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Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan

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Clément Scar de Beauvoir

         
jamie dornan
         célébrité nom
Fiche d'identité
Nom de Beauvoir, comme Simone (en voiture) Clément se plait à dire qu'il fait parti de la famille de cette illustre et grande femme lorsqu'il rencontre des féministes convaincues, c'est déjà un pied dans leurs lits. Prénom(s) Clément Scar. C'est son paternel qui a choisi son prénom. Celui-ci lui vient de son grand père. Il ne l'a  jamais connu, mort sur le champ de bataille durant  la seconde guerre mondiale en héro de la nation. Cependant, même s'il est fier de son prénom, c'est le second qu'il donne, c'est le second que tout le monde utilise.  Âge 25 ans date de naissance 7 septembre 1990 Lieu de naissance Nice, ma belle. Je suis né sous son soleil chatoyant qui vous caresse l'épiderme. Sous son vent marin qui vous insuffle un souffle de liberté. Statut amoureux célibataire Orientation sexuelle hétérosexuelleClasse sociale moyenne  Études majeures droit (8ème année)Job avocat stagiaire dans un cabinet à Boston + chargé de td en droit pénal à HarvardChoix de groupe #1 Winthrop House Choix de groupe #2 Student

         
WINTHROP HOUSE
Clément a toujours été l'un de ces hommes au regard langoureux et subjectif.  Aux mots aguicheurs et au tempérament séducteur.  Son charisme est un atout autant avec la gente féminine que pour son poste d'avocat stagiaire. S'il aime les femmes plus que de raison, se poser n'est pas dans son idée.  Outre les femmes, c'est un jeune homme qui aime pratique divers sport. Chaque matin, il a besoin de son footing pour évacuer cette colère dormante qu'il tente de maitriser à chaque instant. Atteint d'anger issues, le sport l'aide à se tempérer.


