Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySweet Dreams Are Made Of This ~Charline & Peter ~
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Sweet Dreams Are Made Of This ~Charline & Peter ~

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Sweet Dreams Are Made Of This

Who I Am To Desagree ?  

 La chaleur était étouffante, le soleil brillait de milles feux, les plages étaient presque paradisiaques. Le paysage de la nova scotia semblait le rendre de meilleur humeur bien que son taux d'alcoolisme n'avait pas diminué pour un sous. Il buvait toujours autant, voir peut-être un peu plus. Avec les jeunes, le mather qu'il avait, cela devenait encore plus chaud. Peter adorait cela, il adorait ses vacances, loin de la jet set avec des élèves avec qui il ne couchait pas du tout.  Sa consommation d'alcool avait cependant doublé de volume et il se demandait quand il allait finir à l'hôpital avec un coma ou une sacrée cirrhose au foi. Cependant, il continuait, c'était dans ce genre de moment, qu'il se sentait vivant, en vie, qu'il trouve un moyen  de se rattacher à celle-ci. C'était dans ce genre de moment, qu'il se sentait dans la réalité. Qu'il se sentait plus réel que jamais. Dans l'euphorie du moment créé par l'alcool, il avait sa place. Pour lui, il n'était plus seul, mais plus du tout. Voilà, pourquoi, il allait souvent dans ce putain de bar, picolant des verres, sur verres, comme pour trouver un moyen de se rattacher à son père, leur seul lien. Comme si à chaque gorgée, il retrouvait son père. Un père qui l'avait battu, mal-mené et qui lui avait donné d'horribles maladies. En cette soirée, il attendait encore son élève préféré Charline qui devait venir le voir, pour picoler. C'était devenu une habitude chez eux. Elle lui parlait de ses soucis et lui l'écoutait sans la juger. Lui, parlait peu de son passé, il avait peur de parler de son passé. Qu'elle finisse par le juger. Vêtu d'un jean bleu, d'un débardeur noir qui montrait ses muscles d'homme qui prenait soin de lui sans trop en faire.

Il regardait la jeune femme rire face à sa blague, l'alcool embrumant déjà son esprit bien vif. Il commençait une longue explication à propos des hommes qui pissent debout et non assis. Quelle en était la raison. Même ivre, pompette, il arrivait à captiver les gens. Etait-ce sa voix grave ? Ou tout simplement sa beauté ou sa manière de parler. Parlant depuis une bonne dizaine de minute à ce propos tout en lui montrant des dessins sur la serviette en papier.

- Et voilà pourquoi , on pisse debout et non assis, déclara-t-il pour conclure.

La jeune femme eut un rire et laissa son numéro à Peter en murmurant de la rejoindre plus tard dans sa chambre. Il eut un sourire grivois avant de se tourner pour tomber sur son élève qui le regardait avec un air interrogatif. Il eut un petit sourire e coin. La seule chose de marrant chez lui autre que son excentricité, c'était sa folie permanente.

- Bah quoi, c'est toujours intéressant à savoir, non ? Demanda-t-il d'une manière ironique.

Il commanda un deuxième verre pour mieux picoler, demandant à son élève de s'asseoir à ses côtés avec un geste. Elle était sans doute une de ses amies. Il savait qu'il n'avait pas le droit mais il en avait besoin tout comme elle, en avait besoin.


