Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAchluophobie , turn on the light | Madisson
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Achluophobie , turn on the light | Madisson

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Soirée J-o. Une compétition sportive, ... hum pas sûr que les athlètes boivent beaucoup d'alcool et se goinfrent de chips comme je suis en train de le faire. L'envie de se lancer des défis pour se prouver qui est capable de le réaliser ou non, cela à un côté plutôt amusant, mais je ne préfère pas participer, préférant me contenter d'être présente, de boire et de m'amuser comme je l'entends. N pas voir mon frère à ce genre de soirée m'attriste quelque peu, surtout lorsque l'on sait que ce sont les Winthrop mais également les Éliott qui l'organisent. Un léger soupir s'échappe de mes lèvres, tandis que je me détourne des quelques personnes me tenant le crachoir depuis un moment. Je n'ai rien contre eux, mais je me lasse très vite d'un sujet de conversation, et comme ils n'en ont pas beaucoup à par l'argent… Je m'excuse auprès d'eux, trouvant l'excuse que mon verre est vide pour m'éloigner en direction du buffet des boissons . Un sourire apparaît sur mes lèvres tandis que je vois une jeune fille qui manque de tomber à cause de ses talons aiguilles. Il faut savoir assortir ses chaussures au type d'endroit que l'on fréquente. Je suis bien heureuse d'avoir enfilé une paire de basket . Je pose mon verre bide sur la table en bois, constatant rapidement que les bières ont disparu, ainsi que quelques bouteilles d'alcool traînant au sol, déjà vide. Je les ramasse et les jette dans la poubelle à verre, cherchant du regard les mêmes bouteilles pour les remplacer. Echec ! Une main vient se passer dans mes cheveux, tandis que je tourne le visage à la recherche d'un visage connu . Finalement mon regard tombe sur Madisson vers qui je me dirige à grande enjambée.« Hey ma belle, tu vas bien ? " demandai-je en voyant sa mine quelque peu déconfite. « ça te dit de venir avec moi à la Cabot House chercher quelques bouteilles ? » Je sais qu'il reste encore quelques bouteilles de notre propre soirée, autant qu'elle soit consommée ici !
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Soirée des J.-O. Franchement, je me serais bien passée d'une telle soirée. Ma présence n'était du qu'à celles d'Athéna, Emilia et Sanaa. Mes amies avaient été un peu loin et j'avais eu le malheur de tomber sur ce con de Tate. Il pensait vraiment qu'on pourrait être amis un jour ? Haha. Même s'il se mariait avec Athéna, il ne serait rien d'autres qu'une moindre m*erde à mes yeux. Je ne pourrais probablement jamais le supporter et ce n'était que bien fait pour lui. Si ma meilleure amie retournait avec lui.. Et bien, j'étais mal placée pour lui faire ma morale, étant bien retournée vers Austin alors que.. Bon bref. De toute façon, j'appréciais autant son ex qu'elle le mien. Point barre. Agacée, d'autant plus que l'un de mes proches avait quitté Harvard sans me prévenir, j'avais pris soin de partir de cette soirée. Ça ne changerait rien pour personne de toute manière. Partant tranquillement de mon côté, je soupirais grandement avant de sursauter en voyant Khalilah se poster devant moi. Un fin sourire s'étalait sur mes lèvres. « Khali ! Ça va bien et toi ? » répondis-je en douceur. Bien entendu que je souhaitais partir, mais.. Je sentais qu'elle avait quelque chose à me demander donc je ne voulais pas la couper dans son élan. « Bien sûr, si je peux t'aider » lui dis-je avec un sourire plus franc. J'espérais juste ne pas recroiser Monsieur J'me la Pète. Sinon, les bouteilles lui finiraient dans la gueule. Quitte à payer pour la casse, je ne voulais pas qu'il s'approche ne serais-ce qu'encore une fois de moi. Prenant la direction de la Maison Cabot avec mon amie, je savais qu'il n'y avait plus rien dans la cuisine ou le salon. « As-tu peur d'aller à la cave ? » la taquinais-je avant de lâcher un petit rire.

