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SLOALINE • “Keep breathing hold on to me and never let me go”

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The emotion that can break your heart is sometimes the very one that heals it
Pour une fois, le voyage ne fut pas aussi éprouvant que ça. Sloan avait passé le trajet, assis à côté de Charline et ils s'étaient câlinés tout le long. Certes il avait prit un avion banal, loin du jet privé de son beau-père mais la brunette fut là pour le réconforter. Il n'avait pas peur de l'altitude, disons simplement qu'il se confortait à savoir le pilote en pleine forme. Avec les récents événements, il ne pouvait s'empêcher de penser qu'il attirait le mauvais oeil sur lui. Une sorte de malédiction qui ne le quittait pas depuis un petit moment. Heureusement que la Granger était là, elle semblait équilibrer la balance et lui apportait la chance dont il manquait cruellement. Leur relation s'était améliorée et ils étaient plus proches que jamais. L'anniversaire surprise de Charline les avait énormément rapprochés. Des choses ont été dites, des gestes et des attentions pour l'autre furent à l'honneur. L'Eliot lui avait même offert le collier de sa défunte mère, cela représentait, pour lui, la consécration ultime de toute relation. Ils formaient à présent un petit couple et même si Charline ne lui avait pas encore répondu à son je t'aime, sa présence auprès de lui voulait tout dire. Elle avait accepté de l'accompagner au Summer Camp et cerise sur le gâteau, ils avaient une chambre rien qu'à deux. Affalé sur le lit, Sloan regardait Charline s'activer à ranger sa valise dans les tiroirs. Ils étaient là pour deux mois, il aura largement le temps de les ranger plus tard. Il leva les yeux au ciel lorsqu'il la vit s'activer pour faire quelque chose de net dans les armoires. Calment, il se redressa et vint s'asseoir sur le rebord du lit. « Détends-toi, on verra ça demain. » lança-t-il un peu bêtement. La chaleur était beaucoup plus soutenu qu'à Boston, le beau brun n'avait d'ailleurs pas traîné avant d'enlever son t-shirt et de le poser sur l'un des deux lits que composaient la chambre. Lorsque Charline passa à côté du lit, Sloan lui attrapa le bras et l'attira vers lui. « Viens là. » dit-il faiblement. Le jeune homme leva la tête pour la regarder, il afficha un petit sourire conquis. Il l'attira toujours un peu plus vers lui, l'obligeant à venir s'asseoir sur lui. Sans un bruit, il posa sa main sur sa joue et vint capturer délicatement ses lèvres. Sloan était aux anges, il pouvait en profiter autant qu'il le voulait ne comptait pas se gêner pour le faire. Une liberté qui n'avait pas de prix. Il s'accordait une pause dans sa vie et c'était plutôt délectable. Les deux étudiants étaient sur la même longueur d'onde et semblaient regarder ensemble dans la même direction. Il passa son autre main sur sa cuisse avant de la remonter sur sa fesse puis dans son dos. L'Eliot s’octroyait tous les droits sur son corps qui ne semblait plus avoir de secrets pour lui. Il mit fin au baiser mais garda cette proximité. « Avant que ces conneries d'équipes ne commencent et que ça soit la guerre entre nous. Ça te dit qu'on aille manger dehors ? En tout bien, tout honneur ? » lâcha-t-il en rigolant légèrement. Son regard quitta les yeux de sa belle pour venir se poser sur le reste de son corps. Sloan avait beaucoup de chance et en profitait à chaque instant. Face à la réponse positive de Charline, il afficha un large sourire. Il lui attrapa les cuisses et se leva. Le jeune homme la tenait fermement dans ses bras, inconsciemment, il leva la tête pour l'embrasser de nouveau. C'était plus fort que lui, il avait besoin de lui prouver son attachement, de se prouver qu'il n'était pas seul. « Allez va te préparer, je crève la dalle. J'vais prendre une douche. » lui dit-il avant de la lâcher délicatement. Charline posa ses pieds par terre et n'eut pas d'autres choix que de le lâcher. A moins qu'elle ne veuilles passer deux mois enfermés dans cette chambre à faire l'amour comme des sauvages. Quoiqu'il en soit, Sloan ne mit pas longtemps avant de rejoindre la salle de bain, fermant la porte derrière lui, laissant Charline à son pliage de petites culottes.
