait weed et augmentait considérablement sa consommation. Il s'enfermait tout seul dans un cercle vicieux et n'arrivait pas vraiment à s'en détacher. La disparition de sa mère l'affectait énormément et il gérait les choses à sa manière. Autrement dit, très mal. L'Eliot ne savait plus quoi faire pour réussir à faire son deuil. Il était conscient que la drogue n'était pas une solution mais pour le moment, c'était plus fort que lui. Quoiqu'il en soit, il entra dans la chambre d'hôtel en essayant de faire le moins de bruit possible, les filles devaient certainement dormir. Lorsqu'il entra, il eut la surprise de trouver Sheila debout. « Sloan ? C’est à cette heure-ci que tu rentres ? » dit-elle avant de déposer un baiser sur sa joue. Le beau brun ne réagissait même pas, il se contentait de froncer les sourcils lorsqu'il l'entendit parler de nouveau. « J’en connais une qui ne va pas être contente… Enfin, Charline non plus n’est pas rentrée de la nuit... J'vais prendre ma douche mon chou. Si jamais tu t'ennuies, je ne ferme pas la porte à clé. » lança-t-elle subtilement. Sloan leva les yeux au ciel et avança dans les chambres. « Ouais j'arrive ... ou pas. » répondit-il en soupirant. En fait, savoir que Charline avait passé la nuit dehors, ça le faisait chier. Elle le repoussait mais était surement collée à un autre mec. Il n'avait même pas la force de s’énerver, il voulait juste dormir. Sloan ne chercha pas à comprendre et vint s'asseoir sur le premier lit venu. Il posa ses mains sur sa figure avant de se frotter les yeux. L'Eliot redressa la tête lorsqu'il entendit un bruit de serrure. C'était surement Charline qui rentrait. Vexé de son absence cette nuit, il comptait bien lui faire comprendre qu'il n'appréciait pas cette situation. Sloan enleva rapidement son t-shirt et son bermuda qu'il balança au hasard dans la pièce. Il se mit dans le lit et repoussa les couettes jusqu'à ses cuisses, histoire de bien monter qu'il était en calfut dans le lit de Sheila. Non mais quel connard. Il s'allongea et mit un bras au dessus de sa tête. Le beau brun ferma les yeux et refoula un petit rictus sur le coin de ses lèvres. Finalement, ça l'amusait. Enfin, il était conscient qu'il n'allait pas rire bien longtemps.  
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Ce summer camp ne ressemblait en rien à l’idée que je m’étais faite. Ma relation avec Sloan perdait de son équilibre. Nos regards se croisaient, nos paroles étaient souvent bien trop courte et nos ébats ne se comptaient même plus sur les doigts de la main. Frustré de ne pas pouvoir vivre le rêve que je m’étais imaginée. Je m’étais doucement noyée dans l’illusion festive du summer camp. Ma soirée avait été mouvementé et après plusieurs heures passées sur la plage en compagnie de Darwin. J’avais enfin fini par retrouver mes clés. Cacher derrière ma poche de jean, j’avais attendu toute la soirée en compagnie de cet homme, qui autrefois m’étais inconnu. Mon regard croisa une horloge. Il était tard, beaucoup trop tard pour prétexter un retour de soirée. De plus l’alcool que j’avais ingurgité, ne s’était pas totalement dissoute. Mes yeux étaient lourd et mes pas très lent. J’allais à mon rythme retardant le plus possible mon retour dans ma chambre d’hôtel. J’arrivais à la porte en faisant attention de ne pas faire trop de bruit. Ce soir, je n’avais pas dormis dans ma chambre et indirectement j’espérais que Sloan ne s’en aperçoive pas. Je n’étais pas d’humeur à épiloguer sur ma soirée. Je refermais délicatement la porte dernièrement moi sans apporter attention aux lits qui se trouvaient à côté de moi. J’enlevais mes chaussures avant de relever le visage. Mes sourcils se froncèrent instinctivement en voyant le spectacle qui s’offrait à moi. Je devais halluciné, l’alcool devait me faire perdre la tête. J’approchais de mon lit en ne quittant pas le corps à moitié nu de Sloan dans le lit de cette Sheila. Je m’allongeais sans dire le moindre mot avant de fermer les yeux. Je les rouvris espérant me réveiller de ce cauchemars. Son dos me faisait face. Il était toujours dans le lit de cette fille. « Non mais bordel j’hallucine !» dis-je en me redressant et en balançant mon oreille sur l’étudiant pour qu’il se retourne. Mes gestes étaient lent et lourd. Je me redressais rapidement, trop rapidement ce qui me vallu un moment d’absence comme coupé du monde. Je m’approchais de l’éliot et lui fis : « Tu as couché avec elle ?» dis-je d’une voix fébrile presque incontrôlable. Sans que je ne puisse rien contrôler, les larmes me montaient aux yeux. Ce spectacle était insoutenable. C’était bien la chose que je ne souhaitais pas voir, ma crainte depuis que j’entretenais cette relation si étrange avec lui. Je me postais devant le lit de la fille et je finis par lui dire : « j’avais... juste perdu mes clés et tu... tu as couché avec elle.» l’alcool amplifiait toute mes émotions. Impuissante et démuni, je m’étais agenouiller pour ne plus faire face à son regard plus que bizarre. Mes mains se portaient à ma tête tentant d’échapper à ce désastre.  
