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SABILIA • “Never close your lips to those whom you have already opened your heart.”

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One day you will kiss a man you can't breathe without, and find that breath is of little consequence
Sabian n'avait pas vraiment perdu de temps pour s'approprier les lieux. Lui qui n'aimait pas le luxe et tout ce qui allait avec, il se plaisait plutôt bien dans cet hôtel. Monsieur avait fait des folies pour pouvoir suivre le rythme. Détourner de l'argent n'était pas une chose anodine pour le beau brun qui le faisait depuis des années pour se payer ses études dans la prestigieuse université d'Harvard. Il ne prenait uniquement le nécessaire pour pouvoir suivre les cours et obtenir un bon diplôme. Cependant, aujourd'hui, il faisait une entorse à sa règle et avait puisé dans une nouvelle société. Sabian n'en avait pas forcément besoin mais il ressentait l'envie de se payer des vraies vacances. Hors de question pour lui de dormir dans une tente au bord de l'eau. Pour une fois, le beau brun s'octroyait le plaisir de pouvoir profiter des bonnes choses. Il allait pouvoir manger comme le voulait tout en sachant que cela n'allait pas durer. Ce soir, il prit la décision de se rendre dans l'une des célèbres boîtes de nuit de la ville. Tant qu'à faire, il était là depuis deux jours et commençait à prendre ses marques. C'était plutôt difficile pour lui d'avoir des repères mais là ça allait encore. Il se sentait bien. D'ailleurs, il était bien depuis environ deux semaines. C'était étrange à expliquer mais mon petit doigt me dit qu'une blondinette y était pour quelque chose. Voilà deux semaines que les choses avaient déparés avec Cecilia et cela avait le don de le perturber. Sabian essayait d'y penser le moins possible mais c'était peine perdue. Cette situation le rendait perplexe et il ne savait pas trop quoi en penser. Il avait fait exprès de la tenir écartée de lui pendant tout ce temps. Histoire de pouvoir prendre le recul nécessaire sur la situation. Même s'il n'avait pas obtenu les réponses à ses questions, il laissait le manque et le doute s'installer entre eux. Enfin, c'était bizarre. Le jeune homme comptait sur cette soirée pour se vider l'esprit et ne plus penser à rien. Il savait la blondinette très occupée avec son Summer Camp, il la savait même chef d'équipe. Pas vraiment étonnant la connaissant. Bref. La boîte de nuit semblait vraiment très attrayante de l'extérieur. Sabian terminait sa clope avant d'entrer. Il avait rendez-vous avec des potes à l'intérieur et, comme à son habitude, il était en retard. Il apporta sa clope à sa bouche et tira longuement dessus pour l'achever. La fumée entra directement dans ses poumons, y resta quelques secondes avant de ressortir délicatement par ses narines. Depuis qu'il était ici, Sabian avait légèrement ralenti sa consommation de drogue et c'était pas plus mal. Il se la coulait douce et était relativement plus calme que d'habitude. Plus posé, plus doux. Beaucoup moins de pression le composait et une petite pause n'était pas de refus. Ses yeux se posèrent sur son mégot, il s'humidifia les lèvres avant de se déplacer jusqu'au mur et d'écraser sa clope délicatement. Il reporta son attention sur le boîte de nuit et afficha un petit sourire malicieux. Il aimait l'été, les filles n'étaient que très légèrement vêtues, un vrai régal pour les yeux. L'étudiant ne mit pas longtemps avant de pénétrer dans l'établissement. La musique allait fort et l'ambiance semblait être au