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feat. BRENDON URIE
avatar © Joemaw
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Jonathan Thomas Lynch
Nom LynchPrénom(s)Jonathan Thomas ge 24 ansDate de naissance15 octobre 1992Lieu de naissance New Hampshire Statut amoureuxCélibataireOrientation sexuelle Inconnue (?) Classe socialeTrés aiséeÉtudes majeuresInformatique Études mineuresArt visuelJob AucunChoix de groupe #1Eliot House Choix de groupe #2Winthrop house
Eliot House
A son réveil on lui raconta son histoire. Son arrière grand père avait fait partie de l’élite d’Harvard, les bleus .
Son grand père n’aurait jamais pu devenir l’homme politique qu’il est aujourd’hui s’il n’avait pas fait partie de cette grande maison.
Et son père n’aurait jamais pu bâtir une telle fortune sans les amis de la famille, sa fratrie, et les alliance qu’il s’est créé pendant ses années d’études.
Lui, fait partie des héritier destiné à prendre la place de ses ancêtres. Ou du moins voila ce que sa mère lui raconta à son réveil.
Elle avait pointé un écrin posé sur la table au centre de la pièce, et son expression d’habitude impassible s’était changé… étais ce de la fierté? Non! sa mère ne ressentait rien… n’est ce pas?
“-C’est la montre que ton père t’a offert, quand tu as été accepté chez les bleus.”
Winthrop House
J'avais toujours pensé que j'appartiendrais à cette maison. Que mon enfance passé dans un pensionnat, que mes origines plus ou moins snob me permettrait d'être accepté dés mon entré à Harvard.
Faire partie de cette fraternité allait de soie n'est ce pas? Surtout si je rajoute à mon CV mon éducation avec précepteur, mes capacités de gestion des conflits, ma garde robe qui contient une myriades de costumes cravates, et mon aisance à communiquer avec toute personne d'âge et de sexes different...
Bon j'avoue ce que j'apprécie vraiment à propos de Winthrop House... c'est l'emplacement de leurs quartier générale.
A son réveil on lui raconta son histoire. Son arrière grand père avait fait partie de l’élite d’Harvard, les bleus .
Son grand père n’aurait jamais pu devenir l’homme politique qu’il est aujourd’hui s’il n’avait pas fait partie de cette grande maison.
Et son père n’aurait jamais pu bâtir une telle fortune sans les amis de la famille, sa fratrie, et les alliance qu’il s’est créé pendant ses années d’études.
Lui, fait partie des héritier destiné à prendre la place de ses ancêtres. Ou du moins voila ce que sa mère lui raconta à son réveil.
Elle avait pointé un écrin posé sur la table au centre de la pièce, et son expression d’habitude impassible s’était changé… étais ce de la fierté? Non! sa mère ne ressentait rien… n’est ce pas?
“-C’est la montre que ton père t’a offert, quand tu as été accepté chez les bleus.”
Winthrop House
J'avais toujours pensé que j'appartiendrais à cette maison. Que mon enfance passé dans un pensionnat, que mes origines plus ou moins snob me permettrait d'être accepté dés mon entré à Harvard.
Faire partie de cette fraternité allait de soie n'est ce pas? Surtout si je rajoute à mon CV mon éducation avec précepteur, mes capacités de gestion des conflits, ma garde robe qui contient une myriades de costumes cravates, et mon aisance à communiquer avec toute personne d'âge et de sexes different...
Bon j'avoue ce que j'apprécie vraiment à propos de Winthrop House... c'est l'emplacement de leurs quartier générale.
APRÈS LA BOMBE.
