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J'étaie a l'heure quand il s'agissait de mes intérêts forcement. Par contre, Adrianna ce faisait désirer, mais cela fait partie d'elle il faut croire. Elle ne se gênait jamais pour arriver en retard a nos rencards, mais je ne le regrettais au final jamais. On c'est donné rendez-vous dans la forêt un endroit assez banal mais d'une efficacité redoutable pour deux personnes telles que nous qui voulions être a l'abri des médisants dont nous avions au passage strictement rien à foutre. Oui on était ensemble, mais sans aucunes contraintes elle étaient libre de faire ce qu'elle désirait de son côté et c'était pareil pour moi. Elle couchait avec qui elle désirait, embrassait qui elle désirait et j'en avais strictement rien à faire tant qu'officieusement ou officieusement dite le comme vous le voulez elle était avec moi. J'étaie libre de faire la même chose et on ne se gênait pas croyez moi ! On voulait profiter de notre camp a fond sans frustration et c'est au final ce qu'on fait. On s'amuse tous les deux de notre côté tout en se retrouvant de temps a autres pour faire nos petites affaires à nous. C'était parfait pour moi et pour elle. Un système bien établie car, simple. Simple car sans règles aucune. Je n'avait aucunes attaches envers elle en dehors de ce statut de "petite amie" et encore si on pouvait appeler cela ainsi. Je qualifierais plus tôt cela de relation libre ce serait un terme plus juste a mes yeux. Tout était en ordre dans ma vie et c'était mieux ainsi. C'était une après midi plus tôt calme tout ce qu'il me fallait. Pourquoi aucune attache ? Tout simplement parce que cela me permettra de ne pas être déçu à nouveau par une femme. Pas d'amour aucun seulement du plaisir sans se prendre la tête. Elle était légèrement plus jeune que moi et aimait les hommes un peu plus âgé un peu plus mur car, tous les mecs de son âge avait soit rien dans le pantalon sois aucune ambition sois tout simplement pas d'argents parce que ils sont fauché à cet age la. C'était loin d'être mon cas j'avais la bourse de l'équipe pour jouer au Basket en plus de mes économies donc je pouvais la sortir et lui acheter tout un tas de choses même si elle n'en avait pas foncièrement besoin vu qu'elle était issue d'une famille aisée elle aimait savoir qu'il y avait une sécurité financière derrière qui elle sortait. Pour dire cela clairement sans être vénal elle ne désirait pas sortir avec un clochard. Ce n'était pas mon cas j'étaie une futur élite du basketball américain et elle avait très vite compris que j'avais beaucoup d'avenir dans ma branche tout comme elle dans la sienne. Je la connais déjà relativement bien car en plus d'être jeune et sublime elle était elle aussi très douée en danse. C'est sa passion et si en plus ça lui permet d'être agile au pieu on ne va pas s'en plaindre. Elle désirait en faire son métier et c'était très bien parti pour être ainsi. Je ne vais pas vous faire un dessin on était clairement fait pour s'entendre. Elle était la futur élite de la danse et moi celle du Basket. Les gens talentueux sont faits pour s'entendre. J'ai bizarrement toujours aimé et été attirer par ce genre de filles. Celles qui ne se prennent pas la tête et s'amuse simplement. Celle qui profite de la vie sans te parler de bébé ou de fonder une famille toute la journée. Le genre de fille qui te gonfle la tête avec ces bêtises alors que tu voulais seulement allez boire un verre et bien s'amuser avec elle. C'est triste a dire mais c'est une réalité.