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Sloan à toujours été un homme impulsif mais depuis peu, sa consommation excessive de drogue le rendait assez instable mentalement. Il agissait sans réfléchir et prenait souvent de mauvaises décisions. L'idée de se mettre dans le lit de Sheila en entendant Charline rentrer dans la chambre était complètement stupide. Cela sentait l'engueulade à des kilomètres à la ronde. Sloan ne réfléchissait pas, il ne réfléchissait plus. L'alcool qu'il avait ingurgité cette nuit n'arrangeait en rien cette situation quelque peu malsaine. Affalé dans le lit de Sheila, le beurre brun attendait patiemment que sa douce rentre. Les yeux fermés, il entendit la porte s'ouvrir délicatement puis se refermer. Ne vous y méprenez pas, à l'intérieur de lui, l'Eliot était en rage. La brunette s'avança vers son propre lit avant de lancer les hostilités et de lui balancer une première insulte. Le jeune homme ne bougea pas et attentif le deuxième pique avant de se retourner vers elle. Il fit semblant d'ouvrir un oeil avec difficulté et grogna légèrement pour marquer son mécontentement. Sloan la regarda s'accroupir en sachant pertinemment qu'il n'avait pas couché avec Sheila. Mais, forcé de constater que Charline avait passé la nuit dehors, il allait s'amuser un peu. Il se redressa avant de poser ses pieds sur le sol et de lui faire face. Sans un bruit, il se leva et la regarda. Il eut un pincement au coeur en la voyant aussi démunie mais qu'importe il avait une idée en tête et avait vraiment envie de savoir ce qu'elle avait fait cette nuit. Sloan se pencha légèrement vers l'avant et lui attrapa le poignet. « Lève toi. » dit il sur un ton assez autoritaire. Il l'incita à se relever et plongea son regard dans le sien. Sloan s'approcha d'elle et affiche un petit sourire amusé. Il puait l'alcool à des kilomètres à la ronde. « Ouais, je l'ai serré toute la nuit.. Enfin tu sais ce que c'est quand je suis en forme.. » lança-t-il bêtement. Il ne lui laissa pas le temps de réagir et avança pour la faire reculer. Charline vint buter contre le bord de leur lit et sans chercher à comprendre plus loin, il se pencha pour la faire basculer en arrière. L'alcool les fit tomber lourdement sur le lit. Sloan rigola légèrement avant de venir l'embrasser dans le cou. « Mais j'suis pas totalement vide, si tu vois ce que je veux dire. » murmura-t-il entre deux baisers. L'envie d'elle prit rapidement le dessus mais c'était sans compter sur une Granger qui essayait de se débattre pour échapper à son emprise. Le beau brun passa sa main sur sa cuisse avant de relever la tête. Il est impossible pour lui de se concentrer, elle bougeait trop. Il l'a regarda avant de froncer les sourcils. « Tu étais ou ? » demanda-t-il sur un ton sévère. Il ne rigolait plus du tout la. Les jours d'abstinence eut raison de lui parce qu'il sentait déjà l'excitation monter en lui. Drôle de mélange qu'étaient la rage de ne pas savoir où et avec qui elle avait passé la nuit et l'envie d'elle.
