« Papa, pourquoi ils ont accroché tarzan la haut ? », le petit garçon aux belles bouclettes brunes tira sur la manche de son père. Celui-ci se tenait à sa gauche, bien droit, les yeux rivés sur cette «objet ». Il posa sa main sur la tête de son fils et lui dit en chuchotant « Chut, tiens-toi tranquille Nils ». Sauf qu’a cinq ans, on ne comprend pas, et on ne peut pas rester tranquille dans un moment pareil. Le petit garçon fixa le christ tandis que l’assemblé prenait place dans le petit cimetière. On l’avait énormément embrassé ce matin, des personnes qu’il n’avait jamais vu, d’autre si, quelques fois. Tous lui avaient dit d’être courageux, et il n’avait pas compris. Il avait vu énormément de grandes personnes pleuré, et il c’était demander a ce moment la pourquoi les grandes personnes pleuré. Il pensé que l’on ne pleuré que quand on était enfant, et pourtant, eux ne l’était plus. Il c’était jurer de ne pas pleurer quand il serait grand, ah non, ca jamais ! En plus, Casey se moquerait de lui à coup sur !
Son père se pencha vers lui, les yeux humides, une rose blanche a la main « vas poser sa la bas », lui dit-il en lui désignant un grand « coffre » en bois. Le petit garçon s’exécuta sans rien dire, puis une fois revenu a sa place il tira la manche de son père et lui chuchota a l’oreille « Dis, elle est ou maman ? » Monsieur Anderson fixa les yeux noisette de son petit garçon. Depuis la mort de sa femme survenu il y a quelques jours, il n’avait pas trouvé le courage de dire à son fils que sa mère était morte. Que de sous entendu, qu’il n’avait pas compris. Dans un soupire il posa ses mains sur les épaule frêle du petit garçon, et ses yeux embué de larme lui répondit, « Elle est la maman. Tu ne la reverras plus mon chéri, dit lui en revoir ». Ne plus revoir maman ? Mais pourquoi ? C’était bientôt l’anniversaire de Casey il avait besoin de maman pour choisir un cadeau ! Papa l’accompagnerait aux magasins, mais maman avait toujours de bonne idée ! Elle était tellement intelligente, et tellement belle ! Pourquoi fallait-il lui dire en revoir ? Nils s’avança alors vers le petit coffre ou beaucoup de gens avait posé des roses, il posa ses petites main, sa petite joue et murmura un inaudible « En revoir maman »
Le cercueil descendit doucement dans la terre, puis, les larmes cessèrent de couler, au fil des jours. L’univers semblé l’avoir oublié. Même son père, sauf quand, tard le soir Nils l’entendait pleurer tout seul dans sa chambre. Dave Anderson et Mila Carreras s’étaient connu sur les bancs de l’école. Tout deux destiné a une grande carrière, ils étaient faits pour être ensemble. Elle était une brillante avocate, intelligente et jolie. Ses parents avait immigrés il y a de cela plusieurs années et avait fait fortune dans l’immobilisé. Dave lui était le fils d’un grand chirurgien plastique. Son père avait toujours souhaité que son fils soit dans la médecine, celui-ci en avait décidé autrement quand il créa sa propre entreprise. Anderson PharmaBio, entreprise pharmaceutique coté en bourse à plus de… Ce montant vous donnerez le tournis… Bref après un mariage en grande pompe, les deux génies donnèrent naissance au plus magnifique des petits garçons – si si je vous jure -. Les six années suivantes furent un pur bonheur pour Mila. Avoir un enfant était tout ce qu’elle avait souhaité, laissant sa carrière en suspend, le temps de l’élever. Puis, un soir de juillet alors que les vacances allèrent débuter, M. Anderson eut un appel. Sa femme venait d’avoir un accident de la route, on avait retrouvé sa voiture dans un ravin, elle était morte sur le coup. La vie des garçons Anderson changea a partir de ce jour la, plus de belle journée, de belle balade en famille, plus de rire, ni de complicité. Nils était ce qui lui rappeler le plus Mila, et le voir sous ses yeux était une telle torture…
