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We are the wild kids - Robin/Dietrich

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We are the wild kids
“It seems we meet again, under the cold, the heat, and let me say these words very clearly: in the end, you and I, we'll be changed foerever... Are you up to it?”
La Nouvelle-Écosse. Durant mes nombreux voyages, je dois avouer que la Nouvelle-Écosse avait toujours été mon endroit de prédilection pour tout simplement décompresser. Le Canada avait toujours été un pays agréable à mes yeux, et ce petit coin du monde dans lequel je pouvais me perdre pendant aux moins plusieurs jours était sûrement le genre de coin que j'aimais revisiter au moins une fois chaque année. Durant l'été, cet endroit est de plus animé, avec les fameux camps d'été qui semblaient se passer de manière régulière, et qui étaient toujours d'immenses périodes de divertissement dans mon cas. Je ne me lassais jamais de voir ces gens qui semblaient prêts pour du bizutage scolaire, qui se retrouvaient dans les situations les plus étranges possibles... J'ai toujours eu un plaisir plutôt malicieux de voir tout ça se dérouler devant moi. Et, grand bien m'en fasse, je faisais partie moi-même d'un groupe de vacanciers. Harvard ayant organisé le Summer Camp, nous allions avoir droit à plusieurs visons tout aussi hilarantes, et j'allais être au premier rang pour pouvoir observer le massacre, un bière bien froide à la main. Je sentais déjà l'hilarité monter en moi rien qu'à l'idée d'y penser, dans une tenue relativement sobre.

J'étais en ce moment dans le bar de l'hôtel. J'avais profité un peu de la plage, et j'allais sûrement en profiter encore longtemps durant les deux mois que nous allions passer ici. J'avais déjà préparé ma chambre, j'avais même réussi à faire une petite promenade aux alentours, question de profiter du paysage. J'avais décidé de freiner un peu ma consommation de cigarettes, et jusqu'à maintenant, je ne me débrouillais pas si mal. J'avais diminué du quart de ma consommation quotidienne, et ça me faisait un peu de bien. J'espérais bien me débarrasser complètement de ce terrible passe-temps, mais bon, on ne peut pas trop m'en demander, hein... J'étais pas parfait, non plus. Maintenant, j'avais décidé de prendre un peu de bon temps après une bonne baignade. J'avais enfilé une chemise plutôt légère, d'une couleur rose, à peine translucide, des shorts gris pâles, et des souliers de marche. J'étais quand même assez fashion, considérant que je n'étais pas du tout en mode actif. Ma bière à la main, j'étais complètement accoudé au bar, et je me sentais profondément relax. Ça ne faisait pas un énorme changement du reste de ma journée, ce que j'allais m'empresser de régler les journées suivantes.

J'attends que le temps passe, seul dans le bar, quand soudain j'aperçois une jeune femme que je reconnais bien. Dans le brouhaha des gens qui parlent, dans le bruit des chaises, mon rire se faire discret, mais il est sincère. Ça me fait bien plaisir de voir la jeune femme ici. Moi et Robin, on avait eu beaucoup de temps après le bal de fin d'année pour apprendre à se connaître davantage. Oui, nous nous étions connus de manière plutôt... soudaine, mais elle avait quand même voulu qu'on se revoit. On en avait long à se dire.

Je vais la rejoindre rapidement, ma bière toujours à la main.