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C H A R L I N E  A N D P E T E R
Sweet Dreams Are Made Of This ★★★
Mes yeux se rouvrirent doucement pour s’attarder sur le visage endormi d’Athena et de Dante. Cette nuit avait été juste horrible, privée d’un rare moment de complicité avec Sloan. J’avais du m’endormir au côté de la meilleure amie de sloan et de mon meilleur ami. Mes vêtements pour l’occasion avait été soigneusement ranger reportant une nouvelle fois cette partie de jambe en l’air à une prochaine fois. J’étais toujours aussi frustré. Mon corps le réclamait et je n’arrivais à assouvir aucun de ces besoins. S’était terriblement agaçant. Je me pinçais les lèvres avant de me lever de mon lit. Les trois étudiants dormaient à point fermé, Sloan dormait paisiblement. Un fin sourire s’afficha sur mes lèvres avant de finalement aller prendre ma douche. Allons refroidir ce corps frustré. L’eau était tiède voir même presque froide. Mes yeux se fermaient doucement. Je n’avais pas dormir, j’avais passé ma nuit à imaginer, fantasmer. Secrètement, j’espèrai qu’il se réveille et vienne me rejoindre dans cette douche mais mon espoir se dissipa lorsque je sortis de la douche. Mon téléphone se mit alors à vibrer. Je me penchais légèrement pour lire le nom qui s’affichait sur mon téléphone. Peter ? mes sourcils se froncèrent avant de venir lire son message. Un verre ? sa question me fit sourire. Peter avait beau être mon professeur, il n’en restait pas moins un homme que j’appréciais et avec qui j’aimais parler. Et à cet instant même à défaut de pouvoir faire l’amour, j’avais besoin d’évacuer ma frustration. Mon regard s’attarda ensuite sur l’heure qu’affichait mon téléphone. Trois heures du matin. Je me mis à soupirer. La nuit était loin d’être terminé. Je m’habillais normalement décidant de quitter la chambre ou dormait profondément Sloan, Athéna et Dante. Une petite grimace s’afficha en reportant mon attention sur la tenue sexy dans laquelle je l’avais accueillis. Ma surprise avait été un vrai fiasco malgré mes bonnes intentions. Je me dirigeai alors vers le bar de l’hôtel ou se trouvait déjà mon professeur. Il était accompagné d’une jeune demoiselle. Etudiante en droit sans doute, son allure ne trompait personne. Elle était élégante. Je me mis à sourire en écoutant la tactique de drague pitoyable de Peter. Mes sourcils se levèrent surprise de voir que la jeune femme réceptive à ces avances bidons. L’homme se retourna enfin vers moi avant de constater que j’étais enfin là. « Bah quoi, c’est toujours intéressant à savoir, non ?» L’inconnu s’éloigna du professeur et je m’installais enfin à ces côtés. « Et bien ! On dirait que monsieur a envie de s’amuser ! Je ne te critique pas Peter, chacun a sa méthode de drague.» je ne pu m’empêcher de sourire ironiquement et lui fis en chuchotant : « Même si je dois avouer que la tienne est particulièrement pitoyable.» je regardais son dessin et finis par me mettre à rire avant de l’entendre commander un deuxième verres. J’affhchais un sourire satisfait essayant d’oublier cette partie de jambe en l’air interrompu. Mon verre arriva devant moi et je lui fis : « a ta santé Peter.» vite vite. Je bu une gorgé et le liquide m’irrita la gorge. « tu viens de me tirer d’une situation terriblement gênante ! je t’en remercie.» dis-je en souriant légèrement même si la situation était loiiiiiiiiiin, très loiiiiiiiiin d’être marrante.
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Who I Am To Desagree ?  

 L'alcool était son ami depuis la première fois qu'il avait goûté. Au départ, il n'avait pas aimé le goût amer, la brûlure dans son oesophage tandis que le liquide descendait le long de celui-ci. Ce n'était pas tant le goût de la première fois qui l'avait fait aimer l'alcool à ce point. Non, c'était plutôt le regard de son père, le sourire que son géniteur arborait tandis qu'il buvait le whisky consciencieusement qui l'avait fait aimer cela.  Son père l'avait regardé, lui, non ses frères. Il lui avait fait un sourire, quelque chose qu'on lui avait interdit depuis toujours. Ce fut son sourire qui avait tout déclenché, un sourire presque fier qu'il ait bu ce verre sans tousser ou presque. Il avait réglé un problème avec son père en buvant ce verre, alors l'alcool réglait tous ses problèmes. Son seul remord fut de ne pas avoir la tendresse d'une mère. Il se demandait encore parfois le sentiment que cela faisait de sentir une douce main sur sa joue, dans ses cheveux bruns, une femme qui le console, qui le serre contre lui sans que cela soit purement sexuel. Au fond, il n'avait jamais connu ce que ses frères ont connu avec leur mère, une tendresse, une musique douce, une mère qui les défend envers et contre tous. Lui, il n'avait eu qu'un regard aussi froid qu'une pierre, une voix aussi glacée que le Pôle Nord, des reproches, et des profondes déceptions. Ainsi, il s'était inconsciemment réfugié dans la débauche, chez les autres femmes afin de peut-être goûter à ce plaisir de sentir une main sur sa joue le soir, une main dans ses cheveux, une voix suave au creux de son oreille. Mais rien n'était pure dans ses gestes, tout était calculé par lui. Tout était pervers. Au final, il prit plus goût au plaisir charnel que de la tendresse en elle-même. Après tout, c'était la seule tendresse qui l'avait eu de la part de la gente féminine. Peter se demandait un tas de choses à propos de sa famille. Pourquoi lui ? Et pas le petit dernier ? L'aîné ?  Ainsi, le sexe et l'alcool étaient devenus ses meilleurs atouts, ses meilleurs amis. Dans sa solitude amère, ces deux-là lui tenaient compagnie et lui donnaient un réconfort, un sens dans sa vie. Il avait une addiction à combattre. Une addiction que son père lui avait donné , en lui faisant un sourire. C'était malsain et à la fois gratifiant. Malsain parce que cela remettait sa santé en jeu, et que ce n'était pas moral de donner cela à un enfant. On l'aurait sans doute placer dans une maison d'accueil pour ça. Mais pour Peter, c'était gratifiant, enfin, il avait pu entrevoir ce qu'était la complicité, de se sentir complice avec son père. Si seulement, il avait su combien celui-ci l'avait plus foutu dans un merdier qu'autre chose, qu'il aurait su que boire ce verre allait lui donner du fil à retordre plus tard, jamais il aurait souri en retour à celui-ci. Jamais, il n'aurait pris ce maudit verre, s'il n'aurait pas été aussi désireux de sentir pour une fois dans sa vie, cette complicité qui lui manquait tant.

