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DANTE ∇ can we talk about all we've never say ?

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13 juillet 2016. Une date qui n'avait rien de bénigne. Il y avait exactement deux ans, deux longues années, la cadette de la famille Archibald avait lâchement fait croire à sa mort. Un suicide par-dessus un pont et le corps retrouvé n'avait en aucun cas été le sien. La demoiselle avait simplement un complice très doué pour ce qui est de faire disparaître les gens et pour une fois, la famille Basini n'utilisait pas ce don après avoir descendu une personne, mais belle et bien pour la faire fuir. Les raisons de sa fuite.. Son frère les connaissait depuis le premier soir de leur retrouvaille. Cependant, il n'en avait toujours pas pris conscience. Cela l'amusait de lui dire qu'il ne voudrait jamais être oncle et qu'elle n'avait pas intérêt à continuer à tout vas, mais.. Se rendait-il seulement compte que ça avait failli être le cas ? Qu'elle aurait du être mère, Dante aurait été le père et lui aurait été par la force des choses – et des liens familiaux – un oncle. Formidable, elle n'en doutait pas. Lui aurait largement moins aimé la surprise, mais peut-être est-ce que cela l'aurait fait grandir plus vite ? Oui, elle lui reprocherait encore et toujours d'être trop gamin, mais il n'en était pas moins toujours parfait à ses yeux. Il resterait son jumeau à tout jamais. Un autre aurait accueilli la surprise avec le même choc, c'était Dante. Se retrouver père comme ça.. Souvent, la brune avait imaginé sa tête en revenant avec leur bébé. Heureux. Choqué. En larme. Mais.. Rien n'avait été possible. Si elle avait réellement eu cet enfant, aurait-elle été dans cette boîte de nuit au Canada ? Aurait-elle revu son frère et aurait-elle eu le déclic pour revenir auprès de lui ? Probablement, non. Elle aurait veillé son enfant toute la nuit et elle n'aurait même pas pensé au fait qu'elle se faisait le plus grand des mal en restant loin de ceux qu'elle aime. Non, car à ses yeux, rien n'aurait été plus important que la vie et la survie de ce chérubin. Un enfant de l'amour qu'elle portait à ce bel italien qui avait tant bouleversé sa vie et qui continuait de tout chambouler dans la vie de la jeune femme. Bien entendu, ces derniers mois, il en avait bavé et elle s'en était félicitée. C'était plus simple de savoir qu'il la déteste plutôt que de voir dans ses yeux cette petite flamme lui rappelant leur bonheur passé. Parce qu'elle sait qu'il a une femme, une colocataire, des amis, d'autres femmes qui tournent autour de lui et que tout ceci lui donne follement envie de vomir tous les jours. Et cette envie de tout rendre était bien plus violente que la pire des grossesses.

Regardant par la fenêtre, Elena se demandait vraiment si ce jour était propice à aller discuter avec son premier amour. Depuis qu'elle était arrivée ici, elle avait préféré soigneusement l'éviter et cela avait parfaitement marché. Simplement voir son frère et son amie, Megan. Les journées semblaient interminables, mais elle les aimait ainsi désormais. Plus calme et plus détendue, la brunette avait réussi à être largement plus apaisée. Il faut dire que son expédition à Bali avec Xavi l'avait fortement aidé et elle ne pouvait pas s'en déplaire d'avoir passer ces moments en sa compagnie. Tout commençait à mieux se caler dans son esprit et cela lui faisait vraiment le plus grand des biens. Jouant avec son téléphone, elle envoyait un regard de travers à son paquet de cigarette avant d'aller s'enfermer dans la salle de bain pour prendre une douche. Son esprit se troublait encore quelques instants. Il fallait qu'elle le fasse. Qu'elle aille le voir et qu'ils en parlent. Crever l'abcès pour pouvoir enfin avancer chacun de leur côté. Les illusions s'étaient envolées désormais. Elle sait parfaitement que Dante ne serait plus jamais l'homme si merveilleux qu'elle avait eu à ses côtés. Elle l'aimerait, de tout son cœur, mais c'était impossible. Et pour une fois.. Elle sentait que cette distance n'était pas de sa faute à elle. La sienne ? Oui. Mais aussi celle qu'à créer ses parents et sa famille durant son absence à elle. Personne ne peut rien faire contre ça à part lui sauf qu'il avait très clairement baisser les bras et ce n'était pas supportable de le voir ainsi. Cela fait mal de dire adieu à une personne que l'on aime, mais.. Un certain mal est nécessaire dans la vie. Si une personne ne peut plus rien pour vous, ni bonheur, ni malheur, alors il faut la laisser partir. Disparaître. Les souvenirs resteront toujours, avec les sourires et les larmes qu'ils ont apporté, mais la personne physique ne peut rester.