-Salut, Robin! Content de te voir! Et t'inquiètes, contrairement à notre première rencontre, je suis pas encore assez imbibé pour ne pas me contrôler.
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La route avait été longue pour venir jusqu'ici, mais je ne pouvais pas réellement m'en plaindre, parce qu'il est certain que sans Benji, je ne serais pas là aujourd'hui. Le manque d'argent pour financer un voyage comme celui-ci, il est certain que j'aurais tout simplement passé mes vacances d'été a bosser, parce que j'ai ce besoin d'argent pour m'en sortir pour payer le loyer, vu que maintenant, je n'ai plus mes parents derrière moi. Mon entrée dans la vie active s'étant fait bien plus rapidement que prévu à cause de mon choix d'abandonné mes études, du moins, pour un an... Enfin, là n'est pas le sujet intéressant du jour.
Je suis donc là, loin de ma contrée Natale pour la troisième fois de cette année, ce qui est, dans un sens un miracle parce que je ne pensais pas réellement pouvoir quitter le Massachusetts avant de longues années. Il faudrait d'ailleurs que je trouve un moyen de remercier Benji pour ce qu'il vient quand même de faire pour moi, de m'offrir, parce que ce n'est pas rien pour moi. C'est vachement beaucoup à mes yeux. Alors ouais, il faut réellement que je trouve quoi lui offrir, mais le truc, c'est que je ne le connais pas depuis assez longtemps pour savoir quoi réellement savoir ce qui pourrait lui faire plaisir, enfin, j'ai quand même deux mois pour trouver... Alors, je trouverais bien, puis, je peux encore lui demander, me renseigner sur lui.

Ainsi, arrivée la veille avec mon colocataire dans son camion, j'avais étrangement apprécier la rote avec lui, mais là maintenant, après être resté enfermé de trop longue heures dans l'habitacle d'un véhicule le jour avant, j'avais ce besoin de bouger, de ne pas juste rester enfermer sans voir, non, que du contraire, alors il fallait que je me bouge un peu, que je chasse la fatigue et sorte de ma chambre. Après tout, je n'allais quand même pas resté mes journées ici enfermée dans une chambre d'hôtel que du contraire. Sauf que j'avoue que je me voyais encore moins m'aventurer toute seule dans la région et même si je savais que mon pseudo-copain se trouvait également dans cet hôtel, ce n'est pas avec lui que j'étais désireuse de sortir, préférant plutôt partir à la recherche de quelqu'un d'autre. J'aurais bien aimé aller trouver Benji, mais j'avais un peu peur de le saouler à le coller trop, parce que d'accord, qu'on soit colocataire, on est pas encore rendu à être des compagnon de cellule comme dans une prison a devoir se côtoyer vingt-quatre heures sur vingt-quatre.

Décidant alors de m'aventurer dans le bar de l'hôtel pour tenter de trouver une personne que je pourrais connaître, en espérant ne pas tomber sur des Eliots de pacotilles. Bien qu'en même temps, ils ne soient pas du genre à être collés au bar comme les mathers peuvent le faire. C'est peut-être dans un sens ce que je cherche, parce que j'en connais quand même quelques-un même si je n'avais pas réellement d'affinités avec eux. Enfin, soit, entrant dans le bar, je regarde un peu les personnes présentent et ne peut m'empêcher de sourire un peu en voyant l'allemand près du bar. Celui-ci s'approchant d'ailleurs de moi, je le suis du regard, le laissant venir, mon sourire ne quittant pas mes lèvres. Je le laisse alors parler et rigoler légèrement à ses propos. "Bonjour 'Trich. Je suis contente de te voir." Je penche alors un peu la tête sur le côté, après avoir regarder son verre de bière. "Ah oui ? Donc je ne dois pas m'attendre à ce que tu m'embrasses à nouveau " Je souris un peu, peut-être un peu provocatrice. "Ai-je le droit de dire que je suis déçue de cela ?" Rigolais-je un peu alors que lors de notre rencontre il avait été question qu'un jour on s'embrasse à nouveau, sans que monsieur ne soit imbibé, chose qui ne s'était toujours pas produite, peut-être à cause de ma pseudo-relation avec Ael, cela m'agace dans un sens et juste pour ça, j'aimerais y mettre un terme, cependant, ayant trop de fierté, je ne veux pas montrer à ce richard de malheur que je peux courber l'échine devant lui.
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“It seems we meet again, under the cold, the heat, and let me say these words very clearly: in the end, you and I, we'll be changed foerever... Are you up to it?”
Ça me faisait toujours un plaisir fou de la voir, cette fille. Nous nous étions très peu vu depuis le fameux soir où je l'avais embrassé, comme ça, sans avertissement, pendant le bal de fin d'année. La soirée était quand même très avancée (du moins, dans mon cas, il va sans dire) et je crois bien que ça a très bien cliqué, puisque nous avons pu nous parler relativement souvent après l'événement. Peut-être pas autant que je ne l'aurais espéré, certes, mais tout de même, le temps qu'on avait passé ensemble depuis ce temps était des plus exquis à mes yeux. Je profitais de chaque minute que nous passions ensemble pour absorber chaque information, aussi subtiles soient-elles, sur la jeune femme, et je crois bien qu'elle a fait la même chose. Je dois avouer que j'avais un peu le mal du  pays en venant ici au départ, peut-être parce que j'allais manquer ces rares moments que nous passions ensemble à Cambridge, mais maintenant, ces doutes étaient complètement dissipés dans ma tête. Elle était là, et j'allais continuer d'apprendre à la connaître un peu mieux. Ça me faisait incroyablement plaisir qu'elle soit venue dans ce merveilleux coin de pays pour profiter un peu de l'été canadien.