Pour la dernière semaine de Janvier 2013, j’avais un papier sur “l’étude des couleurs pastel et leurs importance dans l’épanouissement des enfant de moins de 4 ans” que je devais rendre pour mon cour d’art visuel. Ou du moins c’est ce qu’on m’a dit. Voila pourquoi j’étais dans la bibliothèque ce jour la. Voila pourquoi j’avais mes écouteurs… j’imagine. Voila, aussi, pourquoi quand les premières déflagrations se sont fait entendre, je n’avais pas bougé de la table du fond sur laquelle j’étais installé. Je n’avais pas non plus ressentit le coup de l’énorme volume qui m’étais tombé sur la tête, ni l'étagère qui avait suivit, avec tout son contenus. Je n’ai pas vraiment ressentit les os de mon épaule, ni les deux côtes qui s’étaient cassé. Pas non plus la commotion cérébrale qui m’avait fait perdre la connaissance … pour plus de 3 ans. Non, je ne garde aucune souvenir de ce jour la. On me le raconta. On me parla du projet que je préparait, et de l’endroit ou on m’a retrouvé. Pour moi, la veille de ce jour la, s’est passé la semaine dernière.
Je ne me souviens même pas de la veille.
Pour la dernière semaine de Janvier 2013, j’avais un papier sur “l’étude des couleurs pastel et leurs importance dans l’épanouissement des enfant de moins de 4 ans” que je devais rendre pour mon cour d’art visuel. Ou du moins c’est ce qu’on m’a dit. Voila pourquoi j’étais dans la bibliothèque ce jour la. Voila pourquoi j’avais mes écouteurs… j’imagine. Voila, aussi, pourquoi quand les premières déflagrations se sont fait entendre, je n’avais pas bougé de la table du fond sur laquelle j’étais installé. Je n’avais pas non plus ressentit le coup de l’énorme volume qui m’étais tombé sur la tête, ni l'étagère qui avait suivit, avec tout son contenus. Je n’ai pas vraiment ressentit les os de mon épaule, ni les deux côtes qui s’étaient cassé. Pas non plus la commotion cérébrale qui m’avait fait perdre la connaissance … pour plus de 3 ans. Non, je ne garde aucune souvenir de ce jour la. On me le raconta. On me parla du projet que je préparait, et de l’endroit ou on m’a retrouvé. Pour moi, la veille de ce jour la, s’est passé la semaine dernière.
Je ne me souviens même pas de la veille.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Agressions? Agressions … Heu non Mère ne m’a pas parlé de ça. Je m’en rappellerait sinon. Peut être choisit-elle de me raconter l’histoire de ces dernières années a son rythme. Par ordre d’importance. Son ordre a elle.
Jusqu'à aujourd’hui je n’ai reçu la visite de personne en dehors de la famille proche, du docteur et d’une jeune fille de 22 ans que je soupçonnais être l'infirmière qui avait prit soin de moi. Elle était beaucoup trop familière avec mon corps.
Mais les agressions, non . Je n’en ai aucun souvenir.
Agressions? Agressions … Heu non Mère ne m’a pas parlé de ça. Je m’en rappellerait sinon. Peut être choisit-elle de me raconter l’histoire de ces dernières années a son rythme. Par ordre d’importance. Son ordre a elle.
Jusqu'à aujourd’hui je n’ai reçu la visite de personne en dehors de la famille proche, du docteur et d’une jeune fille de 22 ans que je soupçonnais être l'infirmière qui avait prit soin de moi. Elle était beaucoup trop familière avec mon corps.
Mais les agressions, non . Je n’en ai aucun souvenir.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Je n’ai pas la force de me lever tout seul, manger ou me changer tout seul. Je commence tout juste à recouvrir assez de force pour pouvoir rester aux toilettes seul. Mes muscles n’existent plus, j’ai perdu au moins 200Kg … j’en avait déjà pas beaucoup avant. C’est pour dire.
Le docteur estime qu’il me faudra une autre semaine pour vraiment recommencer à bouger tout seul. Il me déconseille cependant de me remettre à fumer ou de boire de l’alcool. Mère lui a répondu qu’elle avait déjà confisqué mon briquet fétiche.
Je ne me rappel pourtant pas m’être mis à fumer …
Quand je lui posait la question, elle fit mine de ne pas m’entendre, et se remit a parler avec mon docteur, sur les examens dont j’avais besoin. Il avait alors rabaissé le drap et remonté ma manche. Je ne sais comment je ne m’étais pas rendu compte de cela plus tôt, mais en faisant cela, il découvrit un tatouage qui recouvrait la majeur partie de mon avant bras. J'eus un mouvement de recul, voulant cacher cette aberration aux yeux de ma mère, puis je me rendis compte qu’elle avait du voir ce joli dessin plus d’une fois quand elle faisait mine de veiller sur moi. Et pour la première fois depuis … je ne sais plus, un sourire passa sur mes lèvres.