@Khalilah S. Heruben Désolée du retard :TT:
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Une soirée sans alcool, reste malgré tous une soirée, mais beaucoup moins divertissant selon moi. Quelques gouttes de ce breuvage magique et les langues se délient sans aucune difficulté, un peu comme la potion magique des Gaulois… quelques gouttes et leurs forces sont décuplées. Et puis, étant donné que je ne fais pas la compétition sportive, sans alcool je n'ai rien à faire. Je n'ai pas encore eu l'occasion de croiser des amis à moi, ni même d'hommes susceptibles de me plaire un auminimum , alors c'est tout bonnement vers Madison que je me dirige, espérant qu'elle pourra m'aider. Mais lorsque je m'approche d'elle, je remarque de suite que quelque chose cloche, son sourire n'est pas aussi naturel que d’habitude, un air quelque peu renfrogné s'est posé sur ses fins traits, me faisant penser que quelque chose la dérange l'embête. Et malgré sa réponse, je vois bien qu'elle n'est pas franche avec moi . « ça va... mais je dois avoir un don pour savoir lorsque l'on me ment. » dis-je en lui adressant un clin d'oeil. Je ne veux pas qu'elle se sente juger ou quoi, mais si elle veut me parler de ce qui la tracasse, je suis toujours une oreille attentive pour mes sœurs de la Cabot House. Il faut dire que mes propres sœurs me manquent, et que les cabots ont réussi à remplir le vide que mes deux ont rempli en moi, en restant en Égypte. J'adresse d'ailleurs un sourire de remerciement à Madison lorsqu’elle accepte de m'accompagner jusqu'à la Cabot House. Si j'ai besoin d'aide avec les bouteilles, c'est également parce que je ne connais pas encore cet endroit comme ma poche, n'étant présente dans la confrérie que depuis quelques mois et n'y vivant pas non plus. Je la laisse mener le chemin jusqu'à la maison, grimaçant légèrement lorsqu'elle me parle de Cave. « Hum non… si on laisse la porte ouverte et qu'il y a de la lumière à l'intérieur ça devrait aller. » dis-je en haussant légèrement les épaules. C'est le noir qui me fait peur mais je sais que c'est une peur plus souvent rependue chez les enfants alors si je peux évier de la crier sur tout les toits, je le fais. Je la laisse me conduire jusqu'à la fameuse porte de la cave, tournant la clé dans la serrure avant de pousser la porte. «  il y a pas d'interrupteur pour la lumière? » Bon sang, il doit bien y avoir une ampoule ou quelque chose du genre là-dedans
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Mieux vaut une amère vérité qu'un doux mensonge. Malheureusement, je n'arrivais pas à m'y résoudre alors que Khalilah vint à ma rencontre. Je n'avais pas envie de me plaindre de l'horrible soirée que j'avais du passer. Ce n'était pas important, de toute façon, vu que je comptais partir au plus vite d'ici. Néanmoins, je ne pus me résoudre à refuser de lui donner un petit coup de main. Entre Cabots, c'était bien normal de s'aider et je la voyais mal revenir seule avec assez de bouteilles pour tout le monde. De plus, cela me permettait de passer un petit moment avec une personne qui ne sache pas toute ma vie de A à Z et parfois.. cela faisait du bien de ne pas entendre la même chose de la part de ses proches. Souriant avec un peu de mal, les paroles de la jeune femme me permirent d'arrêter de faire semblant et mon faux sourire tomba directement. « Excuse-moi » lui dis-je doucement. « Simplement que cette fête me sort par les trous de nez, donc j'ai préféré partir très vite » soufflais-je en calant une mèche de mes cheveux derrière mon oreille. « Enfin, je partirai après t'avoir donné un coup de main, je ne reviendrais pas sur ma parole » lui assurais-je avec un sourire plus franc. Partant ensemble vers la maison que je connaissais si bien, je voyais la mine de mon amie se ternir en parlant de cave. En même temps, ce n'était sûrement pas l'endroit préféré de la bonne partie de la population mondiale. Qui n'a jamais eu peur de se retrouver enfermer dans une cave obscure ? Pas moi ! On pense toujours – et à tort – que cela n'arrive qu'aux autres. « Ce n'est pas moi qui fermerais la porte pour t'y enfermer dans lumière, c'est certain » lui promis-je avec un petit sourire avant de descendre en sa compagnie. La laissant ouvrir la porte, je me souvenais qu'il y avait quelque chose à faire absolument avant d'entrer dans la pièce mais.. Cet élément