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Skye Ann Carter
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paltrow
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Fiche d'identité
Nom CarterPrénom(s) Skye AnnÂge 40 ansDate de naissance 15/01/75Lieu de naissance Londres (Angleterre)Statut amoureux CélibataireOrientation sexuelle HétérosexuelleClasse sociale AiséeJob Avocate, Enseignante en droit.Choix de groupe CitizensAvez-vous étudié à Harvard ?
Bien sûr. Comme la plupart. Elle était une jeune femme populaire, convoité par la gente masculine, malgré qu'elle se préoccupait essentiellement des études comme le souhaiter son entourage. La plupart était d'agréable souvent, certain tout le contraire. Surtout occasion de se rendre compte que les hommes étaient superficiels. Le coup d'un soir avec Peter Pan (alias @Peter A. Wilson ) qui était un coureur de jupon. Son premier coup de foudre. Ce ne fut pas son dernier, heureusement. Elle ne comprenait pas comment elle avait pu craquer pour sa beauté intérieur, et sa gueule d'ange qui était certainement son meilleur atout pour draguer. La blonde n'eut aucun mal pour obtenir son diplôme en « droit », s'adapter à cet environnement. Ou elle rencontra des collègues, qu'elle gardait souvent contact ensemble. Le nom de la maison, elle n'a aucun souvenir, mais cela n'empêcha pas d'y revenir.
QU'EST-CE QUI A VOUS A POUSSÉ À ENSEIGNER À HARVARD ?
Elle n'eut pas vraiment le choix. Celui-ci s'était même imposé à elle. Lorsqu'on envoya pour se charger d'un client. Un client particulièrement alcoolique, insupportable. Elle dût être contrainte de le rejoindre à Harvard pour veiller à sa sécurité. La blonde pourra reprendre sa fonction quand elle s'en occuperait plus personnellement. Forcément, elle prit comme emploi temporaire dans cette université. Enseignante en droit. Ce qui la rapprochait le plus de sa véritable profession. Sans compter qu'il était donc sous sa « tutelle », lui impliquait davantage de responsabilités. Auquel, elle aurait pu parfaitement s'en passer ! Une classe. En plus d'un adolescent de quarante cinq ans. Ce n'est pas vraiment de tout repos comme métier. Skye donc malgré le plaisir qu'elle pourrait prendre en occupant ce poste, avait aucun répit, ce qui représentait pour elle plus une contrainte, qu'un réel plaisir !
Bien sûr. Comme la plupart. Elle était une jeune femme populaire, convoité par la gente masculine, malgré qu'elle se préoccupait essentiellement des études comme le souhaiter son entourage. La plupart était d'agréable souvent, certain tout le contraire. Surtout occasion de se rendre compte que les hommes étaient superficiels. Le coup d'un soir avec Peter Pan (alias @Peter A. Wilson ) qui était un coureur de jupon. Son premier coup de foudre. Ce ne fut pas son dernier, heureusement. Elle ne comprenait pas comment elle avait pu craquer pour sa beauté intérieur, et sa gueule d'ange qui était certainement son meilleur atout pour draguer. La blonde n'eut aucun mal pour obtenir son diplôme en « droit », s'adapter à cet environnement. Ou elle rencontra des collègues, qu'elle gardait souvent contact ensemble. Le nom de la maison, elle n'a aucun souvenir, mais cela n'empêcha pas d'y revenir.
QU'EST-CE QUI A VOUS A POUSSÉ À ENSEIGNER À HARVARD ?
Elle n'eut pas vraiment le choix. Celui-ci s'était même imposé à elle. Lorsqu'on envoya pour se charger d'un client. Un client particulièrement alcoolique, insupportable. Elle dût être contrainte de le rejoindre à Harvard pour veiller à sa sécurité. La blonde pourra reprendre sa fonction quand elle s'en occuperait plus personnellement. Forcément, elle prit comme emploi temporaire dans cette université. Enseignante en droit. Ce qui la rapprochait le plus de sa véritable profession. Sans compter qu'il était donc sous sa « tutelle », lui impliquait davantage de responsabilités. Auquel, elle aurait pu parfaitement s'en passer ! Une classe. En plus d'un adolescent de quarante cinq ans. Ce n'est pas vraiment de tout repos comme métier. Skye donc malgré le plaisir qu'elle pourrait prendre en occupant ce poste, avait aucun répit, ce qui représentait pour elle plus une contrainte, qu'un réel plaisir !
APRÈS LA BOMBE.
