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Luke Larson fiche; en cours - terminée C'est le 25 avril 1990 à New York, que la famille Larson m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Luke. Je suis ... en couple, je crois, et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de ne pas participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d' Arts Plastiques (majeure) et d' Arts Visuels (mineure) depuis 3 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell House ou les Eliot House. |
Études Luke étudie en Arts plastiques et en Arts visuels. Et c'est sans doute parce que son grand rêve, c'est de devenir renommé dessinateur et scénariste des célèbres "Comics" américains. Avant, il étudiait à l'université d'UCLA, à Los Angeles, sous la tutelle d'une professeure magnifique ayant été mannequin et styliste par le passé. Puis, il a décidé de passer sa seconde année de formation à Harvard, où il espère se fondre dans la foule. Ni trop, ni trop peu, histoire de pouvoir se consacrer à ses études sans pour autant être catégorisé en tant que "Looser". Luke adore peindre. C'est sa passion. Sinon, il passe beaucoup de temps à la bibliothèque. Ou au lit avec Aiden, sinon. Enfin, surtout, au lit avec Aiden. | Caractère J'ai ... changé, avec le temps. Évolué, Mûri ... Je ne suis plus le timide et innocent gamin que j'étais autrefois, je n'ai plus peur ni du sexe, ni de l'alcool, bien que je me tiens aussi loin que possible du tabac et des drogues. J'ai décidé d'arrêter d'être aussi renfermé ... De m'ouvrir un peu, en fait. Et ... j'aime aider les autres ? *léger rire* Je crois que j'aime aider les autres oui. Ça me fait du bien, ça me libère, de pouvoir me sentir utile. J'ai pris l'habitude de calmer mes tendances dramatiques, depuis que je suis avec Aiden ... En fait, j'essaie de ne montrer que le meilleur de moi même, d'une manière générale, étant assez épanoui et heureux sentimentalement pour me permettre de faire ça. Ceux me connaissant bien peuvent dire de moi que je suis têtu ... Borné, même. Mais moi, je trouve que ça me donne une certaine assurance, quelque part. Que ça me donne de la force, de l'énergie. Et je possède assez de courage pour ne pas me courber et reculer face à l'adversité. Finalement, je suis très perfectionniste, ce qui me rend assez stressé et nerveux lorsque les choses se passent mal. J'ai également des troubles du sommeil, allez chercher pourquoi () Et pourtant, je déborde toujours d'énergie et j'arbore toujours mon plus beau sourire dès le réveil. |
Everyone Has Their Own Story
- Spoiler : Prélude:
- Ce personnage ayant déjà vécu par le passé, ceci est une continuation de tout ce qu'il a vécu auparavant. Pour ceux étant intéressés par la lecture de son histoire originale, datant d'avril 2011, le reste de ce passage est pour vous.
Issu d'une riche famille de New York, Luke n'a jamais manqué de rien, sauf peut être de l'affection de la part de son père: celui-ci était un homme d'affaires et en conséquence était souvent contraint de voyager. Celà créa rapidement des tensions entre Luke et son père qui lui reprocchait de ses longues absences (bien qu'involontaires).
Cependant, le jour du sixième anniversaire de Luke, lorsque la fête était à son point culminant, Mme. Larson reçut un coup de fil innatendu de la part de la police, qui lui faisait part du décès irréfutable de son mari, son avion ayant eu un accident fatal. Dévasté par cette nouvelle, le jeune garçon culpabilisa de ses nombreuses reproches faites à son père et se renferma au monde autour de lui. Il a à jamais été cicatrisé par cette absence de figure paternelle dans sa vie, et peut être en est-ce la raison de sa récente révélation (à savoir sa récente attirance envers les autres hommes).