 
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Mes craintes se dessinaient sous mes yeux. Obnubilé par ce que j’avais sous les yeux, je me perdais dans ma naïveté. L’alcool n’était pas redescendu. Je m’étais accroupie pour ignorer le spectacle qu’il m’offrait. Je ne voulais pas le voir. Mes mains se portèrent à mes yeux comme pour m’obliger à rester endormi. Sloan venait de réveiller cette peur inconditionnel. Cette peur que j’avais de le perdre. Je le sentis s’approcher. Mes sourcils se froncèrent essayant de retenir le flot de larmes qui ne demandait qu’à couler. Je ne contrôlais plus rien. L’alcool dictait mes émotions et les amplifiait à son aise. « Lève-toi.» je n’avais pas envie malgré le ton autoritaire qu’il venait de prendre. Il m’attrapa le poignet et m’obligea à me redresser. Mon regard le fusillait. Il était anormalement calme et tactile. Il s’approcha de moi pour coller son corps à moitié nu contre le mien. Un frisson incontrôlé s’échappa de mon corps. Mes mains restaient en équilibre, hésitant à le toucher. Son sourire amusé m’arracha une grimace. « Ouais, je l’ai serré toute la nuit... Enfin tu sais ce que c’est quand je suis en forme...» Mon regard s’était durci. Sloan pouvait être un vrai connard quand il s’y mettait. Prête à fuir, il anticipa et se colla contre moi pour me faire reculer. Il se pencha et me fit tomber sur le lit. Un sourire amusé s’afficha sur mes lèvres. Un sourire qui n’avait rien à faire ici mais que je n’arrivais pas à retenir. Je ne comprenais rien. Allongé sur moi, il m’empêchait de m’échapper. Gardant une totale emprise sur moi. « Mais j'suis pas totalement vide, si tu vois ce que je veux dire.» Je bougeais tentant de rompre cette étreinte. En réalité, j’étais incapable de le repousser complètement. Mon esprit embrumé voyait là, une occasion de profiter de ces retrouvailles. Mes hanches bougeaient délicatement pour se frotter contre l’intimité de l’étudiant. C’était exaspérant... j’avais envie de l’engueuler pour ces paroles abruptes et j’avais envie de l’embrasser pour combler mon manque. L’alcool mélangeait tout dans mon esprit. Ma respiration se bouscula aussitôt. Sa main s’attarda sur ma cuisse. Tandis que j’essayais de contrôler un minimum mes ardeurs, je sentais son intimité se durcir contre moi. Ses lèvres se déposèrent dans mon cou. Mes mains elles restaient anormalement sages. Un vrai supplice. Je saisissais les draps qui nous entouraient. Ne le touche pas ! Ne le touche pas, il ne le mérite pas. Il releva son visage et il me fit : « Tu étais où ? » son ton était sévère et mes sourcils se plissèrent. Sloan était celui qui avait lancer les hostilités et une idée aussi ridicule que la sienne me vient à l’esprit. Mes mains se placèrent dans le creux de son dos. Parfaitement sculpté, j’affichais un sourire provocateur. Une main remonta à ces cheveux et l’autre descendait pour venir se perdre dans le caleçon de l’étudiant. Une main sur ces fesses et l’autre dans ses cheveux. Je me pinçais les lèvres. « Je me suis tapée un parfait inconnu sur la plage ! J’ai baisé avec lui en pensant à toi !» dis-je sans filtre. L’alcool n’était vraiment pas bon autant pour lui que pour moi. Ma main attrapa une poignée de cheveux et tira dessus pour lui faire relever la tête. Mes lèvres s’écrasaient tendrement dans son cou et ma langue mouillait sa peau chaude. « Je lui ai montré ce que je savais faire avec ma bouche ! il a adoré » dis-je en le provocant avant de sentir sa main se plaquer contre ma bouche comme pour m’empêcher de parler.
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L'alcool n'arrangeait rien à la situation, au contraire, elle semblait l'empirer allègrement. La frustration de ne pas pouvoir la toucher ne faisait qu'attiser cette envie malsaine. Alors que Sloan s'était levé, il n'avait pas attendu longtemps avant de venir coller son corps contre le sien. C'était plus fort que lui, il ne pouvait pas faire autrement. Attiré comme un aimant vers son corps, il en voulait toujours plus. Depuis leur arrivé au Summer Camp, ils n'avaient absolument rien fait. Charline refusait catégoriquement qu'il la touche et redoutait le regard de Sheila sur eux. Mais clairement, le beau brun en avait rien à foutre de leur colocataire. Il voulait juste sa princesse et pouvoir profiter ensemble de la Nouvelle Ecossse. Les deux s'étaient annoncés parfait, une chambre à deux, un décor paradisiaque et une relation plus fusionnelle que jamais. Mais c'était sans compter sur la timidité de Charline et l'arrivée fracassante de la tornade blonde. Sloan ne supportait plus Sheila, il en avait ras-le-bol. Il voulait juste retrouver la petite Granger mais au lieu de ça, madame avait décidée de passer la nuit dehors. Le jeune homme ignorait ce qu'elle avait fait mais surtout, avec qui elle avait passé la nuit. Cela le rendait complètement fou, il s'imaginait déjà le pire. Après tout, elle ne lui avait toujours répondu à sa stupide déclaration d'amour. Au début ce silence n'avait pas vraiment d'importance mais plus les semaines