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The emotion that can break your heart is sometimes the very one that heals it
Mes doigts entrelacés aux siens s’étaient l’image qui me restait encore de ce voyage. Je n’avais jamais vraiment apprécié les voyages en avions. Toujours un peu flippée à l’idée de s’écrasser, j’angoissais la plupart du temps. Pourtant, les choses avaient été différentes cette fois-ci. Je n’avais pas eu peur et Sloan y était pour beaucoup. Sa simple présence avait su canaliser mes craintes, il m’avait occupé et avait rendu ce trajet plus qu’agréable. Mon sourire s’étirra un peu plus alors que je rangeais tranquillement mes vêtements dans l’armoire de la chambre d’hôtel. Loin de boston, loin de mon père, j’avais presque la sensation de revivre. Je laissais derrière moi ce tumulte pour me consacrer à moi. Être égoiste n’était pas un mal et j’étais heureuse de pouvoir l’être à cet instant. Mon regard se tourna légèrement vers l’éliot qui était allongé dans le lit. J’allais vivre deux mois avec lui dans cette même chambre d’hôtel. S’était un pari osé mais bizarrement l’idée ne me déplaisait vraiment pas. J’allais pouvoir enfin me consacrer à ma relation avec l’étudiant et je comptais rattrapé le temps perdu. C’était la première fois que j’allais aussi loin dans une relation. Vivre continuellement avec l’être aimer. Un stade que je n’avais jamais franchis au par avant. Je reportais mon attention sur l’armoire avant d’entendre la voix de Sloan. Mon regard se tourna vers lui à ces mots. « Détends-toi, on verra ça demain.» j’affichais une petite moue avant de poser le vêtement que j’avais dans la main sur l'armoire. Je m’approchais du lit et délicatement les mains masculine de Sloan m’attiraient à lui. « Viens là » je me mis à sourire avant de rigoler. « attend... j’ai encore un dernier tru..c...» il m’obligea à m’asseoir sur lui avant de venir m’embrasser délicatement m’interrompant dans mon explication. Continuer à parler ? il en était hors de question. Une de mes mains caressaient ma joue et l’autre fait pression sur mon corps. Un vrai régale et il n’en fallait pas plus pour contenter mon corps en alerte. Ma main rejoignit la sienne sur ma joue tandis que l’autre se plaça dans son cou. Mon corps se rapprocha du sien collant mon buste au sien. Après quelques secondes inattention, ses lèvres se séparaient des miennes. Instinctivement je me mordillais la lèvres écartant délicatement mon visage du sien. Il était impossible de lui résister et il le savait parfaitement. J’étais faible face à lui et ces quelques mois n’allaient rien changer. Bien au contraire du moins s’était ce que j’espérais. Nos souffles continuaient de se mélanger. « Avant que ces conneries d’équipes ne commencent et que ça soit la guerre entre nous. Ça te dit qu’on aille manger dehors ? En tout bien, tout honneur ? » mes yeux se plissèrent légèrement avant de finalement afficher un sourire conquis. L’idée était parfaite. Une soirée en toute intimité en compagnie de l’étudiant à manger de bonne chose et siroter de bon cocktail. Le regard de Sloan dévia ensuite légèrement sur mon décolleté avant de descendre un peu plus sur mon corps. Ma main caressaient sa nuque et je lui fis sérieusement. « En tout bien, tout honneur, c’est avec plaisir que j’accepte» mon regard se porta ensuite sur son sourire. Mes doigts se portèrent sur ces lèvres. Passant mon doigt sur les bordures de ces lèvres. Un vrai régale que m’offrait encore Sloan. Son visage s’approcha une nouvelle fois du mien pour m’embrasser. Ma langue chatouilla la sienne tandis qu’il se redressa et me leva au passage. Mon visage se sépara du sien avant qu’il ne dise « Allez va te préparer, je crève la dalle. J’vais prendre une douche.» Il me relâcha doucement par terre. « Parfait, je termine de ranger et ensuite je me prépare.» dis-je en en le défiant légèrement du regard. Vient m’embêter encore bushnell et tu vas voir. J’affichais un petit sourire avant de reprendre le vêtement poser. Il partie en direction de la salle de bain et ferma la porte. Je m’approchais doucement du lit ou étais installé sloan, il y a quelque minutes. Mes mains lâchèrent le vêtement que j’avais dans les mains avant de venir masquer ce sourire béat que j’avais sur les lèvres. Lourdement, je me laissais tomber en arrière avant de me mettre à rire en silence. Je me redressais et finis par abandonner l’idée de ranger ma valise. Le rangement allait attendre. J’enlevais