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(flashback) « feelin’ lit feelin’ light, 2 am summer night. » ► indiana

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Reagan & Indiana



Rentrant dans ma chambre, et jetant mes affaires dans le coin de la pièce, je remarquais directement l’absence de mes chères colocataires. Ironique, vous pensez. J’avoue que par moment, me sentir dans mon espace privé me fait du bien. Bien sûr, se serait encore mieux si cet espace s’élargissait mais, vu la popularité de la confrérie, il est obligatoire de partager. Donc, je me plis à la règle. Même si j'étais le genre de personne à détester la solitude, il m'arrivait en fait d'aimer avoir mon propre oxygène, à moi toute seule. La tête dans les nuages à cause du joint que je devais de fumer dans les bois, j’avançais dans l’obscurité de la pièce sans prendre la peine d'allumer les lumières. La chambre était seulement éclairé par les réverbères de l'extérieur donc je voyais plus ou moins où est-ce que je mettais les pieds. En sentant la fatigue m'envahir petit à petit, je m'étalais sur le bord du premier lit qui s'offrait à ma droite. Je fixais le plafond, sans réel but. Mon bras droit pendait du matelas, frôlant presque le sol : j'étais une masse. Pourtant, je ne bougeais pas. Je laissai la brise qui s'infiltrait par l'encablure de la fenêtre effleurer doucement ma peau par vagues irrégulières, appréciant les frissons que cela provoquait. Je restai ainsi pendant quelques minutes, les yeux vides. D'un regard extérieur, on pouvait penser que j'étais en train de rendre l'âme. Cette pensée me fit sourire : j'essayai de m'imaginer et sentis mes joues s'empourprer. Je respirai un bon coup, et me relevai d'un bond en fixant l'horloge accroché au dessus de la porte d'entrée ; 2:02. Malgré ma fatigue, je n'avais aucune envie de dormir. Je cherchais du regard quelque chose qui pourrait m'occuper. Je dodelinai de la tête, tentant de me remémorer là où j'avais laissé mon joint d'hier soir. Puis, alors que j'étais sur le point d'abandonner mes recherches, je sursautai en sentant une présence dans le lit du quel je m'étais emparée dés mon entrée. Instinctivement, je reculais d'un bon et me pris mon sac dans les pieds avant d’atterrir sur mes fesses au sol. En affichant une légère grimace au mal que je venais de sentir, je plissais légèrement des yeux en essayant de décrypter le visage de la fille à laquelle appartenait apparement le lit lequel j'avais accidentellement squatté. «.. Indiana ? » Je poussai un long soupir, et me surpris à laisser échapper un éclat de rire. Ma colocataires allait me croire folle. « Désolé, je ne voulais pas te réveiller... Ou pas » ajoutai-je accompagné d'un sourire taquineur au coin des lèvres. En reportant ensuite mon regard sur mon sac, j'aperçu le joint que je cherchais. Je m'emparais alors du celui-ci et levais mon regard vers la belle brune sur le lit. « Tu me fais de la compagnie ? Sache qu'aucune réponse négative n'est permise. » J'affichais alors un de mes plus beau sourire en soutenant son regard. J'espérais alors qu'elle cède facilement à ma proposition bien que je ne la connaissais pas tellement.
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REAGAN & INDIANA