rendez-vous. Il rejoignit ses potes où il débuta la soirée. Sabian enchaîna les verres sans le moindre scrupule, il alla même fumer un petit joint entre deux. Vraiment, il passait une bonne soirée et les effets de la drogue et de l'alcool se faisaient sentir dans son organisme. Il ne dansait pas mais bougeait la tête en rythme. Il était bien et ne pensait à rien. Son regard vagabondait sur la piste de danse et se posa rapidement sur un blonde au déhanché endiablé. Le jeune homme fronça les sourcils et plissa les yeux. Il n'avait pas vu sa présence avant, étonnant. Ses formes, il les reconnaîtrait entre mile. Pour les avoir caressés et possédé une nuit, il savait à qui ses longes et fines jambes appartenaient. Il ne fut donc pas surpris de voir qu'il s'agissait de Cecilia. Un large sourire pervers apparu alors sur son visage. Sa présence était une bonne chose. Sabian se leva de sa banquette pour mieux la voir. Elle semblait prise dans sa danse et ne semblait pas l'avoir vu. Heureusement pour les nerfs du beau brun, elle était en compagnie de filles. Jusque là, tout allait très bien. Doucement, il glissa ses mains dans ses poches et continua de la fixer en prenant soin de la mater de haut en bas. Elle était sublime, il avait encore du mal à croire qu'il fut intime avec cette divine créature. Sans plus tarder, l'étudiant laissa ses copains en plan et s'avança sur la piste de danse. Il la regardait et n'osait pas cligner des yeux, de peur de la perdre de vue. Sabian contourna les gens présents sur la piste et s'approcha de Cecilia. La blondinette lui tournait le dos, elle ne pouvait donc pas le voir. Doucement, il vint se coller juste derrière elle et commença à bouger sur le même rythme qu'elle. Sans chercher à comprendre, il vint coller son corps contre le sien, passant directement sa main sur son ventre. Sabian avança sa tête et la nicha dans le coup de la blondinette. « Tu sais que t’as un corps parfaitement dessiné ? » dit-il, assez fort pour qu'elle l'entendent. Ils bougèrent en rythme et le jeune homme laissa son autre main libre remonter le long de sa cuisse. Il posa ses lèvres dans son cou et l'embrassa fougueusement avant de remonter le long de sa nuque puis de son oreille.  « Il m'a presque manqué. » Cecilia avait réussit à l'exciter, rien qu'en bougeant ses jolies petites fesses. Il s'en foutait royalement qu'elle soit en compagnie de ses copines ou autres, il voulait prendre l'avantage, qu'elle s'occupe de lui, qu'elle ne voit que lui. Sabian voulait être sa priorité.
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Arrivée au Cape Breton, c'était une courte période d'adaptation. J'étais habituée à la luxure, de prendre des bains dans des suites d'hôtel, de dormir dans des superbes chambres pour correspondre à mes standards de princesse mais je n'allais pas me plaindre sur ce que la vie m'offrait et ma chambre à l'hôtel était parfaite surtout que je la partageais avec Ariana. J'avais passé la journée à discuter stratégie et tactique avec Tobias mon sous-chef d'équipe pour discuter de notre vision de trouver le rythme à notre équipe. Tout le monde prenait la soirée de congé pour aller faire la fête en ville alors si j'allais échapper à la règle, absolument pas. J'étais vêtu de mon peignor dans ma chambre, trouvant la tenue idéale pour faire tourner les têtes mais qui allait aussi servir de mise en garde pour les mecs canadiens qui pensait avoir une chance de m'attirer dans les bras, désolé les mecs mais ce soir, je serais une perle, quelque chose de rare et d'intouchable, que seulement