Habitant du Manhattan, Luke hérita d'une grande fortune de son père (enfin, sa mère hérita mais celà revint au même) et partit ainsi à la plus prestigieuse école primaire du quartier. Là-bas, il excella en toutes les matières, et eut sa part de problèmes nottament liés aux filles manipulatrices qui lui faisaient croire qu'elles avaient des sentiments à son égard mais ne cherchaient qu'à profiter de ses bénéfices intellectuels et matériels, ce qu'il finissait toujours par apercevoir et qui blessait énormément son égo.
Au collège et au lycée, Luke excellait partout (sauf en éducation physique) et rendait admiratif ses professeurs et jaloux ses camarades de classe, qui ne manquaient pas à le lui faire comprendre. Un rejeté des "cools", il passa la plupart de ses heures de solitude (donc la plupart de ses heures) à gribouiller, et c'est ainsi qu'il découvrit sa passion pour l'art. Il peignait, il dessinait, il sculptait et il faisait même des colorations à l'ordinateur; tout l'inspirait des tasses aux bancs aux assiettes aux lacets, il était tout simplement indomptable.
Ses capacités remarquables en toutes ces matières lui faisaient obstacle l'année du bac car il ne savait que chosir comme études après son diplôme. Chacun de ses professeurs le conseillait de suivre la matière qu'ils ensaignaient, ce qui le rendait plus confus que lucide. Cependant, un soir, son père lui apparut en rêve avec ces paroles mystérieuses à la bouche: "Suis ton coeur". Se réveillant en sueur dû à la surprise que ce rêve lui avait provoqué, un mot lui restait sur la langue: Art.
C'était donc décidé, Luke ferait des études d'art et se dirigea pour l'Université de Californie, Los Angeles. Simple lycéen, il songe cependant à rejoindre les Phi Epsilon, étant donné que son profil correspond plus où moins à celui des autres membres de cette fraternité.
Des rayons de soleil pénétraient d'entre les rideaux. Le jour se levait. Un soupir s'échappa de mes lèvres, tandis que je m'étirais légèrement, levant lentement mon torse de la position allongée dans laquelle je m'étais jusqu'alors trouvé afin de m'adosser contre la tête du lit. La douce mélodie des faisans n'ayant pas eu le rôle majeur à jouer en mon éveil, je me mis alors à tâtonner la table de chevet qui se trouvait à ma gauche. Brandissant alors victorieusement l'excuse qui me servait à la fois de téléphone portable et de réveil, je tentais tant bien que mal d'éteindre cette agaçante cacophonie. Lorsqu'on tenait vraiment à se réveiller, l'alarme la plus insupportable fonctionnait à merveille. Lorsque l'on avait, cependant, oublié de la désactiver ... Ce n'était pas tout à fait la même chose.
Ma droite passa alors dans mes cheveux, comme pour contenir la douleur présente dans mon crâne. Quelle heure était-il ? Combien de temps avais-je dormi ? Tant de questions se posaient à moi ... Et leurs réponses étaient si proches qu'il ne me suffisait que de tendre la main pour les saisir d'une ferme poignée. Ou plutôt, de rassembler le courage nécessaire pour jeter un coup d'oeil à l'écran.
13 heures. Génial. Nous avions, encore une fois, un peu trop cédé à la passion ravageuse qui nous consommait mutuellement. Vous savez, celle qui était directement générée par nos coeurs respectifs et qui se propageait, ensuite, tel un virus, à travers l'intégralité de nos corps avant d'éventuellement trouver le chemin vers les pores de nos peaux pour s'évaporer ; celle qui me dévorait, qui me caractérisait et qui me tenait encore en vie. Celle que j'avais pour lui, et que lui avait pour moi.
Il m'aimait.