Je l'invite à venir s’asseoir à une table qui venait tout juste de se libérer pas très loin d'où nous étions. Je m'enfonce presque dans la chaise, décidant de prendre mon aise, et j'observe mon interlocutrice avec ce genre de regard moqueur et carnassier dont moi seul avait le secret. Oui, je ne peux pas me le cacher, j'ai un intérêt particulier pour Robin depuis cette première rencontre plutôt pimentée, selon plusieurs standards. Je dois avouer que non seulement elle m'attirait, mais en plus, avec ce que j'ai réussi à découvrir à propos d'elle, j'ai commencé à l'apprécier de plus en plus. Seul le temps nous dirait ce qui allait en advenir.

Elle me parle alors de cette fameuse première rencontre, et je manque presque de m'étouffer sur ma bière. Elle a le don de trouver le mot parfait pour me faire rire, cette fille! Le nombre de fois qu'elle avait failli me tuer par ses propos, je crois que je serais déjà bien profondément en enfer depuis le temps. Je la regarde dans les yeux, l'air tout aussi mesquin qu'à l'habitude, avec la claire intention de lui renvoyer avec efficacité sa petite réplique cinglante.

-Je ne dis absolument pas ça. C'est pas parce que je n'ai pas bu d'alcool que je n'oserais pas t'embrasser une seconde fois. Faudra évidemment que je trouve le bon moment pour te rouler une autre merveilleuse pelle, comme la dernière fois, et cette fois je te promets que je ne serai pas déjà parti vers le monde l'alcoolisme. Et de toute façon, si je t'embrasse, c'est que je le ressens vraiment.

Une chose que j'ai apprise, avec Robin, c'était d'être franc et honnête. Elle lui avait toujours dit la vérité d'une traite, sans faire de détour, et je m'étais mis dans la tête que je ferai de même. Elle sait pertinemment qu'elle ne me rend pas indifférent, je ne le lui ai jamais caché, et je ne le ferai jamais. Bien sûr, avec sa relation avec Ael, ça rendait les choses légèrement compliquées, mais le jeu de la séduction n'en était que plus dangereux, plus chaud, plus risqué. J'ai toujours aimé le risque en ce qui a attrait aux affaires de cœur, alors j'étais parfaitement dans mon élément.