Je n’ai pas la force de me lever tout seul, manger ou me changer tout seul. Je commence tout juste à recouvrir assez de force pour pouvoir rester aux toilettes seul. Mes muscles n’existent plus, j’ai perdu au moins 200Kg … j’en avait déjà pas beaucoup avant. C’est pour dire.
Le docteur estime qu’il me faudra une autre semaine pour vraiment recommencer à bouger tout seul. Il me déconseille cependant de me remettre à fumer ou de boire de l’alcool. Mère lui a répondu qu’elle avait déjà confisqué mon briquet fétiche.
Je ne me rappel pourtant pas m’être mis à fumer …
Quand je lui posait la question, elle fit mine de ne pas m’entendre, et se remit a parler avec mon docteur, sur les examens dont j’avais besoin. Il avait alors rabaissé le drap et remonté ma manche. Je ne sais comment je ne m’étais pas rendu compte de cela plus tôt, mais en faisant cela, il découvrit un tatouage qui recouvrait la majeur partie de mon avant bras. J'eus un mouvement de recul, voulant cacher cette aberration aux yeux de ma mère, puis je me rendis compte qu’elle avait du voir ce joli dessin plus d’une fois quand elle faisait mine de veiller sur moi. Et pour la première fois depuis … je ne sais plus, un sourire passa sur mes lèvres.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Chamna et j'ai 26 ans. Je suis Tunisienne et j'ai connu le forum grâce à je m'en rappel même plus mais je crois que c'est un autre forum que j'ai trouvé sur RPG-Sites.. J'adore le forum, même si j'ai passé prés d'une demi heure (sans rigoler) à chercher la fiche d'inscription, alors j'ai décidé de m'inscrire . J'utilise Brendon Urie comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Joemaw. Je fais environ entre 250 et 3000 mots par RP (dépends du rp) et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲J'ai besoin d'un ami (pour Jonathan).
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration je veux être parrainer si oui, par Jaysaël D Scott-Castellan
Mot de la fin ? ▲J'ai besoin d'un ami (pour Jonathan).
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration je veux être parrainer si oui, par Jaysaël D Scott-Castellan
story of my life
La mémoire est une bien étrange capacité. On est heureux d’y stocker les bonnes choses, et on préférerait oublier les mauvaises. On peut être allongé sur l’herbe à regarder le ciel et apprécier la chaleur du soleil, quand tout d’un coup un souvenir qu’on a enfouis dans le coin le plus éloigné de notre cerveau, ressurgit sans qu’on puisse rien y faire. “Vas y rappelle toi, quand tu as eu une crotte de nez sur le visage pendant que tu parlais avec Céline la fille sur laquelle tu flashais. Tu as froid maintenant? ça va?”
Imaginez ne plus vous rappeler
---
Le reveil
Argh ! j’ai mal !
J’aurais pu dire j’ai mal à la tête. Le problème c’est que j’ai mal partout…
Qu’est ce que j’ai fait hier déjà ?
Argh ! Penser me fait mal !
Putain j’ai la bouche sèche, encore quelques minutes et j’ouvre les yeux. Mais pas maintenant. Je n’en ai pas la force maintenant.
Bip.Bip.Bip.
Voilà que le réveille sonne . Il est quelle heure ?
Oh j’en sais rien j’ai juste envie de dormir. Mais j’ai faim !
Allez encore deux minutes et j’ouvre les yeux.
Un bruit de porte le sortit de sa torpeur, son visage d’habitude si paisible, reflétait l’expression d’inconfort qu’il ressentait au fond de lui. Il avait l’impression d’avoir passé une journée dans la salle de sport.
Avec un entraineur sadique muni d’une machette.
Et il n’arrivait toujours pas à se rappeler de la veille.