         STUDENT
Les students restent son second choix pour la simple et bonne raison qu'il n'a pas le coeur sur la main. Penser à la famine dans le monde, au manque d'éducation et à la misère humaine ne l'atteint pas. S'alourdir de l'infortune des autres, très peu pour lui, il en a assez avec la sienne. Bien qu'il lui arrive de boire et de toucher à certaines substances lorsque l'ennuie le prend, l'idée de croiser le visage cernés par les folies nocturnes de ses confrères ne lui plait pas. Voir une femme s'effondrer sous le poids de l'alcool ne lui plait guère. De plus, entrer chez les Mathers serait un échec pour cet homme qui cherche à s'éloigner de l'ombre de son paternel et de son haleine alcoolisé. Les cabots ? Le jour où il passera la porte ça sera pour visiter sous la jupe des filles, pas pour en porter une. N'ayant aucun attrait pour l'art, la Lowell House ne lui est même pas venu à l'esprit. En ce qui concerne la Eliot House, il n'est ni le fils de et n'a pas le compte en banque pour suivre. Enfin, la Dunster House aurait pu le satisfaire, mais être catalogué comme l'intello de service. No way, don't kill my vibe.  
APRÈS LA BOMBE.
  Je parcourais le monde en quête de connaissances et d'aventures en ce janvier 2013. Je n'étais pas présent pour voir les traits des étudiants se déformer sous la peur. Je n'étais pas présent pour pleurer les nombreuses victimes qu'à fait cet homme. Cependant, je me souviens m'être recueilli comme le reste du monde, je me souviens avoir fait une minute de silence en mémoire de ces innocents arrachés à leur vie par la bêtise humaine. Je me souviens m'être dit, et si... et si la folie de cet homme c'était abattue sur mon université, et si j'avais été présent, et si mes amis avaient décidés d'entreprendre leurs études dans cette université. Malheureusement, ce drame fait encore échos dans le coeur du monde entier à travers cette funeste actualité qui s'abat sur notre quotidien . Bordel, le monde devient fou.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Je n'étais pas sur le campus lorsque les agressions et les prises d'otages ont eu lieu. Mais encore une fois, ces tragiques événement ont défrayé la chronique, après tout, on ne parle pas d'une université lambda. On parle d'Harvard. C'est ce genre d'événements qui me donnent l'envie de poursuivre dans la voie de la justice. C'est ce genre d'événements qui méritent que la main de l'impartialité vienne appliquer le droit de ce beau pays qu'est l'Amérique. La terre promise, les landes de la liberté.
SCAR'S STUFFS.
  (1) Il est né à Nice. Sous le soleil de la côte d'azur, sous le chant des cigales. Sa ville natale est la plus belle si on l'écoute. Il a toujours aimé ses ruelles colorées. Les petits vieux posaient sur leurs chaises pour faire une contré ou une belote. D'ailleurs il a apprit à jouer aux cartes avec eux. L'odeur des fruits, des légumes et des fleurs qui embaume vos narine depuis le cours Saleya. Les lumières de cette gigantesque roue, l'emblème de la place Masséna. Le sable fin qui roule sous vos pieds lorsque vous trainer sur la plage. Nice c'est un ensemble de souvenir. Nice c'est la beauté de la côte d'Azur.  (2) Clément est le prénom de son grand père. Il n'en a pas honte parce que bordel, ce mec était un vrai bonhomme. Cependant, il préfère qu'on l'appelle Scar, son second prénom. Il trouve que ça sonne mieux, il trouve que ça fait plus dur. Il déteste qu'on le surnomme Clem, trop féminin à son goût, de plus, c'était ainsi que son père l'appelait (3) Il a tué son père avec son arme de service lorsqu'il avait 16 ans. Il n'a aucun remord, parce qu'il savait que c'était la seule chose à faire pour que tout s'arrête. Pour qu'il cesse de lever la main sur sa mère et lui. D'ailleurs, il en a gardé de nombreuses marques sur le dos.  (4) Sa mère a quitté Nice un mois après le drame, un mois après que la mort de son père, passait pour un règlement de compte ne passe. Claire de Beauvoir n'a pas supporté vivre dans les souvenirs de cet homme qui la battait ,mais qu'elle aimait pourtant.  Elle n'a pas supporter croiser la silhouette grandissante de son fils, le meurtrier de son mari. Depuis, elle se contente de l'appeler pour les grandes occasions. Elle est revenu le voir une fois, mais elle s'est effondré en voyant les traits de Clément, bien trop similaires à ceux de son père. Claire a refait sa vie. Scar ne connait pas sa belle famille et ne désire pas la connaître. Si au départ, l'absence de sa mère l'avait chagriné, depuis il vit très bien sans elle, sa grand mère ayant pris la relève. (5)Il a un tatouage sur l'omoplate, du côté droit. Trois petit points. "Mort aux vaches" Ce tatouage est en rapport à ce fameux soir. Ce soir où il a tué son père, de sa main droite. Ce soir où il a tué ce flic corrompu qui le battait, lui et sa mère.(6) S'il a choisi le droit, c'est pour prendre le contre pied de la personnalité de son père. Lui qui a toujours voulu se différencier, cette voie lui semblait être la meilleure option (7) Il a fait ses études dans différentes villes à travers le monde en suivant des programmes d'échanges. Paris, Moscou, Lisbonne, Madrid ...


         
ton pseudo
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle endless wildones et j'ai 22 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à j'y suis déjà depuis un moment  Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  152426858 .  Vos impressions sur le forum je suis déjà présent sur le forum sous les traits de anciennement Anastasiya V-I Kataïeva (Eliot House) + Gabriel A-B Batista (student, changement de personnage). J'utilise Jamie Dornan comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par * { Lux. Je fais environ 500-800 + (mais je m'adapte très facilement) mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

         Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.

         Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
          Participer au Summer Camp, en tant que :
       Summer Camper
      Vacancier
      adhérer un flood d'intégration (?)
          je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

