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 1h30 du matin, lumière éteinte, bouteille de vin posée sur la table basse, allongée sur le canapé de ma suite, les yeux rivés sur le plafond. Toutes les conditions étaient réunis pour que je passe une soirée de merde, à bader, à m’imaginer comment certaines choses ce seraient passés si j’avais agis différemment, avant de me rassurer en me disant que de toutes les façons, les choses n’auraient pas pu se passer autrement. Je suis Gabrielle Llyod Ferguson et je n’ai pas le temps d’avoir des remords et même si j’en blesse certains sur mon passage, peu importe tant que je reste intacte. Il n’empêche que mon cerveau me harcelait, putain d’organe assez intelligent pour se retourner contre moi et faire appel à ce qui m’handicape le plus : ma conscience.  Et je repassais ces scènes dans ma tête, ou,  comme à mon habitude j’avais laissé transparaitre ce qu’il y avait de pire en moi, l’ironie, le sarcasme, la moquerie et la prétention et comme d’habitude, je m’étais retrouvée face à des personnes qui tentaient de lutter contre la personne que j’étais au lieu de s’y habituer. Je détestais ceux qui me regardaient comme une petite chose douce et fragile, je détestais ceux qui me regardaient comme si je leur appartenais mais de ceux qui m’insupportaient le plus aucun n’arrivaient à la cheville de ceux qui pensaient être au même niveau que moi, alors que je les surpassais de loin. Je me redressai, attrapant la bouteille de vin hors de prix –seule chose qui m’est fidèle même si la fin du monde pourrait arriver-  et de me servir un grand verre. Le portant à mes lèvres, laissant le nectar ambré réchauffer doucement ma gorge et je me fis cette réflexion : « Putain Gabrielle tu es pathétique ». Telle une ivrogne rongé par le remord, j’étais là, toute seule à boire dans le noir et l’image que je reflétais suffisait à me faire légèrement grimacer, de dégout ... bordel que ce cliché ne me convenait pas. Il me fallait un acolyte, quelqu’un qui pourrait se perdre dans l’alcool avec moi et qui n’aurait aucun problème avec celle que j’étais. Je saisis mon téléphone pianotant rapidement dessus «  Il n’est pas trop tard pour toi pour boire j’espère, je suis dans la suite 341 si jamais l’alcool ne te fais pas peur ». Je souris en coin après avoir envoyé ce message à Cole, attendant patiemment –ou pas – une réponse.
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 1h30 du matin,  Kyla était parfaitement endormie à côté de moi, ou du moins c’était ce que je pensais. Délicatement mon bras glissa pour défaire mon étreinte avec douceur sans risque de la réveiller et je me tournai vers la table de chevet sur laquelle mon portable venait de vibrer. Le nom de mon ancienne amante d’Oxford s’afficha sur l’écran. Un petit sourire naquit sur mes lèvres, et d’un coup mes sermons contre Kyla qui était en contact avec ses ex copains s’évaporèrent de mon esprit. Fais ce que je dis, ne fais pas ce que je fais. C’était tout moi ça ; J’avais donc été très intime avec Gabrielle durant nos années anglaises, même si jamais nous n’avions formé un couple à proprement parlé. C’était dans le lit et les bras de l’autre qu’on avait souvent eu l’habitude de se réfugier à l’époque. Alors la retrouver ici, sur le sol américain, dans le même campus, la même confrérie que moi, ça avait été une excellente surprise. Mais il nous était vite apparu évident que nos vieilles habitudes, il ne nous faudrait pas les reprendre. Et désormais puisque j’étais en couple, qu’elle était, j’avais eu vent de cela, fiancée, c’était d’autant plus à éviter. Donc quel mal y avait-il à me rendre dans sa chambre ce soir ? Aucun puisque ce n’était surement pas pour remettre le couvert. « J’arrive. » pianotai-je donc à l’attention de miss Ferguson. Tout aussi minutieusement que lorsque j’avais cessé de l’enlacer, je m’extirpais des bras tout doucement. A pas de loup je m’avançais jusque dans la salle d’eau, me glissant dans une tenue descente avant de quitter la suite, refermant la porte silencieusement derrière moi. Quelques pas dans le couloir, l’ascenseur s’ouvrit et je m’y engouffrais pour redescendre quelques minutes plus tard à l’étage du dessus. Me plantant devant le numéro 341, je toquais, curieux et impatient de découvrir ce que les raisons de l’ivresse nocturne de mon amie.