les plus audacieux pourrait se permettre de rêver de me le grappin dessus. Je m'habillais tranquillement et je regardais constamment mon téléphone un peu sur les nerfs. Pourquoi je n'avais pas de ses nouvelles? Il ne voulait pas me voir, il semblait que j'avais été simplement un coup d'un soir pour lui ou quoi. Il m'énervait, il me rendait dingue et après avoir goûter à la chaleur de son corps pour une nuit, c'était le silence de son côté. J'étais perturbée et à force de repasser les moments de ce dérapage physique, je devais aller prendre un verre. Même si j'étais la chef de l'équipe numéro 5, je m'octroyais une période de plaisir. Avec une bande de copines, on allait en boîte tôt dans le but de partir seulement lorsque le barmaid allait annoncer la dernière tournée aux petites heures du matin. On était à l'intérieur de la boîte et dégagea je pouvais ressentir les biens faits de faire la fête. Je suis un oiseau de nuit, je respirais mieux quand j'étais enivrée par l'ambiance des boîtes de nuit. On avait été fumer une clope à l'extérieur avant de retourner à l'intérieur. Décidément les canadiens et les canadiennes savaient faire la fête. On prenait quelques verres et surtout des shots de tequila, c'était le summer camp baby! Une nouvelle chanson commençait et les filles décidaient que c'était le temps d'aller danser. Sur la piste de danse, je me débrouillais pas mal. Je me déhanchais au rythme de la musique comme si mon corps était un arme pour ensorceler les mecs qui poserait un regard sur moi. Je suivais le rythme, mes hanches suivait le rythme de mon bassin, un déhanchement provocateur mais aussi naturel en compagnie de mes copines. J'étais sous le sort de la musique, j'étais en transe quoi. Être en groupe avait ses avantages, les mecs qui tentaient de s'approcher était aussitot repousser par le pouvoir féminin. Je continuais de bouger au rythme de la musique, oubliant tout autour de moi un instant. Je sentais une présence venir se mettre derrière moi sauf qu'au lieu de renvoyer ce pauvre mec, je continuais de jouer les aguicheuses sur le rythme de la musique. Son corps collé au mien, je pouvais reconnaître ce regard se poser entre milles sur moi, c'était le seul qui faisait battre mon coeur plus rapidement. Sa main posé sur mon ventre me fit sourire, sa tête venait se nicher au creux de mon cou, hmmm il me chauffait au plein milieu de la piste ou quoi? Je réussis à répondre: ''De ta bouche, je vais jamais me lasser de l'entendre.''. Le rythme en cadence, toujours contre Sabian, je ressentais sa main remonter le long de ma cuisse et je me mordais la lèvre, le connard il recommençait à le faire, à me chercher, à me faire faiblir à son contact. Le contact de ses lèvres se faisait pêcheur et je fermais les yeux sous le moment présent, passant un bras derrière sa nuque. Je regardais les filles et je leur pointais du bout du visage qu'elle pouvait reculer, que j'allais m'occuper de Sabian comme je savais si bien le faire. Joueuse, je le reprenais: ''Presque manqué? Après deux semaines, il t'a presque manqué? Tu veux m'énerver ou m'exciter? Choisis ton combat.''. Contre ma volonté, je me décollais de lui pour lui faire face. Mon regard soutenait le sien et c'était facile à voir qu'il avait bu aussi comme moi. Je posais ma main sur son torse pour la faire longer jusqu'à son épaule, continuant dans son dos et je tournais autour de lui comme une lionne dans une cage suivant le rythme de la musique. Une vraie danse endiablée, qu'il me suit jusqu'au bout pour voir à quel point, je lui avais manqué...