Sortant de la douche, la demoiselle s’affairait pour ne pas le manquer. Soufflant doucement en passant une robe, ses cheveux sont noués en un petit chignon et ses pieds trouvent leur place dans de petites espadrilles. Son cœur n'est déjà plus aussi calme qu'avant alors qu'elle quittait sa chambre. Une petite route la menait vers ces habitations où les Summer Camper dormait et elle espérait juste qu'il soit là sans quoi.. Trouverait-elle encore le courage d'affronter cette peur de le voir une nouvelle fois ? Ce n'était pas la Sarah du soir du bal qui se présentait en face de lui. Ni celle de leur retrouvaille. Peut-être ressemblait-elle bien plus à la vraie Sarah, celle du début, celle qui sourit et qui profite de la vie tant qu'il en est encore temps car elle a déjà su ce que cela faisait d'être passée pour morte durant presque deux années entières. Alors elle se rapproche, encore et encore. Ses mains sont entrelacées pour ne pas qu'elle puisse remarquer son propre tremblement. On aurait dit qu'elle allait vers lui pour la première fois.. Comme lorsqu'elle était tombée amoureuse de lui. De doux rapprochements avant de finir l'un avec l'autre, souriant, heureux. Foutrement heureux. Son cœur se serre à ces souvenirs et son poing reste figé en l'air alors qu'elle était sur le point de frapper à sa porte. Peut-il encore sentir sa présence, comme avant ? Sait-il seulement qu'elle se trouve à quelques mètres de lui ? Comprendra-t-il qu'elle ait besoin de lui parler de cet enfant qu'elle n'a jamais eu et dont il n'aurait probablement pas voulu si vite, dans cette relation qui partait dans tous les sens ? Alors la brune hésite, se demande si venir avait été une bonne idée. Que ferait-elle si elle se retrouvait face à sa femme ou une autre prétendante ? Serait-elle capable d'endosser le coup sans revenir à ses vieux travers de vengeance et de haine ? Son cerveau ne sait plus où donner de la tête et les pointes de ses phalanges finissent par taper contre le bois massif de la porte de sa chambre. Un coup, un seul. S'il ne l'entendait pas, ce serait fini.. avant même d'avoir commencé.

Des bruits de pas résonnèrent derrière ce mur entre eux. Regardant à droite et à gauche dans le couloir, son corps souhaitait si fort s'échapper, mais ses jambes la prennent en otage et la force à affronter sa plus grand peur. Cette épreuve, de perdre leur enfant.. Elle l'avait affronté seule et n'en avait parlé à personne. Absolument personne. Baptiste était au courant sans s'en rendre compte, mais cela n'allait pas plus loin. Là.. Elle avait devoir parler, s'expliquer et surtout faire face aux réponses de l'homme qui aurait du en être le père. Cette maudite porte s'ouvrait enfin, le laissant apparaître. Lui. Dante. Personne d'autre que lui. Sa gorge se serre, ses poings se ferment et son cœur se soulève l'espace d'un instant. Son premier amour, l'homme de sa vie – après son frère – se trouvait là, droit devant elle. La dernière fois qu'ils avaient été face l'un à l'autre, ce fut durant le bal et.. Il ne valait mieux pas s'en rappeler, n'est-ce pas ? Depuis, elle avait emménagé chez Xavi pour changer d'air et.. Surtout pour cesser d'être seule dans leur appartement, quartier d'Italie. Les messages qu'il lui avait adressé sur cet endroit l'avait rendu folle de rage. C'était leur cocon ! Plutôt mourir – pour de vrai cette fois-ci – que de s'en séparer ! Au retour de Bali, elle y avait fait un saut.. pour constater qu'il était vide de leurs effets personnels à l'un comme à l'autre. Les photos sont toujours là, les meubles et ce parfum si caractéristique. Le mélange de chacun qui embaume l'air comme jamais. La sensation de bonheur qu'elle ressentait en y entrant avait laissé place à la réalité violente de se dire que tout était fini. « Bonjour, Dante » dit-elle simplement, d'un calme olympien. Oui, elle était venue avec le drapeau blanc. La hache de guerre était plantée et elle la laisserait là pour toujours. Tant pis si cela serait sujet à partir dans tous les sens, aujourd'hui, Elena – que dis-je, Sarah – ne voulait plus se déchirer avec lui. Le temps fera son effet, ainsi va la vie désormais.
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C'était une histoire d'amour un peu folle, de deux opposés. Rien ne les liaient et pourtant, Dieu lui même en est témoin, ils se sont aimés, ils se sont détestés, ils se sont déchirés, ils se sont retrouvés, ils se sont dit adieu pour mieux se revoir plus tard. C'était une histoire d'amour atypique. Ce n'est pas le genre d'histoire qu'on oublie, elle nous grave à jamais. Elle nous forge. Grâce à cette histoire, ils sont qui ils sont et c'est ce qui la rend si belle, si douloureuse et irrémédiablement éternel. Le lien entre eux, incassable et indéfinissable est le souvenir de cet amour pur qu'ils ont vécu. Et dans les airs, les souvenirs s'envolent, virevolte au rythme de la musique. Je ne t'oublierai jamais disent-elles. Oh toi, mon éternel amour Quelques notes, un soupire, la chanson prend fin, mais pas leur histoire.