         
[/b]
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 The bitterness inside is growing like the newborn. When you've seen, seen. Too much too young, soulless is everywhere . Muse - New Born
MARDI 18 NOVEMBRE 2006 - Les jours passent et les nuits se ressemblent. Assis sur le rebord de ma fenêtre, j'inspirais profondément pour relâcher la fumée opaque à travers l'obscurité de la nuit. Je la regardais s'épandre dans le ciel avec allégresse. Elle essayait de s'étendre, encore et encore pour gagner l'immensité du ciel. Cependant, elle n'y arriverait pas. Elle allait s'évaporer, dominait par les ténèbres. Fermant les yeux, je m'amusais à nouveau à créer des formes avec cette fumée indisciplinée, jusqu'à ce que je n'entende la porte s'ouvrir au rez-de chaussé. La foudre allait s'abattre. Chaque soir, c'était la même chose, la même mélodie. D'abord, le grondement de la porte qui s'ouvre. Ensuite, les pas lourds de mon père contre le bois du parquet,  ses bottes de service couinaient contre les lattes alors que ma mère se tenait dans l'entrée, les bras croisés. Je pouvais la voir, l'imaginer, même les yeux fermés. La pâleur de sa peau. La blondeur de ses cheveux voletant autour des traits anguleux de son doux visage. Les traits hostiles et la pointe de tristesse dans l'azur de ses yeux. Elle l'attendait. Et comme chaque soir,  elle espérait qu'il n'ait pas eu d'accident, qu'il rentre sain et sauf. Et comme chaque soir, une part d'elle espérait cet appel que tant d'autre redoutaient. Celui qui la délivrerait de sa grandeur. Je l'attendais moi aussi. Les disputes étaient incessantes et elles se terminaient toujours de la même façon. C'était toujours le même ordre, le même schéma. La partition se répétait inlassablement. Elle allait crier, s'énerver, lui irait dans le frigo pour prendre une énième bière ou dans le placard pour sentir le liquide ambré couler dans sa gorge avec délice. Il poserait son arme de service sur la table en enlevant  les balles puis en mettant le cran de sécurité. T'es encore bourrée et ne me dis pas le contraire. Je sens ton haleine. Tu m'écœures. Tu penses  à moi ? A ton fils ? A nous ? dit-elle en posant ses mains sur ses fines hanches.Par moment, elle variait l'ordre des préférences. Il lui arrivait de me placer en premier selon l'alcoolémie de mon paternel ,mais au final, la fin était toujours la même. Son regard devenait noir, les orbites de ses yeux semblaient vouloir s'échapper de ses globes. Les veines se gonflaient, palpitaient au grès de ses humeurs. Il se laissait emporter par la frénésie de l'alcool.  Pathétique. Quel homme était-il pour se laisser dicter par cet arôme ? Un lâche. Le poison parlait pour lui. Le poison prenait le contrôle de ses membres et sa main s'abattait contre le visage si délicat de ma mère pour y laisser des traces. Je pouvais entendre ses pleurs bien qu'ils soient de plus en plus silencieux. Le maquillage arrivait à camoufler les boursoufflures ,mais le temps ne guérissait pas son âme. Elle avait appris à ne plus rétorquer. Elle essayait de le calmer pour se sauver, pour nous sauver. Combien de fois m'avait-elle raconté que la porte du placard avait rencontrée les arrondis de son visage ? Combien de fois avait-elle joué sur sa maladresse ? Cependant, je n'étais pas dupe. Je ne l'étais plus.