passaient et plus l'Eliot avait des doutes sur sa sincérité. Il avait peur que cet attachement, que cet amour ne soit pas réciproque. Il savait la brunette réticente à tout ça mais espérait, au fond de lui, qu'elle change d'avis. Sloan la voulait que pour lui, ouais il était égoïste sur ce coup-là. Le beau brun nourrissait quelques jalousies mal placées envers sa princesse. La savoir dans les bras d'un autre lui était insupportable. Malgré les apparences, il était en rage. La drogue ingurgitée plus tôt ainsi que l'alcool, rendaient ses gestes plus lents et difficiles. Heureusement pour tout le monde, sa bipolarité semblait lointaine. Allongé sur Charline, il lui avait posé une seule et unique question. Il la fixait en attendant une réponse de sa part, il n'était pas vraiment d'humeur à plaisanter. La brunette plissa les yeux, il fit pareil. Sloan ne comprenait pas vraiment où elle voulait en venir, serait-ce de la provocation ? Quoiqu'il en soit, il sentit sa douce main se poser délicatement sur son dos. Il ne bougea pas. L'Eliot n'était pas vraiment d'humeur à plaisanter et attendait une réponse cohérente mais surtout sincère. Et là, prit à son propre piège, Charline lui balança une insulte qui lui glaça directement le sang. Elle semblait vouloir s'amuser un peu avec lui. La brunette passa sa main dans ses cheveux et tira sur une poignée pour lui faire relever la tête. Le visage de Sloan se fermait à vue d'oeil. Cela ne lui plaisait pas du tout, la weed l’empêchait de saisir la subtilité de sa provocation. Sans chercher à comprendre, il posa sa main sur sa bouche pour qu'elle arrête ses paroles blessantes. « Putain, j’le savais. » dit-il sur un ton glacial. Sa bipolarité semblait débarquer de nulle part. L'excitation se mêlait à sa colère. Cette position était alléchante et franchement, il était à deux doigts de craquer. Si seulement, elle n'avait pas fait sa salope toute la nuit, il l'aurait fait sienne sans la moindre hésitation. Partagé entre l'angoisse de la perdre et son côté dominateur piqué à vif, Sloan se redressa. Les traits de son visage étaient durs, il n'en revenait pas. Et alors qu'il s’apprêtait à répliquer, un bruit de porte lui fit tourner la tête. « Sloan, bah alors j'tai attendue. Oh je vois que madame char.. » commença-t-elle à dire de sa voix aiguë et énervante. L'Eliot lui lança un regard cynique et lui coupa littéralement la parole. « Dégage ! » lui ordonna-t-il. Il fallait aveugle pour ne pas remarquer qu'il ne rigolait pas. Sa voix était nette et autoritaire. Le beau mâle sentait la crise de bipolarité le guetter. Il savait pertinemment que Sheila était la cause de ses problèmes avec Charline. Alors que la blondasse essaya de se justifier d'un « Mais je... » bredouillé et sensible, Sloan attrapa la lampe posée sur la table de chevet juste à côté de lui. Sans chercher à comprendre, il lui balança à la gueule. « Barre toi j'te dis ! » Par chance, il était saoul et rata sa cible. La lampe vint s'exploser en mile morceaux sur l'encadrement de la porte de la salle de bain. Sheila, choquée par ce qu'elle était en train de voir, regarda Charline quelques secondes et lui lança un regard interrogateur. Voilà qu'elle s'inquiétait pour sa nouvelle grande copine. Sloan se racla la gorge de mécontentement. « Ne m'oblige pas à te faire dégager ! » la menaça-t-il. Résignée à rester plus longtemps dans cette chambre, Sheila quitta la pièce. Une fois seuls, l'Eliot reporta son attention sur Charline et lui attrapa les poignées. Le beau brun se pencha vers l'avant et lui leva les bras, juste au dessus de sa tête. Il approcha son visage du sien et la regarda. « Ça t'plait de jouer les salopes ? » murmura-t-il avant de laisser ses lèvres effleurer sa joue. Ne le blâmez pas pour ce qu'il venait de dire, il était suffisamment mal comme ça. Ressentir autant d'émotions d'un coup n'était pas permis, il avait largement de quoi péter un plomb.  
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Sloan avait voulu jouer et s’était sur un plateau d’argent que je lui avais servi ma réponse. Coupé dans mon élan, sa main s’était écrasée lourdement contre ma bouche m’empêchant de poursuivre mon récit. « Putain, j’le savais.» mon regard se fronça à l’annonce de ces mots. Comment sa il le savait ? mes mains se laissèrent tomber sur le lit. Sloan venait de plonger tête la première dans ma bêtise. Il se redressa mais ne se retira pas à ma grande surprise. J’allais devoir éteindre ce feu qui était en train de bouillir à l’intérieur de lui. Son regard était glacial. Je pouvais même y déceler de la haine. Sa bouche s’entrouvrit. Prête à recevoir ma sentence, la voix de Sheila raisonna dans la chambre. « Sloan bah alors j’tai attendue. Oh je vois que madame char...» mon regard se tourna avant d’entendre la voix froide de l’Éliot. « Dégage !» son ton était menaçant. Il me faisait froid dans le dos. Mes sourcils se froncèrent avant de relever le haut de mon buste. Mes bras étaient placés en arrière et me tenaient en appui. Je gardais le silence, comprenant que les