mon tee shirt, mon jean et puis mon soutien gorge. J’étais en simple petite culotte et tout naturellement j’ouvris la porte de la salle de bain. Tout était grand, elle était presque identique à la salle de bain qu’avait Sloan dans sa chambre d’hôtel. Son visage se tourna vers moi et un sourcil provocateur se dessina « Ne te méprends pas, je suis venue chercher ma trousse de toilette.» menteuuuuuuuse, je me mis à rire avant de m’avancer vers la vitre de la douche. Je me pinçais les lèvres avant de coller mon corps contre la vitre. Sloan était de l’autre côté, le pommeau à la main il s’était immobilisé ne manquant rien à la scène. « retient bien sloan surtout !» ahah frustré le bushnell. « Tu vas devoir t’y faire sloan, moi en petite tenue » deux mois s’était long. Et tout naturellement mon corps s’éloigna de la vitre pour aller chercher ma trousse de toilette. Une fois la trousse entre les mains, je m’avançais vers l’encadrement de la porte : « Dépêche toi... je crève la dalle.» dis-je en reprenant ces paroles. Je me mis à rigoler et lui fis un clin d’oeil provocateur avant de repartir dans la chambre sans fermer la porte de la salle de bain. Je déposais ma trousse de toilette sur le meuble pour me préparer. C’était l’occasion de se préparer un peu. Face au miroir, je mis un peu de maquillage avant de froncer brutalement les yeux en voyant le reflet d’une blonde à forte poitrine. Subitement, je me retournais pour faire face à l’inconnu. « BORDEEEL DE MERDE ! mais tu es qui ? » dis-je en portant immédiatement mes bras sur ma poitrine. La fille m'analysa de haut en bas. « Saluuuuuut déjà ! et bah je suis ta colocataire !» ma colocataire ? elle se fichait de moi. Mes sourcils s’étaient froncés et son regard se faisait toujours aussi insistant. Elle s’approcha de moi et laissa sa valise prêt de la porte. Elle me tendit sa main et me fit : « Moi c’est Sheila.» Sheila ? sérieusement ? Légèrement gêner d’avoir été surprise dans mon moment d’intimité, je lui tendis une main hésitante et lui fis : « Enchanté, moi c’est charline.». Ma main serra la sienne avant que je ne la porte de nouveau à ma poitrine. « Tu pourrais te retourner, je vais mettre un truc plus habillé.» Elle afficha un grand sourire avant de lever les yeux au ciel. Elle se retourna et j’en profitais pour enfiler le tee shirt de sloan. La blonde s’installa sur le lit deux places et s’allongea lourdement dessus. « Euh... ce lit il est réservé...»
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Sloan laissa Charline terminer son petit rangement, pour aller prendre une petite douche. Le trajet l'avait un peu mouvementé et le besoin de se laver se fit largement ressentir. En fait, il ressentait également l'envie de s'isoler un peu. Le beau brun avait pour habitude de vivre tout seul et savait que les deux mois allaient s'annoncer compliqués. Il aimait sa petite brune mais un facteur imprévu venait tout compliquer entre eux. Depuis la disparition de sa mère, il s'était replongé dans la drogue. Cette fois, hors de question de revendre à ses potes ou autre. Il gardait ça pour lui et fumait tout seul, en prenant de soin de ne pas se faire voir. L'Eliot ne voulait en aucun cas quitter sa confrérie et ne voulait pas non plus que les gens ne le jugent. Charline était certainement bien loin de s'imaginer qu'il fumait de la weed presque quotidiennement. Sa consommation était assez élevée et en ce moment, il ressentait le besoin de fumer. Il avait prit qu'une petite réserve, se disant certainement que des revendeurs d'ici se manifesteraient bien assez tôt en voyant l’affût d'étudiants débarquer en ville. Sloan en était presque curieux de goûter les spécialités locales. Quoiqu'il en soit, il entra dans la salle de bain et ferma la porte derrière lui. A peine avait-il passé la porte qu'il soupira longuement. Il leva ses mains à mi hauteur et les inspecta. Effectivement, elles étaient toutes tremblantes. Le jeune homme avait envie de fumer mais était coincé avec Charline. Il allait devoir trouvé une diversion pour se barrer fumer un petit joint, ou deux. L'envie de drogue se faisait énormément ressentir et il savait que ce manque n'annonçait rien de bon pour la suite. Mais pour l'instant, il se devait de satisfaire son envie. Doucement, il avança jusqu'à la douche, déboutonna son pantalon et le laissa tomber par terre. Sloan fit de même avec le caleçon et grimpa dans la douche. La salle de bain était grande et luxueuse, parfaite