Le vent soufflait si fort que les branches cognaient contre ma fenêtre. L'air était grisant. L'obscurité avilissante. Je fermais les yeux si forts que j'espérais que tout ceci ne soit qu'un cauchemar parmi tant d'autre, mais ce n'était pas le cas. Les cris étaient plus forts. Les fracassements de la vaisselles avaient été plus nombreux et ce soir, ma mère m'avait appelé. Elle avait osé crier mon nom dans les méandres de la nuit.  L’écho de sa voix résonnait dans mon âme, dans mon esprit. Ils semblaient de plus en plus puissant. Les battements de mon cœur s’échappaient de ma cage thoracique. Mes jambes s’élançaient à toute vitesse dans les escaliers, si vite que je manquais de tomber, mais je n’en avais que faire. Je pouvais m’effondrer, tomber, saigner. J’en avais rien à foutre. Elle m’attendait. Elle avait besoin de moi. Scar. Fais quelque chose ! avait-elle dit. Ne le mêles pas à ça. C'est entre toi et moi. Tu ne voudrais pas lui expliquer. Tout est de ta faute avait-il rétorquer. Je me tenais dans l'entrée, les yeux sur mes deux parents. J'aurais aimé courir vers la silhouette biaisée de ma mère, la prendre dans mes bras et lui dire que tout ceci n'était rien. Que tout allait s'arranger et qu'il allait payer pour ce qu'il avait fait. Clément, ne t'approches pas. C'est elle. C'est de sa faute tout ça. dit-il en se tournant à nouveau vers ma mère, l'air furieux. Arrêtes tes conneries. T'as encore bu. dis-je en m'avançant, l'air dangereux. Mes mains se posaient à plat sur la poitrine de mon père. Je le poussais. Encore et encore. L'air rageur. T'es qu'une ordure. je n'avais pas peur des mots, je n'avais pas peur de lui. Cet homme n'en était pas un. Le vert de ses yeux s'était posé dans le bleu des miens. La folie y était inscrite. L'adrénaline s'échappait de mon haleine. Il m'attrapait par les épaules et d'un geste brutale il me jetait au sol. Les hoquètements et les pleurs de ma mère s'intensifiaient. Bordel Claire, regardes ce que tu me fais faire. dit-il en détournant à nouveau son attention sur ma mère. L'arme de service de mon père était au sol, il ne l'avait pas vu tomber, mais moi oui. Alors que ses mains étaient passées autour de la gorge de ma mère, j'enlevais le cran de sécurité pointant le canon dans le dos de ce dernier. Lâche-la ma voix était posée et calme pourtant mon sang frappait contre mes tempes. Qu'est-ce que tu vas faire Clément ? Tu vas tirer ? Tu vas me tuer ? Je t'en pris, je suis ton père son rire gras s'échappait d'entre ses lèvres. Mes articulations se crispaient contre la cross du revolver. C'était comme un jouet, mais en plus lourd. Je regardais l'objet sous toutes les coutures avant de redresser mon regard vers mon père. Déterminé. J'ai dis, lâche-la Mais il ne le faisait pas. Ses mains se serraient de plus en plus contre la gorge de ma mère. Sa peau de porcelaine devenait rouge sous le manque d'oxygène. Non ... Scar, fais pas ça sa voix qui d'ordinaire était mélodieuse, n'arrivait pas à percer l'air. Elle était paralysée par la peur et la trainée de sang qui coulait au creux de ses lèvres me donnait une raison de plus pour en finir. Un bruit. Une balle. Une légère fumée. Un corps qui tombe. Le coup était parti. Je regardais le cadavre de mon père tomber sur le sol avec massivité. De la poussière se dégageaient des rainures du parquet. Ma mère criait alors que mes doigts lâchèrent l'arme par automatisme, mais aucune peur. Tout est terminé maintenant. Tout ira bien maman

***

Je pensais que tout irait bien après que l'ombre de mon père ne planerait plus sur nous. Ma mère ne cessait pas de pleurer sa perte. Les vieux du quartier passaient devant notre perron pour déposer des fleurs, pour faire les éloges du défunt capitaine de police. Savaient-ils que c'était un homme corrompu ? Savaient-ils le nombre d'enquêtes qu'il avait bafoué pour en tirer avantage ? Bien sûr que non. Il avait été bien trop précautionneux. L'enquête avait conclu à un règlement de compte. Ma mère avait menti pour me protéger. Mais ce n'en était pas un. Ce soir-là, la rage avait emprisonnée mon cœur pour en faire sortir toute sa noirceur. Cet homme ne méritait pas d'être ici, ne méritait pas l'amour de ma mère et pourtant, elle le pleurait. Pourquoi ? Comment pouvait-elle pleurer son bourreau, notre bourreau?   La tête baissée, cela faisait plusieurs jours que je n'avais pas vu l'étincelle de ses yeux se poser sur moi. Elle ne m'adressait pratiquement plus la parole, elle ne me nommait plus. Cette nuit-là, j'avais perdu mon père et ma mère. Pourtant, je n'avais aucun remord. La lourdeur de ses mains ne s'abattrait plus sur nous. Ses paroles ne viendraient plus nous briser.


C'est dans ce ciel bleu que le soleil déployait toute sa beauté, chassant l'ombre des nuages. La foule était au rendez-vous. Les touristes étaient de retour comme chaque année dans les rues piétonnes de Nice. Je pouvais entendre la beauté de leurs langues se déliaient et l'éclat de leur rire face aux souvenirs qu'ils étaient en train de se créer. Mon regard se posait sur cette fille. Sa peau halée me donnait envie d'y laisser traîner ma main. Sa chevelure ébène invitait mes doigts à s'y glisser dedans. Le pourpre de ses lèvres enchantait mon regard. Elle était là, belle et douce, assise sur ce rocher à profiter candidement des rayons du soleil, les paupières closes. Arrêtes de mater Scar, on a des choses à faire. Olive nous attend dit-il en me donnant une tape derrière la tête. Mon visage se tournait vers mon meilleur ami, le regard légèrement fronçait Tu sais pas apprécier les bonnes choses de la vie. Olive comprendra. soufflais-je en laissant ma main s'abattre contre l'arrière de sa tête à mon tour. Je m'avançais vers cette fille qui se relevait abruptement pour tenter d'attraper son chapeau qui s'était envolé sous la bourrasque de vent qui s'était levé. Je levais le bras, déployant mes articulations pour attraper son accessoire et la rejoindre, le sourire charmeur. Je te rendrais ton chapeau ce soir devant un verre. A la place masséna . Je te retrouverais soufflais-je en glissant ma casquette au sommet de sa tête en guise d'échange. Un petit clin d'œil, une petite révérence ironique et je m'élançais dans la foule pour rejoindre Bastien au milieu de la foule. Le con. Je pouvais le voir d'ici. Ses doigts glissaient avec une agilité déconcertante. Sac, poches, poussettes… L'adrénaline du voleur. La stupidité de l'adolescence.