choses étaient à deux doigts de dégénérer. La fille chercha à se justifier. Je me mis à soupirer me laissant tomber lourdement sur le lit avant d’entendre un bruit sourd. Ma tête se releva, il venait de lui balancer la lampe en plein de dessus. Surprise, mon regard croisa celui de Sheila. Déstabilisée, elle se précipita vers la sortie. Je reportais mon attention sur Sloan. Il était hors de contrôle et même bourrer je pouvais le sentir. Son regard croisa le mien et un frisson me parcourut le corps. Ses mains attrapèrent fermement les miennes. Il me les plaça au-dessus de mon visage avant de s’abaisser vers moi. Mon corps se pressait contre lui. Ce poids était insupportable. Mon corps le réclamait. Son visage s’approcha du mien avant de venir effleurer ma joue de ces lèvres. Mes yeux se fermèrent essayant de contrôler ma respiration. Mon corps se tortillait contre lui avant qu’il ne dise : « Ca t’plaît de jouer les salopes ?» mes yeux se rouvrirent aussitôt et mon corps s’immobilisa. L’alcool ne laissait plus aucune place au doute. J’étais dictée par mes émotions et la colère venaient me titiller. Son corps se pressait contre moi et ses lèvres continuaient leur poursuite. « Pardon ! Qu’est-ce que tu viens de dire ?» dis-je en contractant ma mâchoire. Salope ? Sloan ne prêtait aucune attention à moi. Trop préoccuper, il ne dénia même pas me regarder. Mes mains se perdaient une nouvelle fois dans ces cheveux et sans gêne, je tirais dessus pour l’obliger à relever son visage. « La salope ! La salope ?» Ma respiration s’était accéléré tandis que Sloan pressait le bas de son bassin contre moi. Il était difficile de ne pas le sentir se durcir contre moi. Ma respiration se coupa avant de finalement répliquer de plus belle. « Et c’est quoi cette histoire, tu le savais ! Tu le savais ! Tu sais rien du tout putain» dis-je en posant mes mains sur son torse pour le repousser. Un fin sourire se dessina sur ces lèvres. Il m’énervait et son insolence me rendait folle. « Tu l’as baisée Sheila ! Et bah sa fait de toi un super salopard aussi ! Un super gros salopard ! Je te rappelle, que tu étais dans son pieu, tu m’as vu me faire sauter par ce mec ? noooon alors me dit pas que je suis une salope ! » mes mots sortaient tout seule en réalité il n’y avait rien eu de tout sa mais je n’allais certainement pas être la seule à m’énerver. Mon visage se tourna sur le côté comme pour pouvoir mieux l’ignorer étant incapable de le repousser. j’allais me comportement comme la parfaite gamine grincheuse. Géniale.
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Sloan venait de parler sans réfléchir. Il était en colère de savoir qu'elle avait passé la nuit dehors, en compagnie d'un autre mec. Il ignorait si c'était une blague ou la stricte vérité. Il ne voulait pas entendre raison. Pour lui, Charline avait fauté et venait de tout gâché. Habitué à passer pour le con de service, c'était déjà trop beau qu'elle lui soit resté fidèle jusque là. Ils n'étaient pas en couple, sa partie de jambe en l'air ne pouvait être qualifiée de tromperie. Et pourtant, c'était tout comme. L'Eliot s'était vachement investi dans cette pseudo relation. Il s'était attaché à elle et se surprenait à être jaloux. L'alcool et la drogue brouillaient son cerveau. Il était incapable de savoir si elle mentait ou pas. Le regard froid et cynique, il s'était approché d'elle. Fou de rage, il serrait ses poignées entre ses doigts. Cette situation l'excitait énormément, son érection témoignait de l'envie qu'il pouvait lui porter. Charline était positionnée juste en dessous de lui, elle était à sa merci. Sloan pouvait faire ce qu'il voulait d'elle. Partagé entre la colère et le désir, il baissa la tête pour laisser ses lèvres effleurer sa joue. Il la cherchait, il la provoquait. La traiter de salope ne faisait qu'attiser un profond fantasme. Il rêvait d'une étreinte sauvage, il voulait se montrer dominateur. Un tas d'image lui venait en tête. Leur première fois au lac puis toutes les autres. La fameuse soirée dans la cave lui chatouilla l'esprit. Il déglutit en l'entendant parler. L'Eliot ne l'écoutait pas vraiment. Bien trop occupé à laisser ses lèvres effleurer sa peau, il laissait son souffle chaud la chatouiller. Obnubilé par ce contact excitant, Sloan desserra ses mains de ses poignées et Charline en profita pour échapper à son étreinte. Elle posa ses mains sur son torse et l'obligea à reculer. Le beau brun n'eut pas d'autres choix que de se reculer, il afficha une tête qui voulait dire " tu m'as parlé ? " Il afficha un petit sourire, en oubliant presque ce qui venait de se passer. L'alcool le rendait instable mais incapable d’aligner deux idées dans sa tête. Il fronça les sourcils en l'entendant parler. Il ne comprenait rien du tout à ce qu'elle racontait. « Mais tais-toi, tu parles trop. » dit-il sans même avoir écouté ce qu'elle venait de lui dire. Sloan se pencha une nouvelle fois vers elle et afficha un sourire beaucoup plus large. Charline avait tourné la tête sur le côté pour ne pas l'affronter. Tant mieux.