Summer Camp, j’étais encore essoufflée des trois dernières soirées que j’avais vécues. Je n’avais pas l’habitude de sortir autant. Peut-être que ce n’était plus de mon âge. C’est ça, au fond, je devais être la réincarnation d’une femme de quatre-vingt-quinze ans, j’y avais eu mon lot de dépravation dans une vie passée et maintenant je n’avais besoin que d’une seule chose : le repos. Je regardais sur ma table de nuit les trois livres qui m’attendaient sagement et j’entendais leurs voix dans ma tête « Indiana, sérieux, tu ne sais pas t’amuser ». Tant pis. Ma librairie me manquait, les cours me manquaient. Oui. J’étais loin de mon élément ici, et je étais probablement l’une des rares à préférer m’enfermer dans une bibliothèque que dans une boite de nuit. Alors, je décidais de jeter l’éponge pour ce soir, j’avais suffisamment donné pour le moment. Mon unique programme : dormir, et pour demain, on verra bien. De toute façon, la fête continuerait avec ou sans moi. Alors autant profiter de l’absence de mes voisines de chambre pour me reposer quelques heures loin du bruit. Je m’allongeais et rattrapée par le sommeil en retard, je m’assoupi en quelques secondes.
La nuit s’annonçait calme, ou presque. Je n’imaginais pas qu’une heure plus tard, je serais interrompue par une mystérieuse personne. Dans mon lit. Je me réveillais en sursaut au contact étranger et complètement inattendu. J’allumais la lampe de chevet pour apercevoir la silhouette de l’inconnu et je tombais nez à nez avec Reagan. Enfin, c’est plutôt Reagan qui tombait. En deux en trois mouvements, elle trébucha sur son sac et perde l’équilibre. Elle s’écroula au sol, et moi je n’ai pu m’empêcher de rigoler, témoin de la scène. La situation avait quelque chose de comique, et de carrément étrange. Je me repris avant de l’offenser par mon rire et dans un raclement de gorge, je retrouvais tout mon sérieux. « Ça va ? Rien d’cassé ? » Elle rit à son tour, alors j’en conclue que tout allait bien de son côté. Rassurée, je vérifiais l’heure sur l’écran de mon portable. Il était à peine deux heures du matin et on me réveillait déjà. Ce doit être le karma : si tu ne vas à la fête, tu ne dormiras pas non plus. Je reportais mon attention sur la jeune femme et m’y attardais quelques secondes de trop. Goddamn. Il était indéniable que cette fille avait un sourire des plus charmants. N’importe qui aurait pu me réveiller comme elle l’avait fait, aurait eu le droit à une effroyable colère. Mais étrangement, j’acceptais les excuses de Reagan. Peut-être parce qu’elle savait les agrémenter de ses visages enjôleurs. Alors quand elle me proposait un peu de compagnie, je ne pouvais qu’accepter. De toute façon, je n’arriverai pas à me rendormir tout de suite. Je lui répondais sur un ton moqueur « Si je n’ai pas le choix. » puis dégageais les quelques vêtements entassés au pied du lit pour lui laisser la place de s’installer. En lui présentant l’espace libre d’un mouvement de la main, j’annonçais toujours ironiquement « Prends donc place, fais comme chez toi ! »
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Reagan & Indiana



Les yeux rougis par le manque de sommeil et illuminés par le scintillement de peu de sources de lumières régnant dans la pièce, je continuais à scruter les traits parfait de son visage dans l'obscurité qui me rendait la tache assez difficile. « Tu es juste incapable de me refuser quoi que ce soit, avoue le. » Ne voulant pas me retarder sur son physique agréable par peur de paraître un peu trop louche sur les bords, je me relevais d'un bon et prenais place sur le lit. Je m’approchais alors d'elle jusqu'à ce que je sente son souffle contre ma peau et en deux temps trois mouvements, je m’emparais alors de son oreiller sans aucune gêne et m'installais à sa perpendiculaire en le calant derrière ma tête « Merci, tu es une fille très généreuse. » ajoutai-je ironiquement en affichant un sourire amusé. Voilà que je l'avais réveillé en plein milieu de la nuit et en plus de cela, je squattais son lit et lui volait son oreiller. Je pense que n'importe qui aurait déjà probablement pété une case sur moi en me lançant quelques petites grossièreté à la gueule. Mais apparemment, j'étais tombée sur la bonne personne. Ouais j'avoue, j'étais assez chanceuse en fait. J'avais comme le don de tomber sur des personne qui étaient aptes à supporter mes conneries sans cesse. Allongée sur le dos, le regard fixé au plafond je me perdais dans mes pensées. Dans le silence, je commençais à balancer les jambes dans le vide hors du lit. Le joint encore non-allumé entre mes doigts, j'avais même la flemme de m’emparer de mon briquet qui se trouvait dans la poche de mon jeans. En plus de cela, je réfléchissait à tous les mouvements que je devait effectuer afin d'atteindre la fenêtre qui se trouvait derrière Indiana alors que j'étais si bien installée. Bordel, pourquoi la vie est-elle si difficile dans certaines situations. Dans un soupir de désespoir, j'essayais de retrouver le courage puisque l'envie se faisait de plus en plus pressante. « Bon vieille, comment se fait-il que tu es déjà dans ton lit à cette heure-ci ? » lui demandai-je sur un ton moqueur. Bien que notre différence d'age n'était pas énorme, je m'en servais pour lui lancer quelques pics à deux francs. On ne traînait jamais ensemble et le peu de fois où on se croisait dans des soirées, on ne s'échangeait que quelques mots sans aucune importance. Je ne connaissais rien d'elle si ce n'est que son age, son nom, sa ville d'origine, le fait qu'elle travaille dans une librairie, les gens avec lesquelles elle traîne et sa branche d'étude. Ah oui j'allais oublier ; maintenant, j'avais également la preuve que c'était quelqu'un de plutôt agréable. On ne fréquentait pas le même cercle d'amis mais à chaque dois que je la croisais, son physique me fascinait. Holy sh*t. Cette jeune femme était dotée d'une très grande beauté et d'un très grand charisme que je perdais presque mes mots.
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REAGAN & INDIANA

