Mia A. Jenkins ► Kaya Scodelario

Tout personne à une histoire alors voici la mienne.

J'ai grandis dans un milieu très aisé, ou si je parlais la bouche pleine à table mon père me donnais une tape sur les mains, ou si j'oubliais de faire la bise à un invité m'a mère me privé de dessert. Des parents odieux, je confirme mais ils n'ont fait que m'inculquer ce qu'ils ont appris durant leur enfance. Je n'étais pas la première de la famille, j'avais un grand-frère nommé Rye. Les prénoms à trois lettres devait être à la mode dans ma famille. Je passais tout mon temps avec mon grand-frère toujours à l'écoute, toujours la pour me défendre quoi qu'il arrive c'est d'ailleurs lui qui m'a appris à me défendre contre les autres garçons qui venaient m'embêter ou lorsque j'ai eu mon premier cœur brisé à cause d'une rupture. Ayant des parents qui pouvaient m'offrir tout ce dont je voulais je suis vite devenue capricieuse et à chaque fois ils étaient obliger de céder. Mon frère n'a jamais accepter mes méthodes, il était plutôt du genre calme, doux, n'aimant pas trop faire la fête et surtout aimant l'école, tout mon contraire.

Mon père m'envoyait toujours dans de bonnes écoles, pour selon lui resté dans le droit chemin mais vous savez tous qu'à l'adolescence nous avons une période qui s'appelle "la crise d'ado" et bien, disons que je l'ai pas mal réussis. Je séchais les cours pour aller acheter de la drogue avec l'argent que ma mère me donnait pour me payer d'autres trucs, le soir je prétextais dormir chez une amie pour pouvoir aller en boîte de nuit avec de fausses cartes d'identité et je passais la nuit à danser et chanter sur les Champs-Élysées. Un soir j’entraînai mon frère dans mes petites affaires, voulant qu'il s'amuse lui aussi, qu'il profite de la vie mais cette soirée finis en drame quand une jeune fille se suicida juste devant nos yeux. Ayant consommée de l'alcool et de la drogue à haute dose elle ne savait plus ce qu'elle faisait et elle s'est donc jetée du quatrième étage. Après ça tout ne fus que drame dans ma vie. Mon frère ne voulait plus m’adresser la parole, mon père m'ordonna un couvre feux, ma mère me fit les cours à domicile. Je sortais de la maison juste pour aller chercher du pain à la boulangerie et faire quelques courses.

C'est mon père qui me fis entrée à l'université d'Harvard, selon lui ça m'apprendra enfin à me comporter comme une jeune femme et non comme une gamine écervelée. Malgré ça loin de ma famille, je continue à enchaîner les soirées, l'alcool, la drogue et le sexe, c'est mon mode de vie de profiter de chaque instant présent. A Harvard j'étudie l'art aimant dessiner tout ce qu'il me passe par la tête. Je n'ai plus de nouvelles de mon frère, lui aussi à quitter Paris pour venir s'installer en Amérique mais loin de moi. J'appelle mes parents de temps en temps, leur affirmant que j'ai de très bonne notes pour leur faire plaisir. C'est ici que je connus l'amour avec un grand A, dans mon adolescence j'avais déjà eu des petits amis mais ils étaient plus des amours de jeunesses, ont étaient gamins c'était juste pour s'amuser mais ici c'était différent. C'était l'amour, le vrai, celui avec qui je me voyais passer ma vie, avec qui je voulais fonder une famille. Mais cela à durer seulement un an, prétextant vouloir s'amuser et ne plus être en couple alors il m'a laisser seule. J'avais déjà eu le cœur brisé mais celui la était pire que tout les autres, je ne mangeais plus, ne dormais plus, ne venait plus en classe, ne voulant voir personne et être juste seule avec ma peine. Je maigrissais de plus en plus au fil des jours, ce n'est seulement lorsque je fis un malaise, finissant allongée dans mon lit d’hôpital en étant nourris avec des tuyaux que je compris que j'avais foutu ma vie en l'air pour un mec.

Maintenant tout va mieux et je me suis promis de ne jamais plus retomber dans le panneau pour les beaux yeux d'un garçon.