pour des parties de jeux torrides avec Charline. Calmement, il prit le pommeau de douche et laissa couler l'eau sur son corps. Son regard était vide d'expression et il ne pouvait s'empêcher à un stratagème pour aller fumer sans éveiller les soupçons. Il leva la tête regarda la fenêtre. Sortir par la fenêtre aurait été une brillante idée si seulement ils n'étaient pas au septième étage. Il abandonna rapidement l'idée et passa à autre chose. L'eau tiède coula sur son corps tandis que Charline entra dans la salle de bain. Il sursauta légèrement, heureusement pour lui, elle ne capta pas. L'Eliot se tourna vers elle et afficha un large sourire. Il savait bien cacher son jeu celui-là. Il était devenu maître dans l'art subtile détourner ses émotions. Ce n'était pas pour rien qu'il était devenu un bipolaire actif. Il ne remarqua pas tout de suite qu'elle était presque nue. Ce fut lorsqu'elle se colla sur la vitre qu'il vit ses seins s’aplatir sur le carreau. Son sourire s'accentua et il ne pu s'empêcher de faire pareil. Sloan posa ses mains sur la vitre et colla ses lèvres comme un gosse. Charline lui fit alors un baiser à travers la glace froide de la douche. Il afficha une mine satisfaite. « T'inquiète princesse, je vais vite y prendre goût. » répondit-il amusé par la situation. Charline quitta la salle de bain, le sourire aux lèvres. L'attention de l'étudiant se reporta alors sur sa douche. Un peu de calme lui faisait du bien et franchement, il allait ramer à trouver une excuse pour aller fumer. Sloan attrapa la bouteille de gel douche qui traînait là et vint enduire son corps. Ouais, ça sentait la gonzesse plus qu'autre chose mais ça ferait amplement l'affaire. Une fois lavé, il sortit le douche et attrapa une serviette qu'il s'enroula autour du bassin. Il se regarda dans le miroir et se frotta les yeux. Ces derniers traduisaient son manque de drogue dans son organisme. Sans chercher à comprendre il attrapa la deuxième serviette se sécha le reste du corps. Gros malin n'avait pas pensé à prendre de quoi se changer. Il comptait bien mettre des fringues plus légères, la chaleur semblait assez étouffante ce soir. Une fois sec, il remit les deux serviettes en place et quitta la salle de bain. Il avança dans la chambre et afficha un large sourire à Charline. « Va falloir que tu apprennes à taper avant d'entrer, imagine j'étais en tr... » dit-il avant de froncer les sourcils en voyant la brunette regarder ailleurs. Machinalement, Sloan tourna sa tête vers la droite et vit une illustre inconnue sur son propre lit. « T'es qui toi ? » demanda-t-il à la fille sans même chercher à comprendre quoi que ce soit. La blondinette se leva du lit et s'approcha de lui, le sourire aux lèvres. Il ne comprenait pas vraiment ce qui se passait d'ailleurs, il ne l'avait même pas entendu rentrer. Une fois à sa hauteur, la bimbo tendit sa main vers Sloan qui hésita trente seconde avant de la saisir. « Sheila, je suis ta colocataire pour les deux prochains moins. » dit-elle en le regardant de haut en bas. Le beau brun en oubliait presque qu'il était à poil. Il lança un regard furtif vers Charline et se tourna vers elle. « J'ai pas commandé de colocataire ! » répliqua-t-il en rigolant. Voyant qu'elle vint se rallonger sur le grand, Sloan la pointa du doigt. « T'es mignonne mais ça c'est mon lit ! » dit-il sur un ton plutôt neutre. La blondinette rigola et changea de lit. « Je sens que je vais me plaire ici. » dit-elle. Sloan leva les yeux au ciel et s'approcha de l'armoire. Le cul à l'air, il alla jusqu'à sa valise où il tout son temps pour sortir un caleçon ainsi qu'un bermuda. Ignorant totalement les deux filles, il reparti dans la salle de bain, des affaires dans les mains. Finalement, il la tenait peut-être son excuse pour aller fumer. Il ne tarda pas à enfiler son caleçon ainsi que son bermuda. Il vérifia qu'un joint était bien présent dans l'une des deux poches. Un petit sourire vint orner ses lèvres. L'Eliot sortit de la salle de bain. « T'aurais pas vu mon t-shirt ? » dit-il en se tournant vers Charline. Il rigola légèrement en le voyant sur elle. « Ah bah si, garde-le. » Sloan attrapa son portable posé sur le lit, non loin de la blondinette. « J'ai un coup de fil à passer. Profitez-en pour ... faire connaissance ! » dit-il sur un ton plutôt ironique. Sans trop chercher à comprendre, le beau brun se défila et sortit de la chambre, torse nu. Charline allait juste le tuer de la laisser en plan comme ça.