Le silence reprend sa place dans l'habitacle de la voiture de l'italien. Il peut enfin respiré sans ces notes assourdissantes, refrain de son douloureux passé. Cette chanson qui l'a ramené à elle, cette musique, douce et terrible à la fois. Tranchante et sincère. Oui, il en a vécu des jolies choses avec Sarah. Il se souvient encore de tout entre eux. Du début, la timidité, cette distance intentionnel qu'il imposait et puis, la libération du premier baiser pluvieux, au milieu d'une rue goudronneuse, à côté d'une voiture récente pour l'époque. Il se souvient de chaque battement de son coeur qui étaient pour elle. Il se souvient, enivré par son sourire, son regard, sa voix berçait ses nuits. Son image hantait ses rêves. Les moments de bonheurs qui suivent les premiers instants, au début c'est normal, c'est tout beau, tout rose, mais ce secret qui les sépare, alors il passe aux aveux, il lui dit tout sur sa famille, ses pratiques et elle l'accepte, comme par miracle. Elle sait qui il est je pense à cette époque. Elle voit au delà de cet homme qu'on l'oblige à être. Alors elle connait ses états d'âmes par la suite, elle voit comme ça le détruit et c'est peut être ça en partie qui la détruit elle aussi. Car après le bonheur, la tempête fait rage. Le poison s'infiltre dans les veines si pure de la jeune femme, un peu plus, toujours plus. Cette dope qu'il vend, elle se l'ingère elle. Comment l'accepter ? Comment pouvoir la voir se dégrader à ce point en silence ? Comment vivre avec ça sur la conscience ? Si ça se trouve, elle ingère des choses que lui même a refourgué à un de ces connards de dealeur de quartier. Comment l'accepter ? Comment le vouloir ? Le toléré ? Comment la regarder se détruire en silence ? La voir divaguer totalement ? La voir se faire du mal en silence ? Comment ? Dites moi ce qu'il aurait dû faire au juste ? Accepter ça ? Accepter cette connerie ? Cet égoïsme pur et dur ? Accepter ça parce qu'il l'aimait il se le disait : pour le meilleur et pour le pire ? Peut-on vraiment tout accepter ? Même l’inacceptable ? Même le politiquement incorrecte ? Si elle pouvait admettre son appartenance mafieuse et le fait qu'il ait déjà abattu quelqu'un, probablement, lui devait-il forcément admettre qu'elle prenne ces merdes ? Non, il ne pensait pas. Il avait juré de la protéger, alors il devait aussi la protéger de ça, mais le problème était simple : elle ne voulait pas. Arrêter était inenvisageable, alors la guerre commence dans l'appartement quartier d'Italie. Une guerre du silence, puis de cri. Une guerre sans faille, sans veille. L'amour se dissipe entre les cris et les pleures. Car l'un comme l'autre pleurs. Et l'un boit alors que l'autre se pique. Voila la pathétique de ces mois là. La destruction prend place, la colère, l'incompréhension. Et puis les fameux mots C'est terminée, je ne peux plus.. Si vous tendez l'oreille, le bruit sourd de deux coeurs qui se brisent en mille morceaux. Suite à ça, une nouvelle phase : le sevrage. Le sevrage l'un de l'autre. Dante se rappelle de cette période tellement dur, tellement douloureuse, où il faut se forcer. Ne pas appeler. Ne pas regarder les photos. Éviter les coins qu'on a fréquenter avec l'autre. Les musiques sur lesquels on a dansé. Dante n'a pas tenu. Un appel de décroché, sa voix a ses oreilles, suppliantes pour qu'il vienne la chercher. Cette torture bien rôdé de la voir avec d'autre et de la récupérer. Ce bel amour maintenant si loin de lui. Des coucheries, même pas vraiment bonne pour se souvenir qu'ils s'aiment et puis des silences, encore. Ca a duré un moment cette histoire. Ils n'étaient pas ensemble, mais pas vraiment séparer non plus. Et même en goûtant des plaisirs de la chaire ailleurs, ils s'aiment encore irrémédiablement. Ca se voyait dans les yeux. Dante l'aimait et sa mort a été le coup de poignard fatal.