Elle n'avait pas assisté à l'attentat à la bombe. Ce jour-ci elle devait certainement se charger d'une affaire. Ce qui était monnaie courante pour une brillante avocate renommée. Avant d'être malencontreusement engagé comme son avocate personnelle. Il n'avait pas besoin d'une avocate, mais d'un tribunal au complet pour ne pas être inculper pour les innombrables pitreries, que ce clown pouvait commettre. Du coup, elle ne reçut aucun appel de son entourage témoignant être victime de l'attentat. La blonde en était quand même bouleversé, étant sous incompréhension prémédité de condamner des personnes, dans un établissement publique. Les jours suivants, elle en avait vivement communiqué à son entourage qui était révolté, qu'on tolère des personnes, ou prés-adulte à introduire des objets illégaux, et dangereux. Surtout qu'ils devraient augmenté la vigilance et la surveillance.
Elle n'avait pas assisté à l'attentat à la bombe. Ce jour-ci elle devait certainement se charger d'une affaire. Ce qui était monnaie courante pour une brillante avocate renommée. Avant d'être malencontreusement engagé comme son avocate personnelle. Il n'avait pas besoin d'une avocate, mais d'un tribunal au complet pour ne pas être inculper pour les innombrables pitreries, que ce clown pouvait commettre. Du coup, elle ne reçut aucun appel de son entourage témoignant être victime de l'attentat. La blonde en était quand même bouleversé, étant sous incompréhension prémédité de condamner des personnes, dans un établissement publique. Les jours suivants, elle en avait vivement communiqué à son entourage qui était révolté, qu'on tolère des personnes, ou prés-adulte à introduire des objets illégaux, et dangereux. Surtout qu'ils devraient augmenté la vigilance et la surveillance.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Elle fut offusquée d'apprendre ça. Lors de son admission à l'établissement, elle craignit les représailles, ou elle-même pourrait être victime d'une agression sexuelle. La blonde ne se permit pas le moindre écart, ou vulnérabilité pour materner les adolescents. Et devra forcément s'assurer leur protection, malgré les a priori concernant les femmes. Elle espéra qu'au fond certains proches n'étaient pas témoins, ou victimes des nombreuses agressions, ou ne serait-ce même pour la prise d'otage. Skye avait encore impression de ressentir plus la même atmosphère qu'auparavant, oppressante, et quelque peu étrangère qu'à son admission comme élève.
Elle fut offusquée d'apprendre ça. Lors de son admission à l'établissement, elle craignit les représailles, ou elle-même pourrait être victime d'une agression sexuelle. La blonde ne se permit pas le moindre écart, ou vulnérabilité pour materner les adolescents. Et devra forcément s'assurer leur protection, malgré les a priori concernant les femmes. Elle espéra qu'au fond certains proches n'étaient pas témoins, ou victimes des nombreuses agressions, ou ne serait-ce même pour la prise d'otage. Skye avait encore impression de ressentir plus la même atmosphère qu'auparavant, oppressante, et quelque peu étrangère qu'à son admission comme élève.
pseudo irl
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle miyuki et j'ai vingt quatre ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à un milliardaire 
. Il est magnifique, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Gwyneth Paltrow comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr et bazzart. Je fais environ 20 lignes par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
Participer au Summer Camp, en tant que :
Summer Camper
je veux être parrainer : Oui, par celui qui voudra bien de moi :lol2:
. Il est magnifique, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Gwyneth Paltrow comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr et bazzart. Je fais environ 20 lignes par RP et mon personnage est un personnage inventé.Mot de la fin ? ▲
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(Invité)
« Quoi ? T'as couché avec cet idiot ? » « Oui, c'est vrai qu'il a peut-être une belle gueule. Mais il n'en valait pas le coup ! » Je dois bien admettre que ce n'était peut-être pas une brillante idée, d'en communiquer à mon entourage. Lana et Virginia ne semblent pas s'en réjouir. Je peux le comprendre, offrir sa virginité à un homme, s'intéressant qu'à l'esthétique, et aux ébats sexuels, sans compter que malgré quelques qualités. Il n'est pas vraiment un cadeau. Cet homme a probablement de nombreux surnoms, celui qui lui correspond le mieux à mon humble avis : PETER PAN. La raison ? Il est à quelque traits près identique à ce personnage. Immature, insupportable, Peter ne songe apparemment pas à évoluer, prendre de la maturité. Il ne doit même pas savoir ce que signifie ce mots probablement. Ce ne sont pas ces défauts, qui m'ont attiré vers cet homme, rassurez-vous. Je suis loin d'être stupide à ce point. Oui, ça même si nous avons couché ensemble. Il a été un bon coup, comme on peut souvent entendre de la gente féminine. Ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre, mais j'aurai souhaité un homme à même de me comprendre, qui serait en mesure de me plaire au tempérament. « Il avait ce petit quelque chose. Je ne serais vous dire quoi, exactement. » Je passa ma main sur mon visage. Il va s'en dire que c'était une mauvaise idée. Que j'ai offert ma virginité à un homme, dont je ne portais pas vraiment de sentiment. J'ai seulement eu un coup de foudre, temporaire, heureusement. Lorsqu'il n'eut aucun souvenir, même pas à l'évocation de mon prénom. On percute, que c'était finalement qu'un abruti qui avait bu comme un ivrogne. La belle image d'une romance, d'un ébat, bafoué, détruit par un seul homme. Il va s'en dire que cela va déplaira certainement à mes parents, d'apprendre que leur enfant a eu un rapport sexuel, avec un homme même pas distingué, et plaisant. 