-Tu as tous les droits d'être déçue, évidemment, mais plus je te fais attendre, mieux ce sera, tu ne crois pas? Ça risque même d'aller plus loin que le simple baiser, et c'est assurément ça que je veux.
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Le provocant un peu malgré moi, alors que je ne devrais pas, pas alors que l'on se trouve en public et que je suis certaine qu'il y a des oreilles indiscrètes qui se traînent par ici et je ne voudrais pas que cela puisse se retourner contre mon pari avec Ael, étant donné que celui-ci se montrait discret dans ses aventures, ne les laissant pas s'ébruiter, alors j'avais tout intérêt à en faire de même, si jamais il finissait par se passer quelque chose entre l'allemand et moi, bien que là, dans un sens, ça soit mal partit vu que je suis supposée être en couple, et donc fidèle aux yeux des autres... D'ailleurs, est-ce que je pourrais réellement trompé Ael ? Je ne l'aime pas, je suis avec lui pour un défi, mais j'ai quand même des principes et la fidélité, c'est quelque chose de quand même important pour moi... Mais dans notre cas est-ce que l'on peut réellement dire que l'on trompe l'autre alors qu'il est au courant et d'accord ? Ne sommes alors nous pas plutôt qualifiable de couple ouvert ? Libertin, peut-être même ? J'en sais trop rien, je me suis jamais intéressé à ce principe là, parce que je ne pensais réellement pas me retrouver dans un cas comme ça, mais là, j'aurais peut-être dû chercher à me renseigner un peu plus ? Un soupire franchit mes lèvres malgré moi alors que Dietrich va s'installer à une table, m'invitant ainsi à le suivre et prendre place en face de lui. Je regarde la chaise un instant, peu enclin à m'asseoir alors que je suis resté mon cul posé dans un siège trop longtemps la veille. Mais pour le coup, ce n'est pas réellement le fait de me retrouver assise qui me pose problème, mais plutôt de savoir si je me mets en face de lui pour garder une distance de sécurité avec lui, ce qui serait plus sage, ou est-ce que j'ose la folie de venir m'asseoir sur la chaise à côté de lui ? Je regarde cette dite chaise un peu avec envie alors qu'il prend la parole. Reportant mon attention sur lui, je rigole un peu à ses nouveaux propos. Avant de finalement prendre place en face de lui, posant mes coudes sur la table, les mains jointes près de mon menton, je souris un peu. "Parce que tu le ressens ? Réellement ?" Le questionnais-je cherchant dans un sens à comprendre ce qu'il veut dire exactement par cela. Je le laisse alors poursuivre, amusée par ses nouveau propos alors qu'il laisse clairement sous-entendre qu'il désire bien plus, ce qui n'est pas pour me déplaire alors qu'avec celui qui me serre de mec, on ne fait que se frustré l'un l'autre. Cependant, il est clair que je dois quand même préciser certaine chose à l'européen, désireuse surtout de voir sa réaction à ce sujet. "Il est clair que j'attendais ce moment, mais je pense qu'il a que trop tardé déjà en vue de ma relation avec Ael maintenant." Je lui souris un peu, cherchant une nouvelle fois à le provoquer en lui parlant de ma relation avec Ael pour la première fois, même si en aucun cas, je ne lui avais caché celle-ci, m'affichant avec l'eliot depuis cette fichue soirée sur le thème des jeux olympique de Rio. "Il me semble donc, que tu devras tout simplement te trouver quelqu'un d'autre à désirer je pense." Étrangement, voir même égoïstement, j'aimerais qu'il ne suive pas cette idée et j'espère réellement qu'il ne va pas le faire, parce que j'ai envie qu'il me montre dans un sens qu'il veut réellement cela, que ce n'est au final pas que des paroles en l'air pour juste me rajouter à son tableau de chasse, qui je pense peut déjà être assez large.
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“It seems we meet again, under the cold, the heat, and let me say these words very clearly: in the end, you and I, we'll be changed foerever... Are you up to it?”
Ma provocation n'est pas tant perdue sur la jeune femme, à ce que je puis voir. J'avoue que ça me plaît, de la voir essayer de reproduire la même chose. Nous avions tous les deux la même envie, et ça m'amusait presque de jouer un peu à ce jeu dangereux auquel nous nous prêtions avec enthousiasme. J'en arrivais à me convaincre qu'il en valait la chandelle, de toute façon, alors j'allais continuer de pousser un peu plus loin ce petite jeu de séduction, même si je savais que cela ne ferait que mettre notre réputation en jeu. D'une certaine manière, peu m'importe : on me connaît déjà, ma réputation n'est plus à refaire, et si elle doit être souillée, je sais que je pourrai moi-même me sortir du merdier, sans l'aide de quiconque. Quoi que son aide à elle, je ne m'en passerai sûrement pas, le jour venu. Je dois avouer que je pourrais lui faire confiance, qu'elle ne me trahirait sûrement jamais. Je ne sais pas pourquoi... Je ne le saurai sûrement jamais...