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Mon regard détaillait cette étrangère sortie de nul part. Elle était très différente de moi. Excentrique à souhait, elle laissait plané un doute que je n’aimais déjà pas. Ces vêtements étaient aussi vulgaire que le maquillage quelle portait. Une véritable poupée barbie sortie tout droit d’une ruelle dépravé. Je ne pu retenir un soupire, mon sourire s’était estompée. Les difficultés commençaient et bizarrement ma relation avec Sloan n’avait encore rien à voir là dedans. « Va falloir que tu apprennes à taper avant d’entrer, imagine j’étais en tr....» mon visage se tourna légèrement vers Sloan qui sortait de la salle de bain. Instinctivement mes yeux se posèrent sur le corps parfait de l’étudiant. Totalement nu, il offrait une vue magnifique sur son intimité. Oubliant la présence de la blonde. Je détaillais sans le faire attention les muscles de son torse. Je ne pu retenir un petit sourire charmeur. Sloan était parfait et il le savait très bien. Parfaitement sculpté, il offrait une magnifique vue sur ce qui pouvait y avoir de plus parfait chez un homme. Ma gorge se serra doucement avant de l’entendre dire : « T’es qui toi ?» ma tête se tourna vers l’étrangère. Mon sourire s'évapora immédiatement en me rendant finalement compte de la situation. Le sourire espiègle et provocateur de Sheila m’irisait les poils. Elle ne loupait pas une miette de cet instant. Mes sourcils se froncèrent et mon regard se faisait plus insistant. Mes mains, elles, continuaient à s’occuper de mes vêtements. Pliant et repliant le même tee shirt depuis quelques minutes. J’avais besoin de faire quelques choses. L’inconnue se leva finalement du lit pour se rapprocher de Sloan. Mes yeux se plissèrent ne manquant absolument rien à la scène qui s’offrait devant moi. Elle tendit sa main et ajouta « Sheila, je suis ta colocataire pour les deux prochains mois.» son regard était insistant beaucoup trop insistant pour ne pas le remarquer et sans que je ne puisse contrôler mes paroles. Je fis : « Tu seras notre colocataire...» mon regard se tourna vers la blonde pulpeuse et je lui fis : « Quoi en soit tu ne seras pas que sa colocatrice !On est trois dans la chambre ! » dis-je sèchement en haussant les épaules avant de me remettre à plier mes vêtements. En réalité, j’avais le besoin oppressant de me manifester. Je n’aimais pas cette situation, je n’aimais pas son regard sur lui, je n’aimais pas la façon qu’elle avait de se comporter avec lui. Sloan me regarda furtivement et il lâcha à mis mesure « J’ai pas commandé de colocataire.» il rigola et un fin sourire se dessina sur mes lèvres. Dans ta face pouffiasse. L’excentrique se rallongea une nouvelle fois sur le grand lit. Je ne l’aimais définitivement pas pourtant je ne la connaissais pas encore. Gentillement, Sloan lui indiqua que ce lit était déjà prit. Elle se leva et lâcha « Je sens que je vais me plaire ici.» le regard de Sheila se faisait toujours un peu plus insistant. Elle ne ratait rien à la scène et Sloan lui ne semblait porter aucune attention à elle. Il se rapprocha de moi et de l’armoire. Mon regard fusillait la jeune femme. La nonchalance de Sloan était à cet instant même désespérante voir même énervante. Comment pouvait-il se pavaner nu devant une fille qui semblait jusque là le désirer ? Après plusieurs minutes, il attrapa plusieurs vêtements et partit de nouveau dans la salle de bain. La blonde semblait déçu. Ma mâchoire se crispa préférant garder le silence. Il sortie de la salle de bain habillé avant de me demander. « T’aurais pas vu mon t-shirt ?» mon regard se tourna vers lui et je fis une petite grimace. Il se mit à rire et un sourire délicat s’afficha sur mes lèvres « désolé...» dis-je en souriant pleinement. « J’ai un coup de fil à passer. Profitez-en pour... faire connaissance !» Mon regard se tourna vers l’étudiant