m'échappait totalement. Si c'était important, cela allait me revenir très vite, je n'en doutais pas ! Alors que Khalilah ouvrait la porte, je la suivais sans trop me poser de questions. « Bien sûr qu'il y a de la lumière mais- » Et j'entendis un grand « vlan ». D'un coup, je me rappelais que trop bien ce qu'il ne fallait jamais oublier : bloquer la porte pour éviter de se faire enfermer dedans. « Khali ? Tu me promets de ne pas paniquer si je te dis que l'on est enfermé et que le bouton de la lumière est à l'extérieur de la pièce ? » demandais-je prudemment. Si elle ne s'affolait pas, je crois bien qu'elle aurait quand même toutes les raisons du monde de vouloir me tuer. Parce que nous ne pouvions pas sortir, nous étions dans le noir et.. Après avoir sorti mon téléphone, je remarquais qu'évidemment, il n'y avait pas de réseau téléphonique. Ma soirée était vraiment totalement déprimante..

@Khalilah S. Heruben Désolée encore du retard :TT: je suis à deux à l'heure pendant ces vacances.. :doh:
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Il est inutile d'être devin pour savoir que la jeune femme n'a pas l'air dans son assiette. Je ne suis pas une psychologue, une fine experte concernant l'être humain, mais je suis moi-même une femme... .et lorsque quelque chose ne va pas, on fait comme si de rien n'était. On ne veut embêter personne avec nos soucis, préférant tout garder en nous... jusqu'à ce que cela pète, que nous ne sommes plus capables d'ingurgiter une seule nouvelle, bonne ou mauvaise. Je me permets donc de lui dire, qu'il est inutile de me mentir, je ne la jugerai pas car elle est de mauvaise humeur, ça arrive à tout le monde après tout. Je laisse un léger sourire s'installer sur mes lèvres tandis que je hausse doucement les épaules. « Ce n'est rien je comprends et... » dis-je prête à ajouter que je peux trouver une autre personne pour m'accompagner chercher de quoi boire, si elle ne veut pas remettre les pieds ici, mais la jeune femme me prend de court. Je lui adresse donc un sourire de remercier. « Merci c'est gentil ! » lui dis-je avant de lui emboîter le pas, sortant de ce stade où les talons haut ne sont vraiment pas de rigueur, pensai-je en regardant quelques filles essayant d'avancer dans l'herbe et la terre avec ce genre de chaussure. Par moments il faut savoir troquer la beauté pour de bonnes baskets si on ne veut pas finir avec un plâtre à la cheville .
La Cabot House nous apparaît rapidement devant les yeux. J'ai encore beaucoup de mal à me faire à cet endroit, à connaître les pièces etc. ; continuant de vivre dans l'appartement de mon grand frère, bien assez grand déjà pour nous deux. Mes parents n'ont pas hésité et n'ont pas rechigné à l'idée de pays un appartement d'une centaine de m² pour une seule personne… Alors pourquoi n'en profiterai-je pas. ? Je grimace lorsqu'elle me parle de cave, ces endroits sinistrent, humide, où ce cache parfois de nombreuses bêtes, comme des souris ou rats… et où aucune fenêtre n'existe, laissant la pièce succomber à l'obscurité la plus totale s'il n'y a pas de lumière. Cette obscurité qui me fait suffoquer dès qu'elle s'empare de moi, qui m'opprime et m’oppresse . Je suis loin d'être rassuré lorsque je passe devant elle, voyant les marches raides de la cave. Je m'arrête quelques instants, inspirant un coup avant de commencer à descendre, doucement. Je laisse ma main glisser contre le mur plat, comme un repère, comme une chose solide à laquelle me rattacher . Je me concentre sur les marches, sur la lumière qui perce encore par la porte ouverte… jusqu'à ce que cette dernière disparaît . Mon visage se tourne vers cette porte à présent close, vers la silhouette de Madi que je réussis à distinguer au fur et à mesure que mes yeux s'habituent à l'obscurité. « Quoi ...» m'entends-je dire tandis que ma respiration commence à être saccadé, étouffe, littéralement ; je n'ose pas bougé de peur de tomber dans les escaliers mais… il faut ouvrir, ouvrir cette porte. J'essaie de bouger ma main sur le mur, pour trouver un autre appuie, mais je tremble, je n'ose vraiment plus . « Je...j'ari ...ve … plus à respirer.. » réussi-je à articuler… Une crise d'angoisse me prend, comme lorsque j'étais petite, que je me retrouvait seule dans le noir. Il faut que je m'assoie… que je réussisse à plier mes jambes pour m'installer sur cette marche.