En ce 13 juillet 2016, 2 ans après l'annonce qu'elle est morte, un beau matin d'été pas ordinaire puisque ce matin, Sarah est en vie. Sarah a son coeur qui bat. Il se souvient encore de cette nuit passionnelle de retrouvaille. Et puis le froid et la décadence. Cette haine qui s'instaure entre eux. Cette guerre du silence où l'un s'affiche et l'autre baise. L'un embrasse et l'autre choppe sous une table. Cette envie de cogner. Mais cette putain d'envie aussi de rester silencieux. Dieu que c'est douloureux l'amour. Même quand c'est finis. Ca le reste. Une putain de douleur. Un putain de truc qui fait mal. Terriblement mal.

La voiture s'arrête, se gare et il retourne dans sa chambre, allongé sur son lit, la musique ne le ramène ni au passé, ni au présent. Un foutu silence, un foutu calme. Un silence comme la mort. Cette foutue dame qui n'ayant pas eu Sarah, a décidé de prendre Naima. Il parait qu'elle s'est suicidée. Comment ? Bonne question. Il sait juste qu'elle est morte et qu'il aurait dû être là. Quel ami ne verrait pas tant de tristesse dans un coeur à tel point d'avoir ce désir ? Ce sentiment de culpabilité et d'échec. Pour Sarah. Il n'avait rien fait. Pour Naima. Il n'avait rien fait. Une putain d'impuissance qui le brise. Qui le renferme. Laissez le seul. Laissez le respirer. Juste deux minutes. Laissez le respirer dans cette chambre, vide et sans vie. Où seul une chose a pris place : un mot, une lettre. Quelques gribouillis successifs qui lui balance en pleine gueule ce qu'il a manqué il y a 2 ans. Je n'ai jamais osé te dire pourquoi je suis partie alors.. Je pense que si je te dis ceci, tu comprendras sûrement : Elle aurait pu s'appeler Davina ou il se serait nommé Diego. N'oublies pas que même si je suis la pire femme du monde à tes yeux, je t'aimerai toujours. Sarah ♥ Diego. Davina. Diego Basini-Baratto-Archibald Davina Basini-Baratto-Archibald. Lui qui n'aurait jamais cru cela possible, il avait carresser ce doux rêve interdit pour lui du bout des doigts et ça tourne dans sa tête. Si il avait su. Si il avait vu. Serait-elle resté ?

Un bruit sourd de toque ment le tire de ses pensées, il attrape la lettre et la plie avec délicatesse pour ranger ce secret inavouable et il prend un instant pour souffler, les yeux rougis un instant il reprend le dessus sur ces sentiments interdits. Pas de pleurs, pas de larmes, c'est pour les faibles Basini et tu n'es pas faible Que sa tête lui dit. De l'eau sur le visage, il l'essuie rapidement, un nouveau long soupire et direction la porte. Sa main sur la poigner appuie et ouvre ce bout de bois qui le sépare de l'individu venu pour le voir. Ce visage si doux et familier apparait sous ses yeux. Choqué. Est ce un mirage ? Est ce un nouveau rêve de culpabilité ? La voix s'élève en même temps que les lèvres rosies de la douce Sarah. Elle le salut. D'un timbre neutre. Que veut-elle ? Que lui faut-il de plus ? N'a t-elle pas déjà eu ce qu'elle voulait ? Le blesser ? Elle a réussi pourtant, avec ce sale type. Ce rat. Les prunelles bleus de Basini dans les brunes de la douce. Et puis la porte marron revient devant ses yeux. Un bruit sourd. Non. Il ne s'infligera pas ça. Non. Il ne peut pas. Non c'est trop lui demander. L'entendre parler de ses amants ou même d'à quel point elle pense qu'il aurait été un mauvais père pour satisfaire son besoin de vengeance, non il ne peut pas. Et même si elle venait en paix. Il pourrait craquer et il ne doit pas. Le sevrage Basini. Le sevrage. Ne craque pas. N'ouvre pas la porte. Il ne l'ouvre pas. Il reste face à ce marron chocolat qui la sépare d'elle, ses mains tremblent, le malêtre et la souffrance le gagnent. Foutu sentiment. Foutu visite. Foutu histoire. Même quand la nuit tombe, le caroussel n'arrête jamais de tourner. Même quand les gens ne veulent plus, l'amour n'arrête jamais de vivre. Coeur battant, ses poings se ferment. Putain. Quelle merde ! Putain ! « Io non posso farlo ... Io non posso farlo ... io ... Stare lontano dalla porta Dante, non lasciare che arrivare a voi. Sii forte. » Il se murmure ces consignes à lui même. Rester fort. Ne pas ouvrir la porte. Fuir ces problèmes. Lâche mais plus raisonnable que l'affronter elle vous ne croyez pas ? N'a t-il pas assez payer pour tout ça ? Son coeur lui intime d'ouvrir, sa tête de s'éloigner. Un pas en arrière. Il ne peut pas. Pas maintenant.

