Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDon't Look Down • Sabian
Le Deal du moment : -28%
-28% Machine à café avec broyeur ...
Voir le deal
229.99 €


Don't Look Down • Sabian

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Don't look down
—Sabian

Il a certaine chose qu'on oublie pas , peu importe la quantité de substance illicites que l'ont peut prendre. Peu importe si on se frappe la tête contre un mur ou on dort pendant des heures. On se réveille toujours avec la même sensation de vide à l'intérieur de nous. Je suis une tête en l'aire et c'est d'ailleurs pour ça que je suis partie laissant tout de cotée. J'avais un pincement au coeur en y pensant de nouveau , car ce soir il était là non loin de moi je l'avais repéré dans la foule. Je n'aurais pas pu faire autrement , il était un aimant pour moi quelque chose de bref , mais hyper fusionnel. Ça me faisait mal par en dedans et je me mordais la lèvre inférieur en me demandant ce qui m'avait pris . Sans doute ce qu'on disait sur lui et le fait que j'avais tendance à me bourrer le crâne de rêves . J'avais retrouvé la terre ferme assez rapidement pendant l'espace d'un moment. Je baissais la tête vers la bouteille entre mes mains. J'étais en pleine contradiction , j'avais envie qu'il me voit , j'étais si facile à repérer , en même temps j'avais envie de m'enterrer six pieds sous terre. Il m'avait envoyé un message en sachant que j'étais rentré. Je n'avais prévenu personne pour tout dire , mais bon le summer camp est une petite communauté et j'ai une tête blonde qui ne passe pas inaperçue. J'étais coupable sur toute la ligne , coupable de m'être infiltré dans son lit un soir étoile , coupable de m'être enfui. Les passants passaient proche de moi m'évitant de justesse à certain moment , lorsque je fixais trop longtemps je partais loin dans un autre univers. Puis , ce moment venu son regard croisa le miens et je n'arrivais pas le détacher. Mes jambes se mirent à trembler . Il avait toujours cet effet étrange sur ma personne , même après deux mois sans rien. Mes pieds voulaient bouger , mais je restais figé sur place. J'avais envie de te demander comment tu allais , mais je n'y arrivais pas. Je finis par faire un mince sourire et j’espérais maintenant que tu vienne vers moi. La poupée de porcelaine était de retour ce soir et elle était drôlement fragile.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


I wanted to punch her and understand her at the same time.
Ce soir, Sabian était descendu à l'hôtel du bar pour se changer les idées. L'envie de sortir n'était pas vraiment là. Il fallait quand même avouer que Cece était pas mal prise avec ses obligations de chef d'équipe. Du coup, il avait pas mal de liberté. Voilà déjà plus d'une semaine qu'il avait posé ses bagages ici et franchement, c'était agréable, même pour lui. Même s'il était loin de son petit confort de Cambridge, il commençait doucement à prendre ses marques et ses repères. Le seul petit bémol qui l'empêchait de profiter pleinement de ses vacances, c'était ses combats. Sabian ressentait déjà le manque et commençait à accumuler pas mal d'émotions, ce n'était pas bon et il le savait pertinemment. Pour se défouler, il courrait tous les matins mais cela ne semblait pas suffisant pour toute les choses négatives qu'il pouvait ressentir. Contre toutes attentes, le bar était plutôt plein, évidemment, plein d'étudiants. On avait l'impression que tout Cambridge avait migré dans cet hôtel, c'était plutôt amusant et effrayant. Quoiqu'il en soit, Sabian n'en était pas à son premier verre, il avait en avait déjà chiqué trois ou quatre. Le beau brun passait une très bonne soirée, en compagnie de deux potes à lui. Il ne demandait pas son reste et honnêtement, il ne pensait à rien d'autre qu'à parler fort et rigoler. La testostérone semblait marcher à plein gaz puisque les mâles se sentaient surexcités ce soir. Et vas-y qu'ils parlaient librement de cul et d'autres pratiques peu orthodoxe, ne se souciant pas une seule secondes des gens qui pouvaient bien les entourer. Sabian posa lourdement son verre sur le bar et prit de nouveaux verres que le serveur venait de lui apporter. Il fit la distribution à ses deux autres potes et ensemble, ils levèrent leurs verres qu'ils firent claquer d'un simple et même bruit. Le jeune homme semblait vraiment heureux et apaisé, il y a bien longtemps qu'il n'avait pas ressenti ça. Outre de gros problèmes d'argent, de comportement et de nourriture, tout semblait rouler pour lui. Prit dans l'euphorie de la situation, Sabian bu le contenu de son verre d'une traite avant de le poser sur le bar. Rapidement, son regard fut attiré vers la droite et il capta celui d'une blondinette qu'il connaissait que trop bien. Le beau brun s'arrêta net de bouger et déglutis, il perdit instantanément son sourire. Veia. Il savait qu'elle était de retour à Boston et qu'elle participait au Summer Camp. Sa respiration s'accélérait légèrement tandis qu'elle lui fit un sourire discret. Sabian n'avait pas du tout prévu de la croiser ici, c'était trop inattendu pour qu'il puisse réagir convenablement. L'étudiant reporta son attention sur ses potes, lançant quelques coup d'oeil vers Veia. Non, il ne pouvait pas faire comme si il ne la connaissait pas. Tout ceci le laissait perplexe. Sabian attrapa un nouveau verre et laissa ses potes pour s'avancer vers la petite Alvisio. Ils avaient des choses à se dire et le beau brun allait devoir faire preuve d'un sang froid sans précédent. Une fois à sa hauteur, il plissa les yeux. L'étudiant avait prit soin de garder une distance raisonnable de la Lowell. « Salut. » lança-t-il un peu bêtement. Sabian avait déjà bien bu, il ignorait complètement comment les choses allaient bien pouvoir tourner ce soir. Il avait une rancœur contre la blondinette et comptait bien lui faire comprendre.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Don't look down  
—Sabian