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 J’avais beau vouloir embrumer mon cerveau à l’aide du vin, ma conscience continuait toujours à me marteler l’esprit et voilà que je me mettais à refaire le monde avec des « et si … ». Et si je n’avais pas jeté Denys quand il m’avait confié qu’il m’aimait et si je n’étais tout simplement pas parti quand on était tous les deux, si je l’avais rejeté plus tôt, si je ne lui avais pas parler …. Bordel, bordel, bordel … pourquoi fallait-il toujours que les choses soient si compliqués, pourquoi j’avais ce besoin viscéral d’être aimée, comme une junkie en manque d’amour, et pourquoi paradoxalement j’étais incapable de pouvoir accepter qu’on m’aime. J’avais ce dont de m’éclipser, de dégouter, d’humilier quand les choses devenaient trop compliqués pour moi et je m’arrangeais toujours pour la personne qui finisse par ce bruler dans l’histoire, ce ne soit pas moi. Je ne cachais pas la personne que j’étais, je ne me suis jamais vanter d’être une bonne personne, je savais et j’assumais parfaitement le fait d’être un monstre d’égoïsme. Et c’était parce que je savais exactement qui j’étais et ce que je valais, que j’avais envoyé un message à Cole, monsieur Wildingham. Sa compagnie m’a toujours été agréable, même si je devais avouer que dans un passé pas si lointain que ça, nous avions pour habitude de partager le même lit mais enfin, je n’allais pas m’embarrasser de culpabilité puisque tout cela n’était plus d’actualité, nous étions simplement amis. Je m’apprêtais à boire mon deuxième verre quand j’entendis toquer à la porte et un petit sourire en coin vint s’afficher sur mon visage. Je me levai et me dirigeai vers l’entrée allant ouvrir la porte à mon acolyte. Un petit sourire insolent au coin des lèvres, je découvris Cole sur le pas de la porte … Cole, il ne change pas on peut deviner son rang, uniquement en regardant son visage. Je le regardais de bas en haut avant que mon sourire ne s’agrandisse « Monsieur  Wildingham » et un sourire un peu plus tendre s’afficha avant que je ne vienne déposer un bisou sur sa joue. J’ai toujours été chaleureuse avec ceux qui m’étaient proche. J’ouvris ma porte, l’invitant à entrer. « J’espère ne pas t’avoir interrompu alors que tu étais occupé à certaines taches inavouables ? » je lui dis taquine en plissant les yeux vers lui. Je portais une robe simple et mes escarpins étaient renversés à l’entrée, montrant que j’étais rentré en hâte et que je m’étais sans doute précipitée sur la bouteille de vin. Je lui montrai le canapé de ma suite d’un geste vague l’invitant à s’installer et je m’installai sur le fauteuil à côté. Prenant un propre pour le servir je levai furtivement les yeux vers lui «Alors, comment se fait-il que tu n’étais pas endormi ?  Bien que cela m’arrange de ne pas boire seule».