De ça ... Je ne pouvais qu'en être sur. Comment pouvait-il ne pas m'aimer, après tout ça ? Je portais une main à mon coeur, les souvenirs revenant dans un afflux massif d'émotions à la fois joyeuses et douloureuses ... Pensées revenaient en vrac. Ressentis, émotions ... C'était un impressionnant cocktail de ce que j'avais vécu, depuis avril 2011. Un impressionnant et délicieux mélange d'évènements, de retournements de situations et de couleurs, concocté par les soins d'Aiden, que j'avais bu avidement et naïvement au fil des mois. Je me rappelle encore la première fois qu'on s'est vus. Un sourire traversa alors mon visage, le souvenir de son corps nu plus que présent dans mes pensées ... Ce n'était, d'ailleurs, pas qu'un souvenir, à présent. Je m'étais enfui, il m'avait suivi, et poursuivi ... Et avait trouvé mon numéro. Suite à quoi, le jeu du chat et de la souris auquel on avait joué ces quelques jours s'étaient transformé en deux nuits passionnées. Deux nuits ... Inoubliables.
Inoubliable. C'était bien le mot capable de décrire ces moments d'euphorie pure et totale. La jouissance ultime, le bonheur de l'amour ... La passion au plus haut point.
Et puis, il m'avait abandonné. Et je m'étais laissé aller. Angie ... Avait été une merveilleuse petite amie. Sans elle, je pense que je ne me serais jamais remis de mes émotions. Ça avait été difficile au départ ... Mais au moins, j'avais sombré du bon côté. Et pourtant, parfois, par moments ... L'alcool me semblait terriblement réconfortant. Mais j'avais préféré, plutôt me plonger dans le travail. Me jeter, m’immerger dans mon travail était devenu mon nouveau mode de vie ... Mon art ... Il était devenu sombre. Je n'étais plus maître de celui-ci : il me possédait, il me rongeait. Au lieu de belles montgolfières dans un ciel bleu ensoleillé, je voyais du noir partout ... Les cygnes ne souriaient pas, leurs ailes grisées tachetées de rouge ... Le soleil avait une couleur maladive, un orange bien brûlé, tel qu'un feu de braise en plein processus d'extinction, tandis que les arbres pleuraient des feuilles ensanglantées. Et puis ... Mes amis m'avaient tiré des oubliettes, comme une poupée de tissus abandonnée dans les donjons, puis dont une illumination soudaine nous avait rappelé l'existence. Et puis, j'avais fait de nouvelles rencontres ... Brianna, en sortant du cinéma, Chloé dans la basse cour de l'Université ... Je m'étais fait tout un monde, tout un univers. Celui-ci était forgé de mes propres mains et n'allait pas s'effondrer de sitôt.
Ma mère tomba alors grièvement malade. Et je me retrouvais alors contraint de retourner à son chevet, dans ma ville natale, à New York. Et une fois que les choses allaient mieux ? J'étais revenu plus fort et sûr de moi.
Et c'est ainsi que je devins chef d'une des confréries de l'université d'UCLA, plusieurs mois après qu'Aiden avait lui aussi reçu ce titre, avant sa mystérieuse disparition. Et puis ... Mon prince charmant était revenu me chercher.
Et je ne pouvais faire rien d'autre, si ce n'était être heureux de nos retrouvailles. Il semblait ... Différent, ce jour là. Plus mature, assagi, presque. C'était devenu un homme, au lieu du pré-adulte volage qu'il avait pu être par le passé ...
Il était revenu, pour moi. Angie était repartie, l'année scolaire étant sur le point de se terminer, et trop de mauvais souvenirs me hantant de mon année en Californie ... Mon dépucelage, l'intimidation des autres garçons face à l'étrange relation que je possédais alors avec Aiden ... Le fait que j'avais failli mourir, noyé, dans une tentative de sauver ce que je croyais être Aiden, mais qui, au final, n'était rien de plus qu'une bouée plantée en pleine mer ... Et puis, je ne pouvais plus supporter Caïn, malgré l'affection que je portais à Solal. Je n'avais plus d'attaches, plus de raisons qui me retenaient ici ... Et puis, Aiden tenait vraiment à partir. Nous avions donc pris la poudre d'escampette. Ensemble. Comme nous aurions toujours dû l'être : ensemble.