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One day you will kiss a man you can't breathe without, and find that breath is of little consequence
Toutes les conditions pour passer une bonne soirée étaient réunis. Sabian ne s'attendait pas vraiment à tomber sur Cece dans cette boîte et en était d'autant plus satisfait. Voilà deux semaines qu'il ne lui avait pas donné de nouvelles. C'était largement fait exprès puisqu'il se laissait le temps de la réflexion. Hors de question pour lui de laisser passer un tel comportement. Il avait été odieux avec la blondinette et le regrettait légèrement. Après tout, il avait débarqué comme un fou chez elle et l'avait menacé de tuer son fiancé. Bon, tuer était peut être un bien grand mot, il l'aurait juste aligné sur place. Le fiancé aurait surement dû passer le reste de la soirée à l'hôpital. Heureusement pour tout le monde, Andrew était déjà rentré à Londres ou je ne sais pas trop où. Sabian avait du mal à supporter le fait qu'il doivent se marier un jour. C'était incompréhensible et le rendait quelque peu, jaloux. Oui, oui, le beau brun était jaloux des relations que Cecilia pouvait avoir avec d'autres hommes. Et c'était ça le plus étrange dans cette histoire. Sabian n'arrivait pas à répondre à cette question et cela avait le don de l'obnubiler. En tout cas, ce n'était certainement pas ce soir qu'il allait trouver la solution à son problème. Oh non, voir Cece se déhancher dans sa petite tenue, lui laissait entrevoir la suite des événements. Il fut tellement surpris de leur dernier rendez-vous, que là, il ne savait pas vraiment quoi penser. Elle lui vendait du rêve en direct et Sabian irait bien goûter une nouvelle fois à sa peau délicate et sucrée. Alors qu'il s'approcha d'elle, il n'hésita pas une seule seconde avant de venir se coller contre son corps. Aucun scrupule pour ses copines qui semblaient monter la garde juste devant leur chef. La sentir contre lui réveillait quelques pulsions jusqu'alors éteintes. Ils dansaient en rythme sur la musique et s'octroyaient un petit moment rien qu'à deux. La blondinette semblait apprécier ce contact imprévu. Elle pencha sa tête en arrière sous l'intensité de ses baisers dans son cou. Le beau brun n'hésita pas à laisser ses mains parcourir son corps. Il avait envie de la retrouver et ne se gênait pas pour lui faire comprendre. Evidemment qu'elle lui avait manqué mais sa fierté refusait de l'admettre. « Hm. » grogna-t-il face à sa remarque. Peu de temps après, Cecila s'avança, quittant avec facilité l'emprise qu'il avait sur elle. Sabian plissa les yeux, le sourire aux lèvres. Elle mettait directement au défi et le provoquait en un regard. « Ne me tente pas trop, Cecilia. » dit-il en essayant de garder un visuel sur elle. La blondinette tournait autour de lui de façon aguicheuse. Il n'allait pas chercher à comprendre bien longtemps. Surtout que connaissant le pépère, sa patience atteignait rapidement sa limite. Sabian attrapa furtivement le poignée de Cecilia et l'attira vers lui. Il vint, une nouvelle fois, coller son corps contre le sien. Il posa sa main libre sur sa hanche tandis qu'il tenait toujours son poignée dans son autre main. « On ne t'a jamais appris qu'il ne fallait pas jouer avec le feu ? » lança-t-il sur un ton provocateur. A son tour il se voulait provoquant et attractif. Sabian baissa légèrement la tête et commença à danser un coller/serrer avec Cecilia. Leurs deux corps bougeaient en rythme, la proximité le fit frémir. Ses jambes collaient les siennes, son torse effleurait sa poitrine et pour rajouter un peu d'intensité à tout ça, il tourna tête vers elle. Ses lèvres vinrent se poser sur sa joue. Il menait la danse pour son plus grand plaisir.