Elle semble hésiter à s'asseoir, et pendant ce temps, je me permets de l'observer. Mon regard parcourt lentement la jeune femme, analysant presque avec minutie chacune parcelle de sa personne. Qu'on ne se demande pas pourquoi j'avais Robin dans l'oeil, la raison était toute simple : son apparence physique n'était pas du tout à déplaire. La jeune blonde avait un je-ne-sais-quoi de vraiment intéressant, dans son regard perçant qui semblait toujours aussi froid et implacable, mais qui cachait une fougue et un feu que personne ne pourrait même deviner, dans sa manière de marcher, dans sa posture qui exsudait la sensualité... Du moins, à mes yeux. Il faut dire que notre première rencontre avait grandement aidé les choses.

Elle me demande si je ressens vraiment des sentiments pour elle. De là à en aller jusque là, je l'ignore, mais je me dois de lui répondre le plus honnêtement possible.

-Disons que tu ne me laisses pas du tout indifférent, et que l'idée de t'embrasser une seconde fois me plaît vachement. Même si j'étais complètement ivre le soir du bal, ça ne m'a pas empêché de pouvoir goûter au fruit défendu, et comme tout être humain qui se respecte, ce qui est défendu devient pour moi une source de désir. Donc ouais, je te désire, aussi simplement que ça.

Ça, c'était bien moi. J'étais quelqu'un d'incroyablement franc, et je n'allais pas arrêter maintenant. Ça serait une véritable insulte à qui je suis, à ce que j'ai toujours été tout au fond de moi, et je sais très bien que je m'en voudrais à mort si je perdais ne serait-ce qu'une parcelle de ce qui fait de moi la personne que je suis. D'ailleurs, je voulais continuer de pousser mon honnêteté plus loin. Je crois bien que j'avais terriblement envie de l'embrasser ce soir, et je crois que le fait que je la dévore ainsi du regard exprime très bien mon envie soudaine qui me prends un peu. Cependant, je sais qu'il y a un obstacle de taille...

Elle se met à me parler d'Ael, et tout de suite mon expression change. Sur mon visage, on peut lire une légère pointe de dégoût, d'insatisfaction. Je déteste ce mec. En fait, je déteste tous les mecs de son acabit, point final. Quand tu utilises ton argent et ton influence pour être une plaie, il ne faut pas t'attendre à être aimé de tous. D'accord, je suis blindé, et ma famille en est une d'influence à Aix-la-Chapelle, ma ville natale, mais je n'ai jamais brandit des liasses de billets devant les gens en me targuant d'être d'un sang plus bleu qu'eux. Tu n'es pas plus noble parce que tu as du fric, généralement c'est l'inverse...

Elle me dit que je devrais me chercher une autre femme à désirer. Aussitôt, je retrouve un sourire espiègle, et je la regarde dans les yeux.