Il y a pas de soucis ne t'en fait pas Achluophobie , turn on the light | Madisson  3850463188
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Vouloir partir d'ici était une évidence même. Je ne m'amusais vraiment pas et c'était totalement stupide de rester alors que je ne me sentais pas à ma place. Néanmoins, de nature volontaire, je ne comptais pas laisser une amie Cabot comme cela. Je voyais qu'elle allait me dire que ce n'était pas la peine, qu'elle trouverait quelqu'un d'autre mais une parole est une parole. De toute façon, cela me permettrait de lui montrer où se trouve les bouteilles qu'elle cherche pour la prochaine soirée. Autant initier tout le monde aux couloirs et pièces « secrètes » de la Cabot House. Prenant donc le chemin ensemble de notre maison de cœur, je ne savais pas trop bien de quoi parler et je fus rassurée d'arriver si vite à la maison. Marchant vers le sous-sol, je tentais de la rassurer pour ne pas qu'elle croit que j'allais lui jouer un mauvais tour. J'aurais horreur que l'on m'enferme dans le noir à quelque part, donc ce n'était pas moi qui allais m'amuser à lui faire à elle. Ce serait tellement idiot ! Parlant sans trop m'arrêter, je fus bien obligée en entendant la porte claquée. Bordel pensais-je en essayant de ne pas paniquer. J'avais totalement oubliée que celle-ci se fermait si on ne la bloquait pas et donc.. ça voulait effectivement dire que nous étions enfermées, dans le noir. La prévenant que la porte s'était fermée et que nous étions bloquée, j'entendis à son « quoi » que ça allait être très compliqué pour elle. Doucement, j'approchais vers sa petite voix. « Khali, ça va ? Je ne t'entends plus.. » murmurais-je avant d'entendre un souffle très anxieux et sa voix me répondre. Super ! Rapidement, je cherchais mon téléphone dans ma poche pour mettre la lampe torche afin de la trouver. Essayant de l'éblouir le moins possible, je venais près d'elle, posant mon portable au sol. « ça va aller, calme toi, je suis là » tentais-je de la calmer en prenant ses mains. J'étais aussi morte de trouille qu'elle, mais.. Ce n'était pas comme si ça irait de mieux en mieux. Le temps que quelqu'un nous cherche, le temps allait être très long. Ayant un petit espoir, je vérifiais rapidement mon téléphone mais.. Pas de signal réseau. Foutu cave !