Le bruit du réveil se confondit avec celui de la pièce. Jusqu'à ne devenir qu’un son rythmé qui ponctuait ses respirations. Il décida alors qu’il allait dormir encore un peu.
Ou pas.
Serais ce sa mère qui était venu le réveiller, et qui venait d’entrer dans sa chambre sans grande finesse ? Il entendit sans les voir le son de ses pas. Non ! Ce n’étaient pas ceux de sa mère. Ceux la étaient beaucoup plus énergétique.
Mais ouvre les yeux putain
Quelques instants plus tard, les rayons du soleil transpercèrent ses paupières quand il comprit que la personne dans la pièce avait ouvert les rideaux. Et s’affairait à quelque chose de très bruyant.
-Umphh !
Il ne put remonter ses mains pour recouvrir ses yeux, trop fatigué, ou trop ensommeillé… ne réussissant que ce soupir d’inconfort. Cependant cela sembla suffisant, pour que celui qui s’amusait à déplacer les chaises, comme si personne ne dormait, arrête de bouger. De respirer.
-MADAME !
Mais qu’est ce qu’elle a à hurler comme ça ? Qui est ce ? Qu’est ce qui se passe ?
Toutes ces questions restèrent sans réponse. Puisqu’il ne les avait pas vraiment posé à haute voix, cela va de sois.
La détentrice de ce charmant gosier, sortit en courant. Le laissant seul, incommodé, courbaturé, sous des rayons de soleil pas vraiment la bienvenue.
Le moment idéal pour ouvrir les yeux.
Et c’est grave docteur ?
Récapitulons.
Si j’ai bien compris, je suis réveillé. Ou plutôt, je suis ENFIN réveillé comme l’a dit ma « charmante » mère. Avant d’aboyer à la femme à coté d’elle d’aller appeler docteur Fishman.
Elle s’assit au bord du lit, me regarda un instant puis du bout des doigts effleura mes cheveux, dégageant mon front.
Elle se releva, après une minute de silence interminable, sortit de la pièce. Ne revenant que plus tard avec le docteur.
Entre temps ?
Eh bien je ne fit rien.
Je me sentait vide, ne pouvait ni bouger ni parler. Je n’en avais même pas envie. J’étais tellement confus, que quelques minutes de plus dans la solitude ne m’auraient pas paru superflus.
-Vous voilà réveillé jeune homme. Cela me ravit !
Dit l’homme. Fishman.
-Umph
-Ah oui ! Puis je avoir un verre d’eau ? Votre fils doit avoir la gorge sèche.
Mère jeta un coup d’œil à la femme qui l’accompagnais et n’eu même pas à formuler sa requête que celle si sortit à la hâte.
-…il lui faudra un peu de temps avant de pouvoir reparler. Peut être commencera-t-il par des syllabes…
Mes yeux suivaient les gestes de mon « docteur », il sortit son stéthoscope, commença son examen de … ma personne.
-Vous devez être désorienté Monsieur Lynch.
Un moment je crus qu’il s’adressait à mon père, puis je compris que ce n’était que moi.
-Heu oui.
Pensais je avoir dit.
-Humph
Fut ce qui sortit de ma bouche.
-Vous vous appelez Jonathan Thomas Lynch, votre père Stephan Nathan Lynch, votre mère Sandra Lynch. Vous avez 24 ans. Vous êtes dans votre manoir du New Hempshire…
Hein ? 24 ans ?
-…Nous sommes en 2016…
Comment ?
-…Juin 2016. Vous avez subi un traumatisme crânien qui vous a plongé dans un coma …
Coma
-…De 3 ans…
2013 ? Je ne me rappelle pas de cette année là non plus.
-Vous étiez à Harvard quand… il y a eu un incident …
Ah oui c’est vrai, Harvard je suis en deuxième année. 2013 ? En troisième plutôt.
-On vous à retrouvé dans les décombres de la bibliothèque vous en souvenez vous ?
Quoi ?
J’essayais de faire non de la tête. Sans sucées.
Mais peut être compris-t-il mon désarroi, en voyant l’expression de mes yeux. J’essayais vraiment de faire ma tête de « QUOI?». Je ne comprenais absolument rien.