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J’arrivais devant la chambre de mon amie, un brun inquiet par cette invitation nocturne. Inquiet pour elle, pas pour ce qui pouvait se produire. J’étais confiant sur ce point, parce qu’en couple et heureux, et qu’elle, de son côté était fiancée… Des fiançailles dont nous n’avions pas encore parlé et qui étaient peut être loin de la combler, qui était peut être aussi l’une des raisons de son ébriété de la nuit, ça j’allais surement le savoir rapidement car la porte s’ouvrit. Son regard me détailla, alors que j’avais enfilé le premier pantalon et le premier T shirt que je trouvais sous la main, tenue de la nuit donc. Elle n’avait surement pas l’habitude de me découvrir ainsi, autrement que dans mon trois pièces cintré de grand couturier. Mais elle ne se départit pas de son sourire pour autant en me saluant, et c’est avec le même enthousiasme que je la saluai : « Mademoiselle Ferguson. » Ses lèvres s’écrasèrent tendrement sur ma joue et elle se décala ensuite de l’encadrure de la porte, me laissant entrer. Je fis quelques pas dans la pièce alors que sa question suivante m’arrachait un petit rire : « Tâches inavouables tu dis ? Toi tu as eu vent de ma soirée d’anniversaire pour parler ainsi non ? » Avec Noah en organisateur, je me doutais que la brune avait eu les détails du thème de la soirée. Une soirée Cole-Girl grouillant de danseuses plus sexy les unes que les autres, un anniversaire placé sous le thème de la luxure et de la débauche, oui Noah n’avait surement pas manqué de lui en parler. J’avais même été surpris de ne pas voir la jeune femme parmi les convives. Mais vu qu’elle se réfugiait dans le vin à 1H30 du matin, je pressentais qu’elle n’avait peut être pas eu le cœur à la fête. Et c’est quand elle me questionna ensuite sur le fait que je ne dorme pas à cette heure tardive, que je repris au sujet de mes 26 ans : « Disons que j’ai quelques troubles de sommeil depuis ma nuit en cellule… » Pauvre petit Cole Wildingham,  il en fallait guère plus pour me perturber voyez vous. « Mais la question serait plutôt : qu’est-ce qui provoque ton insomnie ? » questionnai-je avant de souffler, joueur et provocateur : « J’espère que ce ne sont pas des rêves érotiques sur moi, parce que je suis un homme pris désormais… »
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 J’avais franchement connu mieux, moi qui habituellement dormais à poing fermé, voilà que j’étais frappée d’insomnie. Les gens ne m’empêchaient pas de dormir, leurs états d’âmes ne m’empêchaient pas de dormir tout simplement parce que je me fichais de leur petite pleurnicheries. Cependant, cette nuit c’était différent, j’avais trop de chose en tête, ma conscience me torturait et comme si ce n’était pas suffisant, même le vin ne semblait plus me faire d’effets. Parce que je suis Gabrielle Lloyd Ferguson, parce que j’avais quand même assez d’estime pour moi-même pour ne pas finir complètement ivre, seule dans ma chambre j’avais appelé un ami … Cole. Cole avait été un partenaire plein d’intérêt pendant mon année en Angleterre, un coup de foudre amical du temps où j’étais là-bas et à l’époque, notre relation comportait quelques petits extras charnels qui avaient pour habitudes de me contenter pleinement. J’avais donc naturellement pensé à lui, pour m’accompagner pendant cette soirée qui avait commencé de façon … plutôt pathétique. Il frappa à la porte et je souris d’avance en pensant à sa présence, parce que j’ai toujours aimé la compagnie de Cole. Je l’invite à entrer, le gratifiant d’un bisou sur la joue avant de m’inquiéter de façon taquine sur les activités qu’il tenait avant mon invitation. Sa réponse me fit doucement sourire « Evidemment, j’en ai entendu parler. Noah m’a prévenu concernant le thème de la soirée, c’est qu’il est doué mon petit amour pour exacerber le vice. » Petit sourire taquin avant de poursuivre « D’ailleurs tu excuseras mon absence … je préparais mes fiançailles » mon ton était faussement enjouée, trahissant mon agacement pour ces fiançailles que je ne souhaitais nullement « Je saurais me rattraper pour mon absence, tu me connais … je suis pleine de surprise » lui dis-je amusée. Je m’installe sur le canapé, croisant doucement les jambes et tout en lui servant un verre de ce vin hors de prix que j’appréciais tant je fronçai les sourcils alors qu’il évoqua sa nuit en cellule « J’ai été en garde à vue une fois … pendant 2h, c’était tellement sale que je pouvais presque voir les microbes grouiller sur le sol ».  