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teodora walsh
Fiche d'identité
Nom walshPrénom(s) teodoraÂge 22 y.o.Date de naissance 2 juin 1994Lieu de naissance rome, italieStatut amoureux célibataireOrientation sexuelle hétérosexuelleClasse sociale aiséeÉtudes majeures architectureÉtudes mineures danseChoix de groupe #1 studentsSTUDENTS.
Je n'ai pas vraiment envie de me pencher sur la question. Et puis de toute façon mon choix ne regarde personne à part moi. Mêlez vous de vos oignons. Bon bon, d'accord. Disons simplement que j'ai déjà été dans une maison, confrérie, ou peu importe comment vous appelez ça, et que cela ne s'est pas très bien passé pour moi. Je sais que ce n'est qu'une mauvaise expérience et cela ne veut pas dire qu'elles sont toutes pareilles. Je n'ai pas de préjugé là dessus. Mais pour le moment, je n'ai pas vraiment envie d'en refaire partie. Peut-être l'année prochaine. Ou peut-être pas.
Je n'ai pas vraiment envie de me pencher sur la question. Et puis de toute façon mon choix ne regarde personne à part moi. Mêlez vous de vos oignons. Bon bon, d'accord. Disons simplement que j'ai déjà été dans une maison, confrérie, ou peu importe comment vous appelez ça, et que cela ne s'est pas très bien passé pour moi. Je sais que ce n'est qu'une mauvaise expérience et cela ne veut pas dire qu'elles sont toutes pareilles. Je n'ai pas de préjugé là dessus. Mais pour le moment, je n'ai pas vraiment envie d'en refaire partie. Peut-être l'année prochaine. Ou peut-être pas.
APRÈS LA BOMBE.
Je n'étais pas encore à Harvard en janvier 2013. Je ne suis arrivée qu'ici l'année suivante. Mais même si c'est loin d'être la seule raison de ma venue sur le campus, j'avoue que cela y a contribué. Mon frère y était. Je me souviens de ce jour-là. Tout le monde en parlait partout. A la radio, à la télé, dans la rue. Je me faisais un sang d'encre. Je n'arrivais pas à le joindre. Le pire, c'était l'attente. L'attente d'avoir de ces nouvelles. Et quand j'en ai enfin eu. Et bien ça a été pire. Il était à l'hôpital. Il avait été ensevelis. Quelques blessures, pas bien grave. Mais une commotion cérébrale, un peu plus grave. Beaucoup d’événements ont fait que j'ai voulu me rapprocher de lui à la rentrée suivante. Celle là en fait partie.
Je n'étais pas encore à Harvard en janvier 2013. Je ne suis arrivée qu'ici l'année suivante. Mais même si c'est loin d'être la seule raison de ma venue sur le campus, j'avoue que cela y a contribué. Mon frère y était. Je me souviens de ce jour-là. Tout le monde en parlait partout. A la radio, à la télé, dans la rue. Je me faisais un sang d'encre. Je n'arrivais pas à le joindre. Le pire, c'était l'attente. L'attente d'avoir de ces nouvelles. Et quand j'en ai enfin eu. Et bien ça a été pire. Il était à l'hôpital. Il avait été ensevelis. Quelques blessures, pas bien grave. Mais une commotion cérébrale, un peu plus grave. Beaucoup d’événements ont fait que j'ai voulu me rapprocher de lui à la rentrée suivante. Celle là en fait partie.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Franchement, je me suis sentie la fille la plus poisseuse du monde. D'accord, je sais, il faut relativiser. Les personnes qui se sont effectivement faites agressées à cette période n'ont pas dû se sentir très chanceuses non plus. Mais je venais tout juste de faire ma rentrée à Harvard, et je me retrouvais dans le même enfer que j'avais essayé de quitter. Enfin pas le même, mais ça me rappelait tout de même des souvenirs que je voulais mettre derrière moi. J'ai vraiment cru que je n'allais jamais en voir le bout. Je pensais vraiment que j'allais être une de ces filles à se faire violer. Ce n'a pas été le cas, mais je vivais dans la peur. Et quand je pensais enfin que c'était terminée, que j'allais pouvoir essayer de me reconstruire, il y a eu cette prise d'otage. Je n'étais pas sur le campus ce jour-là, mais mon frère y était. Et comme un an auparavant, je me suis rongée les ongles d'angoisse. A attendre de ces nouvelles. Et lui, il y était. Encore. Et il s'est encore retrouver à l'hôpital. Une balle dans la main. A une dizaine de centimètres près, je le perdais. Pour de bon. Je ne réalise toujours pas que ce jour-là, j'aurais pu perdre un membre de ma famille. Je ne sais pas si je réaliserais vraiment un jour.
