The best thing • Sam

The best thing
— Sam

Je sentais la brise sur mon visage, mais je rêvassais encore dans un univers trop beau pour avoir l’envie d’ouvrir les yeux. J’étais à l’extérieur, j’attendais les bruits de la nature qui n’était pas perceptible dans ma chambre d’hôtel. Peut-être que j’avais quitter la terre pour de bon et que j’avais entrepris un voyage dans un oasis pour me ressourcer. Une pensée folle qui accompagne mon esprit encore pris dans un sommeil léger. J’entrouvre mes pupilles enfin et je vois l’aurore lécher le ciel. Le rose marque la nouvelle journée et le soleil se réveille de son doux sommeil. Les étoiles sont reparties pour laisser place aux nuages qui ne sont presque pas présent dans cette peinture matinale. Il y a une couette étendue sur l’herbe et quelques bouteilles d’alcool morte qui gisent non loin. Je retourne ma tête pour admirer le paysage de plusieurs arbres qui m’entourent, un petit coin reculé dans un endroit qui semble être un parc. Je me sens un peu égaré de ne pas me retrouver dans mon lit habituel, mais j’ai une sorte de sentiment de renouveau à la fois. J’aperçois Sam qui dort à coté de moi. Il semble bien, car il doit encore errer à travers ses rêves et il serait mal de le sortir de ce moment tendre et spécial. Je ne suis pas tonné que nous soyons ici, lui qui aime tant la nature et vivre sa vie de façon fêtarde. On partage nos folies et notre jeunesse sous une grande complicité sans doute jamais égalé par la plupart. Il a ce lien fort qui nous unie que personne n’enfreindre et encore moins comprendre. On se laisse parfois par le besoin de la chaire et pourtant nous sommes ce qu’on appelle des meilleurs amis, un double de l’un et de l’autre qui apprenne dans ce monde pas assez romantique pour nos idéaux. Je dépose un léger baiser sur sa joue pour le réveiller d’une façon tendre. Je n’ai pas envie qu’il soit de mauvaise humeur, mais j’ai envie qu’il partage ce présent de la nature avec moi. «Bon matin la belle au bois dormant. » Ce moment me rappelle, mon adolescence pas plus différente que celle des autres dans les parc en Italie. J’aimais m’y rendre le soir avec mon frère pour rencontrer d’autres personnes qui avait de fêter. Je me relevais pour trouver une bière qui n’avait pas encore vidé pour prendre une longue gorgé. Les cheveux en bataille et les yeux encore petits, j’étais l’ange du matin, la poupée de porcelaine à peine éveillé. La journée était à peine commencé je me demandais bien ce qu’elle pouvait me réserver. Je tournais ma tête pou regarder Sami, il était beau dans la lumière du jour.  

The best thing
— Sam

Il sortait lentement de son pays imaginaire et de ce sommeil profond qui l’avait emporté loin. Un doux baiser sur sa joue et le tour était joué sinon il aurait fallu passer encore quelques heures ici. Je n’allais pas mentir, il était parfait cet endroit, intime , logé dans une petite partie dans la nature à la fois urbaine. Les arbres se refermaient sur nos deux âmes nous cachant des regards. Il se mit aussitôt à la rigolade en disant qu’il avait changé de sexe pendant la nuit. Sam il était toujours prêt à la rigolade, un personnage des plus loufoque que la terre est porté il était tout simplement tarré , mais c’est ce qui le rendait si attachant , ce qui fait de lui mon meilleur ami et la personne qui me connait le mieux sur le bout des doigts . Il glissait une main à l’intérieur de son caleçon à la recherche de sa virilité et il fut satisfait après l’avoir trouvé. «J’en ai jamais douté ! » En même c’était dur puisque nous nous étions déjà retrouvé dans des situations qui faisaient en sorte que je le savais qu’il était un homme. Oui je suis parfois faible, alors qu’il repos dans la catégorie ami, mais il comprend parfaitement mon manque d’amour comme je comprends le siens. C’est parfois mieux ainsi au lieu de fondre dans les bras de n’importe qui et cela n’a jamais brisé notre complicité si cela n’a pas aidé à l’agrandir. «J’ai très bien dormi aussi. » Il n’avait rien de mieux en même temps qu’un tel oasis qui pourtant se trouvait dans un lieu public avec le doux chant des oiseaux comme réveil. J’avais toujours été proche des étoiles alors dormir sous les yeux me plaisait au plus au point. Après tout elles étaient ma maison, mon refuge quand j’ai trop mal sur terre. Je retournais me coller contre lui et ainsi je n’avais pas les rayons directement dans mes prunelles. Je le regardais de mes grands yeux et avec un peu de malice à l’intérieur. J’effleurais son entre jambe en riant. «Tu as eu peur de l’avoir perdue avoue. » Je riais de plus belle, une vraie enfant qui ne se rend même pas compte de ses gestes. Je n’avais pas envie de rentrer à l’hôtel, je voulais passer le plus de temps possible aux cotées de mon meilleur ami. J’en avais bien besoin surtout en ce moment. J’enchainais les conneries sans trop m’en rendre compte. Le summer camp a un drôle d’effet sur moi, l’effet de ne pas avoir assez profiter de sa jeunesse.