Je souriais face à l’ironie de sa réponse et la laissais s’installer. Non, peut-être que j’étais effectivement incapable de lui refuser quoi que ce soit. Ou du moins, incapable tant qu’elle aurait un visage aussi charmant. Elle avait cette beauté particulière, celle qu’on ne croise pas à tous les coins de rue et qui pourtant, attirait le regard comme sur un objet convoité. Perdue quelques instant dans mes pensées, je me retrouvais à quelques centimètres d’elle. Mélange de cigarette et d’un parfum enivrant, qui reste imprégné dans votre mémoire après s’être évaporé. Et puis, la seconde suivante, elle était calée à l’autre bout du lit, mon oreiller sous sa tête. Et la seule chose qui me préoccupait, c’était cette odeur, qui allait probablement restée ancrée sur le textile, et me rappeler à chaque instant, son sourire délicieux. Damn. Je ne sais pas ce que cette fille m’a fait. A mon tour, je callais mon dos contre le mur adjacent. Dans cette position, une agréable vue sur la jeune fille s’offrait à moi. Utilisant le même ton moqueur qu’elle, je lui répondais « Tu sais, les rhumatismes. Une soupe et à vingt heures : au lit. ». Je haussais les épaules face à la débilité de ma réponse avant de reprendre plus sérieusement. « Non, juste un violent coup de barre. Mais c’est bon, là, j’ai l’énergie de cinq soleil en combustion. Faudrait pas que tu t’endormes maintenant que tu as réveillé la bête !» Je lui lançais un clin d’œil, sans vraiment m’en rendre compte et avant même que je puisse me demander ce qu’il m’était passé par la tête, je tentais d’attirer son attention ailleurs. « Ça te tente une bière ? » Merveilleuse idée que de boire un coup après sa sieste. « Enfin, je sais que les filles ont cachés quelques alcools sous leurs lits. Une ou deux bouteilles, ça ne leur manquera pas. Et puis, ça sera notre petit secret. » Finalement, rester dans ma chambre quand elles avaient décidé de ranger leurs affaires n’avait pas été une mauvaise idée. Essayant de me convaincre que ce n’était qu’un emprunt, je me souvenais de la première journée, où j’avais refusé leur proposition d’une bière. Au final, ça n’était qu’une utilisation à retard. Et de toute façon, elles ne rentreraient pas avant plusieurs heures, et dans leur état, elles ne se rendraient sans doute pas compte de l’absence des deux bouteilles. Finalement décidée, je me faufilais hors du lit en enjambant rapidement Reagan. Sous le lit d’en face, de soulevait la couverture qui trainait par terre avant d’attirer vers moi les dites-bouteilles. Je n’avais même pas attendu sa réponse que déjà je lui tendais son dû, dans une spontanéité soudaine avant de l’enjamber à nouveau pour retrouver ma place, encore chaude, contre le mur.