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Les boîtes de nuit, c'était un peu ma seconde maison et cela peut importe l'endroit où j'étais. Je n'aurais jamais cru tomber sur Sabian dans cette boîte de nuit du Cap Breton depuis notre dernier rendez-vous face à face ou plutôt corps à corps. Je ne pouvais pas nier que de le voir venir à moi me soulageait, moi qui avait été dingue de son silence. Me causant une véritable torture psychologique, de peur que cette nuit dans les bras l'un de l'autre avait été peut-être trop pour lui, c'était dur de le déchiffrer et même si on était proches l'un de l'autre, j'avais parfois encore besoin d'un manuel pour le comprendre. Je faisais la fête avec mes copines mais sa présence changeait tout. Je pouvais sentir qu'il semblait pas contre l'idée de repasser un moment seul avec moi, je le désirais autant mais à me faire languir ainsi dans le doute de le revoir de nouveau, j'avais tous les droits de m'amuser un peu, à le provoquer, à tester surtout sa patience. Son corps contre le mien, je souriais satisfaite. Il avait des choses à se faire pardonner et il commençait d'une bonne façon. Je regardais mes copines du regard et elles n'avaient pas besoin d'en savoir plus pour me laisser à un moment d'intimité avec Sabian sur la piste de danse. C'était avec contact et bordel qu'il était doué pour essayer de me faire oublier mon objectif. Ses baisers était comme une récompense de ma patience, sauf que j'étais une princesse alors j'allais en demander plus, c'était une promesse. Je ne pouvais pas m'empêcher de pencher la tête pour lui offrir mon coup comme un apa^t comme si c'était Dracula. Il m'avait manqué, j'avais envie de l gifler comme de le caresser, c'était à ne rien y comprendre. Je voulais qu'il avoue que je lui avais manqué et je souriais à le voir paiffer sur place, j'allais prendre sa comme un oui, Suivant le rythme de la musique, je tournais autour delui faisant déhancher mon corps sensuellement, ne le quittant pas des yeux, me faisant moi-même un péché qui ne pouvait que réaliser avec mon accord. Je le provoquais ouvertement et cela ne faisait que rendre l'ambiance encore plus électrifiée qu'avant qu'il vient me signaler sa présence sur le plancher de danse. Aguicheuse, je mordais ma lèvre inférieure et lui répondit: ''J'oserais? Absolument pas tu me connais trop bien. Te tenter à m'avoir près de toi, à faire bouger mon corps au rythme du tien jamais, non.''. C'était probablement le plus gros mensonge que je lui dis parce que j'allais trop le faire justement, c'était ma vengeance personnelle pour son silence. Il m'agrippa par le poignet et m'attira à lui, la lutte intérieure j'aimais. Mon corps se retrouva contre le sien et je devais revoir mes propres tactiques pour me distraire, ne pas le laisser gagner était ma priorité. Je souriais joueuse, nos visages très près l'un de l'autre et je lui dis dans un souffle: ''Effectivement, mais qu'arrive-t-il si je suis une pyromane et que le feu est ma tentation ultime?''. Arghhhh cette proximité, cette façon de danser me donnait des chaleurs perverses, je suivais le rythme et baissait un peu ma garde, le toucher était ma faiblesse. Je profitais d'un changement de musique, on se croirait plus dans les boites de la Havane à Cuba. Je lâchais un soupir satisfait et me décollait de lui. Profitant du fait qu'il tenait mon poignet, je me fis tourner pour me retrouver dos contre lui. Mes bras vers l'arrière autour de son cou, je me laissais glisser contre lui, plus bas que sa taille et remontait sensuellement pour revenir à ma hauteur normal. Je regardais vers l'arrière et souriait en lui déposant un baiser dans le cou, mes hanches contre les siens lui enseignait la danse du ventre plus sensuel et provocatrice. J'étais en eux connus ici et j'étais la sirène qui attirait son matelot...