Où plutôt je comprenais. Et c’est ça le problème.
-Vous étiez un jeune homme sportif et en bonne santé. Il n y avait aucun doute que vous alliez vous réveiller, quand votre corps se serait guéri.
3 ANS !!! Mon corps a prit tout son temps pour guérir.
Finissant son osculation en me passant un faisceau lumineux devant les yeux, il me releva mon pull et enleva quelque chose de collé sur mon torse.
Un bip strident couvrit ses mots.
-Vous n’aurez plus besoin du moniteur.
Ah… Ce n’était donc pas le réveil qui sonnait.
Quelques explications s’imposent
-Bonjour docteur.
Quelques jours sont passés. Je suis maintenant capable de parler.
Applaudissez mesdames et messieurs.
Eh oui mon public invisible me suit partout.
-Bonjour Monsieur Lynch
-Appelez moi Jonathan s’il vous plait.
-Jonathan. Comment vous sentez vous aujourd’hui ?
Demanda-t-il en s’installant sur la chaise à coté du lit.
-Bien mieux. Je ne pourrais pas encore courir le marathon, mais j’arrive à allez aux toilettes tout seul.
-Un grand progrès si vous voulez mon avis.
Mon public invisible me fait une standing ovation à chaque fois.
-Merci docteur.
-Alors vous savez comment ça se passe, je vais vous poser les questions de routines, ensuite je vais vous ausculter.
-Comme chaque jour
-Alors comment vous appelez vous…
-Je vais vous épargner cette peine. Je me rappelle de toutes les questions : Je m’appelle Jonathan Thomas Lynch, Fils de Stephan Lynch et Sandra Tremans Lynch. J’ai 24 ans mais je ne me rappelle que des 21 premières années. Je suis née ici même dans ce manoir, j’ai grandi ici et ai eu un précepteur, jusqu’a mes 14 ans avant d’allez dans un pensionnat à Londre. Le Bedford School. J’y ai étudié jusqu'à mes 18 ans, avant d’être accepté à Harvard. J’ai fait beaucoup de sport étant gamin. Je me suis tourné vers la dance en grandissant. Et j’ai fait quelques apparitions dans les pièces de théâtre du club d’art dramatiques dont je faisais partie à mes 15 et 16 ans. J’ai toujours essayé d’être le meilleur dans tout ce que je faisais. Et j’ai toujours essayé de faire ce que j’aimais.
Dans la mesure du possible, et de ce que mère considérait convenable. eu-je envie d’ajouter. Je bus une gorgé d’eau puis repris
- Je suis atteint de Trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité, je me soigne, et c’est à cause de ça que j’ai eu plein de centre d’intérêt au cours de ma vie. En entrant à Harvard j’ai fait le choix de mixer la technologie avec le design. J’étudie l’informatique et les arts visuels. Après ça, je ne me rappel pas de grand chose. Je me rappelle de quelques cours. De la majeur partie de la première et deuxième année. Mais pas de qui étaient mes amis. De la fratrie de laquelle je fais « apparemment »partie. Des gens que j’ai pu côtoyer. Ni de l’incident.
-Bien. Votre Amnésie ne semble pas être antérograde. Vous vous souvenez parfaitement des questions que je vous pose. Et vous n’avez rien oublié de ce que vous m’avez déjà répondu Hier et avant hier.
-J’ai passé la dernière semaine assis dans ce lit à essayer de me rappeler de ces zones d’ombres. Mère m’y a aidé en me racontant ce que j’ai manqué ces dernières années.
< i>En me racontant aussi comment elle a souffert de la réclusion. D’avoir vécu loin des mondanité. Loin de ses amies, qui lui avaient collé l’étiquette d’ermite.
-Cependant … je pense qu’elle ne sait pas tout.
-Votre situation n’est pas irrévocable vous savez ? Vous allez retourner à Harvard. Vous y rencontrerez les personnes qui vous étaient chère. Elles pourront vous y aider. Il vous suffira d’une odeur, d’un endroit, pour ravivez votre mémoire
-Je l’espère. Merci docteur.