© Starseed
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Cette histoire n'avait rien à voir avec un conte de fée. Certes, les bases auraient pu faire croire à une belle histoire, où deux êtres faits pour se rencontrer et s'aimer d'un désir ardent ne se quitteraient jamais, à coup de « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants ». Sauf que la vie reprend rapidement sa place. Elle ne nous laisse aucune chance et si on a le malheur de la défier, sa vengeance n'en est que plus terrible. Sarah avait voulu jouer avec le feu. Être heureuse avec son bel italien, se projeter et construire un avenir avec lui. Tout tout de suite, tout trop vite. Les paramètres de leur bonheur avait rapidement volé en éclats. Parce que Basini est une famille de mafieux. Parce que la drogue nous fait perdre la tête. Parce que les écarts s'accumulent et deviennent monnaie courante. Parce que la vie est une.. Enfin, vous voyez ? Rien ne pouvait rester tour rose dans la vie de la belle brune. Heureux n'avait pas plus de possibilité que beaucoup d'enfants. Sa fuite avait été provoquée par cette peur de perdre son bébé. Leur bébé à tous les deux. Égoïstement, elle lui avait caché la vérité car mettre au monde un demi-sang Basini sans l'accord de la famille aurait été pire que tout. Jamais la demoiselle n'aurait pu fermer l’œil de la nuit, laisser son enfant partir à l'école ou voyager librement. Il y aurait toujours eu ce risque de le voir disparaître, sans ne pouvoir rien faire. Un bâtard reste un bâtard, même si Dante l'aurait peut-être reconnu. Et encore, cette idée ne pouvait être réaliste. Lorsqu'elle avait fait le choix de se faire passer pour morte, c'était pour protéger son enfant, elle-même et.. Son bel amour. Sa famille ne l'aurait jamais laissé éduqué un enfant comme ses parents le voulaient. Si ça avait été un garçon, cela aurait été pire.. Même si une fille aurait eu une vie trop cocoonée pour lui éviter les horreurs de la vie dans laquelle elle aurait été bercée. Son jumeau n'aurait pas accepté d'être oncle si jeune et.. Oui, dans un sens, cet enfant avait bien fait de ne pas naître.

Malheureusement, ce petit bout d'elle et de son premier amour.. Elle aurait voulu le tenir dans ses bras. Le perdre, en plus de sa vie passée et de son bel amour.. Sa vie avait pris un tournant qu'elle n'aurait jamais soupçonné. Tout était anéanti d'un revers de main. Alors Sarah avait pris la décision de revenir. L'air de rien, comme une fleur. Tout ce qu'elle souhaitait, c'était de récupérer sa vie passée pour oublier ce passage à vide si douloureux. Mais rien n'avait fonctionné comme elle le pensait. Son frère lui parlait à peine encore maintenant, sa meilleure amie avait mis fin à ses jours, l'amour ne revenait plus frapper à sa porte alors qu'elle avait pensé le trouver cet été et Dante.. C'était compliqué. Après avoir compris qu'il vivait chez une femme et qu'il ne voyait d'autres, c'était la pire des douches froides. Elle en avait marre de jouer à la méchante, marre de se rapprocher pour en apprendre trop sur lui et marre de voir qu'au final.. Cela ne mènerait plus jamais à rien entre eux. Avant, il n'était qu'à elle. Tout entier. Il arrivait à oublier sa famille avec elle et elle n'aspirait qu'à ça : le rendre plus humain. Le voir sourire, rire, s'amuser, profiter de la vie comme n'importe quelle personne. Le jour où elle l'avait abandonné, elle savait que la balance s'inverserait. Qu'il se noierait dans les affaires familiales, mais.. Pas à ce point. En deux ans, elle avait eu l'espoir que Baptiste ou Naïma l'aident à garder la tête au-dessus de la surface, mais voilà.. Elle s'était trompée.