Je me mis alors à caresser son torse, son beau torse découvert, celui qui se levait et qui redescendait en synchronisation parfaite avec sa respiration paisible. Je laissais alors ma main se balader, de ses pectoraux à ses abdominaux, un sourire amoureux aux lèvres. Sa physionomie parfaite était assez pour faire rêver hommes et femmes, tous confondus et de tout ages ... Et c'était moi qu'il avait choisi. Je remontais alors doucement mes doigts de manière enjouée le long de son buste, avant de m'avancer vers lui et de lui déposer un doux baiser sur les lèvres.
- Aiden, réveille toi. lui dis-je alors.
J'essayais de ne pas abuser de surnoms affectueux afin de ne pas l'étouffer. J'avais peut être réussi à apprivoiser la bête féroce - en tous les sens du terme - qu'il était. Cela n'excluait cependant pas le fait que si je me mettais à l'émasculer en le traitant tel un animal domestique, il n'hésiterait pas à deux fois avant de m'abandonner là pour tenter sa chance dans un milieu plus libre.
Et je l'aimais trop pour risquer le perdre, à nouveau.
Je l'aimais trop, comprenez moi ...
En dessous, les voitures roulaient à toute allure, provoquant en faisant ainsi une symphonie propre à cette ville que je chérissais tant.
New York.
Ça faisait un mois que nous étions ici ... Un mois que j'avais insisté pour lui faire visiter ma ville afin de lui faire comprendre le 'charme' de celui-ci ... Et un mois où je n'avais pas vu grand chose de plus que la couleur blanche des draps de lin.
Mais je ne m'en plaignais pas, parce que j'étais heureux. Ici, avec lui, le temps n'existait plus ... Mère étant partie avec son nouveau mari dans des îles exotiques, l'appartement de standing qu'elle avait eu le goût de choisir pour demeure principale avant le décès de mon père - paix à son âme - m'était donc entièrement accessible ... Enfin, nous était.
Quelque chose dans la manière dont il me faisait l'amour me poussait à lui en redemander d'avantage. Il y avait un intéressant mélange de sincérité, de vulnérabilité, de complicité, de confiance, de passion et de bestialité qui rendait l'acte plus incroyable que je n'aurais jamais pu l'imaginer ... Je ne regrettais d'ailleurs pas le fait de n'avoir connu rien de bien plus que son toucher - n'ayant jamais eu le temps d'être suffisamment à l'aise avec Angie pour lui faire bénéficier de mon corps - tout compte tenu du fait que je ne me sentais plus respirer quand sa peau frôlait la mienne. Une fièvre inexplicable s'emparait alors de moi ... Et puis, je perdais tous mes moyens.
Je l'embrassais à nouveau, tentant de le tirer de la torpeur dans lequel je l'avais plongé après une nuit plus qu'agréable - nuit qui s'était ajouté à la liste de toutes celles qui l'avaient précédé.
- Réveille toi, Aiden. Réveille toi.
J'étais heureux, là, avec lui. Figé dans un moment de perfection ultime, où le mot 'problème' n'était qu'un vague et lointain souvenir dont je n'étais pas pressé de me rappeler ... En toute béatitude, j'appréhendais notre première année à Harvard. On était bien, que tous les deux ... Pourquoi fallait-il donc qu'on se mêle aux autres ?
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Feu Ardent. ↬ ÂGE - 16 Ans. ↬ PAYS/RÉGIONS - Hong Kong / Chine. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Par PRD :hanwiwi:. ↬ TES IMPRESSIONS - BANDANT, DANYKA ET MÉLANIE, JE VOUS FAIT L'AMOUR *_*. ET LUCIEN ET LOÏÏÏÏC, JE VOUS AIME. ET MARYJ, SARAJ, ELEJ, CAMILLE ET ROMANE AUSSI ! En fait j'aime tout le monde. ↬ CRÉDIT(S) - feuardent&tumblr_forzegif. ↬ AVATAR - Colton Haynes. ↬ SCÉNARIO OU PI? - Personnage Inventé. ↬ LE MOT DE LA FIN - Tout le monde finit par crever. |
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