Les filles de mon âge me font plus ou moins chier dans le sens ou c'est ce qu'elles font constamment ! Elle parle sans arrêt de fonder une famille pour la plupart et ne savent plus s'amuser. Elles n'ont que ces deux mots a la bouche: Famille et Enfants. J'ai souvent envie de leur dire qu'on est encore jeune bordel et qu'on a encore un peu de temps devant nous avant d'y penser. Tout en pensant je continue a parcourir la forêt pour rejoindre notre coin à nous. On avait trouvé un coin sympa en débarquant beaucoup de monde ne le connaissait pas pour ne pas dire quasiment personne et on s'y retrouvait pour faire ce qu'on désirait sans attirer les regards indiscrets des commères ou des médisants. On en avais rien à faire, mais si on pouvait éviter de faire jaser cela nous arrangerait elle comme moi. Les gens ne diraient pas qu'on est ensemble et du coup on pourrait continuer a accroché des gens du Camp dans notre lit ou ailleurs sans que ces personnes la ne ce doute de rien. C'était excitant de tous les deux jouer double jeux et c'était souvent un objet de discussion entre moi et elle. On tournait parfois cela en ridicule en se posant des questions débiles ou en faisant des concours du genre "Combien t'en à serrer cette semaine ?" Ou alors "Je te pari que tu ne peux pas mettre 10 mecs dans ton lit avant la fin du camps" et vice versa. On était absolument pas complexé ni gêné parce qu'on faisait tous les deux si nous le vivions bien il n'y avait pas de raison de l'être. Est-ce que je voulais rester comme cela pendant longtemps. Je n'en savais strictement rien et à l'instant précis j'en avais vraiment rien à faire. Tout ce que j'attendais c'était de pouvoir voir Adrianna et la serrer dans mes bras avec un grand sourire de gamin. L'embrasser, écouter de la musique avec elle discuter de la pluie et du beau temps, de ce qui se passait sur le camp. L'écouter simplement me suffisait. Qu'elle me raconte sa vie ou des ragots le seul fait d'être a ces côtés me remplissait de bonheur. Et si j'avais finalement trouver mon équilibre ? Et si finalement c'était ça la vraie vie ? Loin de tous les clichés de l'amour et de la fidélité ! Et si être sois même et faire ce que l'on désire loin des contraintes et des lois c'était le vrai bonheur ? C'est ce que je commence a pensé vraiment ! Je me sens bien ! Je suis épanouie a ses côtés et c'est sans doute cela le plus important. Qui aurait pensé il y a de cela un an quand je vivais la parfaite histoire d'amour avec mon ex qu'aujourd'hui je ferais de telles chose ? Personne ou alors ceux qui l'auraient pronostiqué je les aurait sans doute traité de fous ou de génie je n'en sais trop rien. À l'époque j'étaie un garçon sérieux moi aussi je rêvais de tout ça. D'avoir une famille et des enfants avec Alexandra. Malheureusement l'amour m'a déçu et rien ne c'est passé comme prévu. Depuis j'ai abandonné ces idées de vie morose et profondément ennuyante et je profite de la vie. Je croque a l’intérieur a pleine dent sans regret et même si ce n'est qu'une illusion temporaire ou fausse cela fait beaucoup de bien au moral et pas seulement. Ce camp m'avait transformé d'une nouvelle façon. Les autres filles diront bien ce qu'elles veulent des mecs comme moi je m'en fichais car, j'avais ma copine et seul son avis à elle m'importait en ce moment.
Elle me comprenait et c'était cela le plus important. Je n'allais pas la décevoir parce qu'elle n'attendais rien de moi et vice versa. Il n'y avait donc aucun risque ce n'était que du bonus. Et jusque la tout n'a été qu'agréable surprises entre nous et c'était mieux ainsi. Pas de dispute pas de jalousie seulement du bonheur. Un apport de bonheur mutuel. J'arrivais enfin à l'endroit où on avait l'habitude de se voir et je m'assois sur l'herbe lunette de soleil que je ne quittais jamais. Une petite chemise ouverte laissant ressortir mes ados et pectoraux je m'étaie fait beaux pour elle comme elle avait l'habitude de se faire belle pour moi. Je l'attendais patiemment en continuant de pensée que j'étaie vraiment parvenu a trouvé un mode de vie plaisant. J'avais pris toutes les précautions pour pas qu'un de mes plans culs du camp ou autre ne viennent pas nous interrompre car, je détestais qu'on me le fasse et pour l'avoir déjà subi c'est très chiant et frustrant toutefois il n'y avait pas de risque le coin était isolé et sympa alors je soufflais un coup avant de siffloter l'air de Whistle une chanson de Florida tout en continuant d'attendre la belle avec un grand sourire au lèvres.
