Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJammin pv NOAH :D
Le Deal du moment : -50%
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer ...
Voir le deal
54.99 €


Jammin pv NOAH :D

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

B I L L I E  A N D N O A H
Jammin • ★★★
J’avais cette impression de légèreté. Je ne contrôlais plus aucun de mes mouvements et mes pensées se bousculaient. J’avais envie de dormir mais j’avais aussi envie de fumer. Mon regard s’attarda sur mes pieds que je venais d’enfouir dans le sable. Mes doigts tremblotaient avant de regarder le joint que je serais entre mes doigts. Un long soupire s’échappa. La psychiatre était tellement loin, à des kilométré de la fille que je devenais. J’avais volé le joint  dans les affaires de sabian, mon frère jumeau. Un sourire assuré avait suffit pour enfouir avec délicatesse mes doigts dans la poche de sa veste. Il ne l’avait même pas remarqué, bien trop préoccuper à me montrer les sms de cette très cher Cecilia. Cette fille le rendait dingue et malgré ses réprobations, il en était fou. Je pouvais le lire sur son visage. Cette fille, il l’appréciait vraiment. Un sourire s’afficha sur mes lèvres avant d’apporter de nouveau le poison à mes lèvres. Je basculais ma tête en arrière avant de souffler cette épaisse fumé blanche. Mes yeux se fermaient. Bordel que c’était bon. Cette sensation était parfaite et c’était celle que je recherchais depuis des mois. Pas de boulot, pas de problème, pas de mec, pas de frère. Rien que moi et ce putain de joint. Mes muscles se décontractaient. J’avais cette terrible sensation d’être seule et sans prévenir les larmes me montèrent. La solitude... un terrible sentiment que j’avais toujours combler avec la présence de mon frère jumeau. En réalité, j’étais aussi déjanté et meurtrie que lui. Une psychiatre blessée de la tête au pied. N’importe quoi. Je n’eu pas le temps de pensé d’avantage qu’un bruit attira mon attention. Bordeeeeeel de merde qui était l’enfoiré qui allait venir me déranger. Mon regard était noir glaciale, je m’attendais à être plus rapide mais ma tête tournait au ralentir pour apercevoir une silhouette se rapprocher. Mes yeux se plissèrent et je reconnu ce mec. Celui que j’avais autrefois surveiller à la prison. Ce temps semblait si loin et je lui fis : « Qu’est-ce que tu fou ici !» je mis ma main derrière mon dos pour cacher le joint avant de tenter de me lever. Ma tête tournait affreusement. J’étais debout mais ma main valide attrapa une des poutres en bois. Son regard détaillait la fumé qui s’échappait de derrière moi et je lui fis : « Essaye de me le chopper et je te jure que je deviendrais violente.» cette deuxième rencontre était étrange. Dans cette prison, j’avais été l’élément saint. Aujourd’hui ? j’étais devenue le déchet ! « Alors quoi de nouveau depuis la prison ? t’as décider d’emmerder quelqu’un d’autre ?» dis-je en rigolant. La fumette me rendaient vulgaire. Loin de la Eliot. Mes bonnes manière s’envolaient. Je n’avais plus aucun filtre. Il s’approcha et je lui fis en tendant une main comme pour lui dire stop : « Distance de sécurité, tu ne vas pas plus loin !» 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
✧ Plage, 08.07.16✧Billie Ally et Noah


C’était la sale période. Vous savez, celle où vous êtes conscient du supplice qui vous attend chaque matin en vous réveillant. Et pourtant, vous vous réveillez. Sage ne me parlait plus depuis des semaines. Je ne sais même pas ce que je lui avais fait. Le simple fait d’exister, peut-être ? Notre relation était d’une complexité sordide, digne des plus grandes tragédies shakespearienne. Je ne sais pas ce qu’elle avait cette fille, ce qu’elle avait de plus que les autres qui me rendaient aussi fou. Mais le fait est, qu’en face d’elle, j’étais incapable de répondre de moi. Incapable de ne pas culpabiliser, de ne pas m’en vouloir. Pour tout et n’importe quoi. Moi qui dans les premiers jours de notre relation n’avait souhaité que sa mort, me voilà contraint d’admettre qu’il n’y a plus qu’elle qui compte. Son visage prend toute la place dans mes yeux, sa voix dans ma tête. Une semaine qu’elle ne me parle pas, depuis la balade nocturne, et je me sens complètement inutile à ma propre existence. Chaque nuit, je me glisse derrière son hôtel et vais observer sa fenêtre. Je ne sais pas pourquoi. C’est stupide et puéril, mais je le fais, c’est comme ça. Elle ne sort pas de ma tête, elle cogne dans mon crâne comme un putain de refrain entêtant et … putain de merde. Elle réussit à gâcher ma vie même en étant pas là. Parce que c’est justement tout ce que je vois, tout ce que je ressens. Son absence, le fait que rien n’ait de sens quand elle m’oublie. Je suis définitivement perdu, complètement condamné. Je l’aime, malgré toute la hargne que j’ai mis à me battre contre cette idée. Je suis amoureux d’elle, et j’ai juste envie de me flinguer. Alors, je suis là comme un cancre à trainer sur la plage, pieds nus, chemise ouverte et pantalon de costume. Je traine comme on traine un lourd attelage, le sable vole sous mes pas d’éléphant, et je regarde sans regarder la plage et les gens. J’entends une voix s’élever en bas à droite. Je me stop net, j’ai faillis percuter cette personne. Et qu’importe, mon seul regret et d’être revenu à la réalité : « ça va, je n’ai pas … », fais exprès. Je ne finis pas ma phrase. Je ne la finis pas, parce que je reconnais le visage de la fille qui m’a surveillé en prison. Instinctivement, je regarde autour de moi pour m’assurer que personne n’écoute. Elle, elle ne le sait pas, mais je n’ai absolument aucune envie que qui que ce soit sache que j’ai été embarqué en cellule de dégrisement. Noah, l’habitué du poste. Entre les fausses accusations de Sage, la Cole-Girls Party et ça, je me mets à ressembler à une de ses merdes de Mather. Et je repose les yeux sur elle, un peu plus sévère : « Je te retourne la question », désignant d’un signe de sourcil le pétard qu’elle tenté de cacher dans son dos. Ce que je pouvais détester ça : « C’est de coutume dans la police ? De punir les autres pour des crimes qu’on commet soi-même ? ». Elle se relève, face à moi, et se met à m’agresser. WTF ! Je fais mine d’éclater de rire en secouant ma main devant mon visage comme pour chasser la fumée nauséabondes : « Pitié, tu vas faire quoi ! Je ne suis pas derrière des barreaux cette fois », et je fais un pas vers elle, menaçant. Avant de toussoter et de m’éloigner de trois pas tant j’étais écœuré par l’odeur : « J’ai décide de ne plus me faire emmerder par des filles dans ton genre ». Sous-entendu, celles qui fument. Comme Sage. J’allais me rapprocher d’elle quand elle m’éloignait d’un geste de la main. J’esquisse un sourire avant de reprendre : « Toi garde tes distances avec ton déchet !  Jettes-le, allez. Ne m’oblige pas à venir te l’arracher.».



Made by [/url]Lackey-G © for ILH
(Invité)