qui claqua aussitôt la porte derrière lui. Mon sourire s’était volatilisée. Il était sérieux ? Aucun regard, aucune marque d’attention. Rien. Mon regard se fronça et la blonde ajouta : « Bon alors ! j’ai une questiooooooon.» je jetais mon vêtements dans ma valise avant de tourner ma tête vers l’intrépide. « Quoi ? » mon ton était lasse et froid. Je ne voulais pas lui parler, je n’en avais pas envie. Elle se redressa sur son lit tandis que je m'installais sur le mien. « Il est célibataire ton meilleur ami ? Non parce que bordel ! » dit-elle avec un sourire béat alors que je la dévisageais. Mon meilleur ami ? Mon meilleur ami ? elle était sérieuse ? Sloan et moi étions loin d’être de simple ami. Et réduire notre relation à une chose aussi simple et futile m’énervait. « Bien monté le coco ! Il doit pas plaisanté lui au pieu.» s’en était trop. Un regard noir s’afficha sur mon visage. « Tu sais quoi ! Tu as qu’à lui demander quand monsieur aura décidé de revenir ici, moi je dois aller me préparer parce que j’ai faim ! » dis-je méchamment à l’ignorante. Elle venait de pointer du doigt une situation que j’ignorais moi aussi. Qu’étions nous véritablement ? un couple ? des amis. A vrai dire, je n’en savais trop rien. Sans trop regarder, je pris une robe et partis dans la salle de bain en claquant la porte. Un peu de solitude. Cette fille venait ruiné la moitié mes plans. Vivre à deux pendant 2 mois n’était déjà pas une chose évidente mais vivre 3 mois à trois avec une fille que je n’allais pas supporter. Je me mis à soupirer avant de me placer devant le miroir. J’étais énervée ou disons plutôt agacé par le comportement de mes deux colocataires. J’enlevais le t-shirt de Sloan avant d’enfiler ma robe légère. Un calme plat raisonnait dans la chambre d’hôtel avant d’entendre la porte d’entrer s’ouvrir. Monsieur était enfin de retour et la voix mielleuse de Sheila ne tarda pas à raisonner. La porte de la salle de bain était fermée mais il n’était pas difficile d’entendre sa voix perçante. Je regardais mon reflet dans le miroir. Meilleur ami... s’était la meilleur. La porte de la salle de bain s’ouvrit doucement et la tête de Sloan apparu. Il referma la porte derrière lui et s’approcha doucement de moi. Mon regard ne se tourna pas vers lui faisant mine de me préparer « Au faite ! Ils paraient qu’on est meilleur ami ! » dis-je en sur un ton plat avant de finalement le regarder. « Et il parait que tu es super bien monté aussi ! Elle voulait savoir si tu étais célibataire mais elle a du te le demander non ? » dis-je en soutenant son regard sérieusement.
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Sloan n'avait pas cherché à comprendre et venait de quitter la chambre d'hôtel avec soulagement. Il allait pouvoir échapper à ces deux femmes mais surtout, il allait pouvoir fumer. Le jeune homme abandonnait lâchement le navire pour assouvir un désir plus que palpable. Voilà environ un mois que sa mère était partie et qu'il s'était remit à fumer. Il ne lui fallut pas plus longtemps pour redevenir addict de cette merde. L'Eliot ferma la porte d'une main tremblante et se dirigea dans le couloir, direction les ascenseurs. Il ne savait pas vraiment où aller fumer mais une chose était sure, il ne devait absolument pas se faire remarquer. Sa place chez les bleus était en jeu, il ne pouvait pas se permettre de se faire bannir de sa confrérie. C'était la dernière chose qui le faisait encore tenir debout dansa cette université. Sans ça et la confiance de son beau-père, il aurait déjà baissé les bras depuis bien longtemps. Sloan avait besoin de se sentir soutenu et accompagné. Il avait encore du mal à digérer le coup que Charline lui avait fait. Elle l'avait volontairement tenue à l'écart de ses problèmes et l'avait laissé seul alors qu'il soufrait cruellement de la solitude. La brunette avait fait pour un bien mais clairement, elle