-Tu veux me priver de ta présence? Ça serait bien cruel de ta part, et surtout hors de ton élément. La dernière fois qu'on s'est vu, tu me dévorais des yeux presque autant que je le fais ce soir. J'avais l'impression que dans ton esprit, j'étais déjà complètement nu... Pas que ça me déplaise.
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Assise en face de lui, j'avoue que j'ai réellement eu un peu du mal à comprendre ce qu'il voulait dire par je le ressens alors, je le questionne, mon regard posé sur lui, attendant avec une certaine impatience et incompréhension son explication. Chose qui ne tarde pas réellement à venir étant donné que l'on joue carte sur table tout les deux. Il y a toujours cette franchise, alors que parfois, on ne devrait pas, enfin, on ne se crache pas au visage, heureusement, mais est-ce que dans le futur, ça en sera toujours de même ou bien est-ce que petit à petit, des mensonges vont commencer à se glisser dans notre relation et détruire ce que l'on a là ? Cela risque d'arriver si on se rapproche plus non ? Parce que l'on devra mentir aux autres à cause de ma relation avec Ael... Alors, il est peut-être mieux d'en rester là, d'arrêter de se tourner autour ? Non, c'est une idée à la con... Comment est-ce que je peux bien vouloir cela alors qu'il est là à me regarder, que dis-je me dévorer du regard... Je ne sais pas si j'apprécie réellement cela ou si ce n'est pas un peu malsain, dans tout les cas, j'avoue que c'est étrange et que ça me met un peu mal à l'aise d'être ainsi regardée, n'ayant aucunement l'habitude d'avoir un tel regard pour moi... J'ai toujours eu le loisir de voir les garçons regarder les autres filles de cette façon, mais jamais moi, parce que je n'étais pas assez bien, pas assez féminine ou pas assez bien fournie au niveau de la poitrine, d'ailleurs, c'est toujours le cas, quand je vois les autres filles, j'ai parfois l'impression d'être comparable à une planche à pain.. Bref, rien de bien favorisant... Donc ouais, son regard ainsi, me met assez mal à l'aise et j'avoue que j'ai envie de me cacher.Peut-être que la prochaine fois que je retrouverais avec lui et que cela sera programmer, je mettrais des vêtements à Benji pour que ça soit trop large pour moi, pour ne plus qu'il me dévore du regard de la sorte... Ouais, en fait, c'est une bonne idée !

Mon regard river dans le sien, les joues peut-être un peu rouge à cause de ce qu'il vient de me dire, j'en sais trop rien, j'ai pas de miroir pour vérifier, je ne détourne cependant pas la tête alors que je prends la parole. "Comme beaucoup c'est le cas pour beaucoup d'autres filles non ? Je ne dois pas être la seule qui, excuse moi du langage cru, te fasse bander." Ouais, là, on ne peut pas être plus direct...Mais ça c'est moi, à dire ce qu'il ne faut pas, alors que je ne sais même pas au fond s'il bande quand il pense à moi... C'est assez, comment dire... Étrange de dire ça en fait... Mais en même temps, c'est lui qui a commencé avec ça, même si je suis vachement plus crue que lui pour le coup. J'en suis d'ailleurs là à me demander si par hasard il ne se toucherait pas en pensant à moi parfois... Mais ça, aussi bizarre que ça puisse être, cela ne me dérangerait pas... Je m'accoude d'ailleurs à la table, le fixant. "J'en suis rendu à me demander maintenant si tu penses à moi quand tu te touches." Lui lançais-je d'une voix un peu plus basse pour que personne d'autre que lui ne puisse l'entendre.

Je pense d'ailleurs maintenant que c'est le moment opportun pour parler de ma relation avec Ael et je ne me fais pas attendre, sauf que, le regard posé sur lui, je remarque bien son changement d'expression... J'hausse un peu les épaules, ne sachant pas trop comment lui faire comprendre que ce n'est qu'un pari, parce que si je commence à le hurler à tout bout de champs, sur tout les toits, ça ne serre plus à rien parce que tout le monde sera au courant et que personne ne nous prendra réellement au sérieux... Je souris alors un peu à ses propos, alors qu'il semble chercher à me retenir, à ne pas vouloir me laisser filer comme ça. "Et tu te souviens de cela ? Je pensais que tu avais trop bu pour être conscient réellement de tout ce qui t'entourais." Je souris alors un peu. "En fait, t'aimerais réellement que je te dise que je t'ai déjà imaginé tout nu c'est ça ?"