HJ, je suis nulle Achluophobie , turn on the light | Madisson  927261665 @Khalilah S. Heruben
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Le noir m'aspire lentement, dans une spirale infernale, où je ne distingue plus une seule parcelle de mon corps, me donnant l'impression de flotter dans le vide, de ne plus avoir de corps tout simplement. Je respire avec difficulté , essayant de me rappeler les techniques apprises lorsqu'une crise angoisse me prend. Imaginer la lumière, tout simplement, imaginer la pièce éblouit par la lumière filtrant à travers l'ampoule accrochée au plafond, ou l'imaginer se remplir de lumière provenant des rayons du soleil chauffant sur ma peau. Mais ne connaissant pas la cave cet exercice est plus compliqué ; je ne sais pas quoi imaginer, s'il y a des meubles des toiles d'araignée dans les coins . J'essaie de mettre en place mon imagination mais la peur est trop présente. J'essaie de souffler, d'expirer l'air que j'ai dans les poumons, essayant de me retenir au mur pour m laisser doucement glisser contre ce dernier, posant mes fesses sur la marche, réussissant finalement à sortir quelques mots à Madi « je …peur... noir. » dis-je en reprenant en mon souffle entre chaque mot ; ces derniers étant une véritable torture pour moi, j'essaie de focaliser mon regard sur l'endroit d'où vient la voix de Madisson . Finalement c'est son téléphone qui me permet de distinguer son visage dans cette obscurité, je lève les yeux vers elle, certainement blanche comme il m'est possible de l'être. Je hoche légèrement la tête, lentement tandis qu'elle s'installe à mes côtés, sur la marche du dessus. La laissant prendre mes mains, glacé en hochant de nouveau la tête . Je ferme les yeux quelques secondes, mes yeux s'étant habitués à la lumière passant par le téléphone portable. J'ouvre de nouveau les yeux, posant mon regard clair sur Madisson, ayant repris une respiration normale, mais restant tout de même flipper à un point inimaginable. « quelqu'un sait que … tu es là ? » demandai-je en levant légèrement les yeux vers le plafond. Être enfermé est quelque chose d'horrible, dans le noir c'est pire… mais en plus sous terre… Je déglutis avec difficulté, essayant de positiver. Madi connaît plein de monde à Harvard , elle a certainement dû prévenir quelqu'un.

C'est rien Achluophobie , turn on the light | Madisson  3850463188
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Être enfermée dans le noir ne me plaisait pas, mais pas du tout. Si encore nous avions du réseau pour que je puisse appeler des amies à l'aide ou que nous avions un moyen secret de sortir de la pièce, mais.. Nous n'avions rien de tout cela, pour mon plus grand malheur. De plus, ma belle Khali avait l'air de ne pas être du tout à l'aise dans cette situation et l'entendre paniquer ne me rassurait pas. Utilisant l'écran de mon téléphone en guise de lampe de poche, je venais rapidement vers elle pour qu'elle se sente moins seule. Je ne voulais pas avoir une mort sur la conscience et je ne la laisserais pas seule dans notre petit souci. Je comprenais les peurs du noir, ayant eu le cas plus jeune et n'étant pas encore tout à fait rétabli de cette phobie. Pourtant, en voyant sa détresse, je laissais de côté ma propre peur pour la rassurer. De toute façon.. Nous allions sortir de là. Prenant ses mains en douceur, je ne cessais de sourire pour qu'elle ne succombe pas à l'angoisse. Caressant doucement ses doigts, je la sentais s'apaiser légèrement. Sa voix revenait en douceur. « Athéna et Emilia nous ont vu partir donc elles ne vont pas tarder en voyant que l'on ne revient pas » Enfin, je l'espérais. J'avais quitté la soirée donc je n'étais pas certaine qu'elles nous aient vu mais.. J'avais espoir et je me doutais bien qu'une personne était au courant que Khali avait décidé d'aller chercher des boissons. Je n'avais pas envie de nous faire de fausses promesses alors je regardais encore mon téléphone de temps en temps en espérant que le réseau revienne pour contacter quelqu'un. « Est-ce que e peux te laisser ? J'aimerai faire le tour de la pièce pour voir si je peux chopper une barre de réseau » Parce que si personne ne nous avait vu partir ou aurait oublié que nous devions revenir, je préférais avoir un plan de secours pour qu'on vienne nous sortir de là. Je priais juste pour que mes meilleures amie ne soient pas trop préoccuper à je-ne-sais-quoi et qu'elles aient leur téléphone portable à porter de main. Sinon.. Nous allions passer notre nuit dans cette cave et je n'en avais pas vraiment envie du tout..


@Khalilah S. Heruben
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