avait fait pire que mieux. L'Eliot avait passé outre mais n'oubliait pas pour autant. Dans cette relation, il avait l'impression de s'investir beaucoup plus qu'elle et en était parfaitement conscient. C'était aussi l'une des raisons pour lesquelles, il était parti de la chambre sans le moindre scrupule. Rien n'était acquis et Charline devrait se méfier. Sloan appuya sur le bouton pour appeler l'ascenseur et une fois dedans, il regarda les commandes. Que faire ? Il ne savait pas où aller pour fumer tranquillement son joint. Sans réfléchir, il appuya sur le dernier étage de l'hôtel. Rapidement, il arriva à destination. Le beau brun sortit de l’ascenseur et emprunta un petit escalier pour monter sur le toit. Par chance, la porte était déverrouiller et il sortit dehors. L'air était relativement doux. Sloan avança de quelques pas et s'approcha du bord. La vue était juste magnifique, à couper le souffle. L'Eliot en prenait plein la vue, il resta quelques secondes à contempler le paysage avant de sortir son joint et de l'allumer. Fumer ressemblait à une délivrance et il ferma les yeux pour en apprécier tous les effets. Il n'avait pas encore fumé de la journée et bordel, il avait attendu cela pendant des heures. Une taffe après l'autre, il se délectait de pouvoir savourer sa weed au calme. Il n'y avait pas un bruit et le panorama semblait l’apaiser. Lorsqu'il eu terminé son joint, il jeta le reste dans le vide, ce n'était pas très malin de sa part. Quoiqu'il en soit, il reprit calmement la direction de la chambre d'hôtel, appréhendant légèrement la réaction de Charline. Une nouvelle fois, Sloan emprunta l'ascenseur ainsi que le couloir menant à sa chambre. Une fois à l'intérieur, il croisa le regard de la colocataire dont il avait déjà oublié le prénom. « Bah elle est où Charline ? » demanda-t-il bêtement avant de froncer les sourcils. Ah non hein, ils n'allaient pas commencer le Summer Camp avec une dispute. C'est bon, la situation l'agaçait déjà. « Elle s'est enfermée dans la salle de bain ! » dit-elle en se redressant sur son lit. Elle afficha un large sourire en sa direction. Sloan regarda la porte de la salle de bain et hésita avant d'y aller. « Au fait, Sloan c'est ça ? Ta tête me dit quelque chose. » Sa voix était niaise et parfaitement aiguë. Il la regarda et haussa les épaules. En fait, il ne l'écoutait pas vraiment. « Mais si je sais !!! C'est pas toi l'award du mec le plus sexy ? » le questionna-t-elle sur un ton crispant qui arracha une grimace sur le visage du beau brun. « Hein ? Ouais ouais, surement. » répondit-il sur un ton extrêmement détaché. Perturbé par le boudage de miss Granger, Sloan laissa en plan la colocataire pour se rendre dans la salle de bain. Une fois à l’intérieur, il ferma la porte et prit soin de mettre le verrou. Hors de question d'être dérangé une nouvelle fois par la blondasse de service. Charline était en train de se changer. L'Eliot s'avança vers elle et esquissa un sourire avant de le perdre brutalement. Et voilà ce qu'il redoutait, une crise de jalousie. « Commence pas Charline ! » répondit-il sur un ton assez agressif. En s'entendant parler, Sloan regrettait déjà ses paroles. Il se mettait à sa place et c'est vrai que si la blondasse avait été un mec, il l'aurait surement très mal prit. Quoiqu'il en soit, il s'approcha d'elle. « Non elle ne m'a pas demandé et d'ailleurs, qu'est ce qu'on en a à foutre sérieux ? » demanda-t-il sur un ton beaucoup plus doux, posé. Une fois à sa hauteur, il afficha un petit sourire amusé. Sloan ou l'art de changer d'émotion en un quart de seconde. Il posa ses mains sur ses hanches avant d'ajouter subtilement. « Mais c'est qu'on est jalouse Granger ? » Il avança son visage qu'il vint nicher dans son cou. Il la dévora de bisous et la chatouilla légèrement pour se moquer d'elle, pour la taquiner ou simplement pour détendre l'atmosphère.