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Reagan & Indiana


Le nuit s'étalait, elle prenait place, je la regardais s'étendre, s'élargir alors que je restais éteinte sur le lit, jambes dans le vide. Je l’observais sans mots, un sourire affiché suite à ses réponses. Des questions qui fourmillaient dans ma tête et des sensations se contredisaient toutes en même temps. C'était nouveau, trop nouveau, ça me déstabilisais tellement que je la dévorais presque du regard. Le noir, c'est bien, l'obscurité c'est bien. La nuit, c'est tellement mieux que le jour. La lune est plus pure que le soleil. C'est mieux pour penser, rêver. Quand il fait nuit, tout est plus intense, plus "vrai". J'avais l'illusion réelle d'être un pion léger, y'a pas d'importance, pas de pression, pas de responsabilité. L'alcool que je venais d’engloutir il y a à peine une heure, commençait à me jouer des mauvais tours. J'avais envie de rire, danser, fumer, m'envoyer en l'air, boire et encore boire. La fatigue s’effaçait peu à peu en présence d'Indiana bien que son lit confortable ne me demandait qu'à ma faufiler sous la fine couette et d'y passer la nuit. A cette pensée, je ne pouvais nier la tonne de réflexions perverses qui se creusaient petit à petit dans ma tête. Le joint toujours en main, je fixais la belle brune. Au loin, quelque part dehors, j'entendais un groupe éclater de rire. Et j'espère au fond de moi, que personne ne vienne "s'incruster" dans la chambre, tout sauf ca. Malgré la saison, l'air frais qui caressait mes jambes nus me fit frissonner. Je n'étais vêtue que d'un simple short, un débardeur et une chemise en jeans bien fine. Une vague de chaleur commençait à m'envahir. J’ignorais si c'était du réellement à la chaleur qui régnait dans la pièce ou pour toute une autre raison. J’ôtais alors ma chemise et la laissait tomber au sol. Je ne eus pas le temps de répliquer à sa proposition, que je la voyais m’enjamber et se diriger vers les lits voisins. Je la suivis du regard et bien sur ; je n'ai pas pu m'empêcher d'admirer son derrière. C'était malsain, très malsain. « ...Avec plaisir. » rétorquais-je doucement, en me forçant de reporter le regarde sur le plafond face à moi. Je devais penser à n'importe quoi, à tout, sauf à ca. Crap. Je savais quelque part au fond de moi que la bière ne ferait qu’augmenter mes envies vilaines mais il était trop tard ; elle me tendait déjà la bouteille et je la saisit sans dire un mot. Et puis merde, une bière ca ne se refuse pas. Elle m'enjambais à nouveau avant de prendre place contre le mur. Je me redressais alors et bus une grande gorgée. « Tu es une femme à marier dis-donc ; tu m'offres ton lit, puis tu m'offres une bière, que demander de plus.. » répliquais-je sur un ton amusé, sourire au coin des lèvres. "Que demander de plus ?" bordel, je mentais plutôt bien, je me surprenais même. Je me décidais finalement de m'emparer du briquet qui se trouvait dans ma poche et allumer le joint que je tenais entre mes doigts. Je m'approchais alors d'Indiana et m’emparai de la poignet de la fenêtre située derrière elle. Le joint finalement allumé et la fenêtre grande ouverte, je m'installais à côté de la belle brune en tirant une longue taffe que je conserve plusieurs secondes dans mes poumons avant de la recracher doucement. « Qu'as-tu prévu encore pour me garder éveillée ? Si tu ne veux pas bien sur que je squatte ton lit comme un cadavre jusqu'au petit matin. Parce que je dois avouer que je suis très bien installée ici.. » finis-je par demander d'une voix caverneuse en lui tendant le joint.
Codage fait par .Jenaa
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