Je l'avais retrouvé. Elle était là. Toujours aussi belle. Les bourrasques de vent venaient faire voler les plis de sa robe blanche autour de son corps svelte. Un petit sourire sur le coin des lèvres et je faisais vrombir le moteur de ma moto pour me garer devant elle. Je t'avais dit que je te retrouverai charmeur, j'enlevais mon casque pour la regarder. Je suis venue seulement pour mon chapeau je souriais devant ses paroles mais j'haussais les épaules l'air détaché. J'ai dit que je te le rendrais ce soir, pas quand. Si tu le veux vraiment tu vas devoir me suivre sur ces mots, je posais le casque sur sa tête et d'un signe du menton, je l'invitais à monter à l'arrière. La nuit fut longue, nous n’avions pas dormi et c’est aux aurores que je l’avais ramené devant les portes de sa maison de vacance.  A la fenêtre, un homme nous regardait, les doigts crispaient autour des rideaux. Dans son regard, je pouvais reconnaître l’inquiétude du père. Fut un temps, je l’avais connu aussi. A chaque fois que je revenais les bras et les genoux écorchés. A chaque fois que mon père recevait un appel de l’école pour l’informait que son fil venait de se battre avec un camarade. Fut un temps… avant que l’alcool ne ronge sa personnalité. J’ai pas le droit à un baiser ? demandais-je en la regardant monter les quelques marches. Peut-être ce soir elle jouait les séductrice, mais la teinte que prenait ses joues la trahissait. Elle n’en avait pas l’habitude. Pas encore. Qui te dis que je serais là ce soir ? parce que j’ai toujours ta casquette .. un petit rire s’échappait d’entre mes lèvres tandis que je posais mon casque sur ma tête C’est que j’y tiens à ma casquette. A ce soir Blaise A tout à l’heure Scar

Les belles promesses de l'été s'étaient envolées aux portes de son départ. Nos rires et nos souvenirs s'étaient envolés en cette fin d'après midi. Lorsque la voix du père de Sophia s'était fait entendre. Elle m'avait ramené à de nombreux événements familiaux, m'avait invité à la table de sa famille. Pour le plaisir, mais aussi pour tenir tête à son père. Ce jeu m'avait bien fait rire. Je l'avais moi-même joué en poussant le bouchon un peu trop loin par moment. Laissant mes mains caresser la peau doré de sa fille sous son regard. Embrassant ses lèvres rosées lorsque son visage se découpé dans le paysage. Pourtant, l'éclaircie avait laissé place à la tempête. Il avait laissé entrer Sophia, mais à la place de me couvrir de son regard noir, il était sorti l'air rageur. On part ce soir et ne cherches même pas à la recontacter. Elle mérite beaucoup mieux qu'un meurtrier et qu'un sale gosse dans ton genre les sourcils fronçaient je m'avançais vers cet homme en serrant les poings dans mes poches. Je sentais mon sang battre dans mes veines, ma vision se troubler par la colère. Je ne me contrôlais plus. Je n'y arrivais pas. Je vois pas de quoi tu parles beau-papa. Meurtrier c'est un bien grand mot. Tu sais aussi bien que moi Sophia supporte pas les araignées. Alors quand l'une d'entre elles remontaient le long de sa poitrine j'ai bien été obligé de la sauver articulais-je avec ce sourire narquois au bout des lèvres . Petit con, tu sais très bien de quoi je parle. Novembre 2006 ça te rappelle rien. T'es dangereux !   s'écria-t-il en plaquant ses mains contre mes épaules pour me pousser. D'instinct, mes doigts vinrent serrer ses avant bras afin qu'il me lâche, mais la folie s'était installée dans mon regard si bien que je ne pus m'arrêter. Si bien que par réflexe, mes poings s'abattaient contre son visage jusqu'à ce que Sophia ne vienne m'arrêter en posant ses délicates mains sur mes épaules.  D'un geste automatique, je la repoussais et c'est lorsque j'entendais son cri que je me tournais, que je m'arrêtais. Son bras était en sang. Mon cœur battait à tout rompre, l'image de ma mère m'apparus de plein fouet. J'avais tout fait pour effacer l'ombre de mon père. Pour ne pas lui ressembler. Cependant, là, la vérité s'imposait à moi avec clairvoyance. Je lui ressemblais bien plus que je ne voulais l'admettre. Je .. Sophia … j'aurais aimé lui dire que j'étais désolé. Que la colère avait pris le pas, mais aucunes phrases cohérentes ne sortaient d'entre mes lèvres soudainement sèches. Alors, je me mis à courir, à m'éloigner, de cette fille et du souvenir de la silhouette prostrée de ma génitrice.