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Tapis dans l’ombre, je m’étais réfugiée dans cette salle de bain. Cette fille était insupportable. Je ne la connaissais que depuis quelques minutes et mon esprit avait déjà bien du mal à supporter ces frasques. J’étais jalouse et blessée. Blessée qu’elle ne puisse pas croire une seule seconde qu’il pouvait avoir bien plus que de la simple amitié avec Sloan et jalouse de part ces dires et son regard. Elle le détaillait bien trop à mon gout. J’avais donc préféré la solitude en attendant le retour de l’étudiant. Son départ avait été aussi soudain qu’étrange. Plusieurs questions frappaient mon esprit. Qu’étions-nous réellement ? Je ne m’étais jamais vraiment posé la question et pour tout vous dires la réponse m’avait toujours un peu effrayer. L’engagement n’était pas une chose que j’appréciais particulièrement mais réduire notre relation à une simple aventure amicale m’irritait tout autant. Sloan était le point d'interrogation. Une question dans son ensemble et son absence se faisait ressentir. Qui pouvait-il bien appeler ? Rapidement, j’apportais mes mains devant mon visage. Cette fille allait me faire péter un plomb. La réalité me rattrapa bien vite lorsque j’entendis la voix de l’étudiant. Il était enfin rentré et comme pour masquer mes angoisses. Je pris un pot de crème dans les mains. Délicatement, je versais une noisette sur mes mains avant de l’appliquer sur mes pieds. Après quelques secondes, la porte de la salle de bain s’ouvrit. Mon regard resta rivé sur ce que j’étais en train de faire avant de finalement déverser ces bonnes paroles. Mon regard se tourna légèrement tentant d’apercevoir l’étudiant. Son sourire s’était évanouie et il fit : « Commence pas Charline !» son ton était froid, glaciale même. Je me retournais complètement pour pouvoir le regarder. Mes sourcils s’étaient instinctivement froncé, prête à bondir. Mon regard croisa le sien. Je pouvais sentir qu’il regrettait le ton qu’il venait d’employer mais pourtant je n’en restais pas moins blessée. Je me retournais pour continuer mon activité. Je reposais ma jambe sur le petit meuble. Mettre de la crème me permettait de me détendre et de ne pas exploser. En réalité, j’étais complètement paniquée et déstabilisée par les questions de Sheila. Je ne sentais même pas l’odeur de la weed qu’il avait sur lui. J’étais obnubilée par ces paroles. Sloan était-il célibataire ? en soit il était aussi libre que moi. Aussi étrange soit-il je gardais le silence. En réalité, je ne voulais pas me disputer avec lui. Je ravalais ma colère et par la même occasion mon inquiétude. Mes mains frottaient délicatement ma peau. Il s’approcha délicatement de moi et finit par rajouter une nouvelle fois : « Non elle ne m’a pas demandé et d’ailleurs, qu’est ce qu’on en a à foutre sérieux ?» son ton était plus doux beaucoup moins froid que tout à l’heure et mon visage se releva pour regarder son reflet dans le miroir. Il s’approcha toujours un peu plus avant de sentir ces mains se poser sur mes hanches. Mon corps frissonna à ce simple contact. Ces doigts me possédaient et je ne pouvais pas même retenir ce frisson. Je ne contrôlais plus rien du tout. « Mais c’est qu’on est jalouse Granger ?» il avançait son visage tandis que j’étais dos à lui. Son souffle chatouillait la peau de mon cou avant de sentir ces lèvres. Mes yeux étaient tentés de se fermé mais je bataillais pour ne pas relâcher la pression. Pour ne pas céder. Il me chatouillait légèrement et un fin sourire s’afficha sur mes lèvres. « Ce n’est pas vrai...» mon ton était peu convainquant. En réalité, je n’y croyais même pas. Cette fille me rendait dingue. Mes sentiments se bousculaient. Je reposais ma jambe à terre et finis par me retourner. Mon corps étaient contre celui de l’étudiant et mes mains venaient encadrer son visage. Mon souffle se mélangea au sien. L’odeur de la drogue me titillait les narines et mes sourcils se froncèrent légèrement. Il avait fumé. Mon visage se recula légèrement du sien et un soupire s’échappa d’entre mes lèvres. Pourquoi avait-il fumé ? les questions s’accumulaient mais elles restaient sans réponse. Cette fille venait de mettre une bombe dans mon esprit. Mon visage se liquéfiait au fur et à mesure. Redoutant presque de commencer cette conversation. « Tu comprend pas Sloan !» dis-je en m’éloignant de l’étudiant pour m’asseoir sur le rebord de la baignoire. Mon regard s’attarda sur lui et je lui fis : « Je... » je déglutissais en prononçant ces mots avant de finalement lui dire : « Tout à l’heure, j’étais furieuse. Furieuse contre toi et contre elle. J’étais furieuse qu’elle puisse te regarder comme moi je peux te regarder, qu’elle puisse imaginer une seule seconde qu’il se passait rien entre nous.» j’affichais une grimace avant de finalement prendre ma tête dans mes mains. « elle te veut sloan ou du moins, pendant que j’étais dans cette chambre, elle t’a désirer autant que je te désire !» dis-je en me levant et en pointant du doigt la porte de la salle de bain. J’étais jalouse et je m’en rendais compte. Je me pinçais les lèvres et finis par lui dire : « je suis jalouse... sloan...» dis-je en le regardant fixement. Je n’étais pas habituée à ce sentiment et sloan était bien la première personne qui arrivait à me faire ressentir sa. Je m’approchais de lui. Il était silencieux. Je restais planté là sans le toucher mon regard se rivait sur lui et je lui fis de nouveau. « Je suis jalouse...» dis-je en ravalant ma salive. « Et cette fille va me rendre folle.» dis-je en regardant la porte avant de regarder de nouveau l’étudiant. Mon regard s'attarda sur ces lèvres et je lui fis : « Dit quelques choses...»
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