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Mes joues se mirent à rougir. Mes mots sortaient sans retenus. Je ne cherchais pas à les retenir. Cherchant à fuir, ce désir qui naissait en moi. J’avais décidé de me cacher derrière ma colère. Evitant de penser à ces lèvres qui étaient en train de se balader dans mon cou, à la pression qu’il exerçait contre mes hanches. Je déglutissais en le sentant aussi prêt de moi. J’avais donc décider de me rattacher aux seules paroles blessantes que je pouvais avoir. L’alcool augmentait mon désir et changeait ma colère en illusion. Ma respiration s’accéléra tandis que je continuais à parler. « Mais tais-toi, tu parles trop.» mes sourcils se froncèrent. Ses lèvres reprirent le chemin qu’il venait de quitter. Son souffle frôlait ma peau, mon corps lui cherchait sans retenu celui de l’étudiant. Mes hanches se collaient au sienne, bougeant délicatement en un de léger va et vient. J’avais envie de lui autant que j’avais envie de l’engueuler pour avoir cru une seule seconde que je n’étais pas digne de confiance. Mon visage se tourna et mes yeux se fermèrent, essayant de résister au seul désir qui m’animait depuis des semaines. Il me manquait et mon corps ne se cachait plus. « comment tu peux croire... que je me suis tapée un autre mec !» je continuais à parler tandis ses lèvres remontaient pour me mordiller le lobe de mon oreille. Mon corps s’étira et un léger soupire s’échappa d’entre mes lèvres. Je me rattachais à la seule lucidité qu’il y avait. Mes mots me permettaient de ne pas perdre pied, pas tout de suite en tout cas. « T’était dans son lit mer....de !» à ces mots, je sentie la main de l’éliot se frayer un chemin sous mon t-shirt. Ma respiration se coupa avant de reporter mon attention sur l’étudiant. Ses caresses étaient lourdes et douces. Mes pensées se bousculaient à n’en plus finir. J’avais chaud, terriblement chaud avant d’entendre de nouveau Sloan. « Putain, il faut que je te fasse taire ?» mon regard s’accrocha au sien. Son ton était autoritaire et froid. Mes yeux se plissèrent et sans pouvoir le retenir, je me mis à sourire. L’alcool me rendait aussi instable que lui. Ma colère laissait place à un sourire à la fois provocateur et amusé avant d’ouvrir la bouche. « Tu vas me balancer la lampe de chevet c’est sa ?» dis-je en ignorant une nouvelle fois ces menaces. J’étais en train d’attiser la bête, jouant avec un feux qui ne pouvait être éteint. L’étudiant s’éloigna légèrement de moi, son regard était froid et mes sourires ne semblaient pas le calmer. Il était en pleine crise, je pouvais le sentir. Aussi tendu qu’exciter, je le voyais déjà partir pour échapper au flot d’émotion qu’il ressentait. Je connaissais Sloan bien plus qu’il le pensait. Mon regard s’attarda sur ses mains. Légèrement tremblante. Il attrapa son T-shirt noir qui se trouvait sur le bord du lit. J’adorais ses t-shirt, le noir lui allait à la perfection.Son visage se rapprocha du mien. Mon regard s’attarda sur ces lèvres « Laisse moi te montrer à quel point je suis un salopard.» prête à répliquer, je n’en eu pas le temps. Ses lèvres s’étaient écrasés lourdement contre les miennes. Enroulant sa langue à la manière. Se baissé était aussi sauvage que passionnelle. Un soupire se noya en l’embrassant et mes hanches se mirent à bouger une nouvelle fois contre lui. Bordel... Mes mains s’approchaient de son visage avant d’être rapidement intercepter. Les doigts de sloan se refermaient sur mes poignets. Prise au dépourvue, je relâchais la pression dans mes bras pour me perdre moi aussi dans ce baiser si passionné. Tout en continuant de m’embrasser, l’éliot releva mes bras au dessus de ma tête pour venir les attacher au barreau du lit. Mes lèvres se séparaient des siennes. Mon front se colla au visage de sloan comme pour le repousser tendrement. Ma respiration s’était brusquement accéléré. Mon regard se releva pour regarder ce qu’il était en train de faire. Je plissais les yeux voyant qu’il venait de m’attacher avec son T-shirt. Je me pinçais les lèvres délicatement avant de reporter mon attention sur l’étudiant. « Tu es fou sloan.» dis-je fébrilement. Je me sentais vulnérable, prise au dépourvu, toute forme d’hostilité s’était évaporée et un profond désir s’était installé dans le bas de mon ventre. Instinctivement comme guider par mes simples envie, mon corps se pressa un peu plus contre lui. Mon regard se perdait dans le sien avant qu’il ne vienne une nouvelle fois m’embrasser. Ses mains caressaient mes formes avec une force et une douceur que je ne connaissais pas. Ma respiration s’était accélérée. troublée et gênée. Je ne pouvais pas le toucher, mes mains mourraient d’envie de parcourir son corps. Mes muscles étaient tendue, en alerte, ils attendaient patiemment le feu vert. Je me pinçais les lèvres encore et encore, il était impossible pour moi de chasser ce fantasme. Ma colère s’était évaporée et ce désir lui ne cessaient de me tirailler de l’intérieur. L’étudiant jouait avec moi, je pouvais le ressentir mais bordel que c’était bon. Ses mains experte agrippaient mon sein. Un soupire s’échappa et mes yeux se fermèrent. Un silence de plomb s’installaient, j’étais en alerte. Il était impossible pour moi de placer le moindre mot. Sloan me tenait et il le savait. Il releva mon T-shirt délicatement tellement doucement que j’en avais presque la nausée. J’avais envie de lui, j’étais prête à le sentir, prête à m’offrir à lui. A ma grande surprise, il plaça mon T-shirt sur mes yeux, m’empêchant de le contempler. Sloan brouillait mes sens. Prise au piège, je ne pouvais plus bouger ni même voir. Un sourire pervers s’afficha sur mes lèvres avant que je ne vienne les mordre.