Il se leva se dirigea vers son sac et se mit a farfouiller, à la recherche du stéthoscope qu’il avait déjà pendu dans cou
-Votre père n’est toujours pas rentré de son voyage ?
-Oh si ! Il est passé me voir hier. Il se prépare à retourner à New York pour rejoindre sa nouvelle femme … Melody ? Meredith ?
-Marjory .
-Oui voilà.
-Vous a t il aidé à retrouver un souvenir ?
-Je ne me rappelle même pas de lui quand j’étais réveillé docteur, alors …
Mon public invisible en eu la larme à l’œil. Je suis bon acteur, je sais.
Ma relation avec mon géniteur est, ce qu’on peut qualifier, de compliqué. Cela ne m’a jamais posé aucun problème.Au contraire, j’ai appris à m’attirer la compassion des gens qui m’entouraient en jouant la carte du malheureux petit garçon. Seulement quand la situation le demandait. A part ça, je ressens un détachement mêlé d’indifférence quand à Monsieur Lynch sénior.
---
Ne plus avoir aucune pensé négative, ni remonté de souvenirs. Mais pas parce que vous l’avez choisit. Juste parce que votre esprit vous l’impose.
Imaginez passer 3 ans au lit. Votre corps essayant de s’auto régénérer. Manquant 3 ans de la vie de vos amis et de ceux que vous avez aimé.
C’est le pied !!! J’adore !!
Allez une nouvelle aventure. On va tout redécouvrir !
Imaginez ne plus vous rappeler
Le reveil
Argh ! j’ai mal !
J’aurais pu dire j’ai mal à la tête. Le problème c’est que j’ai mal partout…
Qu’est ce que j’ai fait hier déjà ?
Argh ! Penser me fait mal !
Putain j’ai la bouche sèche, encore quelques minutes et j’ouvre les yeux. Mais pas maintenant. Je n’en ai pas la force maintenant.
Bip.Bip.Bip.
Voilà que le réveille sonne . Il est quelle heure ?
Oh j’en sais rien j’ai juste envie de dormir. Mais j’ai faim !
Allez encore deux minutes et j’ouvre les yeux.
Un bruit de porte le sortit de sa torpeur, son visage d’habitude si paisible, reflétait l’expression d’inconfort qu’il ressentait au fond de lui. Il avait l’impression d’avoir passé une journée dans la salle de sport.
Avec un entraineur sadique muni d’une machette.
Et il n’arrivait toujours pas à se rappeler de la veille.
Le bruit du réveil se confondit avec celui de la pièce. Jusqu'à ne devenir qu’un son rythmé qui ponctuait ses respirations. Il décida alors qu’il allait dormir encore un peu.
Ou pas.
Serais ce sa mère qui était venu le réveiller, et qui venait d’entrer dans sa chambre sans grande finesse ? Il entendit sans les voir le son de ses pas. Non ! Ce n’étaient pas ceux de sa mère. Ceux la étaient beaucoup plus énergétique.
Mais ouvre les yeux putain
Quelques instants plus tard, les rayons du soleil transpercèrent ses paupières quand il comprit que la personne dans la pièce avait ouvert les rideaux. Et s’affairait à quelque chose de très bruyant.
-Umphh !
Il ne put remonter ses mains pour recouvrir ses yeux, trop fatigué, ou trop ensommeillé… ne réussissant que ce soupir d’inconfort. Cependant cela sembla suffisant, pour que celui qui s’amusait à déplacer les chaises, comme si personne ne dormait, arrête de bouger. De respirer.
-MADAME !
Mais qu’est ce qu’elle a à hurler comme ça ? Qui est ce ? Qu’est ce qui se passe ?
Toutes ces questions restèrent sans réponse. Puisqu’il ne les avait pas vraiment posé à haute voix, cela va de sois.
La détentrice de ce charmant gosier, sortit en courant. Le laissant seul, incommodé, courbaturé, sous des rayons de soleil pas vraiment la bienvenue.
Le moment idéal pour ouvrir les yeux.