Cap Breton. L'été 2016. Doucement, elle approchait de l'endroit où logeait son bel italien pour discuter, poser les choses une dernière fois avant de passer à autre chose. Parce qu'elle savait que même si elle ne l'empêchait pas de faire ce qu'il voulait de son côté, continuer à le côtoyer la freinait dans énormément de choses. Il fallait que tout soit clair et définitif avant de changer de vie. Partir à nouveau ? Ce n'était pas matière qu'il lui manque à refaire ses valises, mais elle avait fait une promesse à Baptiste et elle ne pourrait pas vivre en sachant qu'ils étaient fâchés. Son double comptait bien plus que ce que les gens pourraient penser – ou même que lui-même le pensait. Son silence est une souffrance atroce, mais après deux années de vide.. Elle avait réussi à se détacher légèrement de lui. Physiquement du moins. Soit, aujourd'hui ce n'était pas lui qu'elle venait voir mais.. Ces magnifiques prunelles bleus qui venaient de percuter violemment les siennes alors que cet homme venait de lui ouvrir la porte. Ils se scrutent, elle lui dit bonjour calmement et poliment. Un très léger sourire se glissait sur ses lèvres pour montrer que non, elle ne sortait pas les griffes et qu'elle souhaitait juste poser les choses. Le malaise était bien présent face au silence de mort de son premier amour et là.. Plus rien. Il disparaît de sa vue avec un énorme bruit de fracas. Ses yeux s'écarquillent de surprise, de peur, de tristesse, de colère. Dante Basini, le premier et seul homme qu'elle aime – si on excepte son frère, bien entendu – venait de lui claquer la porte avec violence. Elle aimerait réagir, partir et le laisser, juste comprendre qu'il ne voulait pas la voir et que tout était fini depuis longtemps pour lui. Son geste en fut autre. Une seconde fois, elle toquait à cette porte. Non, elle ne se permettrait pas de rentrer. Plus maintenant. Plus comme avant.

Des chuchotements s'élevèrent, mais la lourde porte qui les séparait ne lui permettait pas de comprendre le moindre de ses mots. Parle-t-il avec quelqu'un d'autre ? A-t-il une femme dans sa chambre et ne veut-il pas juste la montrer à Sarah pour ne pas la blesser ? L'esprit de la brunette s'embrouillait de plus belle alors que ce mur les séparait toujours. « Je repasserais plus tard.. » dit-elle avec douceur, ne sachant plus quel scénario croire. « Je.. » commença-t-elle en cherchant ses mots, un peu confuse. « Je souhaitais juste avoir une dernière discussion avec toi » reprit-elle histoire de lui clarifier le pourquoi de sa venue. Elle ne comptait pas mettre plus de problèmes qu'elle n'en avait déjà mis dans sa vie. Non. Ce serait l'ultime fois où elle accaparait de son temps, qu'elle l'embêterait et à la fin de cet échange.. Elle prendrait ses distances pour toujours. Elle souhaitait juste ouvrir son cœur une seule et unique fois pour lui parler de ces deux années de disparition. « J'te promets de ne plus t'embêter après » soupira-t-elle en reculant d'un pas de la porte. « Envoie-moi un message quand tu es seul et.. Qu'on puisse parler tranquillement » finit-elle avant de se rendre compte qu'elle venait de lui avouer qu'elle croyait qu'il était avec quelqu'un. Tant pis. De toute façon, cela pouvait être le cas.. L'espoir qui n'avait pas cessé de la tenir depuis son retour à Harvard commençait à étouffer et finirait d'ici peu par totalement s'éteindre.
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Happy Ending. On dit qu'elle n'ait pas arrivée tant que la fin n'est pas heureuse. On dit qu'il y en a toujours un. Que quand c'est finis, on trouve un peu de réconfort. C'est probablement pour cette raison que les histoires d'amour n'en ont jamais vraiment. Ou bien seulement avec la mort. La mort une fin en soit. Douce et cruelle, elle prend dans ses filets n'importe quelle âme. Au final, chacun de nous serons jugé par la grande faucheuse au même titre. Que Dieu protège les pauvres âmes. Que Dieu offre des happy ending aux plus méritant.

Leur Happy Ending. Le Happy forever, Dante et Sarah ne l'ont pas connu. Arrachés l'un à l'autre par des forces plus puissantes, par l'adiction, les secrets et les mensonges. Eloigné l'un de l'autre par une famille pas vraiment typique et un sang pas vraiment clean. Ils auraient pu être heureux. Ils auraient pu connaitre cette connerie de barrière blanche qui délimite une jolie maison de banlieue, les enfants qui courent dans le jardin et les rires qui s'élèvent. les mots d'amour qu'ils se seraient dit chaque matin. Ils auraient pu s'aimer jusqu'à la mort. Comme ils auraient voulu se le promettre. Pendant longtemps, dans la naiveté de l'amour, Dante le pensait, ils finiraient pas pouvoir être ensemble. Qu'importe ce que les Basini en pensent. Ils auraient pu fuir ensemble ou bien Sarah aurait pu accepter, comme Dalia Baratto l'a fait avant elle pour Donatello, de vivre sous les règles des Basini. Et ils auraient été heureux. Encore plus avec cet enfant qu'ils auraient pu avoir. Petit grain de poussière, fruit de leur amour qui grandissait de jour en jour. Ils auraient pu être heureux, même avec rien, ils avaient tout. Ils n'avaient pas vraiment besoin d'argent et des lieux pour se retrouver loin de chez eux, loin des familles et des ennuies, ils en trouvaient, le quartier italien avec cet appartement par exemple. Cocon de leur amour interdit, où elle vivait avec lui. Où ils riaient ensemble. Couple fusionnel, couple heureux et passionnel. Autant de dispute que d'amour. Jusqu'au bouleversement de tout. La drogue qui déchire cet amour avant intacte. Le sang sur les mains de Dante qui tâche à son tour l'histoire parfaite et sans faille de ces deux êtres qui ne demandaient qu'à être autorisé à s'aimer. Ils auraient juste voulu qu'on leur laisse cet amour intacte. Amour d'adolescence pour elle, premier amour de sa vie pour lui. Elle avait su s'encrer en lui sans qu'il ne demande rien, sans vraiment le vouloir. Mais tout vole en éclat. Elle s'en va, le grain de sable disparait dans la fuite. Il s'envole. Cruauté du destin pour appuyer et prouver que peut importe leurs actes, Dante Basini ne peut pas être avec Elena Archibald, un monde les sépare. Un monde cruel d'un côté, un monde où le meurtre n'est qu'une habitude et savoir couvrir ses traces est une religion et un monde où l'excès de la boisson et de la nuit font la loi.