Et je lèvai les yeux furtivement vers lui à ses mots, avec un petit sourire insolent qui en vérité cache de la gêne. J’ai toujours eu du mal à parler de ce qui me tracasse, tout simplement parce que je donne cette image de garce que rien ni personne ne peut atteindre. Je poussai un léger soupire, hésitais légèrement avant d’ouvrir les lèvres « Nous dirons que mon cerveau attend une heure pas très catholique pour commencer à me torturer … obligation familiale » autrement dit mariage de merde dont je ne voulais pas, risque de spoliation par mon propre oncle et impuissance totalement de ma part « et  réflexions nocturnes concernant certaines personnes qui me pensent douce comme un agneau » ou encore Denys et son  je t’aime dont je me serais bien passé … d’ailleurs, je me serais bien passé de sa présence tout court, ma vie aurait été plus facile présentement « Mais rien d’ingérable, monsieur  Wildingham ». Tu parles, ça m’empêchait de dormir, c’était le début de la fin … je commençait à me ramollir ça n'allait plus. Ces derniers mots me firent doucement rire et en lui tendant son verre, alors qu’il avait la main sur celui ci , je le gardai en la mienne, effleurant sa main par la même occasion, mes yeux dans les siens « Pauvre petit chou … » presque théâtrale, posant mon autre main sur ma poitrine,  l’air navré pour ce qu’il m’annonçait, comme si l’annonce de la fin de son célibat était quelque chose de terrible pour lui « Dans ce cas je ne vais prendre le risque de te dire de quoi sont fait mes rêves, je n’ai aucunement envie de perturber, cet esprit qui s’est malheureusement tourné vers la vertu ». Je le taquinais clairement, mon esprit joueur reprenant le dessus mais Cole me connaissait assez pour, j’espérais, ne pas en être offusqué.
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 J’essayais de faire taire l’étincelle de culpabilité qui s’allumait dans ma tête alors que je rejoignais la chambre de mon amie. Je me répétais les bruits de couloir sur ses fiançailles, me passais en revue le fait que c’était en toute amitié que j’allais partager ce verre avec elle, et j’éteignais les flashs de nos nuits enlacées passées en terres anglaises… Rien de mal, je ne faisais rien de mal. Et j’étais d’ailleurs sincèrement inquiet pour la brune, raison pour laquelle je m’étais extirpé de ma chambre à cette heure tardive pour rejoindre la sienne. C’est une Gab fidèle à elle même qui m’ouvrit, souriante, taquine, ce qui eut le don de me rassurer un peu. Au moins, elle n’avait pas perdu ses vieux réflexes. « Noah n’est pas doué pour exacerber le vice, il EST le vice. » corrigeai-je avec un petit rire après les paroles de mon amie, en précisant néanmoins : « Et dans ma bouche, c’est un compliment bien sûr. » Parce que la soirée Cole girl aurait pu coller en tout point avec ce que j’attendais d’un anniversaire parfait, ça aurait pu oui… La venue de Wade et son petit coup fourré pour prévenir les forces de l’ordre et nous envoyer en cellule en moins. Gabrielle s’excusa de son absence, glissant une allusion à ses fiançailles, confirmant alors les ragots qui courraient à ce sujet. « J’ai entendu parler de cela en effet… Toutes mes félicitations ? » Je cherchais dans son regard une trace d’un quelconque agacement. Ma mère avait essayé, fut un temps, de m’imposer une fiancée, je me demandais si du côté de mon interlocutrice il s’agissait d’un même chantage familial archaïque, assez spécifique aux gens de notre monde. Quant au fait qu’elle serait rattraper, cela ne faisait aucun doute. « J’espère que tu ne manqueras pas la grosse fête que l’on fera pour notre élection. » Que ce soit Noah, Tate ou moi qui se retrouve à la tête de la confrérie, ça serait, dans tous les cas, une grosse orgie festive qui accueillerait cette prise de pouvoir. Et je m’en régalais d’avance, confiant sur les chances de succès de notre trio. Je rejoignis la brune sur le sofa, saisis