Et c’est grave docteur ?
Récapitulons.
Si j’ai bien compris, je suis réveillé. Ou plutôt, je suis ENFIN réveillé comme l’a dit ma « charmante » mère. Avant d’aboyer à la femme à coté d’elle d’aller appeler docteur Fishman.
Elle s’assit au bord du lit, me regarda un instant puis du bout des doigts effleura mes cheveux, dégageant mon front.
Elle se releva, après une minute de silence interminable, sortit de la pièce. Ne revenant que plus tard avec le docteur.
Entre temps ?
Eh bien je ne fit rien.
Je me sentait vide, ne pouvait ni bouger ni parler. Je n’en avais même pas envie. J’étais tellement confus, que quelques minutes de plus dans la solitude ne m’auraient pas paru superflus.
-Vous voilà réveillé jeune homme. Cela me ravit !
Dit l’homme. Fishman.
-Umph
-Ah oui ! Puis je avoir un verre d’eau ? Votre fils doit avoir la gorge sèche.
Mère jeta un coup d’œil à la femme qui l’accompagnais et n’eu même pas à formuler sa requête que celle si sortit à la hâte.
-…il lui faudra un peu de temps avant de pouvoir reparler. Peut être commencera-t-il par des syllabes…
Mes yeux suivaient les gestes de mon « docteur », il sortit son stéthoscope, commença son examen de … ma personne.
-Vous devez être désorienté Monsieur Lynch.
Un moment je crus qu’il s’adressait à mon père, puis je compris que ce n’était que moi.
-Heu oui.
Pensais je avoir dit.
-Humph
Fut ce qui sortit de ma bouche.
-Vous vous appelez Jonathan Thomas Lynch, votre père Stephan Nathan Lynch, votre mère Sandra Lynch. Vous avez 24 ans. Vous êtes dans votre manoir du New Hempshire…
Hein ? 24 ans ?
-…Nous sommes en 2016…
Comment ?
-…Juin 2016. Vous avez subi un traumatisme crânien qui vous a plongé dans un coma …
Coma
-…De 3 ans…
2013 ? Je ne me rappelle pas de cette année là non plus.
-Vous étiez à Harvard quand… il y a eu un incident …
Ah oui c’est vrai, Harvard je suis en deuxième année. 2013 ? En troisième plutôt.
-On vous à retrouvé dans les décombres de la bibliothèque vous en souvenez vous ?
Quoi ?
J’essayais de faire non de la tête. Sans sucées.
Mais peut être compris-t-il mon désarroi, en voyant l’expression de mes yeux. J’essayais vraiment de faire ma tête de « QUOI?». Je ne comprenais absolument rien.
Où plutôt je comprenais. Et c’est ça le problème.
-Vous étiez un jeune homme sportif et en bonne santé. Il n y avait aucun doute que vous alliez vous réveiller, quand votre corps se serait guéri.
3 ANS !!! Mon corps a prit tout son temps pour guérir.
Finissant son osculation en me passant un faisceau lumineux devant les yeux, il me releva mon pull et enleva quelque chose de collé sur mon torse.
Un bip strident couvrit ses mots.
-Vous n’aurez plus besoin du moniteur.
Ah… Ce n’était donc pas le réveil qui sonnait.
Quelques explications s’imposent
-Bonjour docteur.
Quelques jours sont passés. Je suis maintenant capable de parler.
Applaudissez mesdames et messieurs.
Eh oui mon public invisible me suit partout.
-Bonjour Monsieur Lynch
-Appelez moi Jonathan s’il vous plait.
-Jonathan. Comment vous sentez vous aujourd’hui ?
Demanda-t-il en s’installant sur la chaise à coté du lit.
-Bien mieux. Je ne pourrais pas encore courir le marathon, mais j’arrive à allez aux toilettes tout seul.
-Un grand progrès si vous voulez mon avis.
Mon public invisible me fait une standing ovation à chaque fois.
-Merci docteur.
-Alors vous savez comment ça se passe, je vais vous poser les questions de routines, ensuite je vais vous ausculter.