A force de trop s'aimer, à force de trop se battre, de trop s'en vouloir, de trop se mentir, de trop se haire, de trop se vouloir encore et de trop s'éloigner, un fossé entre eux prend place. Intransigeant. Immense. Chacun de leur côté de la rive, ils ne se voient que de loin. Trop proche, la haine prend le dessus. Surtout après leurs derniers exploits. Le bal a semble t-il mis un point final à cette histoire pas banale qui aurait pu se normaliser. A cette histoire qui aurait pu renaitre de ses flammes car regarder bien leurs échanges de regard, ils crient, ils hurlent, ils ne trompent pas contrairement aux mots et aux actions de chacun. Reviens moi. Ne me laisse plus jamais qu'ils disent Pour toujours qu'ils se promettent. Tu es mon premier amour. Je ne t'oublierai jamais qu'ils se murmurent. Fais moi mal, prouve moi qu'il y a encore un truc entre nous qu'ils s'implorent. Dans leurs yeux, le désespoir, la tristesse et la haine sont maitres quand ils se regardent. Le désespoir de cet espoir envolé, la tristesse de ce gâchis, la haine de cette souffrance à cause de l'autre. Tant de maux qu'on ne peut pas guérir. Même les sourires ou la présence de l'autre ne suffisent plus. Leurs lits restent froid, sans l'autre à côté. Sans la passion qu'ils avaient. Face à face en cet instant mais avec ce mur ériger et invisible entre eux. La communication est rompue car la haine à pris le dessus. Se voir fait trop mal. Se regarder crève le coeur. L'Hémorragie de cette histoire à peine fini est encore là. L'un face à l'autre, cet organe, unique, essentiel, cette pompe à sang, qui permet à l'Homme de survivre et qui métaphoriquement conduit l'amour en nous, est crevée, par les coups bas, par les coups de couteau. Dante et Sarah se vident de leurs sang avec cette histoire pas vraiment finis, plus vraiment commencé. Douloureuse maintenant, belle par le passé. Retenez votre respiration et écoutez, vous entendrez peut être leur coeur se briser encore et encore en se voyant face à cette scène poignante.