Franchement, je me suis sentie la fille la plus poisseuse du monde. D'accord, je sais, il faut relativiser. Les personnes qui se sont effectivement faites agressées à cette période n'ont pas dû se sentir très chanceuses non plus. Mais je venais tout juste de faire ma rentrée à Harvard, et je me retrouvais dans le même enfer que j'avais essayé de quitter. Enfin pas le même, mais ça me rappelait tout de même des souvenirs que je voulais mettre derrière moi. J'ai vraiment cru que je n'allais jamais en voir le bout. Je pensais vraiment que j'allais être une de ces filles à se faire violer. Ce n'a pas été le cas, mais je vivais dans la peur. Et quand je pensais enfin que c'était terminée, que j'allais pouvoir essayer de me reconstruire, il y a eu cette prise d'otage. Je n'étais pas sur le campus ce jour-là, mais mon frère y était. Et comme un an auparavant, je me suis rongée les ongles d'angoisse. A attendre de ces nouvelles. Et lui, il y était. Encore. Et il s'est encore retrouver à l'hôpital. Une balle dans la main. A une dizaine de centimètres près, je le perdais. Pour de bon. Je ne réalise toujours pas que ce jour-là, j'aurais pu perdre un membre de ma famille. Je ne sais pas si je réaliserais vraiment un jour.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Je mange toujours des céréales pour enfants au petit déjeuner. Je sais que je perds toute crédibilité auprès de mes enfants le jour où j'en aurai. Mais d'ici là, j'ai le temps d'apprendre à me mettre au café et aux tartines. ► J'avais quatorze ans lors de mon premier vrai bisou. Avec la langue itout itout. C'était avec un gars, au collège, qui ne me plaisait même pas vraiment. Mais toutes mes copines l'avaient déjà fait alors bon. J'ai trouvé cela horrible. Pas du tout agréable et plein de bave. Avec le temps et l'expérience, je me suis certes améliorée, mais je me suis aussi rendu compte que c'était surtout lui qui ne savait pas embrasser. Mauvaise première expérience. ► En bonne italienne qui se respecte, je mange des pâtes au moins une fois pas jour. Si ce n'est deux quand je ne m'en fais pas midi et soir. Les pizzas c'est un peu moins mon truc, mais bon j'en mange quand même une fois par semaine. Heureusement, cela reste quand même assez équilibré car je ne suis pas de ce genre de filles qui mangent ce qu'elles veulent sans prendre un gramme. ► Quand j'étais petite, je pensais rester vierge jusqu'au mariage. C'est ce que ma grand-mère, très croyante, m'avait enseigné. Je respecte beaucoup ma grand-mère, mais il faut être réaliste, de nos jours, c'est quand même un peu plus compliqué. A l'époque on était marié à l'âge de seize ans. Seize ans, l'âge à laquelle j'ai perdu ma virginité. Désolée mamie. Mais elle ne le saura probablement jamais. En tous les cas, ce ne sera pas moi qui le lui dirais. ► Mon premier amoureux s’appelait matteo. Ses parents habitaient la maison a côté de la mienne et nous allions à l'école maternelle ensemble. Tous les jours après l'école, j'allais chez lui regarder les dessins animés et manger les cookies que nous préparait sa maman. Même que parfois, nous nous tenions la main quand on jouait dehors. Et puis un jour, il a déménagé. Ça m'a brisé le cœur. Jusqu'à ce que maman m'amène au carrousel. Après, c'est passé. ► Je suis de ce genre de personne qui se couchent très tard, et qui râlent quand le réveil sonne a six heures du matin. Il faut d'ailleurs trois réveils pour me sortir du lit. Honnêtement, j'essaie de me coucher tôt. J'essaie vraiment. Mais je trouve toujours quelque chose de mieux à faire. ► La conversation la plus gênante de ma vie, c'est le jour où j'ai eu mes règles. Oui, parce que je l'ai dit à ma mère, je ne savais pas quoi faire d'autre. Et elle a trouvé que c'était le moment idéal pour me parler des garçons et du sexe. Et après, c'est mon père qui en a rajouté une couche. Je ne veux plus jamais revivre cette conversation de ma vie. Elle m'a amené chez le médecin pour qu'elle me prescrive la pilule -et mentionnant en même temps qu'il fallait quand même que j'utilise un préservatif à chaque fois- et on en a plus jamais reparlé. Heureusement, merci.