-Comme chaque jour
-Alors comment vous appelez vous…
-Je vais vous épargner cette peine. Je me rappelle de toutes les questions : Je m’appelle Jonathan Thomas Lynch, Fils de Stephan Lynch et Sandra Tremans Lynch. J’ai 24 ans mais je ne me rappelle que des 21 premières années. Je suis née ici même dans ce manoir, j’ai grandi ici et ai eu un précepteur, jusqu’a mes 14 ans avant d’allez dans un pensionnat à Londre. Le Bedford School. J’y ai étudié jusqu'à mes 18 ans, avant d’être accepté à Harvard. J’ai fait beaucoup de sport étant gamin. Je me suis tourné vers la dance en grandissant. Et j’ai fait quelques apparitions dans les pièces de théâtre du club d’art dramatiques dont je faisais partie à mes 15 et 16 ans. J’ai toujours essayé d’être le meilleur dans tout ce que je faisais. Et j’ai toujours essayé de faire ce que j’aimais.
Dans la mesure du possible, et de ce que mère considérait convenable. eu-je envie d’ajouter. Je bus une gorgé d’eau puis repris
- Je suis atteint de Trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité, je me soigne, et c’est à cause de ça que j’ai eu plein de centre d’intérêt au cours de ma vie. En entrant à Harvard j’ai fait le choix de mixer la technologie avec le design. J’étudie l’informatique et les arts visuels. Après ça, je ne me rappel pas de grand chose. Je me rappelle de quelques cours. De la majeur partie de la première et deuxième année. Mais pas de qui étaient mes amis. De la fratrie de laquelle je fais « apparemment »partie. Des gens que j’ai pu côtoyer. Ni de l’incident.
-Bien. Votre Amnésie ne semble pas être antérograde. Vous vous souvenez parfaitement des questions que je vous pose. Et vous n’avez rien oublié de ce que vous m’avez déjà répondu Hier et avant hier.
-J’ai passé la dernière semaine assis dans ce lit à essayer de me rappeler de ces zones d’ombres. Mère m’y a aidé en me racontant ce que j’ai manqué ces dernières années.
< i>En me racontant aussi comment elle a souffert de la réclusion. D’avoir vécu loin des mondanité. Loin de ses amies, qui lui avaient collé l’étiquette d’ermite.
-Cependant … je pense qu’elle ne sait pas tout.
-Votre situation n’est pas irrévocable vous savez ? Vous allez retourner à Harvard. Vous y rencontrerez les personnes qui vous étaient chère. Elles pourront vous y aider. Il vous suffira d’une odeur, d’un endroit, pour ravivez votre mémoire
-Je l’espère. Merci docteur.
Il se leva se dirigea vers son sac et se mit a farfouiller, à la recherche du stéthoscope qu’il avait déjà pendu dans cou
-Votre père n’est toujours pas rentré de son voyage ?
-Oh si ! Il est passé me voir hier. Il se prépare à retourner à New York pour rejoindre sa nouvelle femme … Melody ? Meredith ?
-Marjory .
-Oui voilà.
-Vous a t il aidé à retrouver un souvenir ?
-Je ne me rappelle même pas de lui quand j’étais réveillé docteur, alors …
Mon public invisible en eu la larme à l’œil. Je suis bon acteur, je sais.
Ma relation avec mon géniteur est, ce qu’on peut qualifier, de compliqué. Cela ne m’a jamais posé aucun problème.Au contraire, j’ai appris à m’attirer la compassion des gens qui m’entouraient en jouant la carte du malheureux petit garçon. Seulement quand la situation le demandait. A part ça, je ressens un détachement mêlé d’indifférence quand à Monsieur Lynch sénior.
Ne plus avoir aucune pensé négative, ni remonté de souvenirs. Mais pas parce que vous l’avez choisit. Juste parce que votre esprit vous l’impose.
Imaginez passer 3 ans au lit. Votre corps essayant de s’auto régénérer. Manquant 3 ans de la vie de vos amis et de ceux que vous avez aimé.
C’est le pied !!! J’adore !!
Allez une nouvelle aventure. On va tout redécouvrir !
(Invité)