Les prunelles bleues trouvent le brun en face de lui et les regards pleurent, souffrent. Pourquoi m'as tu fait ça ? Tu m'as abandonné ? demande l'un. Je souffre affirme l'autre. C'est trop dur. Le coeur qui s’accélère, la respiration qui se fait courte, la douleur qui reprend sa place initiale. La douleur qui s'était affaiblit par la distance revient. S'emparant de l'italien. Le regard qui s’assombrit, qui s’alourdit et cet envie de ne pas faire face. De ne pas avoir à assumer. Cette porte qui se ferme. Qui les sépare de nouveau mais pas assez car elle est juste derrière cette porte et il le sait. L'angoisse de la souffrance et la souffrance originelle qui reprennent leur place dans ce corps meurtrie par ces révélations et ces évènements. Cette douleur s'installe de nouveau. Confortablement dans son hôte italienne alors qu'il panique, les tremblements reviennent, la nervosité. Quel coup de couteau va t-elle encore lui donner ? Il est déjà à terre, est-elle venue savourer sa victoire ou lui mettre le coup de grâce ? Il se parle à lui même dans une langue mélodieuse, sa langue maternelle. Ne pas craquer. Ne pas ouvrir. Il se donne des ordres pour ne pas avoir à lui faire face. Que Dieu lui pardonne, il n'a pas la force de l'affronter. C'est encore trop tôt, trop frais. Il n'a pas encore tout accepter. Cet enfant, qu'elle a perdue en partant. Ce deuil, en retard mais qu'il doit faire quand même. Ces questions sans réponses qui tournent et virevolte en rythme dans sa tête. Ces questions envoutante qui l'empêche de dormir ou même d'avoir faim, qui le rendent mal et fermé sur lui même. Cruauté et torture de se les poser en sachant qu'aucune réponse ne sera possible. Cette haine de s'en vouloir. Cette envie de tout casser, de lâcher prise et d'arrêter pour une fois de se contrôler, devenir la bête sauvage qu'on est tous au fond de soit, lâcher enfin les fauves et se libérer de cette souffrance. Ce qu'il voudrait pouvoir tout plaquer et arrêter de souffrir. Avant elle, il était bien, sans attache, sans réel sentiment, il était comme anesthésié. Il était comme mort avant même d'être vivant. Il ne ressentait pas grand chose mais elle lui a montré ce que c'était et son départ l'avait replongé au milieu de cet océan, ce vide, ce gouffre. En revenant, elle le sortait de là mais les sentiments ne sont pas sont fort à l'italien. Il n'en parle pas. Il ne confit pas ses souffrances, ses doutes ou ses amours. Dans ce monde cruel où l'illégalité prône sur le reste, où les affaires sont le centre d'attention et la famille les seules personnes a être importante, dans ce monde où il vit, il n'avait pas de place pour l'amour mais Sarah sa place, elle se l'était fait seule en l'envoutant. Comme la plus expérimentée des voleuses, elle avait volé son attention, son coeur et l'avait cruellement laissé là, meurtrie pendant si longtemps. Puis torturé à sa guise pour se venger de cette absence. Puis aujourd'hui, elle était là.

La voix envoutante et douce s'élève derrière la planche de bois alors que la panique l'a gagné. Il s'appuie tête contre le mur, front contre le bois froid qui fait de cette pièce un carré. Ment-elle ? Peut être vraiment être calme et vouloir s'expliquer ? Il n'en sait plus rien. Sarah, il l'aime parce qu'elle n'est pas prévisible. On ne peut pas savoir ce qu'elle va inventer pour un nouveau jour. On ne peut pas deviner ses envies ou ses agissements. Sarah est comme le vent, l'air, elle est libre. Sans barrière. Elle peut réagir du tout au tout. Et c'est cette liberté qu'il aimait tant avec elle. Il savait qu'ils étaient libre ensemble. Ils s'aimaient dans la liberté de cette vie trop planifiée. Ils s'aimaient tout le temps. Ils s'aiment encore car l'amour ne s'éteint jamais. L'amour ne s'estompe pas. Il s'enferme juste dans un coin de son coeur de sa tête pour tenter de vivre comme ci il n'avait jamais été là. La voix féminine arrive à ses oreilles encore et encore, les mots s'enchainent, incapable de savoir si c'est un doux mensonge qu'elle lui chante ou bien une vérité. Incapable de distinguer, le vrai du faux dans ses mots. Il respire doucement pour calmer sa tristesse et sa colère. Elle finit ses paroles et il souffle un grand coup pour avouer « Je suis seul mais pas prêt. » pas prêt à entendre ces vérités, pas prêt à la voir. Trop de choses se sont passés et il n'est pas prêt. C'est ça la cruelle vérité. Il n'est pas prêt. Il ne peut pas. Il ne peut pas passer outre ce qu'il ressent. Pour une fois, il ressent pleinement le mal et il est loin de l'avoir réellement apprivoisé. Que Dieu lui vienne en aide pour qu'il surmonte ça. Il lui fait cet aveu, yeux fermés et tête contre le mur. Elle est là. Il est là. Elle veut lui parler mais il ne peut écouter. Le dialogue est rompu et prouve que l'amour existe encore. Car la différence de l'amour n'est pas la haine ou la souffrance, c'est l'indifférence et l'un comme l'autre, sont bien loin de s'indifférer. Il y a ce truc entre eux qui font que Dante est Dante et que Sarah est Sarah. Et qu'ils s'aiment encore. Malgré tout. En dépit de tout. C'est à s'en tirer une balle tant c'est incompréhensible. Mais après tout, n'est ce pas ça l'amour ? Un sentiment puissant, qui n'a pas de sens ou de but. Un sentiment puissant qu'on ne peut expliquer ou accepter. Un sentiment puissant qu'on ne contrôle pas et qui s'empare de nous. Ce n'est pas pour rien qu'on parle de la maladie d'amour. Car ce sentiment prend place en nous et après on ne peut ni en guérir, ni s'en sortir. Dépendant, foutu, on devient une personne qui dépend d'une autre et ça, c'est dangereux. Ca, ça fait les crimes passionnels et ça justifie bien des guerres. Ca, c'est la base de l'humanité. Et Dante comme Sarah sont humains. Et pris au piège dans ce jeu de sentiment.

© Starseed
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