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Never close your lips to those whom you have already opened your heart.
Charline ne pouvait plus rien contre Sloan. Elle assistait, démunie, à cette situation peu orthodoxe. Attachée sur le lit, elle ne semblait plus avoir de maîtrise sur elle-même. Pour une fois, elle était à sa merci et ne pouvait rien faire pour y échapper. La brunette ne pouvait pas bouger et ne pouvait pas non plus lui faire le même numéro qu'elle lui avait fait les semaines précédentes. Hors de question de le repousser pour des prétextes tous plus bidons les uns que les autres. Sheila n'était pas là, l'Eliot l'avait viré de la chambre et à mon avis, elle n'était pas prête de revenir de la journée celle-là. Il l'avait envoyé chier, monumental. Sloan s'était montré quelque peu bipolaire envers sa colocataire. Peu importe, il s'en fichait pas mal. Obnubilé par la présence de Charline sur son lit, à moitié à poil, il avait bien mieux à faire qu'à penser à cette pouffiasse blonde. La position était alléchante et nourrissait, surement, de vieux fantasme enfoui en lui. Pouvoir faire l'amour à la fille de ses rêves, attachée dans son lit et à sa merci, qui ne rêverait pas d'une telle proposition ? En tout cas, l'Eliot comptait bien profiter allègrement. L'atmosphère était chaude et le désir semblait planer autour d'eux. Il avait imaginé autre chose comme retrouvailles mais qu'importe, le beau brun allait se contenter de ça. En vérité, il était prêt à se contenter de n'importe quoi. A force d'être repoussé, il avait peur de se lasser et d'aller voir ailleurs. La tentation fut relativement forte et heureusement qu'il aimait cette petite tête brune, sinon il aurait déjà cédé. Quoiqu'il en soit, il n'avait pas couché avec Sheila, ni avec aucune autre fille d'ailleurs. Charline devrait remarquer l'effort. Ce n'était certainement pas donné à tout le monde de pratiquer l'abstinence contre son gré. Il avait bien ramé et méritait amplement cette petite pause. Sloan prenait un malin plaisir à la torturer, à lui faire comprendre et ressentir toute la frustration qu'il avait pu éprouver ces derniers jours. Sa langue glissait sur son intimité, il maîtrisait tous ses gestes à la perfection. Même si pas mal d'alcool et de drogue étaient contenus dans son sang, le jeune homme la faisait kiffer avec une certaine lucidité. La sentir se bouger sous lui était pure fantasme, il la savait excité, Charline semblait prendre son pied. L'Eliot sentait le dos de sa princesse se cambrer de plaisir. Et alors qu'elle lui demandait de continuer, il s'arrêta net. Elle ne semblait pas comprendre. Un large sourire vint s'afficher sur les lèvres de Sloan qui s'approcha d'elle et se pencha vers l'avant. Il venait de la stopper dans un orgasme qui ne demandait surement qu'à exploser. Il la regarda, conquis par la scène qu'il avait sous les yeux, avant de briser ce silence insoutenable. « Ça te donne une petite idée de ce que j'ai pu ressentir ces quatre dernières semaines ? » murmura-t-il au creux de son oreille. Sloan ne pouvait pas continuer, c'était impossible. Il aurait bien voulu la prendre sauvagement mais c'était au dessus ses forces. L'accumulation de drogue, d'alcool ainsi que sa bipolarité prenaient le dessus sur toutes les émotions qu'il pouvait ressentir à cet instant. Il baissait les armes et en avait presque le vertige. Sans chercher à comprendre quoique ce soit, il attrapa délicatement le t-shirt posé sur ses yeux et, du bout des doigts, le leva pour lui enlever. Les yeux de Charline s'ouvrirent difficilement. En la voyant aussi frustrée et démuni, il explosa de rire. « Salut princesse. » dit-il en caressant sa joue délicatement. Sloan vint se poser contre elle et de sa main libre, il la détacha. « S'tu veux tout savoir, j'ai pas couché avec l'autre blondasse. Je t'ai entendu arriver et je me suis mis dans son lit pour te faire chier. Et parce que j'suis trop saoul pour te prendre sur le lit, on va remettre ça à plus tard ... j'suis plus à ça prêt de toute façon. » dit-il d'un calme déconcertant. Sloan baissa les yeux pour admirer se lèvres, il afficha un petit sourire avant de fermer les yeux et de l'embrasser tendrement. « Je t'aime Charline, même si t'es une chieuse. » lança-t-il en mettant fin au baiser. Il était trop mort pour assurer. Sloan se recula et vint s'affaler, de tout son long, à côté de Charline. La fatigue, la frustration, l'alcool et la drogue eurent raison de lui.