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“It seems we meet again, under the cold, the heat, and let me say these words very clearly: in the end, you and I, we'll be changed foerever... Are you up to it?”
Je vois bien que j'ai réussi à la rendre un peu mal à l'aise avec mes regards. Même si j'avoue bien aimer l'idée, je crois bien que j'ai dû frapper une corde que je n'aurais pas dû, et je décide de calmer un peu la force de mes regards, question de la rendre un peu plus confortable. Oui, elle me plaît et elle m'intéresse, mais ça serait ridicule de la rebuter simplement pour ça. De toute façon, je sens que ce que je m'apprête à faire ce soir ne risque pas nécessairement d'être mal accueillit. Je crois bien que si je joue mes cartes de la bonne manière, je crois bien que nous allions pouvoir partir une merveilleuse relation. Il me reste seulement à essayer de la comprendre davantage, et je sais très bien que le Summer Camp allait nous permettre de mieux se comprendre, du moins je l'espère.

Elle me dit alors qu'elle ne pense pas être la seule fille qui me fasse bander. J'essaie d'étouffer aussitôt un rire qui se pointe au fond de ma gorge. Je ris non pas parce que cette question est crue et incroyablement directe, mais plutôt parce que, si je suis honnête envers moi-même, elle marque un point. J'ai toujours été reconnu comme quelqu'un qui suit ses pulsions, peut importe, et je crois bien que  ça aurait pu mettre une bonne distance entre nous deux. Mais j'ai toujours eu la pensée qu'être franc et honnête pouvait bien honnêtement changer la donne entre deux personnes. Je n'allais pas me cacher, j'ai toujours été attiré par les femmes, et ça ne changera jamais. Bon, pas seulement par les femmes, certes, mais vous comprenez ce que je veux dire.

-Je ne peux pas m'en cacher, certes. Cependant, il faut dire que lorsque je m'intéresse à quelqu'un, cette personne a toute mon attention, et a sûrement plus de chances de déclencher mes instincts les plus primaires. Donc ouais, en ce moment, tu es plus susceptible de me faire bander que quelqu'un d'autre, si c'est ce que tu veux savoir.

Elle me demande presque aussitôt si je pensais à elle quand je me touche. J'avoue que cette fois, je rigole légèrement. Là, je la reconnaissais bien, la Robin. Elle était toujours du genre directe, impulsive dans ses questions, et à chaque fois, je lui ai toujours dit la vérité, parce que j'aimais bien son honnêteté à elle.

-Ça, ça reste mon petit jardin secret. Si tu veux vraiment le savoir, il faudra que tu craques la carapace, et que tu réussisses à me faire flancher. Je te lance le défi, tiens.

C'était mon genre, ça, proposer des défis de cette envergure. J'avais dans l'intention de voir jusqu'où cette petite idylle secrète allait bien pouvoir nous mener. D'ailleurs, j'avais même envie de lui faire une prédiction, pour le simple plaisir de voir si elle allait se réaliser.

-Je crois que j'ai envie de prédire un truc, va savoir si ça va arriver. J'ai l'impression que d'ici la fin du Summer Camp, on aura couché ensemble... Enfin, on verra.

Je souris de manière espiègle. Non, je n'étais pas macho, ni même sexiste, j'étais simplement joueur. Comparez-moi à tous les supposés dieux farceurs de n'importe quelle mythologie, vous risquez sûrement de voir une grande similarité. J'aime bien essayer de pousser quelque chose jusqu'au bout, peut importe le prix. Ce qui en résultera par la suite, même moi, je ne le saurai sûrement jamais.

Elle me demande une dernière question, à savoir si ça me faisait plaisir qu'elle m'aie déjà imaginé nu.