En cette soirée, enfin, cette nuit à 3h du matin, il s'amusait à picoler en attendant son élève, pour sûr, qu'elle viendrait. Jamais, elle n'avait dit non face à un verre, tout comme lui. Draguant l'étudiante en droit qui semblait que plus intéresser que par son physique que parce qu'il disait. Lorsque celle-ci partit en lui donnant le numéro de sa chambre, et son numéro de téléphone, laissant son élève préféré et sa copine de beuverie s'asseoir à ses côtés, elle avait un sourire aux lèvres lorsqu'elle lui parlait de méthode de drague. Méthode de drague ? Quelle méthode de drague ? Pensa-t-il. Il arquait un sourcil intrigué face à ce que tu disais. Il ne draguait pas l'étudiante, il lui parlait de la manière dont les garçons pissaient par rapport aux filles. Il la regardait décidément perdu.

- De quoi parles-tu ? Je ne la draguais pas , je lui parlais d'un débat que j'ai commencé moi-même, c'est elle qui a pris ça pour de la drague et que bah cela a marché, en remarque. Ma drague pitoyable a marché ! Genre, toi, tu fais mieux que moi , niveau drague chez les filles ? Demanda-t-il en la regardant avec une lueur de défi et de malice.

Peter leva son verre comme pour trinquer avant de le boire. Il la regardait rire face au dessin qu'il faisait. Il offrit une fausse moue vexée tandis que le barman s'approchait, fronçant les sourcils face au dessin sur la serviette en papier. Peter adorait provoquer tout le monde, surtout les personnes comme ce barman qui semblait avoir jamais vu ça. Cependant son élève l'intrigua en le remerciant. Pourquoi le remercie-t-on ?

- Pourquoi me remercie-tu ? Quelle situation embarrassante ? Attends laisse moi deviner, tu t'es faite choper à vendre de la drogue ? Non, pas ça, tu serais en taule. Hum, tu t'es réveillée nu dans le lit d'un inconnu ? Non, t'aimes trop Sloan pour ça mais , je pense que je ne suis pas loin de tout ça. De toute manière, tout a un rapport avec une femme à poil quand on parle de situations embarrassante en vacance, s'enquit-il pensivement.

Peter regardait son élève d'une façon soucieuse avant de se tourner vers l'homme qui allait s'asseoir à côté de lui et qui puait la bière, l'alcool et la transpiration, doucement, il vint décaler le tabouret avant qu'il aille s'asseoir dessus. L'homme déjà bien ivre, tomba à terre. Un sourire aux lèvres, Peter se tournait vers Charline, ignorant l'hilarité générale du bar.

- On disait ? Demanda-t-il d'une manière innocente.

Peter était un curieux de nature, il voulait tout savoir, absolument tout, surtout lorsque cela concernait les femmes, en soit, il était une vraie commère. Après tout, un petit potin bien utilisé pouvait être une bonne arme. Bien qu'il ne voyait pas pourquoi, il utiliserait sur Charline, il l'adorait trop pour cela, ce petit bout de femme mais on n'était jamais sûr de rien dans la vie.


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