le verre de grand cru qu’elle me servait et laissai mon regard se perdre sur le liquide bordeau pour en apprécier la couleur, la robe comme disaient les experts, avant même d’en apprécier les saveurs. J’écoutais, en même temps, les confessions de la demoiselle au sujet d’une nuit en cellule, ce qui m’étonna : « Toi ? Gabrielle Llyod Ferguson ? En cellule ? Tu as raison, tu es pleine de surprise. » Et je l’invitai à lever un peu le voile, en commençant par m’expliquer son insomnie. Je sentis à son regard, qu’elle hésitait à se révéler un peu. Amenant mon verre à mes lèvres, je pris une gorgée du nectar qu’elle m’avait offert, attendant qu’elle se livre un peu. Et je compris rapidement, à ses mots, que j’avais vu juste au sujet de cette nouvelle alliance. Obligation familiale. « Je connais ça. » Je comprenais donc, je compatissais même. « Comment s’appelle l’heureux élu ? » Je le connaissais peut être, son cher et tendre. « Enfin, on peut continuer de l’appeler –l’obligation familiale- si tu préfères. » précisai-je avec un petit rictus. Elle évoqua ensuite d’autres tourments, concernant une image que certains lui collaient à la peau. « Certains te connaissent vraiment mal alors… » rigolai-je en ne voyant pas vraiment comment la brune pouvait tenir la comparaison face à un agneau… Ou pire, elle était une mante religieuse, de celle qui bouffait ses amants après avoir obtenu ce qu’elle désirait d’eux. Je la savais dangereuse, c’était pour cela que, malgré le côté amélioré de notre relation, je m’étais bien gardé de m’éprendre de la sulfureuse demoiselle. C’est ensuite sur cet aspect de notre ancien lien que je m’attardais, confirmant au passage les propres bruits qui devaient courir à mon sujet : en couple. Elle compatit alors à son tour, théâtrale, et un rire franc s’échappa de mes lèvres. « C’est consenti et voulu… Ne me fais pas interner tout de suite hein… » Et ne te moque pas trop Gabrielle, un jour ou l’autre toi aussi tu te feras prendre au jeu des sentiments. Mais ça ne semblait pas d’actualité, et je lui offrais avec la fin de mon célibat, une distraction parfaite pour s’éloigner de ses soucis. Sauf qu’en couple ne signifiait pas avoir perdu mon côté joueur, et ça mademoiselle Ferguson ne devrait pas l’oublier : « Raconte moi donc ma chère, je ne voudrais pas venir hanter tes rêves à nouveau… Et puis je suis juste en couple, je ne suis pas entré dans les ordres. »
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 Il y a quelques temps, nous aurions déjà abandonné nos verres pour nous glisser sous les draps et même si à présent nous n’étions qu’amis, je ne pouvais m’empêcher d’être amusée à cette pensée. Nous en venions à parler de la soirée d’anniversaire que j’avais malheureusement manqué, bien malgré moi et Cole avait raison sur ce point, si on pouvait dessiner le vice, on dessinerait Noah. Ca remarque me fit sourire doucement et j’acquiesçai, enchainant sur le reste. J’étais fiancée bien malgré moi et même si j’étais douée pour simuler, l’agacement devait se lire sur mon visage. Je souris de façon insolente à Cole, lorsqu’il venait à se demander s’il devait me féliciter pour cet évènement « Non … pas félicitation. C’est fait contre ma volonté et j’ai horreur de me sentir impuissante ».  Je me sentais comme un sourie qu’on aurait piégé, je ne trouvais aucune porte de sortie à ce désastre et j’étais à la fois terriblement en colère et honteuse d’être aussi impuissante, de me laisser faire. Je tentais de me raisonner ou plutôt de me résigner comme je le pouvais, me disant par moment que, si notre monde comportait de nombreux avantages, ils n’allaient pas sans des inconvénients plus que lourds. Cole vint me rappeler un des avantages de notre monde, la Eliot house et les fêtes complètement démesurées que l’on pouvait financer avec nos moyens. Mes lèvres se fendirent d’un léger sourire en coin « Je ne compte pas manquer ça, même s’il s’avèrerait  mon mariage tombe le même jour ». Surtout si mon mariage tombait le même jour. Il vint s’asseoir à côté de moi et je tournai mon visage vers lui, lui souriant légèrement avant de lui tendre le verre de vin. Le voyant observer sa robe je lui murmurai doucement « Tu sais que j’ai toujours