-J'aimerais bien le savoir. Je ne sais pas ce qui se cache dans ta tête, mais je suis sûr que tu y as déjà pensé une fois. Et ça ne serait pas du tout pour me déplaire.
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Alors que l'on se regarde, se jauge, pour savoir qui craquera, qui céderait le premier à l'autre, on se parle, se provoque sans cesse, cherchant à faire tomber le masque de sons vis-à-vis dans l'unique but de savoir ce qu'il désire réellement, si cela n'est qu'un jeu pour lui, ou bien, s'il pourrait y avoir ce petit plus que l'on recherche tous, ce petit plus qui nous pousse vers cette personne et pas vers une autre. Pour ma part, je crois, je pense qu'il peut l'avoir, parce qu'il y a cette façon d'être, si plaisante et désarçonnante. Il me plait, peut-être pas comme Nate au début, mais il est partit... Mon ex est retourné en Europe je crois bien, ou bien simplement est-il toujours à Harvard ? J'en sais trop rien, j'espère qu'il est dans sa famille pour les vacances vu qu'il n'est pas ici, j'espère pour lui qu'il n'est pas resté seul, parce que je sais que la solitude ça tue à petit feu... Mais pour l'heure, je ne dois plus penser à lui, j'ai décidé de tourner la page, alors je me focalise sur l'Allemand en face de moi, cherchant à savoir le fond de sa pensée, ce qu'il peut bien attendre de moi et je n'hésite donc pas à me montrée crue dans mes propos, usant de termes assez provocateur, comme je sais si bien le faire avec lui, pour tenter de le faire réagir, pour le provoquer un peu dans un sens et voir ce qu'il pourrait bien dire si j'arrive à bien le surprendre... Mais mes questionnes en entendant ses réponses, semble, basique, et surtout, prévisible. Je me mords alors un peu la lèvre inférieure, nerveusement, parce que j'ai envie de comprendre, de savoir, de pouvoir le cerner comme il faut.

"T'es instincts les plus primaires ? T'entends quoi par là ? Que tu me prends pour une sorte de gibier et que tu veux me chasser ? Que tant qu'on aura pas baiser, parce qu'il est bien question de ça non ? Tu ne me lâcheras pas ? Mais qu'en sera-t-il ensuite ? Je serais une conquête de plus à ton tableau de chasse non ? Un trophée de plus, c'est bien cela ?"

Provocation. Je le cherche, pour savoir ce qu'il en retourne, parce que je ne veux pas tourner autour du pot, je suis désireuse de savoir s'il en a qu'après mon cul ou s'il y a anguille sous roche. je le fixe alors, ne quittant pas son regard du miens alors que je continue de le questionner, sauf qu'il se dérobe pour une fois, refusant de me donner ma réponse, mais je note son excuse, haussant un peu les épaules, agacée par celle-ci, mais je vais faire avec, parce qu'il y a ce défis, cette provocation. Provocation qui va encore plus loin quand il se décide à me faire cette prédiction. Je ne peux alors m'empêcher de rigoler, parce qu'il se croit tout permit pour le coup. Je me redresse un peu sur ma chaise, pour me pencher vers lui ensuite, cherchant à me rapprocher un tant sois peu, plongeant encore plus mon regard dans le sien.

"Ne prends pas te désires pour la réalité. Parce qu'on ne verra rien. Toi et moi, il ne se passera rien, parce que je suis en couple."

Lui rappelais-je alors pour voir ce qu'il va dire, toujours dans le but de le provoquer, parce que je veux qu'il réagisse, qu'il me montre peut-être un peu de jalousie ? Qui sait ? J'ai envie de voir qu'il peut me vouloir réellement, rien que pour lui, que je suis plus qu'une pulsion passagère, mais une envie réellement, un putain de désir. Je me recule alors, me remettant sur ma chaise comme il faut, croisant les bras, en lui posant alors une nouvelle question vis-à-vis de ses dires, et là, je rigole un peu, amusé avant de finalement répondre.

"Comme tu as dit... C'est mon jardin secret. Si tu tiens à le savoir, faudra que tu fouilles et fasse craquer la carapace. Et... Que tu me fasses flancher. C'est un beau défi non ?"

J'ai reformulé ses dires à ma façon, voyons voir maintenant ce qu'il va dire et surtout, comment il va réagir.

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