T'es ma plus grosse connerie et ma plus grande histoire. Quelque chose de court et d'effréné. C'était rapide parce qu'on est jeune et qu'on court toujours après le temps. C'était passionnel et beau à voir jusqu'à un certain point. La poupée de porcelaine et un homme trop dur pour elle. Tu étais pourtant si doux et différent une facette que sans doute d'autres n'auront pas le chance de voir. Tu étais mon rêve éveillé faut croire qu'il c'est arrêté. Je me suis réveillé la première et je suis partie à la vitesse éclaire. Qu'est-ce que tu deviens ? J'espère au moins que le bonheur c'est installé sur ta petite personne. Moi je crois que pour le moment je me suis égaré dans un nuage de poussière et je sais plus trop où m'envoler. Je vogue ici et là à travers le summer camp en regardant les gens passés, en prenant de verres de trop. Mon estomac se noue de plus belle, comme un gros noeud qu'on fait dans nos cheveux et qui est impossible à démêler. Puis je te vois tu te rapproche et la panique m'emporte. Tu ne l'as vois pas parce qu'elle est intérieur, mais au fond de mon être c'est ouragan qui se produit. Ça se produit de la tête au pied, ça vous donne des frissons sur le long de votre colonne vertébrale. C'est le genre d'émotions qui vous fait vivre un peu , qui vous rappelle que vous êtes en vie après tout. On ressent pas ce genre de choses six pieds sous terre. Tu t’arrêtes devant moi, tu gardes cette distance que je n'avais pas vu depuis longtemps, celle qui avait disparue dans nos dernières rencontres. Un simple salut retombe dans l'ambiance alcoolisée du bar. Un seul mot dont je ne sais quoi répondre. J'entrouvre mes lèvres et je les referme aussitôt. Je t'observe de haut en bas. À première vue tu n'as pas changé, mais d'un autre oui. Ce froid qui se dégage de toi ce n'est plus la chaleur que j'ai connue. Oui tu es distant et le pire dans tout ça c'est que tu as tes raisons. Je me torture déjà dans mon esprit à l'idée de ce que tu pourrais me dire. Dit moi de m'enfuir après tout je suis rendu bien bas. La Veïa devant toi c'est la même, mais elle est plus à bout de nerfs et en plus elle c'est laissé marqué la peau à Chicago. La poupée de porcelaine n'est pas fort ce soir. Elle reste scotché là , mais elle a peur d'éclaté et de devoir recoller les morceaux par la suite. Au moment que j'allais dire quelque chose je bue aussitôt une gorgée de bière en détournant le regard. Il est laid en plus ce bar pour des ''retrouvailles'' il est peut-être digne de notre relation à présent, même si j'ai envie de rêver à plus que ça. T'as raté ton coup m a Veïa. «Hey...» J'avance ma main vers la tienne au risque de me faire tuer , au risque de me faire repousser comme jamais. Pardonne moi. Ce soir je suis la pauvre adolescente qui vie encore en Italie et qui déambule dans les pars.

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)