apprécié les bons vins ». Oui toujours, aussi loin que remontaient mes souvenirs avec Cole, il s’agissait toujours du même rituel quand on se voyait, je lui offrais un verre de vin, nous discutions brièvement avant que l’attraction ne finisse par avoir raison de nous pour nous diriger vers le lit. Enfin, ce n’était pas le moment d’y penser, nous étions devenus amis et il était sans doute plus sage de ne pas chercher à raviver les petits extras qui pimentaient notre amitié. Comme pour me ramener dans l’instant Cole se moqua gentiment de ma confession et à vrai dire, j’en venais à me moquer de moi-même parce qu’il était vrai que la garde à vue n’avait absolument aucun point commun avec moi « Tout le monde a un passé … mais plus sérieusement, de son vivant, mon père avait sa façon de me montrer, que mes actes avaient des conséquences». Mon père  était juge fédéral de son vivant et malheureusement pour lui, il avait éduqué une fille pourrie gâtée qu’il devait essayer de réguler tant bien que mal. En y pensant je ne regrette pas cette expérience, puisqu’elle fait partie de mes souvenirs avec mon père. La discussion continuant, j’en venais à lui parler de ce qui pouvait me tenir éveiller si longtemps et quand je lui parlai d’obligations familiales, il comprit de suite qu’il s’agissait de ce mariage me demandant même s’il connaissait … non pas l’heureux élu mais mon compagnon d’infortune. « Et bien je vais presque te surprendre … puisqu’il s’agit d’Ael. J’avais dans l’idée de mener la vie dure à mon futur compagnon jusqu’à ce qu’il jette l’éponge mais puisqu’il s’agit de mon meilleur ami, les choses vont être plus compliqués ». La discussion dévia ensuite sur Denys, sur le fait qu’il pensait me connaitre qu’il avait dit je t’aime à la personne qu’il pensait connaitre et que celle qu’il pensait connaitre, il la voyait douce comme un agneau. J’eus un léger rire aux mots de Cole « Tu n’as pas idée, du coup je me retrouve à faire un choix … laisser ce genre de personne penser ce qu’elles veulent et ne rien faire ou … leur montrer qui je suis réellement. Inutile de te dire laquelle de ces deux solutions j’ai choisi ». Ma phrase étant ponctuée par un petit sourire amusée. Je me retrouvais alors avec le Cole joueur qui voulait donc que je lui raconte le contenu de mes sois disant rêve. Oh ne titille pas Cole, tu sais aussi bien que moi que nous sommes deux joueurs et que je ne reculerais pas. Je souris franchement avant de boire une gorgée et de planter mon regard dans le sien « Me voilà soulagée de voir que je peux confier ça à quelqu’un … » ironique « Eh bien, il est surtout question de positions inavouables, de souffles en communion et de râle de plaisir » Je m’arrêtai quelques secondes en le regardant, observant sa réaction avant de reprendre « De courbes, de regards joueurs et … de plaisir ». Je souris une nouvelle fois avant de terminer « Merci Cole, je me sens maintenant beaucoup mieux de t’avoir confié tout ça ». Je souris, joueuse, me moquant presque de lui alors que j’avais ravivé des souvenirs qui n’avaient pas leur place présentement.

hj:
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  Ses fiançailles arrivèrent vite au cœur de notre discussion, et, par expérience, je pressentais que ce n’était peut être pas les félicitations qui étaient de rigueur. J’avais vu juste, Gabrielle me confirma alors que cette union avait été conclue sans sa volonté et qu’elle avait cela en horreur… « Aïe… » soufflai-je avec une grimace compatissante. Le souvenir de ce qui s’était profilé pour moi au moment du SB me revint en mémoire et je ressentis cet étau oppressant dont elle même devait souffrir à l’heure actuelle. « Je sais ce que c’est Gab… » Et je me lançai alors dans les confidences à mon tour : « Tu sais comment j’étais… » Elle le savait mieux que personne puisqu’elle avait été une invitée régulière dans mes draps. « J’ai eu une période un peu débauché, où j’avais pris le pli de profiter des plaisirs de la vie et des charmes des jolies filles qui croisaient ma route. » Pour le dire joliment. Pour faire plus cru, on aurait pu simplement s’en tenir à –je m’envoyais en l’air avec toutes celles qui passaient- « Disons que ça a atteint son paroxysme