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Never close your lips to those whom you have already opened your heart.
Mon corps était dans une euphorie constante. Prête à m’offrir à lui, mes muscles se contractait de plaisir attendant avec impatience la délivrance tant espérer. Mes soupires se mêlaient à la respiration de l’eliot avant d’être brutalement coupé dans ce début d’orgasme. Mes sourcils se froncèrent relevant délicatement la tête. Ma respiration était saccadée, affolé par ce désir coupé. Rapidement, le souffle de sloan se plaqua contre mon visage m’obligeant à reposer ma tête sur le lit. « Ça te donne une petite idée de ce que j’ai pu ressentir ces quatre dernière semaines ?» mes sourcils se froncèrent et mes lèvres s’entrouvraient. Quoi ? mon esprit avait peine à reprendre du service. Encore tourmenté par ce qu’il venait de me faire. Je n’arrivais pas à réfléchir et l’alcool ne m’aidait pas. « Tu vas comme même pas arrêter ?» dis-je faiblement en essayant de reprendre un semblant de régularité dans ma respiration. Mon corps le demandait et sans m’en rendre compte, il cherchait à se presser contre celui de Sloan. Les mains de Sloan se postèrent sur mon T-shirt qu’il fit glisser en arrière me permettant de voir à nouveau. Mes yeux se plissèrent difficilement tentant de reprendre un semblant de lucidité. Il se mit à rire et fit « Salut princesse.» un sourire s’était affiché sur ces lèvres. Ces doigts se posèrent sur ma joue qu’il caressa doucement. Je le regardais fixement avant d’afficher une moue et lui fis : « Je n’ai... je n’ai... même pas terminé.» dis-je difficilement ma gorge était nouée. Frustré, ce désir était toujours bien présent et sloan se faisait une joie de remarquer sa bêtise. Mon corps continuait de bouger contre lui. J’avais envie de lui bordel. Délicatement, son autre main se porta à mes liens qu’il desserra. « S’tu veux tout savoir, j’ai pas couché avec l’autre blondasse. Je t’ai entendu arriver et je me suis mis dans son lit pour te faire chier. Et parce que j’suis trop saoul pour te prendre sur le lit, on va remettre ça à plus tard... j’suis plus à ça prêt de toute façon.» Je n’en croyais pas mes yeux. Il allait me laisser la avec mon désir grandissant sans rien faire. Ses yeux s’attardaient sur mes lèvres et il vient m’embrasser. Je n’arrivais pas à le repousser et je n’en avais pas envie. Mes bras endolorie par ce qu’il venait de me faire. Ma main se porta à sa cou. « Je t’aime Charline, même si t’es une chieuse.» je me mis à sourire. Ces mots étaient aussi réconfortant que tout le reste et bizarrement à cette instant j’étais contente de l’entendre dire. Il recula et se laissa tomber sur le côté me faisant dos. Une nouvelle moue s’afficha sur mon visage. Il était horrible. « Donc pas de baise torride ? rien, rien du tout ?» dis-je faiblement avant de me relever. J’avais mal au bras et délicatement mes mains se posèrent contre son dos pour le caresser tendrement. Mon visage se rapprocha pour l’embrasser dans le dos. Mes baisés étaient lent et sensuelle. Je remontais doucement mes lèvres pour embrasser son épaule et passer ma tête pour voir son visage.Mon corps presque nu s’était collé contre sa peau et je lui fis. « Je suis désolée.» dis-je en affichant une moue. Une de mes mains le forçaient à tourner son visage vers moi et mes lèvres se posèrent une nouvelle fois sur les siennes. « j’ai compris... je suis désolée» dis-je contre ces lèvres prolongeant ce tendre moment. « J’ai au moins le droit à un câlin non ? ne soit pas si cruelle bushnell !» dis-je en souriant contre ces lèvres. Il se retourna délicatement pour s’allonger normalement sur le lit. Je me mis sur lui. Mon corps se pressa une nouvelle fois contre lui, mes mains se perdaient dans ces cheveux tandis que le rouge me montait aux joues. « Je... j’ai aimé...» dis-je faiblement en reparlant de ce qu’il venait de faire. J’avais kiffé oui. Mes doigts étaient délicat et tendre. J’embrassais son menton puis le bout de son nez et je lui fis : « je vais devoir me faire du bien toute seule tant pis » je me mis à faire une moue frustrée de ne pas pouvoir assouvir mes désirs avant de me mettre à rire. Merci sloan ! je vais devoir assouvir tout sa toute seule !  
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