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Sabian gardait en mémoire la dernière nuit torride qu'ils avaient eu tous les deux. La chaleur de leurs baisers, l'intensité de leurs caresses ne l'avaient pas quittés. Il avait gravé ces images dans son esprit et rien ne pouvait lui faire penser à autre chose. Il était comme obnubilé par ses lèvres et leurs courbes généreuses de son corps. Pour tout avouer, elle avait un corps à faire en faire damner un saint ou comme il aimait bien le dire, à en faire fondre un radiateur. Leur nuit ensemble fut sauvage et forte en émotion, Sabian en gardait un souvenir impérissable et franchement, il ne demandait qu'une seule chose, recommencer. Deux semaines d'abstinence, c'était extrêmement long, surtout pour un mec comme le Lindley. Il n'avait pas cherché à aller voir ailleurs, il n'en avait pas vraiment eut l'occasion en fait. C'était assez étrange à expliquer. Quoiqu'il en soit, il venait de tomber sur Cecilia et ne comptait la lâcher pour la soirée. Il n'avait pas mit longtemps avant de s'approcher d'elle et de venir se coller contre son corps. Attiré vers elle comme un aimant, il ne pouvait aller à l'encontre de cette envie. C'était plus fort que lui, la blondinette l'avait ensorcelé, ce n’était pas possible autrement. Pour le maniaque du contrôle, cette situation était perturbante. C'était bien la première fois qu'une fille lui faisait autant d'effet. Ne pas prendre de ses nouvelles pendant deux semaines fut une véritable torture et il dut lutter pour ne pas l'appeler ou pour ne pas lui envoyer de message. C'était pour cette raison qu'à peine débarqué ici, il s'était empressé de lui envoyer un SMS. Sabian comptait bien se faire pardonner mais pas ce soir. Non, ce soir, l'heure était à l'amusement et à la détente. Il verra plus tard pour la réconciliation, peut-être l'invitera-t-il au restaurant ou une connerie du genre. Quoiqu'il en soit, il se laissait guider par ses pulsions et actuellement, il voulait profiter d'elle sans se prendre la tête. Cecilia était collée à lui. Sabian lui tenait le poignée et montrait ainsi sa dominance. Oh il aimait ça être dominateur, il était animé par des pulsions toutes plus sauvages et dévastatrices les unes que les autres. « Ton corps contre le mien ? J'ai connu plus désagréable. » répondit-il en gardant cette proximité. Ils dansaient en rythme avec l'autre mais également avec la musique. Une union parfaite pour un collé-serré endiablé. Rapidement, Cece vint le tenter en prétextant être une pyromane irrémédiablement attirée par le feu. Son souffle se mélangeait au sien, c'était agréable et terriblement sexy. Sabian se délectait d'une telle proximité. Il ne pouvait détourner le regard de ses lèvres qui le faisaient littéralement fantasmer. « Alors tu risques de te brûler avec moi. » lança-t-il, ne quittant pas des yeux ses lèvres pulpeuses. Contre toutes attentes, la blondinette se détacha de lui et vint se coller dans son dos. Elle dansait de manière subtile. Sabian déglutis en la voyant aussi provocatrice, ça lui plaisait énormément. Le jeune homme ne mit pas longtemps avant de se retourner pour lui faire face. Il voulait la voir et croiser son regard, sentir l'adrénaline monter en lui. Il profita d'avoir son poignée entre ses mains pour l'attirer vers lui. Sabian menait la danse, pour son plus grand plaisir. Sans chercher à comprendre, il posa sa main sur sa hanche et vint nicher son visage dans son cou pour l'embrasser langoureusement. Faire revenir le désir était sa priorité. Il s'en fichait pas mal que des gens les observe, il ne voyait que sa blonde. « Tu m'rends fou. » se risqua-t-il à avouer. C'était la pure vérité. Délicatement, il laissa sa main glisser vers sa fesse pour venir l'agripper. Ok, il avait d'elle, maintenant, tout de suite. Foutue boîte de nuit, ils seraient tellement mieux dans un droit plus intime, plus clos. Sabian remonta ses baisers le long de son cou pour lui mordiller le lobe de l'oreille. Ils dansaient toujours en rythme, le désir atteignait son paroxysme. D'un geste un peu brusque, le beau brun se redressa et vint capturer sauvagement ses lèvres. Il était faible face à Cece et ça le rendait malade.