***

Un simple coup de fil peut changer votre vie. Une simple voix. Une simple proposition. Le doyen de l'une des plus grandes universités du monde m'avait contacté. Peut-être que mon mémoire lui avait plus. Peut-être que les échos de ce tout jeune avocat nomade lui était parvenu. Foutaise. Je savais pertinemment pourquoi j'intégrais cette université. Je savais pertinemment pourquoi j'allais devoir enseigner le droit pénal à la rentrée prochaine. Protéger Zoya. J'avais rencontré cette dernière lorsque mes valises se sont posées dans son incroyable demeure à Moscou. Se ne fut pas la seule rencontre que j'ai faite en Russie. Non. J'avais aussi rencontré cet homme qui faisait volte-face au célèbre dicton; une main de fer dans un gant de velours. Il ne connaissait pas la douceur de cette matière. Il vivait selon ses propres règles, n'hésitant pas à jouer avec la vie d'autrui pour en tirer profit. Quoiqu'il en soit. Ma vie allait changer. Ma vie allait prendre un nouveau tournant. Un tournant qui n'était pas dans mes plans. Cependant, je n'allais pas m'en plaindre. Etudier, enseigner à Harvard était le rêve de millier de jeunes non ? Je n'allais pas m'en plaindre.
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Rebienvenuuuue et bon courage pour ta fiche Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  3850463188 J'aime le choix de maison Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  152426858
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mooooh gab, c'est triste Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  1365124802 Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  1365124802 bon t'es obligé de me garder un lien de folie avec ce bg quand même Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  166564858 Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  152426858
(re)bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  2109348208 Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  3850463188
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(re)bienvenue et bon courage pour ta fiche Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  3850463188
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Gab :TT: comment je suis trop triste, mais je m'en doutais Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  3669069390
Rebienvenue Cass d'amouuuur Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  2511619667
Réserve-moi un lien avec ton bel homme Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  3026748879
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@Ariana Von Liechtenstein Ma BAE Candice, ça me fait tellement bizarre de la voir, puis en jumelle en plus, mais bon, ça fait deux fois plus de Candice, je ne peux qu'apprécier Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  80508888 Tu me réserves un lien Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  27820337 Merci :heaart:

@Leevy W-Cartwith Leevy la plus belle Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  2321506494 of course que je te garde un lien et de choix en plus Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  152426858 puis merci mon petit chat :heaart: (on peut même voir par mp directement Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  1629572796 )

@Aaron W.-Buckley thanks u cutie pie Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  208576344

@Sophia B. Vanderbilt Oui je sais :TT: mais j'y arrivais plus, je pense que j'avais besoin de repartir de zéro sur ILH + Je savais pas que t'avais Phoebe la déesse. Qu'est ce qu'elle est belle Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  2109348208 Bien sûr pour le lien, d'ailleurs, je veux bien qu'on voit par MP, histoire de la faire entrer dans l'histoire de Clément Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  152426858 J'ai envie d'avoir de bonnes bases pour ne rien lâcher Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  2321506494
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Je te comprends totalement, quand tu peux plus, tu peux plus Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  927261665 Ouiiii j'ai Phoebe Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  208576344 Oh mais quel honneur Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  3997999705 je te mp tout de suite hanwii !
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omg gab... :TT:
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Re bienvenue Clément S. de Beauvoir ► Jamie Dornan  3850463188
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