Je mange toujours des céréales pour enfants au petit déjeuner. Je sais que je perds toute crédibilité auprès de mes enfants le jour où j'en aurai. Mais d'ici là, j'ai le temps d'apprendre à me mettre au café et aux tartines. ► J'avais quatorze ans lors de mon premier vrai bisou. Avec la langue itout itout. C'était avec un gars, au collège, qui ne me plaisait même pas vraiment. Mais toutes mes copines l'avaient déjà fait alors bon. J'ai trouvé cela horrible. Pas du tout agréable et plein de bave. Avec le temps et l'expérience, je me suis certes améliorée, mais je me suis aussi rendu compte que c'était surtout lui qui ne savait pas embrasser. Mauvaise première expérience. ► En bonne italienne qui se respecte, je mange des pâtes au moins une fois pas jour. Si ce n'est deux quand je ne m'en fais pas midi et soir. Les pizzas c'est un peu moins mon truc, mais bon j'en mange quand même une fois par semaine. Heureusement, cela reste quand même assez équilibré car je ne suis pas de ce genre de filles qui mangent ce qu'elles veulent sans prendre un gramme. ► Quand j'étais petite, je pensais rester vierge jusqu'au mariage. C'est ce que ma grand-mère, très croyante, m'avait enseigné. Je respecte beaucoup ma grand-mère, mais il faut être réaliste, de nos jours, c'est quand même un peu plus compliqué. A l'époque on était marié à l'âge de seize ans. Seize ans, l'âge à laquelle j'ai perdu ma virginité. Désolée mamie. Mais elle ne le saura probablement jamais. En tous les cas, ce ne sera pas moi qui le lui dirais. ► Mon premier amoureux s’appelait matteo. Ses parents habitaient la maison a côté de la mienne et nous allions à l'école maternelle ensemble. Tous les jours après l'école, j'allais chez lui regarder les dessins animés et manger les cookies que nous préparait sa maman. Même que parfois, nous nous tenions la main quand on jouait dehors. Et puis un jour, il a déménagé. Ça m'a brisé le cœur. Jusqu'à ce que maman m'amène au carrousel. Après, c'est passé. ► Je suis de ce genre de personne qui se couchent très tard, et qui râlent quand le réveil sonne a six heures du matin. Il faut d'ailleurs trois réveils pour me sortir du lit. Honnêtement, j'essaie de me coucher tôt. J'essaie vraiment. Mais je trouve toujours quelque chose de mieux à faire. ► La conversation la plus gênante de ma vie, c'est le jour où j'ai eu mes règles. Oui, parce que je l'ai dit à ma mère, je ne savais pas quoi faire d'autre. Et elle a trouvé que c'était le moment idéal pour me parler des garçons et du sexe. Et après, c'est mon père qui en a rajouté une couche. Je ne veux plus jamais revivre cette conversation de ma vie. Elle m'a amené chez le médecin pour qu'elle me prescrive la pilule -et mentionnant en même temps qu'il fallait quand même que j'utilise un préservatif à chaque fois- et on en a plus jamais reparlé. Heureusement, merci.
sans pseudo fixe
Bonjour tout le monde ! Sur internet je n'ai pas vraiment de pseudo et j'ai 22 ans ce mois-ci... Je suis vieille je sais . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart je crois... mais je zieute dessus depuis tellement longtemps que je ne sais plus trop :wrong: . J'ai eu un petit coup de cœur, même si je suis plutôt forum simple dans leur codage et pas trop chargé, j'ai décidé de dépasser mes peurs alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise marie avgeropoulos comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par blondie (bazzart). Je fais environ entre 500 et 1000 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par tobias s. walsh .
Mot de la fin ? ▲ j'ai mal au dooooooos .
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
Participer au Summer Camp, en tant que :
Summer Camper
Vacancier
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
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(Invité)