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L'attente, c'était une véritable torture. Je connaissais bien Sabian pour savoir que le temps était quelque chose de précieux lorsqu'il avait besoin d'être seul mais malgré que j'avais passé une nuit torride dans ses bras à me faire grimper les rideaux, je détestais le silence. Combien de fois que je m'étais fais du sang d'encre à mon appart? J'avais attendu des soirées sur mon sofa en tentant d'effacer les moments de notre intimité mais cela jouait constamment dans ma tête, tellement que j'étais perturbée par Sabian. Je ne savais plus du tout ce qu'était notre relation après avoir claquer un solo et surtout d'avoir déraper de façon aussi intense. À l'intérieur de moi, le voir venir directement à moi était une pure délivrance, en espérant que cela soit la fin de mon châtiment et que sa soit la réponse à mes prières. Cette simple boîte de nuit allait avoir des nouvelles couleurs parce que notre danse grimpait en intensité. Je jouais toujours la carte de la provocation malgré qu'il tentait toujours d'exercer cette emprise sur moi. Ma patience avait des limites et surtout après deux semaines d'abstinence, mes hormones criait à la passion et à son corps surtout, je luttais à l'intérieur de moi pour pas aller faire des galipettes dans les toilettes simplement heureuse de retrouver Sabian. L'alcool enivrait mes sens et surtout me donnait une confiance en moi absolu, je le voulais rampant à mes pieds, je voulais lui montrer ce qu'il avait pu manquer en silence. Physique, mon corps frottait le sien, le tentant, voulant réveiller ses passions dévastatrices quand Sabian aimait quelqu'un, de revoir l'étincelle dans ses yeux lorsqu'il posait le regard sur moi. Je souriais en coin à sa remarque, il avait pas tort, du moins j'espère, voir mon corps nu contre le sien n'était pas un privilège que j'octroyais à beaucoup de personnes. J'étais une femme fatale et surtout sûr de pouvoir lui trouver une faiblesse alors qu'il m'exprimait clairement ses intentions. Il avait de la chance que c'était réciproque mais d'habitude, les démonstrations d'affection en publique, je croyais que c'était plutôt discret mais est-ce que j'allais l'empêcher de me montrer qu'il faisait de moi la fille la plus désirable dans le club? absolument pas. Il était libre de continuer comme il le voulait, sa ne faisait que m'exciter. Je voyais à quel point il semblait avoir une fascination pour mes lèvres, je les humectais avec ma langue et passait un doigt délicatement dessus pour lui faire imaginer ce qu'il voudrait, il savait trop bien ce que ses lèvres étaient capables de faire. En quelques murmures, je lui disais, étant sûr de le faire succomber: ''Alors soit mon enfer.''. J'étais directe. Je venais de me coller contre lui, danser d'une manière aussi sexy contre lui, en faisant ce que je pouvais malgré qu'il avait toujours mon poignet prisonnier. Ca ne m'empêchait pas de me déhancher et de démontrer ce que mes hanches pouvaient faire pour captiver le regard masculin. Il se retrouvait de nouveau face à moi et je le regardais de haut en bas, tentant de lire ses pensées. Il reprenait le contrôle de la danse, son égo masculine voulant me démontrer qui était le maître. Mon corps était à sa merci, se laissant soumettre à sa chaleur. Je frissonnais au contact de ses lèvres dans mon coup, le souffle redevenait plus corps et désireux de lui, j'oubliais même qu'on était dans une bôite de nuit. Je mordais ma lèvre à l'entendre dire que je le rendais fou, c'était sincère? Hmmm, une information à mon avantage. Je lâchais un petit ouh en sentant sa main m'aggriper le derrière, décidément il était pas lui-même mon Sabian, il m'intriguait comme il me perturbait, je ne savais plus quoi dire ou même quoi penser de lui, ce qui rendait le jeu encore plus intense. Mon coeur voulait sortir de ma poitrine, mes lèvres étaient prisonnières des siennes et je profitais de notre proximité pour passer mes mains sous son chandail et caresser ses abdos. D'accord, il fallait qu'on sorte d'ici, avant que je me le fasse littéralement sur la piste de danse. Je profitais de la fin de la chanson pour le regarder dans les yeux entre deux baisers aussi langoureux que les autres: ''On ne sait jamais à quel point on tient à une chose qu'on a sous les yeux, je te rends dingue , à quel point Sabian? Montre le moi quoi...''. Sourire aux lèvres, je l'embrassais une dernière fois sur les lèvres avant de reculer pour disparaître dans la foule, attrape moi si tu peux. En réalité, je me dirigeais vers l'extérieur pour prendre de l'air mais je savais que lorsqu'on enlève une proie du champ de vision d'un animal à l'appétit sexuel très élevé , on le rendait dingue, c'était ma petite revanche. J'enfilais ma veste de cuir étincelante et tentait de sortir avant lui mais tant mieux si il m'attrape avant...
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