Les filles de mon âge me font plus ou moins chier dans le sens ou c'est ce qu'elles font constamment ! Elle parle sans arrêt de fonder une famille pour la plupart et ne savent plus s'amuser. Elles n'ont que ces deux mots a la bouche: Famille et Enfants. J'ai souvent envie de leur dire qu'on est encore jeune bordel et qu'on a encore un peu de temps devant nous avant d'y penser. Tout en pensant je continue a parcourir la forêt pour rejoindre notre coin à nous. On avait trouvé un coin sympa en débarquant beaucoup de monde ne le connaissait pas pour ne pas dire quasiment personne et on s'y retrouvait pour faire ce qu'on désirait sans attirer les regards indiscrets des commères ou des médisants. On en avais rien à faire, mais si on pouvait éviter de faire jaser cela nous arrangerait elle comme moi. Les gens ne diraient pas qu'on est ensemble et du coup on pourrait continuer a accroché des gens du Camp dans notre lit ou ailleurs sans que ces personnes la ne ce doute de rien. C'était excitant de tous les deux jouer double jeux et c'était souvent un objet de discussion entre moi et elle. On tournait parfois cela en ridicule en se posant des questions débiles ou en faisant des concours du genre "Combien t'en à serrer cette semaine ?" Ou alors "Je te pari que tu ne peux pas mettre 10 mecs dans ton lit avant la fin du camps" et vice versa. On était absolument pas complexé ni gêné parce qu'on faisait tous les deux si nous le vivions bien il n'y avait pas de raison de l'être. Est-ce que je voulais rester comme cela pendant longtemps. Je n'en savais strictement rien et à l'instant précis j'en avais vraiment rien à faire. Tout ce que j'attendais c'était de pouvoir voir Adrianna et la serrer dans mes bras avec un grand sourire de gamin. L'embrasser, écouter de la musique avec elle discuter de la pluie et du beau temps, de ce qui se passait sur le camp. L'écouter simplement me suffisait. Qu'elle me raconte sa vie ou des ragots le seul fait d'être a ces côtés me remplissait de bonheur. Et si j'avais finalement trouver mon équilibre ? Et si finalement c'était ça la vraie vie ? Loin de tous les clichés de l'amour et de la fidélité ! Et si être sois même et faire ce que l'on désire loin des contraintes et des lois c'était le vrai bonheur ? C'est ce que je commence a pensé vraiment ! Je me sens bien ! Je suis épanouie a ses côtés et c'est sans doute cela le plus important. Qui aurait pensé il y a de cela un an quand je vivais la parfaite histoire d'amour avec mon ex qu'aujourd'hui je ferais de telles chose ? Personne ou alors ceux qui l'auraient pronostiqué je les aurait sans doute traité de fous ou de génie je n'en sais trop rien. À l'époque j'étaie un garçon sérieux moi aussi je rêvais de tout ça. D'avoir une famille et des enfants avec Alexandra. Malheureusement l'amour m'a déçu et rien ne c'est passé comme prévu. Depuis j'ai abandonné ces idées de vie morose et profondément ennuyante et je profite de la vie. Je croque a l’intérieur a pleine dent sans regret et même si ce n'est qu'une illusion temporaire ou fausse cela fait beaucoup de bien au moral et pas seulement. Ce camp m'avait transformé d'une nouvelle façon. Les autres filles diront bien ce qu'elles veulent des mecs comme moi je m'en fichais car, j'avais ma copine et seul son avis à elle m'importait en ce moment.
Elle me comprenait et c'était cela le plus important. Je n'allais pas la décevoir parce qu'elle n'attendais rien de moi et vice versa. Il n'y avait donc aucun risque ce n'était que du bonus. Et jusque la tout n'a été qu'agréable surprises entre nous et c'était mieux ainsi. Pas de dispute pas de jalousie seulement du bonheur. Un apport de bonheur mutuel. J'arrivais enfin à l'endroit où on avait l'habitude de se voir et je m'assois sur l'herbe lunette de soleil que je ne quittais jamais. Une petite chemise ouverte laissant ressortir mes ados et pectoraux je m'étaie fait beaux pour elle comme elle avait l'habitude de se faire belle pour moi. Je l'attendais patiemment en continuant de pensée que j'étaie vraiment parvenu a trouvé un mode de vie plaisant. J'avais pris toutes les précautions pour pas qu'un de mes plans culs du camp ou autre ne viennent pas nous interrompre car, je détestais qu'on me le fasse et pour l'avoir déjà subi c'est très chiant et frustrant toutefois il n'y avait pas de risque le coin était isolé et sympa alors je soufflais un coup avant de siffloter l'air de Whistle une chanson de Florida tout en continuant d'attendre la belle avec un grand sourire au lèvres.
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