« J’ai gagné mon paris », fier de lui, le jeune homme, un grand sourire au lèvre, s’appuya contre la petite commode. La jeune blonde à coté de lui, occupé à ranger ses dessous, releva la tète et le regarda, les sourcils froncés « Comment sa ? ». D’un geste lent, Nils releva son tee shirt, et baissa un peu son jeans. On pouvait découvrir un large pansement sur le haut de sa cuisse droite. Il en décolla une partie, et on pouvait lire un prénom, tatoué sur sa peau mate. « Naaan ! Claudia ?! » Horrifié, la belle blonde s’arrêta et lui demanda sérieusement, « Attend, Claudia, comme Claudia Johnson ? La fille du pasteur ? ». Nils acquiesça lentement, un sourire au coin des lèvres « Ouai, et je peux te dire qu’elle ma fait chanter le "Je vous salue marie" ». Il attrapa au passage un des dessous posé sur la commode, et le fit tourner entre ses mains. Il le déplia entièrement et admira le magnifique…String. Casey lui arracha des mains, « C’est pas ta taille ». Casey et Nils, une longue histoire qui durer depuis le jardin d’enfant. Tout deux c’était connu alors qu’il porter encore des couches, et depuis toutes ses années, depuis tout ce temps il était resté amis, de très bons amis. Casey était sa meilleure amie, même un peu plus que sa, leur relation était tellement fusionnelle qu’il ne pouvait pas vraiment la décrire. Et même si M. Anderson n’apprécié pas cette « petasse aux cheveux rose », Nils s’en fichait, pour rien au monde il ne se séparerait de Casey, surtout pas pour son père. Leur relation c’était dégradé au fil du temps, ils ne se parlaient plus, les seules conversations qu’ils pouvaient avoir finisse toujours en enguelade. M.Anderson était persuadé que Casey trainé son fils vers le fond, alors que pour cela, il y arrivait très bien tout seul. Malgré le fait qu’il soit intelligent et malin, Nils ne « fouttait » pas grand-chose a l’école. Son avenir était déjà tout tracé : héritier des entreprises Anderson PharmaBio, alors a quoi bon. Et puis son père s’empresser de réparer les erreurs de son fils, celui-ci avait donc décidé d’en profiter…
Nils garda de très bon souvenir de son adolescence. Il passa le plus clair de son temps avec la belle blonde, et ils partageaient tout ensemble : leurs bonheurs, leurs moments de tristesse, et aussi… leurs conneries. L’avenir semblé radieux, ils allaient tout deux rejoindre Harvard. Ils habiteraient ensemble et tout sera identique… ou presque.
« LOVE KIIILSS LOOOOOOVE KIIIIIIILS », la jeune blonde poussa la porte du petit appartement, en chantant a tue tête. Ses cheveux blond permanenté, son bustier noire déchiré et ses grandes bottes constitué son déguisement. Un prénommé Jessy Miller avait donné une grande fête costumé sur le campus, en apprenant cette nouvelle, Casey avait décidé de revêtir la tenue typique de, la toute aussi typique, Nancy Spungen. Nils, bien décider à l’accompagner c’était fait un déguisement de dernières minutes. Une veste de cuire, un jeans troué, une chaine et un cadenas autour du cou, ainsi qu’un air ahuri – qu’il avait déjà en partie -. A eux deux il former LE couple typique, Sid & Nancy. La soirée fut plutôt bonne, plutôt arrosé, autant pour lui que pour elle. Surtout pour elle qui ne tenait pas l’alcool… Ils rentrèrent chez eux en se soutenant mutuellement, une fois la porte fermée, Casey s’écroula à terre, morte de rire. Nils s’allongea a coté d’elle, il attrapa sa main et serra dans la sienne ses petits doigts. Dans un éclair de « génie », il lui lâcha, sur un ton complètement sérieux « Epouse moi… Non attend » Il se leva précipitamment et quitta la pièce alors que la jeune femme commencer à se relever. Il ré apparu quelques secondes après, une petite boite de velours noire dans la main. Il posa un genou a terre, et tout en essayant de garder l’équilibre lui dit très sérieusement : « Maëlle Casey Williams… Voulez vous tu m’épouser ? ». Il ouvrit difficilement la petite boite et lui présenta. La jeune femme, maintenant debout, commença à sauter sur place « Oh non j’y crois pas j’y crois pas j’y crois pas ! Mon horoscope avait prédit que de la merde ! Oui oui oui je veux ! ». Puis comme dans les films, Nils lui passa la bague au doigt… Sauf qu’ils ne vécurent pas heureux, et n’auront sans doute jamais beaucoup d’enfants…