arrivé à Harvard en janvier dernier. » Les américaines m’avaient rendu fou, voilà ce que je pourrais plaider pour ma défense. « Bref, ma mère en a eu finalement vent et au Sb, elle m’a annoncé qu’elle avait arrangé mes fiançailles avec une aristocrate allemande. Une coincée, vierge et farouche… » racontai-je en me rappelant d’Ombeline et de mes tentatives d’approche auprès de la jeune femme. « Tu m’imagines marié avec ce genre de nana ? » lui fis-je, espérant ainsi la faire retrouver un peu son sourire. Qu’elle m’imagine ainsi, qu’elle se moque un peu de moi, qu’elle oublie son propre malheur quelques secondes. Pour ma part, j’étais sorti d’affaires, ma mère ayant abandonné l’idée après que l’allemande en question soit retournée dans son pays natal. Amen. Le verre offert par la jeune femme en main, je le levai pour trinquer avant d’y tremper furtivement mes lèvres, l’écoutant me confier qu’elle répondrait présente aux futures invitations, quand bien même son mariage tomberait le même jour, petite remarque qui m’arracha un léger rire : « Tu veux dire -encore plus- si ton mariage tombe le même jour non ? » N’importe quel prétexte lui paraissait surement bon pour échapper à la sentence. J’avais connu ça, je comprenais. Taquin, je découvris avec amusement le passé de délinquante de la miss parfaite qui me faisait face. Garde à vue qu’elle devait à son père et à sa morale inflexible. Le mien, quand il était encore vivant, aurait surement été du genre à verser des mille et des cents pour empêcher une telle chose de se produire, probablement terrifié à l’idée qu’une telle bavure entache notre nom et notre réputation. Et regardez ce qui était venu l’entacher finalement : la mort de monsieur et le nom de son batard couché sur son testament. C’est avec un petit goût amer que je chassais ces pensées, plongeant à nouveau dans le nectar que m’avait servi mon amie, me concentrant de nouveau sur ses futures noces. Son meilleur ami, Ael, présent à mon anniversaire d’ailleurs, était l’heureux élu. « Tu aurais pu tomber sur pire non ? Au moins, avec lui, tu auras un allié… Peut être qu’ensemble vous pourrez empêcher le mariage d’avoir lieu non ? » supposai-je alors. Et, quand bien même ils n’y échapperaient pas, en tant qu’amis, ils pourraient sauvé les apparences lors des sorties publiques et laisser l’autre s’adonner aux activités qu’il souhaitait à côté de cela… Cette union arrangée et les tracas qui en découlaient n’étaient pas la seule raison à son insomnie. Il y avait aussi ces gens qui l’étouffaient, qui voulaient la voir agneau alors que je le savais moi, qu’elle tenait plus du loup. Elle m’expliqua alors les deux options qui se présentaient à elle pour régler cela, et je ris à la fin de sa phrase, acquiesçant : « Inutile en effet. Tu me permettras de plaindre le malheureux, j’imagine qu’il va morfler… » Et d’ailleurs, ça me faisait rire de plus belle, le sadisme féminin m’ayant toujours particulièrement amusé, surtout quand il s’abattait sur quelqu’un d’autre que ma petite personne. Mais c’est finalement avec moi que je l’invitais, par mes paroles, à jouer. Je voulais tout savoir de ses rêves qui troublaient son sommeil, même si je me doutais que c’était uniquement pour me titiller qu’elle avait avoué cela. Elle commença alors, voix sensuelle, propos allusifs, cherchant mon regard pour y lire une quelconque trace de trouble mais c’est juste une lueur intéressée qui y brillait. Un sourire fendit mes lèvres à mesure qu’un tableau se dessinait dans mon esprit, flash de nos nuits passées enlacés l’un contre l’autre. « Ca me manquerait presque tout ça… » confiai-je avec amusement avant de répéter : « Presque. » Oui, parce que j’avais Kyla, et que sur ce plan là, j’étais comblé. « J’ai de la chance d’avoir une reine en la matière, donc je ne souffre d’aucun manque de ce côté là, moi… » Sous entendu que de ton côté Gab, tu dois souffrir de frustration. C’est d’ailleurs clairement ce que je lâchai ensuite : « T’as personne avec qui assouvir ces rêves ? »

Hj : t'inquiètes c'est parfait Alcohol and good resolutions (Cole)  1839924927 Puis y'a pas de taille légale pour les rp chacun écrit comme il veut ^^
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