« Skye. Je dois te présenter quelqu’un. » Là, notre rencontre, non par un pur hasard comme un conte. Il faut bien entendu être un minimum réaliste, tout n'est pas forcément comme on le souhaite. Le jeune homme est fortement séduisant, brun, au cheveux court, abordant le même âge, un éminent ingénieur dans l'informatique, reconnu par ses nombreux exploits. Le modèle d'homme que les femmes rêverait de conquérir pour une nuit. Un coup de foudre, non-éphémère, comme ce fut pour Peter Pan, il y avait une tension sensuelle, qui nous attirait comme des aimants, dans l'incapacité de vraiment s'en défaire. Mais le souhaitait-on ? Certainement pas. Il était évident pour nous qu'on poursuivrait ensemble. Qu'on surmonterait les épreuves, qu'on s'épaulerait devant la difficulté. On éprouvait des sentiments pour chacun, au-delà de la distance de nos vocations. « Dylan Stewart, souhaitez-vous prendre comme épouse Melle Skye Ann Carter, ici présente ? » « Je le veux. » Le plus beau jour de ma vie. Qui le restera probablement. Il y avait bon espoir pour croire au conte. Jusqu'à là tout semblait absolument parfait. J'ai conquis le cœur du prince charmant. Au grand plaisir de mes parents qui ne pouvaient que se réjouir pour leur enfant. Le rêve que chaque femme souhaiterait, après être éprise de l'homme idéal selon leur gabarie. Avant le drame. Ce jour-là qui assombrit définitivement notre couple idyllique. Et qui mit fin à notre union (…) 
« Pas ça, non ! Je vous en supplie, tout sauf ça ! » La mort d'un embryon, un espoir d'un couple. Lorsqu'un soir comme les autres, suite à ma grossesse presque inespérée dans notre relation. J'ai découvert du sang, émanant de mes jambes, comprenant que le cauchemar reprenait. Les douleurs inhabituelles. Les cauchemar à répétition sur l'embryon. Le signe qu'on ne méritait apparemment pas : une fin heureuse comme les contes. Sa mort. Le rupture de notre union, en grande partie ma responsabilité, sous ma souffrance. Il essayait en vain de me convaincre pour me rassurer et apaiser ainsi ma douleur. Je culpabilise, de m'être comporter ainsi, menant notre couple même jusqu'au divorce. Je l'aime. Je l'ai aimé. Sa mort nous a définitivement séparé, brusquement, soudainement. « C'est de ma faute ! Tout ça c'est de ma faute ! Tu comprends ?! » « Cesse donc de te le reprocher. Tu as fais le maximum pour le préserver. Tu n'as pas à te sentir coupable. » Les hurlements. Le chagrin que je déversais, dans un torrent de larmes incontrôlables. Les reproches incessants. Le goût amer de la culpabilité qui vous ronge de l'intérieur. Si vraiment il avait raison.. Je n'aurai certainement pas souffert comme aujourd'hui. Le couple aurait pu surmonter ça. Je n'aurai pas refusé son aide aussi bénéfique. Pourquoi la vie s'acharne-t-elle autant sur moi ? Que cherche-t-elle à me faire comprendre ? 
« Tu es mon avocate ! » « Je n'ai pas dis oui. » « Bien sûr que si. Tu viens de le confirmer ! » « J'hallucine ! » « Je sais que tu en meurs d'envie ! » Il a vraiment un sacré culot, de me contraire d'être son avocate. Bien qu'au fond cela m'aurait certainement plus, en s'y prenant autrement. Le summum, on me charge de garder un œil sur cet homme, cet imbécile. Je n'ai pas comme profession ; mère d'adoption, pour me préoccuper d'un adolescent de cinquante ans. Ils m'ont donc envoyé impérativement à Harvard, pour le surveiller. Le connaissant un minimum, il va probablement reprendre son rôle de « don juan ». Il n'a que ça comme occupation, en interprétant ; un enseignant dans le domaine du théâtre. J'ai sûrement mieux à faire que veiller sur un enseignant, au comportement puéril. Ils m'ont donc promu comme enseignante en droit, pour passer complètement incognito. Je n'ai aucune idée pourquoi on m'a recommandé à cet homme pour une avocate. Oui, peut-être bien que mon paternel est un avocat, réputé, reconnu mondialement. Il aurait certainement désapprouvé, comme moi actuellement, pour ce client. Peter Wilson. Il y a beaucoup de rumeurs qui circulent concernant cet homme milliardaire. Rien de comparable au coup pendant notre « coucherie » lors de notre scolarité. 
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